La Malédiction du Pas de Lagaste – 8 – Hermine, Rixende et Jodelle par Léna Van Eyck

La Malédiction du Pas de Lagaste – 8 – Hermine, Rixende et Jodelle par Léna Van Eyck

Et le lendemain matin…

Rixende s’était, l’air de rien, un peu renseignée :

– Jodelle m’a rendu grand service, je ne sais comment la remercier ?
– Rejoins-la dans sa couche ! Lui répondit carrément Hermine.
– Ciel ! Coucher avec une femme !
– Ben quoi, c’est doux et ça sent bon !
– Mais n’est ce point contre nature ?
– Peu importe du moment que c’est agréable !
– C’est une invention du diable !
– Et alors ? Tant mieux s’il nous a inventé de meilleures choses que les curés !
– Ah ! Ah ! Tu es drôle toi ! Je ne sais si ça me plairait…
– L’essentiel est que ça lui plaise à elle !
– Mais je suis bien ignorante de la façon de faire.
– Alors déshabille-toi, je vais te montrer !

Et alors qu’Hermine après s’être, elle aussi, débarrassée de sa robe entamait une bonne leçon de choses, Rixende ne put s’empêcher de se laisser aller à un fou rire nerveux.

– Qu’ais-je dis de si drôle ?
– Ce qui est drôle c’est que tu as cru mon mensonge !
– Quel mensonge ?
– Je ne suis pas grande experte, mais j’ai déjà léché des minouches bien grasses et bien juteuses de quelques coquines jeunes ou moins jeunes.
– Eh alors pourquoi ce mensonge ?
– Pour te voir nue ! Tu es très belle et je passerais bien un moment avec toi !
– Je te trouve bien audacieuse !
– C’est ton droit, j’ai essayé quelque chose, tant pis pour moi, si ça ne marche pas.
– T’aurais voulu quoi ? Que l’on s’embrasse ?
– Que l’on s’embrasse, que l’on s’enlace.
– Si l’on s’embrasse, nos seins vont se toucher.
– C’est bien possible en effet. On le fait ?

Elles le firent et comme prévus, leurs seins se frôlèrent, ce qui les fit rigoler, d’autant plus que les tétons de Rixende étaient bien érigés. Ce petit jeu de frotte-frotte finit par bien exciter nos deux coquines, tant et si bien qu’elle se retrouvèrent tête-bêche sur le lit à se gamahucher la chatte.

Mais après qu’elles se furent léchées copieusement jusqu’à crier leur plaisir, Hermine fut curieuse de savoir jusqu’où la fille pouvait être vicieuse.

Alors qu’elles auraient pu en rester là, Hermine pria par geste sa partenaire de ne point bouger, Rixende crut alors qu’on allait bisser l’action, mais les intentions d’Hermine étaient légèrement plus osées, puisque c’est le trou du cul de sa collègue qu’elle se mit à lécher avec gourmandise.

Loin de refuser la caresse, Rixende tortillait son popotin de plaisir à tel point qu’Hermine n’hésita plus un seul instant à y enfoncer un doigt inquisiteur et à le faire aller et venir dans l’étroit conduit. Et puis comme il eut été inconvenant de laisser ce doigt s’agiter en solitaire, deux autres virent lui prêter concours.

– Oh ! lala ! Criait la puterelle.
– C’est ça gueule, ma biche, jouis du cul !
– Aaaaaah !
– C’était bon, hein, maintenant c’est toi qui vas me faire la même chose.
– Oui bien sûr, mais laisse-moi reprendre mes esprits.

Sans l’écouter, Hermine se retourna, en cambrant son croupion et en écartant ses fesses.

– Oh le joli petit cul que tu as ! S’écria Rixende.
– T’as vu ça ! Et il a vu passer des bites !

L’ancienne soubrette s’acquitta fort concisément de sa tâche et rendit Hermine toute chose.

– T’as vu mes doigts comment ils sont ressortis ? Fit-elle semblant de se lamenter en les présentant sous le nez d’Hermine.
– Ben oui, un cul, c’est un cul ! Et puis il n’y a presque rien !
– Tu crois ? Répond-elle en portant ses doigts en bouche.
– Cochonne !
– Arrête, ce n’est pas mauvais du tout !
– Je sais ! Mais dis donc, toi tu cachais bien ton jeu, tu as dû en lécher des bourgeois et des bourgeoises.
– C’était parfois bien agréable, d’autre fois ce l’était moins, cela est le sort commun de tous les gagne-pains.
– Te voilà bien philosophe !
– C’est mon maître qui disait souvent ça !
– Et il faisait quoi ton maître !
– Fourreur !
– C’est donc pour cela qu’il te fourrait !
– Hi ! hi !
– Je crois que si tu restes ici, tu feras une bonne putain… si tu restes
– Comment ça si je reste ?
– Ce n’est pas parce que nous aurons une putain de plus qu’il y aura davantage de clients, comprends-tu ?
– Je comprends parfaitement, Maîtresse Georgette m’a dit qu’elle me garderait quelques temps, je m’en voudrais de vous porter préjudice pendant cette période.
– Bon descendons maintenant, la Georgette doit nous chercher !
– Qu’allons-nous dire ?
– Que je t’ai un peu initiée, elle n’est pas obligée de savoir que tu n’en avais nul besoin.

Hermine n’était point sotte, et se doutait bien que la Rixende s’arrangerait pour se rendre indispensable. Il y aurait donc bien une fille de trop. Si elle estimait ne rien avoir à craindre et si Jodelle pouvait dormir tranquille, la situation risquait de devenir délicate pour la grosse Rolande, bien qu’elle avait ses habitués, et surtout pour Finette.

Une situation qui risquait de casser la bonne ambiance…

N’empêche que la Rixende était femme de parole, elle souhaitait remercier Jodelle pour son intervention.

Elle l’entreprit le soir entre deux services.

– Il me faut te remercier pour ce que tu as fait pour moi !
– Laisse tomber, un service en vaut un autre.
– Je me suis laissé dire que tu ne serais pas contre que toi et moi…
– Bien sûr que je ne serais pas contre, mais présentement j’ai l’idée d’une petite fantaisie dans lequel tu pourrais t’enquiller… tu vois ces deux lascars qui rigolent comme des bossus ?
– Oui !
– Je les ai entendu dire qu’il ne serait pas contre une orgie à quatre, avec moi nous serons déjà trois, si tu viens avec nous nous serons quatre.
– Et bien allons les chauffer.

Les deux coquines virent s’assoir au côté des deux drôles

– Alors on rigole sans nous en faire profiter ! Commença Jodelle.
– Albert me racontait ses déconvenues avec la fille du puisatier.
– Et on peut savoir ?
– Je l’avais entrepris sur le bord d’un puit, la garce a fait semblant de se laisser faire et d’un coup de rein m’a précipité au fond du puit. Répondit Albert.
– Ciel ! Et tu en es rescapé ?
– Il n’était pas bien profond, peut-être trois coudés, il était asséché mais était rempli de cochonneries, ce qui fait que je suis sorti prestement et que j’ai cherché où me laver de tous ces immondices et pendant ce temps-là la donzelle avait rameuté ses sœurs et ses cousines et j’étais l’objet d’une grande moquerie.
– Ce n’est pas drôle !
– Il faut mieux en rire, après tout je m’en suis bien sorti, imagine que le puit eut été profond ? Dame, j’y serais sans doute encore en train de pourrir.
– Viendrais-tu dans ma chambre, tu ne risques rien il n’y a pas de puits.
– Hum, c’est tentant, d’autant que tu as le nichon bien seyant ! Je pourrais le voir mieux ?
– Aligne tes écus ! Tu verras même le paradis.
– Et moi je ne te plais pas ? Intervint Rixende en faisant des effets de poitrine.

Les deux hommes échangèrent un regard complice

– Une fois, à Carcassonne, nous sommes montés à quatre, et une fois en chambre nous nous sommes tous mélangés, c’est possible ici ? Demande Martin, son compère.
– Bien sûr que c’est possible !

Rixende et Jodelle conduisent donc Albert et Martin en chambre. Les deux filles se déshabillent entièrement, les deux drôles se contentent de découvrir la partie inférieure de leur anatomie et de dégager leurs bites demi-molles.

Puis ils se dirigent chacun vers l’une des filles, Albert vers Jodelle, Martin vers Rixende, les tripotent, leur malaxent les seins et les fesses en bandant comme des ânes. A un moment ils permutent et on a droit à une nouvelle séance de pelotage.

Il fallut bien un moment passer à d’autres choses et après ces préliminaires les deux gaillards auraient pu demander aux deux puterelles d’écartes les cuisses afin de les pénétrer. Mais les deux michés avaient aligné beaucoup d’écus et entendaient bien profiter de leur temps.

– Cela nous plairait de vous voir vous brouter le cresson ! Suggère Martin.

Cela ne dérange pas nos deux filoutes, nous avons vu que Rixende est loin de cracher sur ce genre de chose et que cela ne déplait pas non plus à Jodelle.

Les deux femmes se couchent donc sur le lit en position tête-bêche (on ne disait pas encore 69) et commencent à se brouter le gazon sans simuler puisqu’elles aiment ça !

Les deux hommes regardent, Albert s’est assis sur l’unique chaise de la chambre, Martin à ses côtés s’astique le manche sous les yeux de son compère lequel semble autant passionné par le spectacle des deux putains qui se gamahuchent que par-là cette jolie bite bien dressée qui semble le narguer à quelques pouces de son nez.

Subrepticement Albert rapproche sa main du membre de Martin, ce dernier lui lance un regard approbateur, on comprend bien que les deux compères ne sont guère béotiens en la matière et s’adonnent parfois aux jeux de bites lorsque l’occasion leur en est donné.

Jodelle et Rixende, toutes occupées qu’elles sont à se faire minette ne voient rien et ont carrément oublié leur client. Il leur fallut bien après qu’elles eurent pris leur plaisir revenir à la réalité : Image étonnante du compère Albert, le sexe de Martin dans sa bouche.

– Alors ? Lance Jodelle sur le ton de la plaisanterie. Vous faites quoi, les deux drôles, si on ne sert plus à rien, on peut vous laisser entre vous
– Ah ! Ah ! Répond Martin ! Ce n’est pas parce qu’Albert me prête sa bouche que vous n’allez pas sentir nos queues.
– Eh bien, venez donc nous rejoindre, on vous attend !

Martin va pour s’approcher, Albert semble hésiter. Du coup les deux compères tiennent un court conciliabule en messe basse, au terme duquel ils se décident à venir vers le lit. Albert se dirige directement vers Rixende et lui demande de tenir la position du petit chien. Qu’à cela ne tienne, elle se met dans la position désirée, relève son popotin, écarte ses cuisses laissant accès à ses chemins de plaisir.

Jodelle attend Martin, mais au lieu de se rapprocher d’elle, celui-ci semble se complaire de voir son compère embrocher le cul la Rixende de son gros vit avant de venir flatter les fesses de son acolyte, d’y mettre le doigt et de le faire aller et venir, puis de le remplacer par sa bite bandée.

Et l’étrange emboitement se met en branle, Martin encule Albert qui encule Rixende, tandis que Jodelle fait banquette.

« Mon tour viendra bien, et s’il ne vient pas, cela n’a aucune importance, ces drôles ont payé ! »

L’affaire n’est point longue, les deux énergumènes excités comme des mouches ne tardent pas à cracher leur semence, Martin le premier et Albert dans la foulée.

Rixende a le cul béant qui tarde à se refermer et se retourne étonnée du déroulement de cette insolite passe.

Les deux compères se rhabillent en silence, les filles remettent leurs robes.

– Salut gentilles putains, un jour nous nous reverrons peut-être ! Déclare Albert à moins que ce soit Martin.
– Ce chenapan en avait une trop grosse, j’ai maintenant le trou du cul tel un chou-fleur. Se lamente Rixende une fois les deux compères sortis de la chambre
– Ma pauvre biche, cela va passer, mets-toi un peu d’eau fraiche et allons voir en bas si d’autres joyeux drilles veulent jouer avec nous.

A suivre

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4 réponses à La Malédiction du Pas de Lagaste – 8 – Hermine, Rixende et Jodelle par Léna Van Eyck

  1. Leon dit :

    Z’on des prénoms rigolos les nanas

  2. Nina dit :

    Que c’est bon le sexe quand il est festif

  3. Werber dit :

    C’était le bon temps… quand c’était pas la guerre

  4. sapristi dit :

    J’aimerais voyager dans le passé et m’arrêter dans cette auberge de rêve

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