Invitation par maybi

Invitation
par maybi


Madame ouvre la porte, m’invite à entrer d’un sourire et me précède en direction du salon.

Elle est habillée de façon très simple, d’un jean et d’un léger pull en laine, dont l’extrémité flotte très légèrement à chacun de ses pas, qu’elle marque soigneusement d’un mouvement de hanches et de fesses quasi hypnotique. Je la suis donc dans le salon et j’aperçois monsieur qui sirote un whisky, me souriant lui aussi.

– « Un verre? » me dit-il.

J’accepte volontiers, et nous nous installons tous les trois sur les fauteuils. Nous échangeons quelques banalités, je suis un peu gêné, ne disant rien de passionnant. Madame semble remarquer mon trouble. Elle commence à embrasser doucement son homme, puis plus langoureusement.
Je sens le trouble me gagner en les regardant s’embrasser comme si je n’existais pas.

Quelques minutes de ces baiser, et elle se lève brusquement, retire d’un seul coup son pull, laissant apparaitre une délicieuse poitrine:

– « Allez, à la chambre vous deux ».

Je suis tellement surpris que je me lève automatiquement pour leur emboiter le pas. Arrivés dans la chambre, elle commence à déshabiller son homme, pressant ses seins contre son torse imberbe. Elle lui défait la boucle de son pantalon, le retire, voilà monsieur en caleçon, sa femme à demie-nue, et moi, hébété, excité, à un mètre de la situation. Elle l’embrasse délicatement sur le torse, et descend progressivement, le nombril, l’élastique du caleçon, tendu de façon bien prometteuse.

Elle soulève ledit élastique et le sexe tendu de monsieur apparaît. Un beau membre, joliment proportionné. Elle le lèche tout doucement, lui suçote le bout du gland, et tout en faisant, lui retire le caleçon devenu bien entravant. Elle engouffre maintenant le sexe quasiment en entier, lui exécutant une pipe qui rien qu’à regarder est délicieusement excitante. Elle semble douce, soyeuse et ferme à la fois. Monsieur commence à respirer assez fort. Il dit alors:

– » A lui maintenant »

Elle tourne alors son visage vers moi tout en conservant le sexe de son mari dans la bouche. Sa joue gonflée lui donne un air un peu comique. Ils me sourient tous les deux.

J’ai un peu l’air d’un con, debout, encore habillé, avec l’avant de mon jean prêt à craquer, comme hypnotisé.

Elle se lève et s’approche de moi. Elle se tient debout au plus près de moi, sans me toucher. Lève les yeux vers moi, fais le tour de ma nuque avec son bras et m’embrasse de la façon la plus sensuelle et sexy qui soit. Sa bouche et sa langue sont si douces… Son haleine à un peu le gout du sexe de son homme. Et ça m’excite.

Elle me caresse le torse, le ventre, appuie sa main contre mon sexe, je suis toujours à un centimètre de sa peau. Elle m’enlève mon tee-shirt, passe sa main sur mon torse, et doucement vient frotter ses seins à ma peau. Nous nous embrassons, elle m’embrasse maintenant le ventre, en s’agenouillant.
Elle enlève ma ceinture, baisse mon jean et découvre mon boxer plein à craquer. Elle mordille mon sexe à travers le tissu. Elle commence à me caresser les fesses et vient doucement retirer mon caleçon.

Curieusement à ce moment, en plus de l’excitation telle que je sens battre mes tympans, je ressens d’abord la délivrance de sentir mon sexe plus bandé qu’il ne l’a jamais été est libéré de son entrave. L’air sur la peau très fine de ma hampe est une caresse apaisante, qui me relaxe et me fait redescendre un peu dans les tours.

Mais pas pour longtemps.

Je sens sa langue se poser sur le bas de mes testicules, me provoquant une vague de frissons me vrillant l’échine. La langue effleure délicatement le bas de mes testicules, et remonte tout doucement le long de mon sexe, c’est un délice. La langue se retire un peu en dessous du gland. La salive ainsi déposée en séchant me donne un nouveau frisson de volupté.

Elle recommence.

Cette fois, elle continue de monter, s’arrête au niveau du frein, et exerce une délicate pression sur celui-ci.

J’ai alors envie de contempler la propriétaire de cette langue. Je baisse la tête et croise son regard bleu nuit braqué sur mes yeux. Regard si intense que quasi insoutenable

Je sens ses mains toujours posées sur mes mollets, tenant mon caleçon. Elle m’incite à le retirer, m’enlève mes chaussettes qu’elle balance derrière son épaule. (Je l’imagine dire « nasdrovia! », je suis con des fois). Elle me caresse les mollets, remonte derrière les cuisses, remontant du même coup mon attention. Sa langue n’a pas bougé, elle commence à caresser mon gland, le suçote et l’aspire délicieusement dans sa bouche.

Cette sensation, comme si l’univers entier était dans sa bouche. Comme si l’unique évènement se déroulant sur terre était celui-ci…

Je sens maintenant sa langue rouler sur mon frein pendant que mon gland est comprimé par la succion contre son palais. Elle me jette de temps à autres un de ses regards abyssaux. Puis elle incline la tête vers l’avant, (depuis ce temps toujours les mains sur mes fesses), et descend petit à petit, faisant disparaitre ma hampe. J’ai l’impression que ça ne va jamais s’arrêter. Elle s’arrête finalement. Mon sexe à quasi disparu de ma vue.

Elle retire sa tête, lentement. Je suis au nirvana. Elle recommence, cette fois-ci en pivotant la tête, je n’y comprends plus rien.

Je n’en peux plus, je vais jouir. Inconsciemment je pose ma main sur sa chevelure, elle s’arrête, me regarde.
Nous remarquons au même moment que mes genoux tremblent comme des feuilles. Elle me sourit, et me dis :

– « Viens, tu seras mieux sur le lit »

Ah oui c’est vrai nous sommes dans sa chambre. Leur chambre même !

Il a disparu, le mari! Je tends l’oreille, guettant les bruits qui m’indiqueraient que pris de jalousie, il s’en est allé détruire le salon. Rien, c’est déjà ça. Je jette un regard interrogatif à mon experte, elle n’a pas l’air d’être alarmée.

Elle me dirige vers le lit, m’intime du plat de la main à m’asseoir sur le bord. Elle me renverse délicatement sur le dos. Un bruit d’étoffe, elle est nue. Elle vient alors me chevaucher. Ceci faisant, elle amène la pointe de ses seins sur mon visage. Ils sont magnifiques. Je commence à les embrasser, à gouter sa peau. Délicieusement douce. Elle redescend, m’embrasse, se colle contre moi, me caresse…

Je fais de même.

C’est enivrant. Elle commence à descendre sur moi, s’attardant sur mes tétons, je frissonne, elle descend encore. Elle va recommencer. C’est ce qu’elle fait. Elle descend du lit, se colle contre mes cuisses, de côté, et recommence. Cette fois-ci, Elle joue avec sa langue sur mon sexe, le lèche, le titille, le mordille. C’est terriblement excitant. De temps en temps, elle me suce profondément, enfonçant au plus profond de sa gorge mon sexe palpitant.

Un aller et retour, deux éternités.

Une porte s’ouvre, il a dû trouver ses outils ! Eh non, il entre, nu, souriant. Sa femme lui lance un regard. Il lui sourit et viens se placer de l’autre côté de moi. Je renverse ma tête.

A partir de là, c’e sont quatre mains et deux bouches qui s’occupent de mon sexe.

Je suis en plein délire, je ne sais pas qui fait quoi. Encore que la sensation d’engloutissement, ressemble à l’œuvre de madame A peine la pensée évoquée, et pendant qu’elle s’exécute, j’entends distinctement sa voix:

– « C’est mon chéri qui m’a appris à sucer ! »

Je meurs de plaisir. J’ai la tête qui tourne. Ces deux bouches, qui alternent, s’entraident, m’aspirant les testicules et le sexe en même temps.
Je souffle:

– « Je vais jouir, attention… »
– Souffle deux minutes, si tu veux…

Ils se séparent de moi. Je ne les vois pas, mais à la respiration de monsieur, je devine ce qui se passe à côté de moi. Je tente de rassembler mes esprits en fixant le plafond un moment.

Je me redresse et m’assois sur le bord du lit. Ils sont juste devant moi, madame accroupie devant monsieur. Elle me lance en souriant gentiment:

– « Ça va mieux? Viens, je vais te faire voir »

Elle m’invite à aller la rejoindre.

Je ne suis plus dans un état ou les appréhensions prennent le dessus sur le désir. Je m’exécute tranquillement sans trop y réfléchir. Je m’agenouille à ses côtés. Elle m’embrasse, et porte le sexe de son homme à sa bouche, le retire et me le tend. Elle sourit tout en se pinçant la lèvre inférieure.

Je pose mes lèvres sur le haut du gland. C’est chaud, c’est doux, lisse, très agréable. Je saisis la bite de monsieur dans ma main. La peau est extrêmement douce. Je serre un peu le membre, le sens qui palpite. Je le goute à nouveau, en ajoutant ma langue.
C’est délicieux, je ne me pose pas de questions. Je réalise qu’instinctivement, je sais parfaitement quoi faire.

À suivre…

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4 réponses à Invitation par maybi

  1. Chung dit :

    Sucer encore, se régaler, recommencer…

  2. Chung dit :

    Bien sûr que c’est bon, la bite .

  3. Deleuze dit :

    Sympa, mais je n’ai pas trouvé la suite

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