Fantasme grandeur nature 2 – Les choses se précisent par danpas

Fantasme grandeur nature
2 – Les choses se précisent
par danpas


Un mois plus tard.

Bien sûr, elle n’avait pas décidé facilement ou du moins rapidement de donner suite à cette proposition d’Eric. Elle estimait, à juste titre du reste, que quand bien même il ne s’agissait que de ‘voir’, que cela pouvait constituer un fait préjudiciable à notre vie intime, mais il y avait l’envers du décor, qu’elle n’osait avouer, ou au moins aborder, cette petite pointe d’envie, disons de curiosité que j’avais malgré tout ressenti. Aussi j’avais pris soin de laisser un peu de temps au temps, mais il serait fastidieux de retracer en détail tous les méandres de nos discussions.

Bref, j’en arrive donc directement à ce soir-là. Je patientais devant la télé, qui ne m’imposait pas du reste une attention soutenue (comme souvent !) Non, j’étais plutôt égaré dans mes pensées alimentées par ce ‘rendez-vous’. Sophie était finalement partie à cette soirée très particulière. Oh, je sais, plutôt spéciale par son coté ‘hors du commun’ mais sans plus, j’imagine.

Malgré tout je reste non pas inquiet, mais pressé d’en connaître l’issue. Je suis convaincu qu’il aurait été dommage de ne pas saisir l’opportunité, car, j’avais bien des vues sur « l’élargissement » de notre vie de couple, mais encore fallait-il parvenir à concrétiser !

Mais, revenons à la situation. La journée agrainait sa dernière heure quand un bruit m’indique que ce doit être elle qui est de retour. Il me tarde en fait que ce moment arrive. Je me réjouis à l’idée de me faire conter son récit érotique. Je vais découvrir ses réactions, car je mise assez sur le « succès » même basique de cette aventure, qui pourrait bien nous ouvrir des portes.

A défaut, pour l’heure, c’est celle de l’appartement qui s’ouvre, pour laisser entrer mon aventurière. Celle-ci refermée (la porte !), elle pose rapidement clés et sac sur la desserte et se dirige vers moi, se met à fondre en larmes, tout en me serrant comme pour chercher du réconfort.

C’est avec un grand étonnement que je la ‘récupère’ ainsi, mais avec inquiétude aussi, bien que je me dise que l’essentiel est qu’elle soit bien rentrée.

Il me semble aussi que je dois lui laisser un peu de temps, ne pas l’assaillir des inévitables questions. Aussi, je l’entraîne vers le salon, et l’incite à s’installer dans la banquette. Je l’allonge et prends place près d’elle …

« Ce n’est pas bien ce que j’ai fait, je n’aurais jamais dû y aller… Je m’en veux… »

Tout en lui prodiguant quelques caresses sur le visage, manière à la mettre en confiance, je lui dis calmement :

– « Il y a eu un problème ?» ne voulant pas me laisser dominer par une lueur d’espoir qui me traverse l’esprit…
– « Non, ce n’est pas ça.. »
– « Je sais ce que tu as fait ce soir, considère que tu es allée au spectacle, ce n’est pas plus compliqué ! » dis-je avec assez peu de conviction, tout en poursuivant : « Prends ton temps si tu veux me dire quelque chose, je t’aiderai »

Ces quelques propos rassurant la remettent en confiance :

– « En fait, j’ai été très bien reçu, et il (en parlant d’Eric) m’a dit que je ne devais pas être gênée, et que si, même au dernier moment, je souhaitais cesser le jeu, il comprendrait parfaitement et ne m’en voudrait absolument pas.

Aussi, après un moment passé à converser au salon, il m’a proposé que je m’installe dans la chambre. Un ‘relax’ était là et je l’ai occupé. Il m’a dit de surcroît que je fasse absolument comme je voulais, si je souhaitais me mettre à l’aise, sans trop que je saisisse ses propos ! Ou bien même si je voulais partir à un moment ou un autre, il n’y aurait aucun problème.

Il tenait absolument à ce que je sois en parfaite confiance. Je l’ai rassuré en disant que tout allait bien ainsi pour moi. Il m’a demandé ensuite très gentiment si « j’étais prête » tout en reconnaissant que c’était sympa de ma part d’être là. Je lui répondis que je j’étais ‘partante’, bien qu’une sorte d’angoisse, ou plutôt de gêne plane en moi, mais paradoxalement, je ne voulais pas me dégonfler au dernier moment.

Puis Eric a mené l’opération et me demandant mes préférences du style :

Veux-tu une séance de strip-tease individuelle ou un déshabillage vite fait, et d’autres sollicitations ensuite, manière de m’intégrer dans le jeu !

J’ai opté pour le ‘strip’ en désignant le premier candidat. Sans mise en scène trop exubérante, ils y ont mis quand même un peu de forme ! Après tout, le jeu ne consistait-il pas pour moi de les noter, sur la prestation de cette soirée, ce qui du reste n’a pas abouti à une note, ça va de soi, c’était pour le fun !

Et c’est ainsi que Julien se retrouva à poil devant moi, et cela m’a impressionné, non pas qu’il fût bien monté, quoique, mais par le fait que question de poil, c’était pas vraiment ça ! J’ai été assez surpris par son sexe parfaitement épilé. Je dois dire que j’étais partagée entre culpabilité et cette curiosité de vivre un semblable instant.

Puis évidemment ça été au tour du second. Ils ont en quelque sorte fait une présentation en cœur de leur anatomie, le second d’ailleurs, la scène l’ayant sûrement stimulé, était entré en début d’érection ! Mais je n’étais présente qu’en tant que jury !

En tant que ‘jury’, je me suis un peu concentré sur les sexes, celui d’Eric retenant mon attention, d’une courbure juste perceptible lui donnant une allure flatteuse, coiffée d’un gland au galbe tout à fait adorable et à l’aspect velouté, mis en valeur par une érection qui devenait plus sérieuse. (Bref, pas le truc biscornu, quoi, le pénis étalon !, remarque que je garde pour moi si tant est qu’il faille que je le précise.)

Avec ces préliminaires, je m’aperçois aussi que je suis moins mal à l’aise.

Puis ils se sont mis à l’ouvrage, ils ont commencé à ‘jouer’ ensemble, et les deux, à présent étaient avec une belle érection. Alors qu’ils jouaient les « escrimeurs » avec leurs dards, Je n’ai pu m’empêcher de penser à toi en me remémorant tes paroles : Qu’elle va être ta réaction devant deux beaux sexes mâles bien érigés ! Je me suis dit : mon dieu, deux gars à poil en train de bander devant moi, et mon mari qui m’a laissé faire…Je me suis sentie coupable de délit, et d’un autre côté, j’éprouvais du plaisir à être spectatrice, en me disant que c’était la première fois que je voyais en même temps deux hommes nus en érection.

Je pense que tout leur répertoire a dû y passer, pour être à la hauteur devant la maîtresse ! (pas celle qui donne des coups.. !)

Et moi, assise face à eux, avec cette robe courte, tenue que tu m’avais conseillée Il est un fait que contrairement au bar où je devais être plus qu’attentive, là par contre, je n’avais pas de contrainte, je ne me suis pas souciée du risque d’exposer mon anatomie féminine à mes deux homosexuels, ça m’a donné comme un sentiment de liberté, enfin, je ne sais pas trop expliquer.

Contrairement à l’idée que je m’en étais faite, cette scène m’a absorbée, fascinée même. J’avais un peu de peine à rester détendue et neutre, et, contrairement à ce que j’imaginais, ils commençaient à m’exciter. Je ne détachais pas mon regard de ce sexe allant et venant dans le cul d’Eric, qui avait l’air d’apprécier, m’adressant de temps à autre un regard évocateur, tout en se laissant branler par son partenaire.

Une envie s’était installée en moi, mais je me suis contenue… et j’ai résisté en pensant à toi, j’aurais de quoi me rattraper à mon retour.

Voilà un bon moment que mes deux amoureux s’adonnaient à des plaisirs variés, puis Julien vint se mettre face au visage d’Eric, assis maintenant à la tête du lit.

Il commença à se branler, Eric lui saisit ses deux globes fessiers avec une main pour chaque, et les massa. Sachant que son partenaire n’allait sûrement pas tarder, il ouvrit la bouche bien en face pour être prêt…

Visiblement, il attendait ce moment délicieux, qui ne tarda pas en effet.
Je vois alors des lancées bien dirigées vers cette bouche réceptrice. Il éjaculait avec ce plaisir renforcé j’imagine de sentir son partenaire se délectant de ses secrétions intimes, tout en émettant de petits cris de satisfaction.
J’étais toute accaparée par ce gars en train de jouir, ces jets de sperme. Spectacle pour le moins inhabituel en ce qui me concerne !

Puis Eric laisse alors son partenaire ‘récupérer’, se dégage et vient à moi.

« Je sais que c’était convenu, mais c’est un peu égoïste, me dit-il, nous ne pensons qu’à nous ! Je suis presque gêné après coup »

Bien que ça soit vrai, je me demande pourquoi cette question puisque justement c’était prévu, le jeu était fixé ainsi :

« Oh ! Ne t’inquiète pas pour moi, j’assume !» dis-je d’un ton le plus naturel possible.

Il avait très certainement remarqué cette excitation monter en moi, ais-je dû probablement manifester malgré moi quelques attouchement sans prendre garde à son regard, ou bien encore ais-je pris trop peu de peine à me dissimuler de leur regard ?
(J’apprécie au passage ses tournures de langage… car traduit dans ma petite tête, ça donne « ben oui, quoi, je leur montrais mon cul »)

« Nous n’avons pas fini, tu es toujours partante pour continuer le petit jeu ? »
« Oui, puisque je vous l’ai dit »
« Et puis ce n’est pas si désagréable que ça », précisais-je tout de même en souriant »

Conforté par mes propos peut-être, il poursuit :

« C’est gentil, mais n’aie pas peur de te mettre à l’aise, ça serait peut-être mieux pour toi.
Tu veux bien ? »
« Oui », lui dis-je, comme si ce ‘oui’ m’avais échappé ou que je n’avais pas saisi le sens, pensant « détend-toi.. »

Alors, il me prend doucement le haut de la robe et amorce un mouvement pour me l’ôter. Malgré ma surprise, je ne réagis pas négativement. Je lui facilite même étonnamment la tâche en me libérant légèrement du fauteuil. L’ambiance, une pointe de désir, je ne sais pas, je me suis laissée aller.

Et me voilà toute nue, et je n’éprouve pas de gêne, je crois même que ça me plaît.

Puis elle stoppe là son récit :

« Tu sais, je ne veux rien te cacher, mais je me sens coupable en te racontant ça »

Afin de la mettre à l’aise, je lui renouvelle discrètement qu’elle peut être franche, je ne lui reprocherai rien. A ce stade de son histoire, je commence à imaginer que l’opération aura été plus constructive que je ne pouvais le penser. Rien que sa nudité consiste déjà en un « progrès » Tout cela semble de bonne augure.

Ayant posé la robe, il me fait une caresse amicale sur mon épaule nue :

« Puis-je te faire un compliment, tu es très belle nue, et je tenais à te remercier, pour ce que tu fais, je sais que ce n’est pas si évident que ça, et surtout que tu as un chic mari qui a bien voulu que tu viennes, j’espère que tu le récompenseras à la hauteur de sa générosité ! » ajoute-t-il avec une pointe de défit ! (Sympa là son bel Eric !)

Et pendant ce court instant pendant lequel il me parlait, là, debout devant moi, légèrement de côté, je ne voyais qu’une chose, ce beau membre bien droit à « midi » juste à hauteur de mes yeux ! Comme si sa pose était volontaire et qu’il s’arrange pour la faire durer un peu! Il bandait encore un maximum, et mes yeux semblaient scotchés sur ce sexe, il n’y avait plus rien autour qui absorbait mon attention.

Alors, comme incontrôlée dans mes gestes, la chaleur de sa main sur mon épaule, je ne sais pas ce qui m’a pris, je lui dis : « je peux ? »

Sans attendre sa réponse, je lui saisis le sexe, et, sans mouvement, le serre entre mes doigts. Je me concentre sur l’instant que je vis, j’ai un sexe d’homme dans ma main, et un autre que le tien, je le sais mais ne le lâche pas pour autant.

Il ne me manifeste pas d’hostilité, je m’enhardis, je quitte la hampe pour saisir à présent ses testicules, que j’emprisonne dans mes deux mains cette fois, comme si je tenais quelque chose de précieux ! (Mais c’est précieux ! faudra que je lui dise)

Il se laisse faire, il aurait dû m’en empêcher…

Je reste ainsi un moment, comme pour me rendre compte de mon action.

Puis une main quitte les testicules, retrouve la hampe que mes attouchements ont maintenue d’une raideur appréciable, puis, sans véritablement la volonté de la faire, je commence à aller et venir sur ce beau membre. Il semble accepter et apprécier, et cela m’enhardit à nouveau et je me surprends en train de bel et bien maintenant le branler.
Ce sexe, au galbe parfait, cette paires de couilles placées juste à ma hauteur, l’excitation qu’ils m’ont provoqué malgré eux, ajouté à la nudité collective à présent, je m’égare, j’ai envie, excuse-moi, je regrette.

Je m’approche et vient placer entre mes lèvres ce gland qui semble m’implorer. »

« Je suis impardonnable, je devais juste aller les voir »

Et voilà les larmes qui refont surface ! Mais je ne me manifeste pas pour autant, la laissant évacuer un peu de ses états d’âme.

Comme elle semblait bloquée, je me risque à une remarque sans fondement :

« Il ne t’as pas forcée ? »
« Non, pas du tout. C’est moi qui. »
« Alors, dit-moi tout, tu verras, ça ira mieux après » (Je suis preneur des détails, en réalité !)
« Et puis je me suis mise à le sucer, avidement, j’étais comme accaparée par son membre, tout en lui pelotant les couilles. Et puis Julien qui nous regardait, en nous laissant faire »
« Sur quoi, j’ai fait comme lui tout à l’heure, j’ai palpé ses fesses de mes deux mains, je l’ai attiré contre moi, en continuant à le sucer.
« Je passe les détails si tu veux bien.
« Non, au contraire, déculpabilise-toi, parles-en en détail. (Malgré tout, je me dis que jusque-là, son récit était fort réaliste, elle devait le ‘revivre’, si vous me suivez.)

« Mais tu sais bien comme je fais, prit dans mon délire, j’ai léché sa belle hampe, encore imprégnée des odeurs intimes de son ami, mais ça m’excitait. Puis le gland, je l’embrasse mes lèvres, ma langue sont en action. Je me suis levée et agenouillée, pour avaler cette magnifique paire qui pendait bien disposée sous ce sexe !

Je n’étais plus moi-même, je ne pensais plus à ce que je faisais, ni à toi, ni à rien.

Ne pouvant plus résister, me réinstallant dans le relax, je me suis alors caressée en même temps, et je ne pouvais lâcher sa bite que je continuais à lécher cette fois de haut en bas. Et puis me masturber ‘en public’ me m’était dans un état extraordinaire »

J’étais si excitée que je l’ai laissé déchargé dans ma bouche, j’ai senti son sperme envahir ma bouche, j’étais excité par tout ça, et j’ai avalé avec trop de plaisir et d’envie »

Je suis confuse de te dire des choses pareilles, pardonne-moi, chéri, ce n’est pas de ma faute, c’était trop dur. »

« Ecoute, lui dis-je, maintenant je sais, c’est bien que tu m’aies ainsi tout raconté » (Je ne mens pas !)

Et je décide d’interrompre la discussion évitant ainsi de commenter les faits. Il ne faut pas brusquer les choses et lui laisser le temps de « dédramatiser », manière de neutraliser ce faux-semblant de culpabilité, ou peut-être un peu tout de même !
Il me fallait réussir à donner à cette aventure un goût de ‘revient-y’ ! Mais la prudence est de mise, et la diplomatie aussi !

Quelques jours plus tard

Ayant jugé le moment venu, j’ai repris le cours des choses.

Certes, elle s’était adaptée, mais faisait encore de la résistance !
« Pour être concret, comment ont-ils réagit après tout ça ? »

« Eric m’a dit ensuite que c’était bien ce que j’avais osé faire, que même s’il est homo, il a apprécié. Je ne voulais pas t’importuné avec ça, mais il m’a dit que je me débrouillais plutôt bien »
« En quoi tu te débrouillais plutôt bien »
« Ben pour la fellation, et puis en me faisant jouir devant eux, ils ont été satisfaits que je prenne du plaisir à mon tour »

« Et ces compliments te laissent sans joie ? »

« Non, mais je ne veux pas m’en laissé envahir, tu comprends, ce n’est pas normal ».

« Je suis d’accord avec toi, mais au fond, regrettes-tu ce moment ? »
« S’il ne s’était pas passé dans le contexte qui est le mien, je ne regretterais pas »
« Alors, reste sur l’idée que ça a été un bon moment, et voilà »

« Je ne peux que m’en prendre à moi-même, mais tu as ta part de responsabilité de m’avoir incité à y aller, après tout tu es responsable, tu devais te douter que je serais sûrement vulnérable »

Evidemment, elle n’avait pas tort, mais vous me voyez en train de lui dire : « Oui, je m’en doutais ! » Aussi, j’opte pour un dérivatif :

« Mais c’était à ton tour de jouer, me semble-t-il »
« Je suis allé au-delà de stade du jeu, et tu fais semblant de me comprendre te de me pardonner »

« Donc, tu as été trop loin ? »
« Bin.. »

« Dans ce cas, je reprends la main !

Moment d’inquiétude marqué par son comportement, elle me saisit et se serre contre moi.

Il me faut imaginer une petite ‘correction’ ! »

« Non, pas plus dur que l’autre jour au supermarché, s’il te plaît ! »

« Je vais y réfléchir…»

Une huitaine plus tard,

A un jour et heure que je sais propice pour tomber sûrement sur le répondeur, je la mets dans mes confidences :

« A propos, je t’avais promis une suite à ta petite aventure ! Prend cette feuille et lit à haute voix ce qui y est écrit »
Elle s’exécute :

« Bonjour, c’est Sophie.
Tu sais, Eric, j’ai passé une soirée mémorable l’autre jour. J’étais angoissée au début, tout ça était nouveau pour moi. Mais vous avez été très sympa avec moi. Depuis, j’ai souvent repensé à ce que je t’ai fait et j’ai encore très envie de ta belle queue, de la branler vigoureusement, et surtout de te faire jouir en te suçant. Ta queue me fascine, tu sais.
Et ne t’inquiète pas, j’ai tenu mon cher mari au courant dans les détails.
Il m’a même demandé si Julien a bien pris ça. A propos, tu me diras si je dois aussi penser à lui aussi la prochaine fois.
Je te rappelle bientôt pour qu’on se donne une date. Bisous à vous deux »

Avant même qu’elle n’ait eu le temps de réagir, je précise :

« Contentes-toi de lire ce message sur son répondeur en y mettant de l’enthousiasme»
« Tu vois ce que tu me fais dire et tu veux que je recommence ! »
« Ma chère, et on ne discute pas, on exécute ! »
« Mais … »
« A toi de jouer » lui donnant le téléphone sur lequel je venais de lancer la communication.

Le message enregistré sur le répondeur, elle reste en apparence amorphe, mais je la reprends en main :

« Tu vois, ce n’est pas compliqué !»
« Mais pourquoi fais-tu ça ? »
« Mais pour ton plaisir, ma chérie ! » sachant bien que derrière sa culpabilité que je ne pense pas qu’apparente, se dissimule ce plaisir d’un moment intense renforcer légitimement par son coté extra conjugal ! Sinon, aurait-elle donné suite avec cette communication téléphonique ?

« Finalement, soyons honnêtes, c’était si mauvais que ça ? »
« Tout ça est encore tellement nouveau pour moi, j’ai même encore un peu peur »

« Mais en attendant, et avant cette prochaine escapade, madame a une dette envers son petit mari, qui lui aussi en a une toute mignonne ! Et elle doit payer sans délai ! »
Elle ne fût pas longue à comprendre, et s’empara de ‘sa’ queue, que cette conversation avait mise en forme.
Je lui saisis la robe par les bretelles, elle comprend.
A mon plus grand plaisir, elle rejoue la scène « Ericquienne », à genoux et nue devant moi, en palpant généreusement mes fesses, léchage des couilles, me branlant copieusement.

Elle fait à ma grande satisfaction durer le plaisir et ne quitte plus ma queue de sa bouche jusqu’à le lui extraire un onctueux sirop, qu’elle dû bien entendu apprécier jusqu’à la dernière goutte, procurant un plaisir particulier au propriétaire que j’étais cette fois.

‘Etalée’ à présent sur la banquette, elle semble prête à s’assoupir ! Elle me semble tellement bien ainsi que je prends soin de la couvrir, maintenant bien en confiance avec elle-même.
« Le sommeil ne va pas sûrement tarder à la transporter dans un monde peuplé de rêves merveilleux, un monde que l’on est pas contraint à partager ! » pensais-je !

Je ne la retrouve qu’au lendemain dans la matinée. Je suis impatient de savoir comment elle réagit maintenant et à tête reposée à cette soirée :
Tout en m’approchant de la banquette, m’apprêtant à lui lancer gaiement
« Alors, on fait chambre à part »

Je suis surpris par le fait qu’elle soit en train de se caresser, et me déclare tout en cessant :
« C’est toi,… oh, je faisais ça comme ça ! » comme si elle cherchait à se déculpabiliser un tantinet !
Un peu décontenancé, car ce n’est pas dans ses habitudes de sa masturber spontanément, du moins comme ça justement, sans contexte approprié et incitateur, j’enchaîne toutefois, en m’asseyant sur le rebord de la banquette :
« Excuse-moi d’être venu t’importuner.. »
« Tu sais, ajouta-t-elle, tout en dégageant du mieux possible sa foufounette
Elle est toute à toi, et elle le restera »

Je contourne le sujet, ça sera pour plus tard, pensais-je, et je me contente d’admirer la scène, en constatant à ma grande satisfaction qu’il y a des ‘retombées’ de la veille !

« Mais chérie, pourquoi tu t’es arrêtée ? »

« Oh, j’avais pas vraiment commencé »

«Alors tu veux que je continue », me propose-t-elle, à ma grande surprise.

Sans attendre bien longtemps, elle fait déjà de longs va-et-vient le long de sa fente avec deux doigts, pour finalement avec l’autre main commence à se palper les seins.

« Mon bon cœur me perdra », lui dis-je avec un petit sourire.
(Ceci étant, il n’est guère utile de préciser que je dois faire un effort pour ne pas passer à l’action !)

Sur quoi je reste un moment silencieux me contentant de regarder. Je ne dis rien puis pense qu’il serait peut être judicieux de mettre cet instant à profit pour la faire ‘progresser’, de joindre l’utile à l’agréable !

« Tu sais, je crois que c’est bien de vouloir s’auto provoquer un orgasme, justement comme ça, quand on en a envie, sans que quelqu’un ou quelque chose nous y incite.
« Mais si je viens à m’habituer à ça ? »

Rappelle-toi au début, tu t’inquiétais quand tu voyais que je me masturbais, mais tu t’es rendu compte finalement que ça ne posait aucun problème »
« Oui, mais tu es un homme, c’est pas pareil ! »
« Etonnant, pour moi c’est même exactement la même chose. Serais-tu ancrée à de vieux principes ? »

« Tu as toujours crainte de quelque chose ! Ne t’inquiète pas, crois-en mon expérience ? Ça ne remplacera jamais une belle queue. Finalement, c’est une forme de liberté.
« Mais tu vas croire que je ne veux plus de toi ? »
« Et si je croyais le contraire, que tu ne penses qu’à moi pendant que tu excites ta minette ? »
« Oui, c’est vrai.. »
« Menteuse, je sais bien qu’il y a une petite place aussi pour celle d’hier soir ? » ajoutai-je avec un sourire de circonstance.

Elle se contente d’un regard évocateur !

Sur quoi, il me vient une idée, sur ce qui pourrait bien lui être profitable dans les ‘expériences’ à venir.

« Ecoute, si tu veux, je te propose un petit conseil. Voilà, tu vas me dire dès que tu sentiras que tu ne vas pas tarder à jouir. Pour l’instant, branle-toi doucement, j’attends en silence»

« Ca me fais drôle de me branler devant toi, moi toute nue et toi en tenue de ville, drôle mais j’aime.. »

Les minutes s’égrainent, elle semble de plus en plus absorbée, puis elle me dit qu’elle sent que ça vient. Sans attendre, je pose ma main sur la sienne, de façon à venir contrarier ses mouvements, puis les stopper, et finir par retirer sa main placée sur ses poils que je dirige ailleurs, pour ‘l’occuper’, et ne pas créer de temps morts. Je lui fais comprendre qu’elle peut alors se faire des caresses par ici, ou par là.
Elle insiste pour « finir », devant résister à « l’appel », cherche à pallier la difficulté que je lui oppose, mais finit par accepter mes suggestions, jusqu’à ce que je juge que le temps passé doit être suffisant, et lui laisse à nouveau libre cour.
Elle ne tarde pas à se rediriger vers cet endroit tellement sensible !

Ayant renouvelé l’opération une seconde fois, je propose :
« Maintenant, tu vas faire exactement la même chose, mais de toi-même, je ne bougerai pas, ce sera à toi de maîtriser »

Je la laisse faire, et, au bout d’un moment, elle réussit à se détourner de son bouton d’amour, pour calmer le jeu, l’élève veut réussir l’exercice !

« Tu réussis à merveille. Tu verras, essaies encore d’attiser ton désir, sans provoquer ton plaisir, fais durer ce désir, qui va monter, monter encore, dans l’attente du plaisir. Comme ça chérie, tu réalimentes sans cesse ton désir, sans jamais vraiment le satisfaire. Tu vas être heureuse ainsi un bon moment. C’est un peu difficile au début, puis tu vas maîtriser ton sexe de mieux en mieux. Je te souhaite que ce désir finisse par te plaire encore plus que le plaisir lui-même, car il est tellement fugitif.
Prend tout ton temps, c’est dimanche, je m’occupe du reste.

Je m’arrange pour la laisser seule un bon moment, puis réapparais :

« J’ai fait comme tu as dit, et je me suis arrêté un moment dès qu’il le fallait
Tu vois, je n’ai pas jouis »
« Chérie, dis donc, tu vois que c’est bon de faire durer. Mais maintenant, fais comme tu veux »

« J’ai envie d’essayer encore.. »

Pour ne pas risquer de la perturber, je m’éloigne et vais vaquer à nouveau à quelques occupations
Je jette de temps à autre des regards furtifs, manière qu’elle m’aperçoive et que cela entretienne son désir de réussite. Puis, midi étant dépassé maintenant, je lui suggère une pause déjeuner.
Tout en m’approchant, elle me regarde et dit :
« Je te plais comme ça ? »
« Je suis content pour toi, ton plaisir me comble de bonheur.. »
Puis un peu de silence, et poursuit avec différents commentaires espacés de temps de silence.

« … Regarde ta femme en train de sa branler… »
……….
« … T’as vu mon doigt là, dans mon petit cul, c’est bon … »
………..
« … J’aime me toucher les bouts de sein … »
……….
« … Je vais jouir si je continue. »

Je constate en effet par ces propos et bien d’autres que son niveau d’excitation est sérieux.
Mes mains saisissent alors ses deux poignets :
« Tu auras tous le temps pour jouir tout à l’heure, peut-être même que je te ferai l’amour ! On verra, lui dis-je, manière de laisser un peu de suspens.
Viens, on va grignoter quelque chose, je vais avoir le grand plaisir de passer à table avec ma petite femme dans tous ces états, je me trompe ? »

« Ben non, tu es content de moi ? »
« Oui mais là n’est pas le plus important, l’important, c’est toi, comment tu te sens ? »
« Sur un nuage ! »

« Tu es tellement belle quand tu te branles, Eric a raison », ajoutais-je intentionnellement.

Nous cessons là nos commentaires érotiques et direction la cuisine.

« J’ai une envie de pipi.., et si tu me regardais aussi faire pipi ? »

Enchanté par son initiative, preuve de son état d’esprit du moment, je la regarde se munir aussitôt d’un saladier qu’elle me tend.
Elle écarte les jambes, et là ; debout devant moi dans la cuisine, il ne me reste plus qu’à mettre le contenant en bonne place.

« Ah, comme ça fait du bien.. » profitant de la pose pour se caresser encore ici et là.
Etrangement, je découvre quelque chose ! Cette chose toute banale, un jet de pipi que je n’avais encore jamais admiré sous cet angle, comme quoi !

Je la regarde se soulager, et, à peine a-t-elle fini qu’avec le creux de sa main, elle fait un mouvement d’arrière en avant pour ‘récupérer’ quelques gouttes retardataires, remonte le long de sa fente et vient profiter de sa toison comme essuie- main ! Renouvelant l’opération plusieurs fois, jusqu’à ce que ses poils en soient humides !
Je me débarrasse du récipient à demi rempli que je viens de poser sur un coin de table, elle ajoute : « J’aurais dû faire pipi dans une bouteille, on aurait dit l’apéritif », en riant.
Et, machinalement, moi de répondre sans plus y prendre d’intérêt : « oh, ils y en a qui le font.. »

« Ah, c’est drôle .. ! »
Puis dans la foulée :
« Mais toi, si tu essayais ? »

Je ne l’avais pas vu venir, celle-là, pensais aussitôt, comme ça, à froid, un peu dur, faudrait pas que la situation vire à mon désavantage ! L’élève dépasserait-elle le maître !
En tout cas, faut-elle qu’elle soit excitée pour oser ça, et sur ce plan au moins, j’en suis émerveillé.

Mon manque d’entrain à répondre relance la question

« Oh si chéri, depuis ce matin que te fais plaisir ! »

Ne pas exécuter serait préjudiciable à mon projet. Aussi, vu l’effort qu’elle vient de faire, je me dois d’être coopératif !

« D’accord, je dois tout partager avec toi, tu as raison» réponse dont je me félicite après coup (l’auto satisfaction, ben quoi ! en imaginant justement l’avenir)

Aussitôt, stimulée par l’idée probablement, elle saisit un verre posé sur la table et le rempli :
« Tiens mon chéri, goutte, je suis sûre que c’est très bon ! »

J’aimerais en être aussi convaincu, et me lance, mais timidement
La première approche ne m’enthousiasme pas vraiment, mais je n’y laisse rien paraître
« Alors, c’est comment ? »

Rebondissant sur la question, je lui dis : « Attends »
Il ne me faut qu’un court instant pour être nu à mon tour, je lui tends un verre vide, et lui dit :

« Fêtons ta réussite, ma chérie »
Ne saisissant pas de suite mon intention, elle me regarde et j’en profite pour l’inviter à venir le remplir… à ma source !

Coopérative, elle place le verre et, de l’autre main, dirige le jet, et c’est avec un plaisir non dissimulé que je lui remplis son verre !

Il ne me reste plus qu’à faire l’effort de trinquer avec un plaisir déguisé, et chacun se lance. Cette fois, je change de technique, et je me dis plutôt fait, plutôt quitte, et je bois cul sec !

« Oh, mais tu as l’air d’apprécier. Au fond, ce n’est pas désagréable » dit-elle après avoir goûté à son tour, voilà une bonne idée apéritif et puis la suite !
Je suis ébahi devant son enthousiasme, sauf qu’elle souhaite maintenant que je l’accompagne ! Ce sera donc déjeuner au ‘vin jaune’ ! Sauf que j’aurais une préférence pour celui des côtes Jurassiennes !

Bref, je ne sais pas si nous allons faire avancer la gastronomie française, mais nous sommes partis pour innover !

A suivre

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à Fantasme grandeur nature 2 – Les choses se précisent par danpas

  1. Verdier dit :

    Un peu long mais il y a d’excellents passages

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *