Emploi à débauche… 1 – l’inconnue du bar par Choidanladate

Emploi à débauche…
1 – l’inconnue du bar
par Choidanladate

Je travaille en tant que serveuse dans un petit bar restaurant de quartier très sympathique. La clientèle est principalement ouvrière car il y a plusieurs lotissements en construction aux alentours, sinon la journée ce sont les habitués du quartier qui viennent faire une belotte pour se distraire. Mon patron est pour ma part très gentil avec moi mais il n’est pas très généreux quand au salaire qu’il me verse chaque fin de semaine et donc j’ai décidé de passer une annonce pour rechercher un emploi mieux rémunéré. Entre temps je continue à servir et à rendre le plus agréable possible le passage de mes clients.

C’était un bel après-midi ensoleillé, j’étais seule accoudée au comptoir regardant passer les badauds. Je vis au loin venir directement vers le café une femme qui paraissait affolée… Elle ouvra la porte et sans un « bonjour » ou je ne sais qu’elle autre formule de politesse et elle me dit :

un verre d’eau viiiite !
– Pardon ??
S’il vous plait…donnez moi un verre d’eau…

C’est déjà mieux !!

Et je lui servis son verre, mais j’étais agacée par son manque de savoir vivre.
Elle le but cul sec.

– Pardonnez moi heuu bonjour madame… mais je venais d’avaler de travers et il fallait absolument que je boive avant de m’étrangler.
– Je comprends
– Merci beaucoup pour ce verre, je peux vous offrir quelque chose à boire ?
– Heu oui… je vais prendre un thé et vous ?
– Le même…

Après avoir préparé les boissons, nous nous installâmes confortablement à une table et nous avons commencées à papoter de tout et de rien. C’est là qu’elle m’indiquait qu’elle était elle même patronne d’un bar et qu’elle faisait des soirées à thèmes… et en ce moment elle recherchait une fille pour compléter son équipe…

– Vous recherchez des serveuses ??
– Heu oui on peut dire ça comme ça… un peu polyvalente…
– Mais je suis en recherche actuellement !!
– Ah bon …mais … vous n’êtes pas bien ici ?
– Si si… mais j’aimerais augmenter mes revenus !!
– Hum hum vous voulez gagner plus ?
– Oui même si il faut travailler plus….
– Je pourrais peut-être vous aider mais je dois m’entretenir un peu plus avec vous… je dois être sûre que vous serez capable de faire quelques prestations autre que le service au bar ou en salle….
– Je comprends…
– Comme je vous l’ai dit, je fais des soirées à thèmes une fois par semaine et ces soirées ne sont accessibles qu’à certains clients privilégiés
– Ha bon mais pourquoi ?
– Disons que c’est une clientèles plutôt masculine mais cela dépend… en y réfléchissant parfois c’est du 50 / 50
– Et donc ces soirées… ???
– Je propose à mes clients de passer une soirée sans tabou…

Là il y eut comme un blanc car je venais de comprendre qu’elle proposait des parties de jambes en l’air et donc qu’elle recherchait des putes !! Je lui rétorquais tout go :

– La passe est à combien ??
– Non ce n’est pas comme cela qu’il faut le voir…
– Ah bon et vous appelez cela comment ?
– Ce sont plutôt des scènes de phantasmes, ou vous même vous pouvez réaliser les vôtres…Et cela dans tous les genres…
– Donc en plus de servir, on se fait docile car si le plaisir d’un client c’est de se faire sucer pendant qu’il boit sa coupe de champagne, il y a droit ???
– Dit comme cela c’est un peu surréaliste, mais dites-moi quel plaisir inavouable auriez vous envie de réaliser ?

J’étais prise de court, car il est vrai que je ne rechigne pas aux plaisir de la chair et je suis même plutôt très ouverte et donc je ne voyais pas ce que je pouvais désirer de plus… Il est vrai que je n’avais jamais essayée le SM et qu’il m’était déjà arrivé de songer à être prise par plusieurs hommes en même temps. Le truc banal est l’envie d’être « violée », ou de se taper le collègue de boulot ou carrément le patron. En réfléchissant à cela, l’envie commençait à monter et je crois que le sentiment le plus fort fut la sensation de soumission. Donc je me décidais à lui répondre :

– Faire l’amour devant un public…
– Oui… voilà une idée sympathique… Et seulement avec un homme ??
– Heu oui enfin… autant allez au bout du bout. Non avec plusieurs.
– Pas de femmes ?

Je pensais être une femme libérée mais à ce moment précis je me rendais compte qu’il y avait vraiment plein de possibilités auxquelles je n’avais pas pensées et qu’il était peut être temps de remettre cela au goût du jour… Alors j’y allais en toute franchise :

– Je n’y avais pas pensée
– Et vous en auriez envie ?
– Pourquoi pas !! Mais j’aimerais commencer doucement
– Bien sur !! me dit-elle en souriant

Plus je discutais avec elle et bizarrement plus mes sens s’ouvraient, je me rendais compte que la situation m’excitait. Il est vrai que cette femme était très jolie et avait beaucoup de classe et pour une première expérience je me sentirais rassurée avec elle… Enfin si elle aussi en avait envie ! Pour le savoir il fallait que je lui propose un rendez-vous en toute intimité. Comme je n’avais plus de client et que c’était l’heure de fermeture, je lui proposais de continuer l’entretien chez moi après avoir mis un peu d’ordre dans le café.

– Cela vous dérange de m’attendre pendant que je ferme pour continuer notre entretien ?
– Non au contraire, cela me permettra de vous voir… travailler…
– Vous voulez un autre thé en attendant ?
– Oui merci.

Je me précipitais sur la machine pour préparer son breuvage et lui apporter. Puis je fermais les rideaux indiquant que le bar est fermé mais ce qui assombrissait la salle. Cette pénombre dont j’avais l’habitude quotidiennement était ce soir comme électrique en moi, cette femme qui buvait son thé en me regardant me troublait. A cet instant j’avais envie de câlin, d’être dans ces bras, de l’embrasser, de toucher sa peau et connaître son odeur. Tout en lavant le comptoir je m’imaginais ce que j’avais envie de faire avec cette femme.

– Voulez vous que je vous aide ?
– Hein pardon….
– Voulez-vous un coup de main ?

Oh oui mais pas pour faire la vaisselle, pensais-je, car là mes sens étaient à vif et si elle continuait à me mâter ainsi je ne sais pas comment cela allait finir.

– Oui j’ai quelques verres à essuyer…

Elle retira son manteau et vint vers moi. Elle portait une belle robe noire moulante, fendue jusqu’au haut de la cuisse ce qui mettait bien ces formes en valeur, de plus son décolleté arborait une poitrine généreuse. En s’approchant derrière moi elle posa ses mains sur mon avant bras et me dit d’une voie suave

Par où je commence ?

Je lui répondrai bien « par moi » mais je n’étais pas sure de sa réaction….malgré cette intonation de voie plutôt évocatrice qui d’ailleurs amplifia mon trouble.

– Heu.?…vous pouvez prendre le torchon là sous le zinc.

Elle s’accroupie en se maintenant sur ma jambe, faisant glisser sensuellement sa main de ma cuisse vers ma cheville. Elle attrapa le torchon et en se relevant fit son geste en sens inverse, remontant lentement pour finir sa course au niveau de mes hanches. Tout en se relevant elle me fixait le regard, j’avais comme un nœud au ventre d’excitation et je sentais mon sexe bien humide. J’étais un peu honteuse d’être dans cet état là, et je pense qu’elle a devinée mon émoi. Puis elle essuya les verres comme si de rien n’était, moi à ses cotés me tortillant discrètement car l’envie de me toucher était féroce. Chaque fois qu’elle posait sa main sur ma peau, je croyais défaillir, mon bas ventre palpitait, mon string devait être trempé. Je venais juste de finir de laver le dernier verre qu’elle m’interpella:

– Le thé vient de faire son effet que vous vous dandinez comme cela ?

Je suis devenue rouge comme une pivoine, je baissais la tête et lui fit « non » de la tête…Je me retournai et elle était devant moi, j’osai à peine la regarder dans les yeux. Elle passa sa main dans mes cheveux et posa un baiser sur mon front, continuant doucement ces caresses tout en descendant sur ma nuque. Sa main douce et précise m’apprivoisait, puis elle continua son exploration sur mes seins, les malaxant avec de plus en plus de fermeté. J’étais debout comme transie sans pouvoir faire aucun geste, je m’abandonnais avec plaisir à cette femme qui sans que je lui dise me palpait comme si je m’exécutais moi même. Elle déboutonna complètement mon chemisier me le retira et posa sa bouche contre ma peau et lécha chaque parcelle non recouverte par le tissu de mon soutien gorge. Puis mit ses mains sur mes hanches et me fit faire un demi tour sur moi-même de façon à que je sois dans ma position initiale. Elle dégrafa mon soutien gorge et fit jaillir mes seins lourd de leur prison. Sa main me palpait à merveille, triturant, pinçant et caressant quand il le fallait, appliquant aussi des baiser sur mon dos, ce fut si bon que j’avoue : j’en ai jouie.

Mais son autre main ne resta pas inactive et elle caressa mes fesses tout en remontant ma jupe pour glisser directement ses doigts entre mes cuisses. Ma chatte était trempée, je ne voulais qu’une chose : Qu’elle me fouille… J’écartais mes jambes pour l’aider dans son exploration et surtout pour qu’elle se rapproche rapidement de mon clito ultra sensible. Elle joua de mon impatience, caressant mes lèvres dans un premier temps, glissant son doigt sur ma fente sans me pénétrer, pratiquant des aller retour très lentement. J’étais aux anges entre ses mains si généreuse, je sentais mon plaisir couler le long de mes jambes tellement elle savait y faire et elle ne m’avait pas encore pénétrée… Puis elle m’adressa la parole:

– Tu ne voudrais pas aller dans un endroit plus douillet ma chérie?
– HUM ….. oui madame.
– Je te propose de venir chez moi !
– Bien madame…. Avant de partir je vais aller au petit coin.
– Non tu feras chez moi !
– Je ne sais pas si je vais tenir jusque là….
– Vous avez intérêt sinon vous aurez une fessée!!
– Humm alors je crois que je ne vais pas réussir… dis-je en rigolant
– Rhabille-toi vite petite polissonne car moi aussi j’ai envie!

Aussi tôt dit aussi tôt fait, nous partîmes bras dessus bras dessous vers son appartement, il est vrai que ce n’était pas très loin mais je n’étais pas mécontente d’arriver car mon envie était de plus en plus pressante. Isabelle habitait dans un grand appartement type F5 de style ancien. Sans être désagréable je voulais écourter la visite car là je ne tenais plus, mais mon initiatrice ne le voyait pas ainsi, a croire qu’elle le faisait exprès… Elle ne remarquait pas que je me dandinais sur place ? Arrivée à la salle de bain, elle poussa le bouchon à faire couler de l’eau pour soit disant se laver les mains et là trop tard, je ne pu me retenir plus longtemps et je lâchais mes sphincters et une flac commençait à se faire sous moi. Complètement honteuse je la regardais en me pliant en quatre pour arrêter ma bêtise.

– « Petite cochonne » me dit-elle
– Mais…mais je vous ais demandée plusieurs fois les toilettes…
– ALLEZ RETENEZ VOUS !! DESHABILLEZ VOUS….

Sans plus réfléchir je me défroquais et elle m’ordonna de me mettre dans la douche et de résister encore un peu car elle voulait venir avec moi, mais d’abord il fallait qu’elle se change. Ce fut très rapide, elle s’était revêtue d’une guêpière en cuir, ses seins étaient complètement libres et au niveau de son entrecuisse je pouvais admirer son sexe complètement épilé. Elle me donna une petite bassine.

– Tu peux faire là dedans ! et n’en met pas à coté !

A peine avait-elle fini sa phrase que j’étais accroupie et qu’enfin je libérais ma vessie. J’ai bien cru que cela n’allait jamais s’arrêter tellement le flot coulait en continu sans baisser d’ardeur. Isabelle n’en perdait pas une « goutte », elle était à l’entrée de la douche et jubilais de me voir ainsi…

– Tu me donnes envie petite cochonne…

Je pressentais ce qu’elle voulait faire et quelque part cette bassesse m’excitait. C’est dingue cette envie de soumission, d’être complètement utilisée au plaisir de cette inconnue. Elle s’approcha de moi et écarta les cuisses.

– Mange moi la chatte…dépêche toi petite salope !!

Je m’approchais de son sexe et commençais par lui faire des bisous sur ces lèvres puis je sortais ma langue pour l’introduire dans son sillon. Elle était trempée, sa vulve ruisselait. Elle s’aida de ses doigts pour bien me montrer son clito et leva sa jambe pour reposer son pied sur mon épaule. Sa chatte était bien ouverte sur mon visage, elle plaqua ma tête contre elle avec son autre main et je sentis des spasmes puis le jet d’urine m’inonda la bouche. J’eus un réflexe de recul mais elle me maintenait assez fortement pour que je continue à boire son champagne.

– Bois salope !! tu verras, tu en redemanderas !!

Son goût était légèrement amer et salé, j’avalais sans vraiment le vouloir quelques gorgées tellement le jet était dru et semblait intarissable.

– Il est bon le champagne de ta patronne ?

Je lui fis oui de la tête en signe d’approbation.

– Tu en auras encore si tu es sage… !

Elle sortie de la douche ramassa la cuvette qui étais pleine de mon pipi et la posa à même le sol.

– Cette séance t’a plus ma petite, voyons si cela continu….

Elle partie de la salle de bain et revint avec un collier et une longue laisse qu’elle me mit directement.

– Je veux que tu te déplaces à quatre pattes comme une chienne.
– Bien Madame
– Oui c’est ça ! j’aime beaucoup que tu m’appelles Madame
– Bien Madame

Et je sortie de la douche comme elle me le demandait et elle me dirigea vers la cuvette.

– Bois !
– Mais heu non dis-je fébrilement
– Bois petite chienne !

Elle claqua mes fesses avec le bout de la laisse.

– Obéis salope ! tu bois mon champagne et tu ne voudrais pas boire le tien !

Cela m’excitait de lui désobéir car je savais qu’elle allait m’y forcer et c’était ce que je voulais…lui appartenir !! Elle empoigna ma chevelure et plongea ma tête dans la bassine. Le visage inondé de ma propre urine, je passais ma langue sur mes lèvres pour lui montrer ma résignation.

– C’est bien mieux comme ça !

Puis après quelques lapés elle m’ordonna d’arrêter et s’accroupit sur le récipient afin de tremper son sexe dedans et ensuite tira la laisse pour que je vienne la nettoyer. Je me délectais de ma propre miction tout en grignotant son bouton, je fouillais l’intérieur de son sexe avec ma langue et plus je faisais de va-et-vient et plus elle gémissait quand elle me cria :

– Met tes doigts dans ma chatte ! Branle moi !

Je lui enfonça directement deux doigts tellement elle était ouverte et avec mon pouce je pressais sur son clito. Tantôt c’était mon pouce tantôt c’était ma langue, mes doigts s’enfonçais en elle comme un métronome. Elle réclamait que j’aille plus vite, son excitation était à son comble et d’un coup elle hurla de plaisir et je reçus en pleine figure un jet puissant puis quelques autres encore enfin elle tomba sur la bassine renversant mon urine sur le sol. Ces jambes tremblaient tellement son plaisir était violant.

– Tu es une bonne bouffeuse de chatte, tu m’as fais jouir comme jamais…
– Merci madame….
– Mais maintenant c’est à ton tour, mais avant tu vas faire le ménage…

Elle se releva et m’ordonna de commencer à nettoyer les dégâts, puisque c’était mon urine qui est rependu sur le carrelage …. Je voulais prendre la serviette qui était au sol mais à peine avais-je tendu mon bras pour la saisir qu’elle s’y opposa fermement.

– Non pas comme ça ! je veux te voir lécher le sol… Tu m’as compris ? Et fais ça bien ! Quand je reviendrai te voir j’espère que ce sera propre et si c’est le cas tu seras récompensée !
– Bien madame

Je baissais ma tête et je commençais à laper mon pipi comme une petite chienne et plus je le faisais et plus cela m’excitait. Je m’amusais à vrai dire, je frottais doucement mon visage contre le sol souillé et je recommençais encore et encore, puis je frôlais la pointe de mes seins sur le carrelage et plus je me souillais et plus cela m’excitait. Isabelle fit demi tour satisfaite de me voir ainsi et partie de la salle de bain. J’étais seule pataugeant dans mon urine, excitée à ne plus me retenir, je plongeai ma main directement sur mon sexe, pinçant mon bouton, mes lèvres. Je haletais de plaisir comme une chienne, n’étant plus moi même je me couchais littéralement sur le liquide encore tiède donnant de grand coup de langue sur les carreaux. Embrassant fiévreusement mon reflet, j’étais en transe
Au point de ne pas m’être aperçue que Isabelle était revenue.

– Et bien ma salope tu aimes être souillée ? Regarde moi !

Je rougis d’un coup et releva ma tête vers elle. Elle portait un gode ceinture noir d’une bonne taille. Elle le maintenait en main en me fixant.

– Tu vas pouvoir continuer à faire la salope pendant que je m’occupe de ton cul !!

Je ne lui répondis pas, retirant ma main de mon sexe je relevais juste mes genoux afin de me mettre en levrette.

– Bien tu es une bonne esclave ! Continue à lécher le sol !

Elle me donna de vifs coups de laisse sur mon postérieur et se positionna derrière moi. S’agenouillant derrière moi elle commença par me caresser les fesses avec ces deux mains, puis me les malaxa les écarta afin d’avoir une pleine vue sur mes orifices. Je lapais comme je pouvais mais honnêtement je n’attendais plus qu’une chose de ma tortionnaire, qu’elle m’empale avec sa grosse bite en silicone. Mes seins étaient bouillants tellement j’étais excitée, j’avais envie qu’elle me mette une fessée, qu’elle me prenne sans ménagement, qu’elle me fasse hurler de plaisir. Mais elle le savait et faisait durer le plaisir.

– Tu as envie que je te baise hein ma petite ???
– Ouiii oui je vous en prie
– Demande mieux que ça !
– Baisez moi, enfoncez votre gode ou vous voudrez…
– Tu es ma pute ?
– Oui je suis votre pute, je ferai tout ce que vous désirez…
– Sans rechigner ?
– Oui madame lui dis-je en tortillant ma croupe

C’est alors qu’elle se mit à me mettre une fessée tout en me traitant de petite traînée, que je n’étais bonne qu’a recevoir sa grosse queue puis elle écarta violement mes fesses et introduit le bout du gode en moi. Je crus défaillir à ce moment, je sentais ma chatte couler le long de mes cuisses. Et elle s’enfonça tout en douceur, je sentais centimètre par centimètre jusqu’à ce qu’elle vienne buter contre mon cul. J’eu un violent orgasme à ce moment, mes genoux tremblaient de mon plaisir et elle commença un va-et-vient infernal et elle allait de plus en plus vite tout en claquant mes fesses. Puis elle cracha sur mon cul et étala sa salive sur ma rondelle pour y enfoncer un doigt. Je ne savais plus où j’étais, je n’étais qu’un puit de plaisir et plus elle était perverse et plus je prenais mon pied. Elle me défonçait la chatte à grand coup de bite et me dilatait l’anus avec ces doigts.

– Tu es prête maintenant…

Elle sortie de ma chatte et s’enfonça sans ménagement dans mon fondement et s’activa sans précaution. Elle me défonçait la rondelle, attrapa mes cheveux et plaquait ma tête au sol.

– Lèche sale truie ! Et pousse avec ton cul !

C’était terrible le plaisir qu’elle arrivait à me donner dans une telle violence bestiale. Je poussais comme elle me l’ordonnait et je me suis mise à hurler….

– Oui oui OUIIII oui encore bourrez mon cuuulll
– T’aimes ça hein ???
– OUII Ouii encore déchirez moi le cul, je vais jouiiir
– Pousse traînée

Et d’un coup je me suis mise à pisser de plaisir. Ma tortionnaire me démontait l’anus avec son gros machin et je pissais comme une chienne hurlant des insanités. Elle aussi du coup c’est mise à jouir et s’affala sur moi, ne tenant plus je m’écrasais de nouveau sur le sol inondé de notre plaisir. Après quelques secondes nous retrouvâmes nos esprits, son gode était encore planté en moi, elle le dégagea doucement de mon fondement. Je ne pu m’empêcher de faire sortir l’air et j’entendis honteuse un « plefrrr » de mon arrière train.

– Et bien ma petite ne te gêne pas ! Fais par terre !

Et elle se mit à rire aux éclats. M’aidant à me relever nous allâmes tout droit sous la douche pour un moment de douceur. Après avoir sérieusement nettoyé la salle de bain, Isabelle me proposa de boire un thé ou deux…. Nous allâmes nue dans son salon et nous nous installions sur son canapé pour discuter et encore boire du thé.

– Merci pour le plaisir que vous m’avez procuré.
– Mais j’en ai de même pour toi
– Oui mais moi c’était la première fois avec une femme
– Et bien j’en suis honorée….Et que fais tu de ma proposition ??
– Je ne suis pas sûre d’être prête pour ce genre d’expérience…
– Tu es folle, je n’ai jamais vue de chienne aussi lubrique que toi !
– Peut-être mais je préfèrerais dans un premier temps vous voir seule…
– Hum tu as peut être raison, je vais d’abord t’éduquer….

Et Isabelle se remit à rire puis…

– D’ailleurs viens ici !

Elle m’indiqua de son doigt ces pieds ou je m’installai docilement à ces genoux et elle releva et écarta ces jambes pour que je puisse atteindre son sexe.

– Lèche moi, j’ai encore envie de sentir ta langue agile !
– Bien madame
– Et cette fois si je fais pipi, n’en met pas une goutte sur le canapé sinon tu seras obligée de me dédommager…en venant à mes soirées…
– Mais…
– Pas de mais… d’ailleurs dépêche toi ….je sent que ça viens…

J’eus à peine le temps de poser ma bouche sur son sexe que le liquide chaud coula dans ma bouche. Mais de toute façon je répondis à sa demande au même instant car en buvant directement à la source d’Isabelle, je me suis mise à pisser sur son tapis à son grand bonheur….

choidanladate21@hotmail.fr

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3 réponses à Emploi à débauche… 1 – l’inconnue du bar par Choidanladate

  1. Claire dit :

    Encore une petite perle cachée dans les tréfonds du site

  2. Q36dila dit :

    Quel dommage que la suite ne soit jamais parue, ça commençait si bien.

    • Eddy dit :

      C’était il y a 8 ans… depuis plus de nouvelles, j’ai essayé de contacter l’auteur ce matin mais son mail n’est plus valide.
      Si quelqu’un veut se lancer pour écrire une suite en respectant l’esprit de ce premier chapitre, il sera le bienvenu

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