Dîner avec Marie-Ondine Par Eric_1

J’avais rencontré cette nana par un serveur de rencontres internet. Au premier abord, elle me plaisait assez, dans son style plutôt BCBG. Je vous passe la période de préliminaires, destinés à mieux se connaître avant d’entamer une relation qu’elle eût voulue sentimentale, pour ma part plutôt charnelle. Je finis par arriver à mes fins de ce point de vue, un soir qu’elle m’avait invité à dîner chez elle. Un peu éméché, je lus dans son regard une invitation à l’embrasser et ne me fis évidemment guère prier. Ses lèvres étaient douces, sensuelles, et elle répondit à mon baiser plutôt avidement. Je commençais alors à la caresser doucement, si légèrement que je la sentis brusquement se crisper :

« Hiii arrête, tu me chatouilles ! ! »

L’envie de continuer ne me manquait pas, néanmoins je n’osais pas aller plus loin dans ce registre à ce stade de notre relation, et je donnai donc un peu plus de fermeté à mes caresses. Notre première nuit ensemble se passa ensuite plutôt bien, sans toutefois qu’il n’y ait grand’chose à raconter.
Nous continuâmes à nous voir assez régulièrement, pour passer la nuit ensemble après un bon resto, se faire un ciné ou des petites promenades romantiques dans notre région, sans pour autant que notre relation prenne un tour franchement sérieux.

Un Samedi, elle me demanda d’aller avec elle au supermarché des sports de sa région, afin d’y acheter un de ces engins de torture qui donnent aux nanas la certitude de garder la ligne, alors que c’est pour leurs courbes qu’on les préfère (enfin moi !). Tandis que j’étais occupé à monter la machine infernale, elle fut appelée à son travail, étant d’astreinte. Elle me dit qu’elle en avait pour une demi-heure, et me laissa seul chez elle. Au bout de 10 minutes, je me dis que l’occasion était trop belle d’aller fouiller sa corbeille à linge sale, un de mes petits vices secrets auquel je n’avais encore osé m’adonner avec elle. Tout excité et le coeur battant, j’allai donc vers la salle de bain et me mit à rechercher l’objet de mes convoitises. Il ne fut pas long à trouver, en l’occurrence une ravissante culotte de dentelle blanche qu’elle portait d’ailleurs la semaine précédente. La portant à mon visage afin de m’enivrer de son parfum, j’y décelai alors une incontestable odeur d’urine. Plutôt surpris, je la regardai alors plus attentivement, et m’aperçut qu’elle était ornée d’une auréole ne laissant planer aucun doute ! Ma belle avait-elle été l’objet d’un accident ? J’avais du mal à l’imaginer, souillée sous son tailleur assez strict, mais l’idée me mettait dans tous mes états !

C’est à ce moment que j’entendis claquer la porte d’entrée. Je mis la culotte dans ma poche et m’empressai de sortir dans la salle de bain pour retourner à mon ouvrage.

« Eh bien, pas encore fini ? »
« Encore 10 minutes, et tu pourras attaquer le Mont Ventoux ! »

Après qu’elle m’eut préparé un café, nous allâmes louer des vidéos et nous fîmes une classique soirée en amoureux, sans que j’oser porter sur le devant de la scène ma découverte bien que celle-ci m’obsédât. La semaine suivante, je décidai de porter l’objet de mon larcin en guise de slip. Entre-temps, je n’avais évidemment pu résister au plaisir de faire pipi dedans.

Elle vint m’ouvrir vêtue d’un drap de bain.

« Eh tu arrives tôt, j’étais en train de prendre une douche ! »
« A cette heure ?  »
« Euh oui je voulais être toute propre et fraîche pour toi ! »

En fait de propre et frais, elle allait être servie ! !

« Tu m’offres un petit verre, pour me faire patienter pendant que tu t’habilles ? »
« Voila Monsieur, je vais me faire belle ! »

Elle revint un quart d’heure plus tard, habillée d’une ravissante robe lui arrivant à mi-cuisse, mettant superbement en valeur ses longues jambes gainées d’un collant de couleur chair. A croquer !
Nous étant resservi un verre, nous commençâmes à nous caresser mutuellement sur le canapé, afin de mettre au mieux à profit le temps qui nous restait avant d’aller dîner en ville.

Laissant mes mains descendre le long de ses jambes, je commençai à lui agacer la plante des pieds.

« Hiiii ! ! Arrête, tu me chatouilles ! »
« Vraiment ? »

Mais cette fois ci je m’enhardis à continuer. Du reste ce « arrête tu me chatouilles », comme il me semble la première fois, semblait vouloir dire « continue j’adore ça ! »… Mais peut-être est-ce la juste mon interprétation ?

« Mais …arrête enfin ! ! Je vais… je vais… »
« Oui ? Tu vas ? »
« Je vais… je fais…Oh arrête ! ! »

J’arrêtai alors enfin ce doux supplice, pour m’agenouiller devant elle et laisser mes lèvres remonter le long de ses jambes. Mes mains ayant retroussé sa robe, j’aperçus une belle auréole qui s’était formée à son entrejambe !

« Ah c’est malin ! ! Maintenant il va falloir que j’aille me changer ! ! »

Pour toute réponse, je laissai ma bouche lui remonter de plus en plus haut sur les cuisses, jusqu’à lui agacer le sexe de ma langue à travers ses sous-vêtements.

« Oh mais? Mon chéri, on dirait que je te plais comme ça ? »

Je ne répondis rien, tout occupé à m’enivrer de ses parfums.
Le téléphone sonna alors…

« Oui ? Oh ! Oui bien sur, nous arrivons dans 10 minutes »
« C’était le resto : il nous rappelle que nous avions réservé il y a une demi-heure ! »
« Mais je ne vais jamais avoir le temps de me changer ! ! »
« Bah, est-ce si important ? On ne voit absolument rien ! »

En réalité, une belle tache humide s’était formée sur l’arrière de sa robe !

« Tu es sûr ? »
« Mais oui je t’assure, allez mets ton manteau sinon ils auront fini de servir ! »

En gentleman, je lui enlevai son manteau arrivé au restau et m’arrangeai pour masquer son état aux regards des autres convives. Nous dînâmes bien et langoureusement jusqu’au moment du dessert.

« Tu m’excuses un instant ? »
« Tu ne vas pas te lever ? »
« Eh bien, il va bien falloir ! »
« Mais tu ne crains pas qu’on remarque quelques chose ? »
« Mais ! Tu m’as dit qu’on ne voyait rien !? »
« Eh bien, un peu quand même ! »

Je la vis piquer un fard et me foudroyer du regard ! N’étais-je pas allé trop loin ? La suite des évènements nous le dirait… Pendant toute la fin du repas, je la sentis très crispée et rebelle aux caresses que je tentais de lui prodiguer sous la table… Néanmoins, et malgré son regard suppliant, j’acceptai avec plaisir l’excellent digestif qu’on nous offrit et m’appliquai à le siroter tout doucement !

« Bon, Eric, il faut qu’on y aille maintenant ! ! »
« Oui oui tout de suite ! Garçon ! ! »

Celui-ci nous apporta l’addition en même temps que nos manteaux.

« Oh je ne sais pas si je vais pouvoir me lever ! »
« Allons, allons, une grande fille comme toi, ça sait se contrôler ? »

Elle finit par se lever en serrant les fesses et me laissa lui enfiler son manteau.

« Marche doucement, ce sera plus facile ! »

Je sentais que ça lui était fort difficile…

« Eric… Tout le monde nous regarde ! »
« Mais non, enfin, tu te fais des idées ! ! »

Néanmoins il y avait dans le « bonsoir, M’sieu-dames » du garçon quelque chose de trop obséquieux, presque complice.

« Tu vois on est arrivé à sortir sans embarras ! »
« Tout le monde m’a remarquée ! Salaud ! »
« Mais non, et puis qu’y avait-il à remarquer ? »
« Devine donc… »
« Je sais pas… Je cherche, je cherche… »
« Vient constater par toi même, petit con ! »

Et elle me prit la tête entre ses mains et me la logea entre ses cuisses, sous son manteau. Je sentis une forte odeur d’urine…

« Oh, mais à ton age, tu fais encore pipi dans ta culotte ? »

Comme si ça avait été le signal déclencheur, elle fourra ma tête plus profondément entre ses cuisses qu’elle écarta, et je sentis alors un fluide chaud me couler sur les lèvres et le long du cou !

« Eh bien c’est ça que tu voulais hein ? Heureusement que personne ne peut nous voir, tu sais je suis connue dans la ville ! »
« Ah ma très douce, mais comment vas-tu faire maintenant pour entrer ? Tu ne peux pas t’asseoir comme ça dans la voiture, tu vas tacher les sièges ? »
« C’est de ta faute ! »
« J’ai une idée… Enlève ta culotte et tes collants ! »
« Jamais ! Tu me prend pour une salope ? »
« Mais il fait froid, trempée comme tu es tu risques d’attraper la crève ! »
« Grrrrr… Et sans collants ni culotte, je ne vais pas avoir froid ? »
« Certainement pas autant…Et puis ça ne va pas être long pour rentrer ! »

Elle finit par se rendre à mes arguments, puis nous prîmes ma voiture pour rentrer chez elle.

« Euh dis Eric… »
« Oui ma douce et tendre ? »
« Ça te dirait qu’on aille faire un petite ballade sur les bords de l’Ariège avant de rentrer ? Je connais un parc sûrement désert à cette heure et en cette saison… »
« Mais tu n’as plus peur de prendre froid ? »
« Non ça va…et… tu sauras bien me réchauffer ! »

Devant de tels arguments évidemment, il était difficile de rester insensible…
Je garai donc la voiture bien en vue sous un réverbère (j’ai toujours des petits accès de parano quand je sors la Jag, elle est assez voyante et suscite facilement des jalousies) et nous nous dirigeâmes vers le parc en question. Evidemment, Minuit et demi un Samedi soir en Novembre, allez trouver un parc ouvert…

« Ah zut…je n’y avais pas pensé… »
« Oh bah les grilles ne sont pas très hautes ! »
« Pour toi oui, mais moi comment je vais faire ? »
« Ben comme moi… Petit rétablissement sur les bras et hop ! On enjambe »

Et je joignis le geste à la parole.

« Mais je peux pas enfin ! Tout le monde va me voir ! »
« Tout le monde ? »

A part un chien qui promenait son maître au bout d’une laisse à 50 m, je ne voyais pas un chat !

« Et lui là-bas ! Mais je le reconnais ! C’est mon administrateur chef ! »
« Allez viens vite, sinon il va te remarquer aussi ! »

A ces mots elle ne se fit pas prier, et j’eus l’occasion de me rincer l’oeil de son enjambement qu’elle fit durer une fraction de seconde plus qu’il n’était nécessaire !

« Au moins je ne risque pas de filer mes collants ! »
« Espèce de petite salope… tu n’as pas honte de te promener en cette tenue ? »
« Mais… »
« Tais-toi ! Viens me sucer ! »
« Pas ici enfin ! Oh zut il se rapproche, cachons-nous au moins ! »

N’ayant évidemment aucune envie de finir ma nuit au poste, je la pris par le bras et la traînai dans un buisson. Là, elle s’agenouilla et commença à activer ses lèvres sur mon pantalon. Sentant mon excitation monter, elle entreprit de me déboutonner, et extrayant mon sexe de sa culotte qui avait du mal à le contenir, me fit le cadeau d’une divine fellation.

« Ah espèce de petit cochon… c’est donc toi qui me l’avait volée ? »
« Ça a été plus fort que moi…mais… à qui d’autre donc pensais-tu ? »
« Comment ça qui d’autre ? »
« Ben… qui aurait pu te piquer ta culotte ? »
« Oh ! Euh personne… Ou plutôt je croyais que c’était le jardinier il a les clefs de la maison pour les outils »
« Ah ! Un sacré jardinier que je te soupçonne-la ! »

De fait, étant donner la forêt vierge qui lui servait de jardin, l’excuse me semblait peu plausible !

« Oui un sacré bonhomme… mais assez parlé de lui ! »

Et me couchant par terre sans autre forme de procès, elle vint s’empaler sur moi à la lueur des étoiles…

Après cette mémorable nuit (et après que je lui eu rendu sa culotte soigneusement lavée) nous continuâmes de nous voir quelques temps, puis on s’est éloignés sans complètement se perdre de vue.

Il faudra que je lui pose la question un jour, comment elle avait mouillé cette culotte que je lui avais volée ?

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à Dîner avec Marie-Ondine Par Eric_1

  1. Claire dit :

    Mignon tout plein, frais et coquin ! J’ai adoré !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *