Démasqué(e) par la gérante.- Chapitre 3 – Le diner par Natacha01

Démasqué(e) par la gérante.- Chapitre 3 – Le diner par Natacha01

Les jours suivants sont une tempête de désir brut et de culpabilité sourde. Ma femme, Élise, n’a aucune idée de mon rendez-vous clandestin avec Vanessa, la gérante de la boutique de lingerie. Cette fellation dans son boudoir – ses lèvres carmin engloutissant mon sexe, son doigt griffant mon œillet, notre baiser mêlé de sperme amer – me hante à chaque instant. J’ai cédé à la tentation, incapable de résister à l’appel de la soie et des talons. SMS envoyé :

« OK, après-demain 8h30, avec mes affaires. »
Réponse immédiate : « Parfait, Jeanne. vient avec tes affaires, Je vais te féminiser jusqu’à l’extase. »

Ce nom, Jeanne, fait palpiter ma queue dans mon boxer. Je veux sentir la dentelle serrer mes couilles, les talons cambrer mon dos, tout en préservant mon mariage avec Élise. Un dilemme brûlant, un secret qui m’excite autant qu’il me terrifie.

La vie conjugale suit son cours, douce et piquante. Un soir, Élise, radieuse après son cours de Zumba, me parle d’une nouvelle amie, Sophie.

« Elle est incroyable, chéri ! Blonde, pétillante, un humour coquin qui te plairait. Elle nous invite à dîner vendredi avec sa compagne. Ça te va ? »

Je caresse ses cuisses sous la table, distrait par mes fantasmes. « Bien sûr, mon amour. Ça nous changera. »

Ce soir-là, elle est incandescente. Au lit, elle grimpe sur moi, sa chatte trempée glissant sur ma bite raide. « Baise-moi fort, Jean-Jacques, » gémit-elle, ses seins lourds dans mes paumes. Je jouis en pensant à sa guêpière – identique à celle de Vanessa – et elle jouit en frottant son clito contre mon pubis, son jus chaud inondant mon ventre. « T’es un étalon ce soir, » murmure-t-elle avant de s’endormir, lovée contre moi. Moi, je reste éveillé, imaginant mes escarpins 12 cm claquant dans le boudoir de Vanessa, ma queue suintant dans un string.

Mercredi matin, 8h30, boutique fermée. Mon sac contient mon shorty rouge et noir, des bas opaques aux liserés rouges, et mes escarpins noirs, jamais portés plus de cinq minutes. Vanessa m’ouvre, sublime : jupe crayon noire moulant ses fesses, chemisier blanc entrouvert sur un soutien-gorge en dentelle rouge, escarpins beiges 12 cm. « Entre, Jeanne, » susurre-t-elle, son parfum musqué me faisant bander instantanément. Le boudoir est toujours aussi envoûtant : canapés Chesterfield, miroirs aux cadres dorés, coiffeuse rose pastel ornée de flacons de parfum. Elle sert un café, s’assoit en face de moi, jambes écartées – bas voile noirs, pas de culotte, sa chatte rasée luisant de désir sous la lumière tamisée.

« Enlève tes vêtements. Montre-moi ton sexe de travesti »

Je me déshabille lentement, sexe à moitié dure, couilles lourdes sous son regard perçant. Elle s’approche, m’aide à enfiler mes bas opaques : la soie glisse sur mes jambes poilues, liserés rouges mordant mes cuisses épaisses. « Mmm, sexy, » murmure-t-elle, ses ongles effleurant mes bourses. Puis le shorty : la dentelle serre ma bite, le tissu s’enfonce dans mon sillon anal, chatouillant mon œillet.

« Regarde-toi, Jeanne, » ordonne-t-elle, me poussant vers le miroir.

Je me vois : un homme rond en lingerie, ridicule mais bandant, ma queue suintant déjà dans le tissu rouge. « Marche. » Elle me chausse mes escarpins : talon 12 cm, cuir noir verni comme une promesse. « Cambré, Jeanne. » Je titube, clac-clac, les talons griffant le parquet. La dentelle râpe mes couilles, mon pré-cum tache le shorty. « Pas mal pour une débutante, » dit-elle, claquant mes fesses nues – une marque rose fleurit sur ma peau. Elle m’apprend à marcher : hanches fluides, dos arqué, fesses légèrement projetées. Après 30 minutes, je trouve un rythme, ma bite palpitante sous le tissu. « À genoux, maintenant. » Elle relève sa jupe, son sexe brulant de désir à quelques centimètres de mon visage. « Lèche-moi, en bas. » Je plonge, ma langue fouillant sa fente salée, aspirant son clito gonflé comme une petite bite. Son jus coule sur mon menton, son parfum intime m’enivre. « Oui, bouffe ma chatte, Jeanne ! » Elle jouit en cinq minutes, avec une éjaculation féminine puissante – des jets chauds inondent mon visage, ruissellent sur mon torse. Elle s’agenouille à son tour, caresse ma bite à travers la dentelle : « T’aimes la soie, hein ? Elle te fait bander comme une pute. »

Sa bouche engloutit ma queue, salive bavant sur le shorty, puis elle suce directement, gorge profonde, ses lèvres carmin laissant des traces. Son doigt lubrifié frôle mon œillet. « Détends-toi et laisse-toi faire, » murmure-t-elle. Mon cul se crispe, puis cède : son doigt s’enfonce, massant ma prostate. Je hurle, le plaisir brut me submergeant, et jouis dans sa gorge, des jets épais débordant sur ses lèvres. Elle m’embrasse, partageant mon sperme : « Avale, Jeanne. C’est ta nouvelle addiction. » Je déglutis, goût amer et excitant, hypnotisé par son regard. « Prochain rendez-vous :le port d’une jupe droite serrée et on continuera la marche avec talons va te changer je vais ouvrir le magasin mais garde le shorty, il moule tes fesses à merveille Je repars, boxer trempé de précum, cul palpitant, Élise dans l’ignorance totale.

Vendredi soir, dîner chez Sophie. Appartement chic dans le 16e, table dressée avec nappe blanche, parfum de lasagnes flottant dans l’air. Sophie, blonde incendiaire en robe rouge moulante, nous accueille avec un sourire éclatant : « Ma compagne arrive, elle se prépare. » Compagne ? Je relève cette information, ma femme m’avait parlé de Mari.

Dès notre arrivée, je remarque que Sophie est très tactile avec Élise : elle lui touche le bras en riant, pose une main sur son épaule pour la guider vers le salon, et même effleure sa taille en lui servant un verre d’apéritif. Je me fais des idées, me dis-je, c’est juste amical, une façon d’être chez les femmes qui se connaissent de Zumba.

Puis Vanessa apparaît : robe noire satinée, Louboutins vernis 10 cm, cheveux lâchés, lèvres rouge sang. « Salut, je suis Vanessa, la compagne de Sophie. » Mon cœur s’arrête net. Vanessa, ici ? En couple avec une femme ? Elle m’avait dit être mariée – un mensonge pour me mettre à l’aise ? Elle me fait la bise, son parfum musqué ravivant mes souvenirs du boudoir. « Surprise, Jeanne ? » murmure-t-elle à mon oreille. Ma bite durcit dans mon boxer, je rougis violemment, balbutiant un « Bonjour ». Élise, ravie, lui fait la bise.: « Oh, la gérante de la boutique où j’ai acheté ma guêpière ! Ton ticket de caisse, tu te souviens chéri ?

Vanessa sourit, malicieuse : « Le monde est petit, n’est-ce pas ? » Apéritif, vin rouge, rires. La discussion glisse sur la boutique de lingerie. Sophie lance, un éclat coquin dans les yeux : « Raconte-nous tes clients les plus… intéressants, chérie. » Vanessa, regard perçant posé sur moi, répond : « Oh, il y en a de toutes sortes. Des femmes qui achètent pour séduire, des jeunes pour des nuits torrides. Et puis les hommes… Certains viennent pour leurs épouses, très attentionnés, avec des tailles précises. Mais d’autres… » Elle marque une pause, ses lèvres rouges s’étirant. « Ils achètent pour eux. Des fétichistes, des travestis occasionnels. Ils bandent dans la dentelle, rêvent de talons aiguilles claquant sur leur cul, de bas opaques serrant leurs cuisses. Souvent, ce sont des hommes mariés, avec une vie banale en surface. »

Ma fourchette tremble, ma bite palpite sous la table, coincée dans mon pantalon. Élise, intriguée, se penche : « Sérieux ? Des hommes en lingerie ? C’est… excitant, non ? » Sophie rit : « Hyper sexy ! Vanessa en voit souvent, hein ? » Vanessa acquiesce, son regard me transperçant : « Oh oui. Tailles 46, 48, shortys serrant leurs couilles, escarpins cambrant leur cul. Certains commandent en ligne pour la discrétion, mais d’autres osent venir en boutique. C’est fascinant, cette double vie. » Je transpire, gêné à mort, certain qu’elle va me dénoncer. Ma queue, traîtresse, durcit encore, frottant contre la couture de mon pantalon.

Je bois une gorgée de vin, essayant de changer de sujet : « Euh, le vin est excellent… Et le saumon est divin ? » Mais Élise insiste : « Ça doit être libérateur, non ? Imaginer un homme en string, talons, jouissant dans la soie… » Sophie ajoute : « Moi, je trouve ça bandant. Un homme qui assume sa part féminine, c’est hot. » Vanessa sourit : « Exactement. Ils cachent leur secret, mais leur corps parle pour eux. » Je suis rouge écarlate, ma bite au bord de l’explosion. Heureusement, Vanessa change de sujet avec grâce, et Sophie prend le relais : « D’ailleurs, moi aussi, j’ai des clients fascinants dans mon institut de beauté. Je gère un salon d’esthétique dans le quartier, épilations, massages, soins du visage… On voit de tout !

 » Élise rit : « Vraiment ? Ça doit être passionnant. Tu as des histoires coquines, toi aussi ? » Sophie hoche la tête, tactile comme toujours, posant une main sur le bras d’Élise : « Oh oui, des massages qui dérapent en moments sensuels, des épilations qui révèlent des secrets… Mais tout reste confidentiel ! » Je note encore une fois sa proximité avec Élise – une main qui s’attarde un peu trop sur son épaule – mais je me dis que c’est mon imagination, dopée par l’atmosphère érotique de la soirée. Le dîner se termine dans un brouillard de rires et d’au revoir chaleureux. Dans la voiture, Élise commente : « Vanessa est fascinante. Et cette idée d’hommes en lingerie… ça t’a troublé, avoue. » Je bafouille : « Non, c’est juste… bizarre. »

Au lit, Élise, en nuisette rouge, glisse sa main sous les draps. « Oh, t’es dur comme un taureau ! La lingerie masculine t’excite, hein ? » Je nie mollement : « C’est toi, mon amour… » Mais elle branle ma bite lentement : « Imagine-toi en shorty, chéri. Ça te ferait jouir, non ? » Mon silence la fait rire : « Je savais ! Demain, tu portes mes affaires. On va jouer. » Intérieurement, je hurle de joie – c’est mon fantasme ultime, offert par ma femme ! Elle me suce, sa langue râpant ma queue, son doigt frôlant mon œillet. Je jouis sur son visage, des jets épais qu’elle lèche avec gourmandise. « Demain, tu seras ma femme » murmure-t-elle. Je m’endors, rêvant de Vanessa, d’Élise, et de Jeanne, ma part secrète.

(Fin du Chapitre 3)

 

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Une réponse à Démasqué(e) par la gérante.- Chapitre 3 – Le diner par Natacha01

  1. Bertrane_TV dit :

    Hum ! J’adore

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