Convalescence chapitre 1 par aixois73

Convalescence
chapitre 1
par aixois73

Je reviens ici après des mois d’absence en raison d’un problème de santé (hernie discale).

J’ai eu une expérience étrange et torride.

Après les premières semaines de lit, en centre de rééducation, j’ai pu prendre l’air sur les terrasses, en fin d’après-midi, avant le diner, près des machines à café et à boisson fraiche.

Il s’est formé un petit groupe, essentiellement des femmes et quelques hommes, de tous âges, nous papotions sur nos problèmes, soins, traitements et effets secondaires

L’un des plus discutés étaient la baisse de libido due à un médicament largement distribué et connu pour ses vertus en rhumatologie, le Lyrica.

Dans le « tas » une femme m’avait tapé dans l’œil, Sylvie, brunette, la quarantaine, cheveux court, un piercing dans le nez, et dans mes tentatives de masturbation le soir avec des érections franchement molles, j’aimais à imaginer que elle me dévoilait d’autres piercing un peu plus intimes

Bénéficiant d’une chambre seule et d’une connexion Internet, elle passait me voir le soir, pour surfer sur internet ou regarder un peu la télé dans ma chambre, après les derniers soins du soir, sa voisine étant fan de conneries.

Nous en sommes venus à parler de nos fameux problèmes de libido, elle avait envie d’avoir envie, j’avais, lui avoué-je essayé plusieurs fois de bander sans succès.

Elle m’a demandé si on pouvait essayer de regarder quelques sites coquins, nous avons convenu ensemble que les plus excitant étaient les sites de récits érotiques, je lui ai montré ma « prose » ici et sur d’autre sites.

Le fait de sa présence, son « décolleté » (une veste de pyjama assez ouverte), la situation et des histoires émoustillante, ont fait que j’ai pu avoir une érection, elle l’a facilement vu à travers mon boxer, elle m’a dit être assez excitée aussi, nous en sommes resté là, elle est partie se coucher après une bise appuyée.

Dès son départ, j’ai enfin pu me masturber, j’étais rassuré, y allant doucement vu l’état de mon dos.

Le lendemain soir rebelote, on se fait des confidences, tu sais j’ai réussi à me branler hier soir.

Elle m’a alors avouée avoir fait de même, de façon peu glamour, dans les toilettes.

Nous avons de nouveau surfé, elle s’est calé dans le lit à côté de moi, faisant attention à son bassin et moi à mes vertèbres, et de nouveau, pour moi une belle érection, elle était également excitée…

– Branle toi, je veux te voir, j’ai envie de voir ton sexe, ta bite

Prudent, une infirmières aurait pu passer, j’ai commencé à m’astiquer, elle en faisait de même, en me regardant, nous avons joui très vite, elle a essuyée sa main inondée de mouille sur mes lèvres, y a ensuite déposé un doux baiser et s’est éclipsée.

Le lendemain, avec l’espoir de passer à la vitesse supérieure, j’ai téléphoné à un bon copain pour qu’il me fournisse des préservatifs, il l’a fait, interloqué, en me promettant discrétion et secret.

Sylvie est bien évidemment revenue le soir, dans la journée j’avais repérée dans une aile en travaux une douche qui fonctionnait et munie d’un verrou, douche fort pratique avec siège et fauteuil pour doucher les handicapés et autres éclopés. L’avantage de ce genre d’hôpital est que le personnel est peu curieux et laisse se promener la nuit les patients insomniaques, à condition de ne pas faire de bruit ni faire fonctionner les ascenseurs passé une certaine heure.

Lorsqu’elle est rentrée

– Sylvie, depuis hier j’ai le gout de ta mouille dans la bouche, je ne pense qu’à ton corps, j’ai envie de prendre une douche avec toi, et advienne que pourra…
– Moi aussi

Youpi, nous voilà partis, à deux minutes d’intervalles, elle en premier et moi ma boite de préservatifs dans la poche du short, une serviette en bandoulière et un flacon de savon dans l’autre poche, ce qui évitera à qui que ce soit me croisant de se demander où je vais.

Pour info, j’ai une minerve, elle aussi !! Cela ne permet pas de folles galipettes mais on verra bien.

Arrivée dans la douche, puisque douche il y a allons y pour « une douche ».

Nous nous débarrassons du peu de vêtements que nous portons et je découvre enfin son corps, elle a des petits seins rond, avec de très gros tétons, les hanches un peu remplie, elle est intégralement épilée, mais ça repousse, moi je suis comme d’habitude, bien poilu.

Nous nous étreignons sous la douche, nous savonnant l’un l’autre, elle n’a pas cillée quand j’ai posé en évidence la boite de capote, nos mains se font plus curieuse, je fouille son sexe, elle me branle en me savonnant et glisse son autre doigt plein de savon dans l’anus, je fais de même et visite le sien, je gémis, elle se tortille.

– Sylvie, tu as envie lui dis-je ?
– Envie de quoi
– De moi
– Parle-moi plus crument, ça m’excite

Ce n’est pas dans mes habitudes mais je me lance

– Envie de mon sexe dans le tien
– …
– Envie de ma bite bien dure dans ta chatte de salope
– Voilà, me dit-elle, oui j’en ai envie

Ce n’est pas tout il faut, vu notre état à chacun que l’on s’organise

– Attends me dit-elle, j’ai envie de faire pipi, dit-elle en s’éloignant vers une grille de sol
– Non, tu veux du cru, alors reste là, je me baisse prudemment, m’assieds au sol, guide son bassin vers mon visage
– Vas-y pisse, pisse sur moi

Elle est interloquée mais acquiesce, un jet chaud, doré et odorant me dégouline dessus, j’en avale quelque gouttes, puis lèche son sexe avidement, en faisant attention tout de même à mes vertèbres

Ben mon cochon, celle-là on ne me l’avait jamais faite

Je l’ai ensuite installée sur le siège de douche, réglable, pour que son bassin vienne à hauteur du mien, une fois ma bite encapuchonnée, je suis rentré, bien au chaud dans sa chatte serrée, nous sommes restés sans bouger, goutant l’instant, avide de jouissance, de peur que mon érection ne retombe (les médicaments!) et avec son accord je me suis vite mis en mouvement, avant que je ne jouisse, nous avons échangés nos place, moi assis sur le bord du siège, celui-ci étant percé elle a pu et me sucer et mettre deux doigt dans mon cul, hmmmm

Puis, afin que elle ne soit pas en reste, allongés au sol tous les deux, la douche coulant de nouveau pour que l’on ait pas froid j’ai entrepris un très long cunnilingus tout en fouillant sa chatte et son cul avec mes doigts, jusqu’à ce que je sente ses spasme serrer mes doigts, jusqu’à ce que elle m’inonde de son jus, nous avons commencés tous les soirs, je l’ai enculé, elle m’a enculé avec un objet pas prévu à cet effet, un porte rouleau de papier, nous avons meublé nos soirée, rassuré de voir que nous pouvions remédier aux effets secondaires du traitement et à nos handicaps temporaire, nous avons joué à nous pisser dessus, nous avons goutés et mélangés nos jus, nos odeurs, elle me gardait sa culotte de la journée, dans laquelle elle s’était caressée, que elle remettait après avoir pissée au réveil sans s ‘essuyer, , je dormais avec et la lui rendait pleine de de sperme le lendemain.

Pendant la sieste de sa voisine, je venais dans sa chambre, mettait quelques minutes mes doigts dans sa chatte et nous descendions prendre un café, je trempais ma main dans mon gobelet, elle venait toujours dans ma chambre pour pisser, nous y allions de concert ou bien l un devant l’autre et inversement, en profitant à chaque fois pour une intromission dans son cul ou le mien, j’ai eu la joie de quitter l’hôpital et de retourner dans ma famille, elle aussi, mais nous avons eu la peine de ne plus jouer ensemble et ces jeux ont sans doute accéléré notre guérison…