Chemins libertins Chapitre 11 – Célia et Joël par plaisirs_extremes

Chemins libertins
Chapitre 11 – Célia et Joël
par plaisirs_extremes


Chapitre XI
Ils s’appelaient Célia et Joël. Elle avait vingt-neuf ans et lui trente et un. Ils habitaient un immeuble cossu dans un quartier tranquille du centre. Leur appartement était très moderne, mais un peu froid à mon goût. Par contre, leur chambre à coucher était exceptionnelle. A part le sol, tout était recouvert de miroirs et un épais tapis de laine faisait comme un écrin au lit immense qui trônait, impérial, au milieu de la pièce.

Nous étions confortablement installés au salon et Célia, en bonne hôtesse, nous servait des cocktails maison.

– Vous allez souvent dans ce genre de cinéma, demandai-je à Joël.
– Non, pas très souvent, tu vois, maintenant, avec la vidéo, on a tout à la maison. Mais quand on a envie d’expériences insolites ou de faire des rencontres sympas, oui, on sort de notre nid.
– C’est vrai que la vidéo est bien pratique, et surtout, on peut choisir les films que l’on veut, renchérit Annick. Moi, par exemple, ce qui me plaît le plus, ce sont les scènes de lesbiennes. Et toi Célia ?
– Hum, oui, ça m’excite pas mal, mais ce qui me branche vraiment dans ces films, c’est la sodomie.
– Ah ? Fis-je très intéressé.
– Oui, tu sais, j’adore ça et de le voir faire, ça me donne envie. En fait, j’arrive exactement à savoir ce que ressent la nana qui est entrain de se faire prendre, et c’est ça qui m’excite. Et toi Arnaud ?
– Eh bien, je crois qu’on est fait pour s’entendre, moi aussi, tout ce qui touche la sodomie m’excite à mort. Annick a découvert cette pratique dernièrement et il faut encore qu’elle s’y habitue, mais c’est une élève très douée.
– Et toi Joël, qu’est-ce qui te branche dans ces films, demanda Annick.
– Oh lui, je vous avertis, c’est plus pervers, dit Célia.
– Oh oh, vas-y on t’écoute.
– Eh bien, tout ce que vous avez dit me plaît aussi. En fait, tout me plaît dans ces films. Mes tabous commencent avec la scatologie, le sadomaso hard et la zoophilie. Ca, ça ne me branche pas du tout.
– Et les homos ? demanda Annick.
– Ah oui, j’oubliais, non non, très peu pour moi. Moi, je suis un adorateur de la femme, pas de l’homme.
– Et les jeux pipi, le fist-fucking, ces choses-là, demandai-je ?
– Non, ça ne me dérange pas, et je dirais même que les jeux de pipi comme tu le dis si bien, m’excitent assez si je vois que la femme prend son pied, car il y en a.
– Si vous voulez, nous avons pas mal de cassettes à vous montrer, nous dit Célia.
– Bonne idée, renchérit Joël. Mais pour ce faire, on va se déplacer à la chambre à coucher, prenez vos verres avec vous.

Joël, en entrant dans la chambre, actionna un interrupteur ce qui eût pour effet de diffuser une lumière tamisée qui semblait provenir de partout dans la pièce. En même temps, une partie de la paroi se trouvant face au lit s’était ouverte, laissant apparaître un gigantesque téléviseur.

– Deux mètres de diagonale, le plus grand que tu puisses trouver actuellement sur le marché, nous dit fièrement Joël.
– Et vous verrez, un film de cul là-dessus, c’est génial, ajouta Célia.

Nous nous étions installés les quatre sur le lit. Joël avait choisi un film dans sa vidéothèque qui surplombait le téléviseur et l’avait introduit dans la vidéo qu’il mit en marche.

– Si je me rappelle bien, il doit y avoir un peu de tout dans cette vidéo. Des lesbiennes, de l’anal, du fist-fucking et je crois bien qu’il y a aussi une scène d’urologie.
– Annick, tu fermeras les yeux, dis-je.
– Ah, et pourquoi je devrais fermer les yeux, c’est pas parce que je n’ai jamais vu une femme se faire pisser dessus que ça me dégoûte.
– Bon bon, je n’ai rien dit.

Le film avait débuté. A l’écran, un cul se dandinait devant la caméra, semblant attendre que quelqu’un veuille bien venir s’en occuper. Je ne sais pas si je suis voyant, mais toujours est-il qu’une queue d’un calibre respectable se posa sur l’anus de ce cul accueillant et, forçant à peine s’enfonça d’une seule traite.

– Tu vois Arnaud, c’est là que ça me fait mouiller, quand je vois des scènes de pénétration pareille, me dit Célia.

Elle enleva sa blouse et sa minijupe, se retrouvant ainsi totalement nue. Sa chatte était rasée intégralement. Elle écarta outrageusement ses jambes et posa sa main sur son sexe. Je me déshabillai à mon tour et au bout de quelques secondes, nous étions les quatre à poil sur le lit.

Les miroirs renvoyaient notre image de toute part. Sur l’écran, une jeune fille d’à peine dix-huit ans se faisait copieusement labourer le sexe par un grand noir. La grosseur de son sexe n’avait pas l’air de lui faire peur, bien au contraire. Une belle rousse était accroupie sur sa bouche et semblait apprécier le traitement qu’elle lui prodiguait.

Annick suçait un des seins de Célia et lui caressait la chatte.

Puis sa bouche descendit petit à petit jusque sur le pubis où elle fit une courte halte pour le mordiller avant de repartir pour se poser enfin sur le clitoris de la jeune femme. A plat ventre entre les jambes de Célia, Annick m’offrait sa croupe. Je me plaçai derrière elle et écartant ses fesses de mes deux mains, je me mis à lécher copieusement son anus frémissant.

Célia s’était baissée sur la queue de Joël et l’avait engloutie jusqu’au fond de sa bouche. Je jetais de temps en temps un coup d’œil dans les miroirs, ce qui me permettait d’avoir une vision globale du tableau que nous formions.

Je vis sur la table de nuit un tube de gel que je m’empressai de prendre pour en enduire l’anus d’Annick. Je fis pénétrer le bout du tube dans son œillet et je pressai pour y déverser un peu de lubrifiant. Puis j’en mis sur mes doigts et j’enfonçai lentement mon index dans son petit trou. A ce contact, Annick souleva son bassin ce qui eût pour effet de me présenter sa chatte déjà très humide. Son anus s’assouplissait peu à peu sous l’assaut de mon doigt et je pus très vite en ajouter un autre pour le lui élargir encore plus. En me penchant un peu de côté, je pouvais voir la langue d’Annick entrer profondément dans la chatte maintenant béante de la belle Célia. Celle-ci, à chaque attaque de cette bouche vorace poussait de petits gémissements vite étouffés par le sexe de Joël.

La scène qui se déroulait m’excitait prodigieusement et, retirant mes doigts de l’anus d’Annick, je présentai ma queue entre les lèvres de sa chatte qui, à la première pression, m’engloutit d’un coup. Je sentais la douce chaleur de l’intérieur de son antre ruisselant. Ma queue glissait avec une aisance déconcertante dans ce marécage. J’allais et venais doucement puis de plus en plus vite ce qui avait pour effet de plaquer le visage d’Annick contre le sexe complètement ouvert de Célia. Celle-ci avait déjà joui au moins trois fois et elle était bien partie pour une quatrième. Pourtant, elle retira le sexe qui lui emplissait la bouche et repoussa gentiment Annick en lui embrassant la bouche. Puis elle fit coucher Joël sur le dos et, écartant les lèvres de sa vulve, elle s’empala sur le chibre dressé.

Viens me lécher le cul, Annick, demanda-t-elle.

Annick se mettant à genoux vint se placer derrière cette croupe plantureuse et déposa des bécots sur les fesses offertes. Puis sa langue s’insinua entre elles et trouva le petit cratère déjà ouvert par l’excitation.

– Hum oui, fais-moi une feuille de rose, rentre ta langue bien profond lui dit Célia.

Ce n’était pas facile car Joël lui pistonnait le sexe avec vigueur, ce qui faisait trembler tout son corps.

Je me plaçai à côté d’Annick, de telle sorte qu’elle puisse prendre mon pénis entre ses lèvres.

– Vas-y, mouille-le bien de ta salive, lui dis-je.
– Hum, Arnaud, je vois que tu as de la suite dans les idées, me dit Célia.
– Oui oui, ça va être ta fête.

Je me retirai de la bouche de ma petite femme et m’avançant entre les jambes de Joël, je plaçai mon gland sur l’œillet de Célia qui céda très facilement. La belle salope était embrochée sur nos deux pines et remuait son bassin de plus en plus vite. J’embrassais Annick à pleine bouche ce qui avait l’air de l’exciter au plus au point puisqu’elle avait glissé une main entre ses cuisses et qu’elle se masturbait énergiquement.

Célia s’excitait de plus en plus.

– Oh oui les gars continuez, je ne suis qu’une salope, baisez-moi, plus vite, plus fort.
Elle se laissait totalement submerger par le plaisir, jouissant sur nos sexes plantés en elle. Un orgasme d’une puissance fulgurante la terrassa et elle s’affala sur la poitrine de Joël.


Je me retirai lentement du cul totalement ouvert de la jeune femme et basculai Annick sur le côté. Celle-ci me tendait ses beaux globes bronzés comme une invite à la sodomie. D’elle-même elle écarta d’une main ses fesses, me laissant découvrir son petit trou déjà élargi par le désir. Ma pine glissa dans son vagin afin de s’y lubrifier, faisant quelques allées et venues avant de remonter un peu plus haut pour s’enfoncer puissamment dans son cul. Annick poussa un petit gémissement de douleur mais tendant sa croupe contre mon bas-ventre, elle me fit comprendre que je pouvais continuer de la pourfendre sans complexe. Ma bite coulissait sans effort dans ce cul somptueux. Passant une main entre ses cuisses, je caressai sa chatte, entrant trois de mes doigts dans son vagin béant et complètement trempé. Je sentais à travers la fine paroi les mouvements de mon sexe planté dans son rectum.

Me désemboîtant de son corps, je me mis sur le dos et tenant ma queue bien droite, j’invitai Annick à venir s’y empaler. Celle-ci se redressa au-dessus de mon bas-ventre et lentement descendit jusqu’à ce que son anus trouve de lui-même le gland turgescent. Elle s’assit sur mon sexe en poussant un râle de plaisir et se renversa sur ma poitrine exhibant ainsi son sexe gonflé par le plaisir. Joël et Célia voyant le tableau que nous formions nous imitèrent bientôt. Les deux femmes gémissaient de plus en plus fort, au fur et à mesure que la jouissance montait dans leur corps. Annick jouit la première, ma queue enfoncée jusqu’aux couilles dans son anus. Pour ma part, la jouissance ne m’avait pas encore fauché.

Célia, se relevant vint se placer entre les jambes d’Annick et lécha consciencieusement les filets de cyprine s’échappant de son vagin. Au contact de cette douce langue, le cul de la jeune femme se remit à bouger sur mon sexe. Joël, repoussant Célia, prit possession de l’entrejambe d’Annick. Sa queue tâtonna un moment à l’entrée de son vagin et lentement le pénétra de toute sa longueur arrachant un véritable rugissement de plaisir à notre maîtresse consentante.

– Oh oui, c’est bon, c’est bon, continuez, plus vite, plus vite.

Célia, un instant abandonnée, se masturbait, deux doigts profondément enfoncés dans son cul alors que les doigts de son autre main trituraient son clitoris gros comme un pois chiche. Notre folle cavalcade s’amplifiait. Annick, transportée comme un fétu de paille, s’abandonnait totalement aux deux sexes qui la ravageaient. Elle gémissait, criait, s’accrochait aux bras de Joël, les yeux révulsés par le plaisir. Nous étions tous les trois couverts de sueur, rendant ce coït encore plus sauvage. Quand enfin dans un sursaut de tout son être, Annick parvint au plaisir suprême, j’éclatai en elle de toute la force d’une jouissance longtemps refoulée. Joël nous rejoignit quelques instants plus tard et tous les trois nous basculâmes sur le côté, terrassés par le plaisir.

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