Chanette 34 – Le cas Jérôme – 7 – Trio bi au donjon

Chanette 34 – Le cas Jérôme -.7 – Trio bi au donjon

Olivier et Marceau libèrent Calderoux de ses menottes et quittent les lieux non sans avoir embarqué le téléphone de l’individu.

Il est 17 heures, finalement j’ai déplacé mes deux rendez-vous pour rien, j’aurai eu le temps de les honorer. Pas bien grave…

– Je vous ai rapporté vos menottes, mais surtout j’ai le nom et la trombine du commanditaire. Ça vous parle… Me demande Olivier
– Jamais vu cette sale tronche, il est moche et n’a pas l’air commode…
– OK, j’en saurais davantage demain ! Oh là là, quelle journée !
– Je m’en doute !
– Vous savez ce qu’on dit ?
– A quel propos ?
– Après l’effort, le réconfort !
– Je vous vois venir…
– C’est de bonne guerre, non ?
– Déshabille-toi, gros cochon !
– Je peux garder mes bas et mon porte-jarretelles ?
– Mais bien sûr puisque c’est ton truc. Tiens récupère ta perruque, ce sera plus cool.
– Je vais peut-être me remettre un peu de rouge à lèvres.
– Tant qu’à faire…

Et le voilà devant moi, je lui pince ses tétons, il adore et ça le fait bander.

– Dommage qu’il n’y ai pas un autre homme ! Me dit-il.
– T’as envie de sucer de la bite ?
– Oh oui !
– Je vais essayer d’arranger ça !

Je téléphone à Nœud-Pap en lui indiquant que j’ai une opportunité… Il en est ravi et me répond qu’il peut être là dans une petite demi-heure.

Du coup j’enferme Olivier dans ma cage et me replonge dans la lecture de mon bon polar, bien calée dans le fauteuil du salon.

On sonne ! Déjà Nœud-Pap ? Non c’est le marchand de meubles qui vient me livrer un guéridon tout neuf pour remplacer celui que l’autre cinglé a fracassé.

– Vous pouvez me débarrassez de celui qui est cassé.
– En principe on ne fait pas ça…
– Oui, mais comme vous êtes un gentleman… lui répondis-je avec mon plus beau sourire.

Il a accepté, même pas eu besoin de lui montrer mes seins.

Et voici Nœud-Pap ! Bisou, bisou.

– Allez à poil, et direction le donjon, je n’ai pas que ça à faire !

Et pendant qu’il se déshabille et me donne mon enveloppe, je libère Olivier.

Les voilà tous les deux à poil devant moi.

– Tu sais ce qu’il va t’arriver ? Demandais-je à Nœud-Pap.
– Oui maîtresse, vous allez me faire sucer une bite !
– Et tu n’as pas honte ?
– Je ne sais pas !
– Comment ça tu ne sais pas ?

Je le gifle, lui crache dans la bouche et lui tortille se tétons.

– Alors, réponds-moi !
– J’aime ça, maîtresse, je suis un suceur de bite.

Je branle un peu celle d’Olivier qui ne tarde pas à bander fièrement.

– Regarde cette bite ! Comment tu la trouves ?
– Elle est belle, maîtresse !
– T’aimerais l’avoir dans ton cul de pédé ?
– Oh, oui ! Maîtresse !
– Quel enthousiasme ! T’es vraiment un enculé !
– Oui, maîtresse !
– Et toi ? M’adressais-je à Olivier, tu es aussi un suceur de bites.
– Oui maîtresse.

Je fais mettre les deux soumis face à face et leur demande de se pincer respectivement les tétons… Ils s’exécutent… timidement.

– Oh ! Vous êtes dans un donjon ici, pas dans un salon de thé, alors pincez-vous plus fort

Ils obéissent, ils grimacent, mais faut voir leurs bites comme elles sont ravies.

– Et maintenant, bisous !

La tronche d’Olivier qui ne comprend pas ce que je demande.

– Oh ! Vous êtes bouchés ou quoi ? Je veux que vous rouliez une gamelle tous les deux… et plus vite que ça !

C’est curieux ces soumis qui sont près à sucer des bites sans trop de problème, mais qui font la gueule dès qu’il s’agit d’embrasser sur la bouche un autre soumis !

– Bon, passons à autre chose, vous aller vous arcboutez, l’un à côté de l’autre contre le cheval d’Arçon… Mieux que ça, cul cambré, jambes légèrement écartées… Et comme vous avez été particulièrement ridicules tous les deux, je vais vous rougir le cul.

Personne ne bronche, (heureusement encore !) alors on y va. Un coup de cravache pour Olivier, un coup pour Nœud-Pap et je recommence…

Ça c’était l’échauffement, les fesses de ces messieurs commencent à s’orner de stries rougeâtres, je peux désormais m’amuser et au lieu d’alterner mes coups entre mes deux soumis, je flagelle en faisant en sorte que personne ne peut deviner sur qui va tomber le prochain coup. Par exemple, trois coups pour Olivier, un coup pour Noeud-pap, un coup pour Olivier, cinq pour Noeud-pap. Tout cela dans le plus grand désordre.

J’arrête quand l’état de leur fessier m’incite à la retenue. Mon intention n’étant pas non plus de les empêcher de s’assoir pendant huit jours.

– Allez on se retourne ! Et maintenant question existentielle ! Qui va sucer l’autre ?

– Pas de réponse ! Ils savent bien que ce n’est pas à eux de décider.

Je prends une pièce de monnaie et fait semblant de tirer à pile ou face, en fait je triche honteusement. J’ai tellement vu tant de fois Nœud-Pap sucer des bites que maintenant j’aimerais bien voir Olivier le faire.

Je lui ordonne donc de sucer, ce qu’il fait avec un enthousiasme qui fait plaisir à voir. Et pendant qu’il se régale de cette douce bite, je passe derrière lui avec un ravissant gode vibrant que je lui introduis dans le trou de son cul

– Bon, assez sucé, maintenant mets-toi en position, il va t’enculer comme tu le mérites.

Je tends une capote à Noeud-Pap afin qu’il habille popaul.

– Euh, un peu de gel ? Ose-t-il demander !
– Pas besoin, si tu veux lubrifier, sers-toi de la langue.

Une pratique que Nœud-Pap n’apprécie que modérément, mais comme il est un bon soumis, il ne discute pas. Ben oui, dans mon donjon, c’est moi la cheffe !

Et après cette petite lubrification salivaire, Nœud-Pap lui entre vaillamment dans le cul.

– Et tâche de faire durer, monsieur a payé pour une bonne sodo, pas pour une enculade express !

Olivier veut se branler en même temps. Je l’en empêche.

– Touche pas à ta bite ! Tu jouiras quand je t’en donnerais l’autorisation !

Non, mais dès fois !

Nœud-Pap sue de grosses gouttes. Et, c’est qu’il n’est plus de la première jeunesse, pépère. Olivier, quant à lui, miaule de plaisir. « Les enculés sont des hommes heureux » disait je ne sais plus qui ! En voilà une preuve supplémentaire.

Je laisse passer cinq minutes et demande à Nœud-Pap d’accélérer. Alors il y va, son visage est congestionné, il bave et éjacule en feulant comme une hyène…

Il décule, il n’en peut plus, j’approche une chaise et le balance littéralement dessus.

– Ça va aller ?
– Oui, je récupère un peu.

Olivier vient lui prendre son pouls, situation surréaliste, mais il me fait signe que tout va bien !

– Bon, vous devez avoir soif….

Ils ont compris ! Je les fais s’allonger l’un à côté de l’autre.

– Maintenant tu as le droit de te branler ! Indiquais-je à Olivier.

Et pendant qu’il se masturbe, je m’installe au-dessus de mes soumis, je m’accroupis, vise les visages et les arrose de ma bonne pisse. Puis par pure provocation je me retourne et agite mes fesses.

Je vois Olivier essayer de se redresser. Je comprends qu’il en veut à mon cul.

– Dis donc, toi, c’est mon cul qui t’intéresse ?
– Je peux vous le lécher, maîtresse ?
– Parce que tu crois que c’est la fête ?
– S’il vous plait, maîtresse ! M’implore-t-il.
– Tu risques d’avoir des surprises, je ne me suis pas essuyé ce matin ! Mentis-je
– Ça n’en sera que meilleur !
– Alors vas-y, gros cochon !

En fait j’aime bien qu’on me lèche le cul, mais je ne le crie pas sur les toits.

Et comme il rechigne à se branler en même temps, je demande à Nœud-Pap de lui porter une main secourable.

– Euh… Je peux le sucer ? Demande ce dernier.
– Mais bien sûr, régale-toi de cette bonne bite !

Et la séance prit fin avec la jouissance d’Olivier.

Olivier a obtenu des informations complémentaires au sujet de ce Claude Leriche, le commanditaire. Il habite à Enghien-les-Bains et est officiellement célibataire.

Il se rend sur place vers 18 h 30 afin de reconnaitre les lieux, C’est un pavillon assez coquet dans lequel il ne détecte aucune activité intérieure.

« Un vrai célibataire, donc…

Plus problématique est la présence de deux dobermans. Ils n’aboient pas, signe qu’ils sont dangereux et qu’ils n’hésiteront pas à se jeter sur un éventuel intrus.

Il téléphone à Marceau.

– J’ai encore besoin de toi, tu peux te lever de bonne heure demain matin.
– Ça peut se faire.
– Il faudrait que tu sois à 6 h 30 à Enghien-les-Bains, je vais t’envoyer l’adresse.
– Ça va prendre longtemps ?
– Je ne pense pas, tu pourras rentrer chez bobonne avant midi ! Dis-moi, tu as conservé ton uniforme de gendarme.
– Oui, mais j’ai grossi, je ne sais pas si je rentre encore dedans.
– Essaie !

Et le lendemain matin, les deux compères se rejoignent devant le pavillon de Leriche. Marceau est un peu serré dans son uniforme, mais ça passe.

A 7 heures 15, la grille s’ouvre automatiquement, La Peugeot de Leriche sort du pavillon. Il s’arrête et redescend pour la refermer.

C’est à ce moment qu’Olivier et Marceau interviennent.

– Ah, monsieur Leriche sans doute ?
– Oui, mais…
– Gendarmerie nationale, c’est uniquement pour recueillir votre témoignage.
– Mon témoignage à quel sujet ?
– On va vous expliquer mais on ne va faire ça dans la rue, On peut rentrer chez vous, ça ne prendra que 5 minutes.
– Euh, oui !

Et une fois sur place…

– Un monsieur Calderoux vous a désigné comme étant le commanditaire d’un acte de dégradation volontaire de biens chez une Dame Christine D’Esde.
– Ce doit être une erreur !
– C’est bien ce que nous pensions mais dans ce cas expliquez-nous la présence de vos coordonnées téléphoniques dans le carnet d’adresses de ce monsieur Calderoux.
– Vous savez… de par mes fonctions, je rencontre beaucoup de monde…
– Vous avez appelé ce monsieur, il y a trois jours.
– Une fausse manip, je suppose ! Répond Leriche sans se démonter.
– Une fausse manip qui a duré 4 minutes 33 !
– Ah bon tant que ça !
– Bon vous êtes en train de vous foutre de notre gueule, alors deux solutions, soit on vous embarque en garde à vue, soit vous nous racontez la vérité et on vous oubliera.

Et là, Leriche commence à perdre de sa superbe.

– C’est ça de vouloir rendre service ! Lâche-t-il d’un air faussement exaspéré.
– Pardon ?
– J’ai un ami qui a quelques problèmes avec cette dame, des problèmes d’argent, il m’a demandé si je ne connaissais pas quelqu’un qui pourrait lui foutre la trouille.
– Alors donnez-nous les coordonnées de cet ami
– J’y mets une condition…
– Vous vous croyez en position de dicter vos conditions.
– J’aimerais ne pas me brouiller avec cet ami…
– Ne vous inquiétez pas, on sait faire.

Et c’est ainsi que Leriche balança le nom de Jerôme Passant…

– Et c’est qui exactement ?
– Mon patron chez Colbertson Management
– Vous n’auriez pas sa photo par hasard ?
– Ben non, je n’ai pas la photo de mon patron ! Vous en, connaissez beaucoup des gens qui se baladent avec la photo de leur patron sur eux ?
– On ne vous a pas autorisé à être impertinent !
– Je ne le suis pas.
– Je croyais que votre patron était aussi votre ami !
– Un bien grand mot… La photo vous la trouverez sur le net, il y a l’organigramme de la boite… avec toutes les trombines…
– Bon, j’ai noté tout ça… On vous laisse libre, on va sortir ensemble… et que vos chiens restent tranquilles s’ils ne veulent pas recevoir un coup de taser !

Olivier m’a envoyé la photo ! C’est encore Passant, je croyais portant que Carole l’avait hypnotisé… Furibarde je lui téléphone et lui résume la situation

– Mais ma bibiche, tu m’avais demandé de faire en sorte qu’il ne soit plus amoureux de toi, c’est ce que j’ai fait, je ne pouvais pas deviner la suite… J’aurais dû faire attention… me souvenir que comme on le dit souvent, la haine n’est jamais loin de l’amour…

Evidemment.

J’ai remercié Olivier et lui ai offert une séance gratuite… quand il voudra. Je lui dois bien ça.

Leriche se demande comment gérer la suite. Après avoir pesé le pour et le contre il estime que parler à Passant de la visite des deux gendarmes présenterait plus d’inconvénients que d’avantages. Il choisit donc de n’en dire mots quitte à charger Calderoux si l’affaire venait à rebondir.

– Monsieur Passant, je voulais vous dire que pour le petit service que vous m’avez demandé, cela a été fait comme demandé, net et sans bavure !
– Je vous en remercie, Leriche, je vais vous faire un petit virement…
– Laissez donc ! (Oh l’hypocrite !)
– Mais si, mais si !

A suivre

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2 réponses à Chanette 34 – Le cas Jérôme – 7 – Trio bi au donjon

  1. Jobert dit :

    Quel cochon ce Nœud-Pap

  2. Waldeck dit :

    Merveilleux donjon où les surprises sont toujours au rendez-vous

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