A la suite d’une dispute conjugal : l’autostoppeur par Sexnotaboo

 

A la suite d’une dispute conjugal : l’autostoppeur
par Sexnotaboo


Une dispute conjugale m’a permis de réaliser mon fantasme

Je vis avec une femme qui aime faire l’amour mais très sagement, elle n’accepte de me sucer, ou de m’offrir son petit trou que très rarement et elle ignore toute fantaisie dans ce domaine. Je bénéficie d’un logement de fonction è une centaine de kilomètres et de ce fait je suis célibataire géographique la semaine, ce qui me permet d’assouvir mes besoins sexuels avec des femmes libérées qui aiment la baise pour la baise.

Depuis quelques temps, je fantasme sur la bisexualité, et je rêve de sucer une bonne queue bien raide. Cette vision très présente dans mon esprit s’impose à moi chaque fois que je me masturbe et même parfois, lorsque je suis avec une femme trop sage, j’ai recours à ce fantasme pour m’exciter davantage en faisant l’amour.

J’avoue que cela, m’excitait énormément en tant que fantasme, mais l’idée de passer à l’action, me faisait toujours hésiter. Ma culture, mon éducation et les convenances qui y sont attachées, m’ont toujours empêché de le faire jusqu’au début de cet été où des circonstances imprévues en ont permis l’accomplissement

Je rentre à la maison le vendredi soir, et je repars le lundi vers 5 heures et demi du matin pour arriver chez moi un peu avant l’heure du bureau.

Ce dimanche-là, ma femme et moi nous sommes disputés, et dans un mouvement d’humeur, je suis parti vers 20 heures. J’avais fait juste 15 kilomètres, lorsque je prends un autostoppeur, la trentaine, beau gosse, bien bronzé, qui se rendait sur la côte.

Nous discutons de tout et de rien et la discussion dérive rapidement sur le sexe. Je lui confie m’être disputé avec ma femme, il sourit, il n’est pas marié, et de but en blanc il m’annonce son homosexualité. Il y a un moment de silence puis il me demande

« Ça vous choque ? »

Je lui assure que « non » et lui demande s’il n’a jamais été tenté par les femmes, il me répond « non ! » sans la moindre hésitation et me retourne la question « et vous par les hommes ? ». Je me sens gêné et ma réponse malgré moi est hésitante « heu . . . non ! Non ! Jamais » après un léger silence.

Il insiste en souriant, « Vraiment ? Vous êtes sûr, pas même un fantasme où une envie furtive ? » Je tourne la tête vers lui, et son regard direct me fait rougir. Il sourit, je me sens de plus en plus mal à l’aise, j’ai honte, je suis gêné. Il fouille dans son sac et sort une revue GAY qui titre en gros sur la couverture :

LA FELLATION : LE FANTASME TABOU DES HETEROS.

Il me le montre et ouvrant le livre il lit à haute voix :

« Jean-Louis, 29 ans, Marié 3 enfants » – Je rêve de toucher, caresser et sucer un sexe d’homme en érection mais je n’ose pas le faire »
« Patrice 35 ans, célibataire endurci » – Une vision qui me revient sans cesse quand je fais l’amour, Un sexe d’homme en érection qui s’approche de ma bouche que j’ouvre pour l’accueillir et le sucer»
« Christian 53 ans Marié puis divorcé 4 enfants » – Mon plus gros fantasme c’est d’être dominé par une femme qui m’oblige à sucer un autre homme devant elle

Cessant sa lecture il me regarde à nouveau et me dit

« Vous voyez, cela n’a rien d’anormal, vous n’avez jamais eu envie d’essayer ? Vraiment ?? »

Je suis sidéré de me reconnaître dans ces témoignages et je sens mon sexe durcir malgré moi. Ses propos et son comportement très à l’aise m’excite terriblement. Je n’arrive pas à lui répondre fermement, « NON je n’ai Jamais été intéressé» tout mon être refuse ce mensonge, sucer une bite est mon plus gros fantasme. Je réalise que là, maintenant, j’ai l’opportunité de le réaliser et j’hésite encore. Que suis-je bête ? Je décide de me lancer, je respire profondément et avec un gros effort j’avoue

« A vrai dire, cela m’arrive d’y penser, et lorsque je fantasme cela m’excite ».

Il sourit toujours

« Ça fait du bien de se lâcher hein ? » me dit-il
« Oui avoué-je, ça libère d’en parler. »

Nous approchons de mon domicile et je cherche un moyen de l’amener chez moi. Je lui demande s’il compte arriver sur la côte le soir même, il me répond que non, qu’il va chercher où dormir dès que je le déposerai. Sans réfléchir, je lui propose de l’héberger pour la nuit à condition qu’il reparte le lendemain dès 7 heures et demi, heure à laquelle je quitte mon domicile pour aller au boulot. Il accepte sans l’ombre d’une hésitation. Un sourire satisfait et vicieux apparaît immédiatement sur ses lèvres qui me met mal à l’aise. Dix minutes plus tard, nous arrivons chez moi, je lui propose une douche qu’il accepte.

Je lui montre la salle de bain et le temps que je lui apporte une serviette et un peignoir il est déjà nu sous la douche. Je reste un instant à le regarder. Il se caresse doucement le sexe en me regardant droit dans les yeux. Je me sens rougir, il m’invite à le rejoindre sous la douche, j’hésite mais une force irrésistible me pousse à obéir, je me déshabille doucement et à ma grande honte, je libère mon sexe qui commence aussi à se tendre bien malgré moi. J’entre sous la douche et tout de suite, il m’appuie sur les épaules, m’indiquant clairement qu’il veut se faire sucer.

« Aller vas-y mets-toi à genoux et suces tu en crèves d’envie, ça se voit bien que tu es une petite cochonne seulement tu le sais pas encore ma salope ! Je vais te l’apprendre moi tu vas voir je vais faire de toi une bonne suceuse de bites! »

Je résiste, il insiste et progressivement, je cède. Sous la pression qu’il exerce sur mes épaules, Mon visage s’approche lentement de son sexe, je me retrouve rapidement à genoux, sa queue raide et bien dure à hauteur de mon visage. C’est l’image parfaite de mon fantasme, une grosse bite tendue à portée de ma bouche. Je sens ses mains peser sur ma nuque ce qui ne me laissent pas le choix, je résiste encore un peu pour la forme, pour sauver les apparences, puis je me laisse aller à mon profond désir de téter ce sexe qui m’excite. Ma bouche s’ouvre sur cette bite raide qui me pénètre la bouche comme s’il s’agissait d’un sexe de femme.

Il râle, me pistonne la bouche comme s’il baisait. Je le pompe avidement, il me traite de salope, de grosse pute, de bonne suceuse, et de bouche à foutre en s’excitant de plus en plus. Après quelques minutes de ce va et vient infernal il éjacule dans ma bouche en me tenant bien la tête sur sa bite jusqu’à la fin de son éjaculation. Je réprime un réflexe nauséeux avant de finalement avaler ce liquide chaud et gluant qui jaillit dans ma bouche.

Lorsqu’il me lâche la tête il me fait remarquer

« Mais tu bandes encore ma cochonne, tu vois que tu aimes ça ! Je te l’avais dit que tu étais une petite pute. C’était bon hein salope ? T’es une bonne petite pédale, une petite pute qui s’ignorait. Ça se sent que tu aimes pomper ma cochonne, tu le fais bien, ça te fait bander, et tu suces mieux qu’une pute. Continue à me pomper petite suceuse ! Et surtout salive bien ! Mouille-moi bien la queue ! Dès que je rebande, je vais de la mettre dans le cul alors salive bien si tu veux que ça glisse quand je vais te défoncer ton p’tit cul de pucelle »

Ce salaud a raison, je suis très excité par la fellation que je viens de lui faire. Je reprends sa bite dans ma bouche et je la suce avec ardeur je salive pour bien la mouiller car j’ai une folle envie de me faire prendre comme une femelle, je me sens comme une chienne en chaleur, je me sens salope je suis excité par ses insultes, j’aimerais avoir autour de moi, plusieurs bites à sucer, j’aimerais me faire prendre en suçant. Il me lubrifie la rondelle, et me prépare avec un, deux puis trois doigts avant de poser sa queue sur ma rosette. Lorsque je sens le contact de son gland je me cambre et pousse en arrière pour qu’il me pénètre bien à fond.

Je ressens une vive douleur lorsque le gland force mon anus, il s’enfonce doucement en moi mais sans interruption jusqu’au fond de moi puis il s’immobilise, Je sens une douleur vive de brulure mais elle se calme rapidement, puis se réveille lorsqu’il commence à bouger en moi. Mais la douleur se transforme rapidement en chaleur agréable, puis une sensation étrange, m’envahit. Je sens monter en moi une sensation étrange troublante, et soudain le plaisir me submerge. Je suis à quatre pattes, et je sens ma queue durcir à me faire mal et soudainement j’éjacule. Le sperme jaillit de mon sexe avec une force inhabituelle juste au moment où je sens mon baiseur se vider en moi. Je m’écroule épuisé par l’intensité de cette première expérience homosexuelle.

Nous nous sommes endormis mais deux heures plus tard je suis réveillé par ses caresses et je plonge sur sa queue pour l’emboucher et le sucer jusqu’à l’éjaculation. Je reçois tout en bouche et cette fois c’est avec un réel plaisir que j’avale le sperme gluant qui se déverse dans ma bouche. Il me demande de le sodomiser, en levrette et je jouis dans son cul en le bourrant à grand coups de pine en le traitant à mon tour de salope et de pédale.

Le lendemain matin, je réalise vraiment ce que j’ai fait et je ressens un mélange de honte, et d’humiliation je n’ose pas le regarder en face. Comme convenu il quitte la maison à 7 heures et demi et j’en suis soulagé.

Le soir, en rentrant chez moi, je n’arrête pas de penser à la nuit passée, ce qui me provoque une violente érection que je soulage en me masturbant regrettant de ne pas avoir une bonne queue à téter.
Cette nuit-là j’ai peu dormi et me suis branlé plusieurs fois avec le souvenir de cette merveilleuse queue qui avait éjaculé dans ma bouche et dans mon cul.

cricrigdn@gmail.com

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