Josée, l’amie de ma mère par Elian Lvekman
Bonjour, je suis un jeune homme au chômage et pour me faire de l’argent de poche je fais du ménage chez des gens.
Un jeudi, Josée, l’amie de ma mère, appelle à la maison pour me demander si je peux venir faire le ménage aujourd’hui plutôt que le lendemain, moi pas compliqué, je lui réponds :
– Pas de problèmes j’arrive.
Je préviens ma mère.
– Ah, ça tombe bien, je devais lui rapporter son plat à tarte, prends-le, ça m’évitera d’y aller.
– Bien sûr
Josée à 50 ans, joli visage, un peu dodue, de belles formes, fausse blonde, frisée. Apparemment elle vit seule.
Cela ne fait qu’un mois que je fais le ménage chez Josée, les choses se passent toujours bien. Elle est gentille et souriante. Et puis elle a des gros nénés
Arrivé à la maison de Josée, celle-ci m’ouvre, elle n’est pas encore habillée et elle est vêtue d’un haut de pyjama ou plutôt d’un très long tee-shirt. Ses tétons pointent par en dessous. J’en suis tout chose
– Ah ! Maman m’avait demandé de vous rapporter votre plat à tarte, j’ai complètement oublié…
– Pas grave, elle viendra me le porter. Ah, aujourd’hui, j’ai un caprice, tu n’es pas obligé d’accepter, mais si tu acceptes, je double ta prime.
– C’est quoi ?
– J’ai retrouvé une tenue de soubrette, elle doit être à ta taille, j’aimerai que tu fasse le ménage avec. Ça va m’amuser !
Sa proposition ne me pose aucun problème et n’est pas trop compliqué, la tenue consiste en une espèce de tablier noir avec de la dentelle blanche, il y a aussi une petite coiffe ridicule et des bas auto-fixants.
Je passe tout ça !
– La culotte n’est pas assortie, c’est dommage ! Me dit Josée, je vais en chercher une.
Quand elle revient, elle me dit qu’elle n’a pas trouvé de culotte à ma taille mais me propose de ne pas en mettre. Elle est gonflée quand même, mais comme il y a une prime au bout…
Arrivé vers la fin de mon ménage, il ne me reste que le plancher de la salle de bain à laver. je suis à quatre pattes en train de frotter quand Josée rentre, je ne remarque pas sa présence jusqu’à temps qu’elle me dise :
– On t’as déjà dit que tu avais de très belles fesses !
Je lui répond très gêné :
– Euh, non ! Mais merci du compliment !
Je trouve ça bizarre car d’habitude elle ne me parle presque pas. Alors tout le temps que je finisse de frotter le plancher Josée reste derrière moi à me regarder faire ou plutôt à regarder mon cul, quelque fois je me retourne pour voir si elle est toujours là et comme elle était assise sur le bord de la baignoire tout ce que je vois très près de moi c’est une paire de jambes nues et sans rien aux pieds.
Alors une fois mon travail terminé je me lève, range les choses et commence à me préparer à partir. Josée est allée dans sa chambre chercher de l’argent pour me payer, elle revient et me dit:
– Je suis complétement désolée je n’ai pas d’argent dans mon sac, je croyais en avoir désolée !
Je lui répond:
– Bah ! c’est pas plus grave que ça vous donnerez mon salaire à ma mère et elle me le rendra.
D’un coup Josée s’approche de moi sans rien dire et me dit à quelque centimètres de mon visage:
– Tu sais je peux te payer d’un autre façon et toi tu peux me faire profiter de ces belles fesses-là !
La seule réaction que j’ai eu fut de bander, le reste de mon corps était subjugué par cette offre. Et accoutré comme je l’étais mon érection a été très vite visible. Josée alors me dit en me touchant le sexe :
– Je vois bien que tu es d’accord, il n’y a qu’à regarder ta queue !
Alors ma deuxième réaction a été de la suivre jusqu’à sa chambre
Une fois sur place, elle me pousse sur le lit en me disant :
– Laisse-toi faire, tu vas voir ça vaudra très bien ta prime.
Elle sort deux long foulards et m’attache les mains sur la tête du lit, elle me déshabille lascivement à l’exception des bas, et me caresse tout le corps. Elle ouvre ensuite une bouteille de vin blanc et m’en verse environ la moitié sur moi, j’ai du vin de la tête aux pieds vraiment partout et elle commence à me lécher tout le corps en me pognant les fesses par en dessous et me dit:
– Tes fesses je les adore, mon beau !
Elle me demande:
– Alors ce soir tu es prêt à tout ?.
Et je lui réponds d’une voix ferme
– Oui ma belle Josée, je suis tout à toi !
Alors elle me détache et me dit de me tourner sur le ventre, je m’exécute sans rien dire, une fois sur le ventre elle me rattache les mains et me dit:
– Enfin je vois ces fesses-là et elles sont juste à moi !
Alors elle commence à les caresser, les lécher les mordiller, mais d’un coup je sens son doigt aller vers mon anus, je lui demande
– Tu fais quoi là ?
Elle me répond :
– Laisse-toi faire, j’ai de l’expérience, relax !
Comme elle allait de plus en plus loin, je lui dit :
– Non, je suis pas sûr que ce soit une bonne idée !
– Ha ! Laisse-toi faire ! Tiens, j’ai une idée !
Elle sort un autre foulard, me le mets sur la bouche et elle dit :
– Tiens, comme ça je vais avoir la paix !
Et elle continue cette fois avec le doigt rentré au complet entre mes fesses. Elle m’entend pousser des cris et alors elle commence à faire des va-et-vient de plus en plus vite et fort elle tourne son doigt et me dit :
– Tu aimes ça pas vrai, je le savais ! Tous les hommes aiment ça ! On ne te l’avait jamais fait ?
– Huumpf ! Répandis-je, étant toujours bâillonné.
– J’ai un petit truc qui devrait te plaire.
Elle farfouille dans un tiroir et sort un gode tout noir en forme de bite.
– Mouille le avec ta salive, ça entrera mieux.
Je fais « non » de la tête. Elle s’en fiche et enduit d’objet avec un liquide lubrifiant puis elle me l’enfonce dans le cul. Je gémis, je gesticule, je refuse qu’on m’introduise cette chose dans mon anus.
Josée s’en fout, elle me viole carrément et fait gigoter le gode. Au bout d’un petit moment, je me rends compte que ça me fait du bien. Je m’abandonne, je me laisse faire.
Elle finit par le retirer et m’ôte mon bâillon.
– Alors ça t’a plu de te faire enculer ?
– Non !
– Menteur ! Tous les hommes adorent ça, mais il y en a pas beaucoup qui l’avoue.
Elle me détache de nouveau, me retourne et me rattache, ensuite elle se lève devant moi et enlève son tee-shirt, deux gros seins se présentent à moi ainsi qu’une belle chatte bien poilue et déjà toute juteuse. Alors elle commence à faire promener ses gros seins sur mon corps et ensuite ses lèvres et sa langue. une fois arrivée à ma queue qui était à son maximum, prête à exploser, elle la rentre enfin dans sa bouche et commence à promener sa langue et ses lèvres sur tout mon membre en même temps qu’elle me masturbe.
Une fois que je commence à sentir la semence monter je pousse des cris comme quoi je vais venir, elle lève ses yeux vers moi et me jette un regard comme quoi elle avait compris que ça venait et alors elle continue de plus belle, elle masturbe et suce plus vite comme si elle voulait que je vienne vraiment le plus rapidement possible. Une fois la semence arrivée à destination je lui déchargeais tout dans la bouche, alors elle arrive vers ma figure et m’embrasse, moi je croyais qu’elle avait avalé, mais non tout mon liquide était encore dans sa bouche et là il était en train de se promener dans la mienne avec la langue de Josée, alors une fois l’embrassade fini je crachai tout ce que j’avais dans la bouche et ça tombait sur ma poitrine, elle me dit
– Na, tu aimes pas ça ?
Alors elle reléche tout et revient sur ma bouche et me réembrasse et me bouche le nez en me tenant la bouche pour que je sois obligé d’avaler et elle riait beaucoup à me voir ma mine. Une fois finie, elle me détache et me dit
– Tu as aimé ça ?
– Oui mais maintenant, ça va être à ton tour d’y gouter !
Je la fais coucher sur le lit et d’un coup on est interrompus par la porte qui sonne. Josée se lève et revient très vite avec la face très longue et apeurée en me disant
– C’est ta mère à la porte.
Alors je me dit « Merde ! » Je suis fini elle va nous tuer les deux
Josée va ouvrir sans remettre son tee-shirt et au lieu de fermer la porte de la chambre, cette imbécile l’y fait entrer !
Ma mère me voit au milieu du lit, nu comme un ver à l’exception des bas que j’ai conservé avec une belle et grande érection et elle me regarde puis se tourne vers Josée en lui disant
– Ben dis-donc, toi ! Tu n’es pas capable de passer une journée sans sexe, pas vrai ?
Alors je me lève prend mon pull-over pour me cacher et dit à ma mère
– On s’amusait juste un peu ! On ne fait rien de mal !
A ma grande surprise ma mère me répond
– Ben non, vous ne faites rien de mal, mais j’aimerais bien regarder la fin, Parce que vous n’aviez pas fini, c’est bien ça ?
Moi la figure me tombe par terre en comprenant que ma mère voulait me regarder baiser avec sa meilleure amie.
Josée me regarde et se retourne vers ma mère en lui disant
– Ah ! Bonne réaction ! Pas de problème prends la chaise dans le coin, assis-toi et regarde !
Alors moi ne pensant plus à rien je recommence à caresser Josée et à l’embrasser timidement, alors elle me prend et me bécote à pleine bouche comme une vrai salope. Je commence à lui caresser la chatte toute mouillée et les seins qui étaient déjà tout durs. A un moment donné quand j’étais le visage en plein entre les cuisses de Josée j’entends une respiration forte qui n’était ni la mienne ni celle de Josée alors j’arrête et regarde dans la coin ma mère n’en pouvait plus, elle avait la robe relevée, la main dans la culotte et se donnait du plaisir. Ma propre mère qui était excitée par son fils, moi, je n’en croyais pas mes yeux. Alors Josée ouvre les yeux pour voir pourquoi j’avais arrêté et elle voit elle aussi ma mère en train de se donner du plaisir et lui dit:
– Viens ! Joins-toi à nous !
– Mais enfin, c’est mon fils !
– Qu’est-ce que ça peut bien faire ? Et puis au point où t’en es…
– C’est de l’incitation à la débauche !
Elle dit ça en rigolant
– Parfaitement, allez viens !
Ma mère se lève sans hésiter davantage, se jette sur le lit et commence à me masturber et à embrasser Josée, elle se penche ensuite pour me sucer la queue pendant que je mangeais la chatte à Josée une fois fini, je débraille ma mère afin de lui lécher ses seins magnifiques, puis je me mets sur elle et lui rentre ma queue dans la chatte je la sens frémir dans mon cou et elle me grafigne le dos avec ses longs ongles pendant que Josée se caresse à côté. Après ce fut le tour de Josée de jouir après que je l’ai enculé avec frénésie. Une fois la partie de jambes en l’air avec ma mère et son amie, Josée nous a servi un café et c’est là que j’ai appris que ma mère et Josée avaient déjà fait du sexe ensemble à l’école où elles étaient pensionnaires et c’est pour ça quelle sont de grandes amies et qu’elles peuvent avoir du sexe ensemble sans se sentir tout bizarre.
– Si tu veux, on recommencera ! Me dit ma mère, ce sera notre petit secret à tous les deux Et puis j’aimerais bien que tu m’encules.
FIN
J’adore ce genre de délire
Une honte ! Ça devrait être interdit
… nous dit le mec après s’être bien excité dessus à 4 heures du matin
C’est n’importe quoi, mais l’érotisme fonctionne bien
La débauche est un mot inventé par les hypocrites et les curés (pléonasme)
Plein d’idées pas assez exploitée
Encore une histoire de maman coquine, il est vraiment dommage que la fin soit expédié comme une lettre à la poste alors qu’elle pouvait donner lieu à des descriptions torrides