Annonce insolite par Mathilda Stenberg
Attention texte scato explicite
Chloé (c’est moi) finissait son café en rêvassant à la terrasse de ce bistrot. Situé devant la gare, il était fréquenté par une clientèle de passage, où se mélangeait allégrement familles nombreuses encombrées de bagages, voyageurs de commerce, le nez dans leurs journaux économiques et babas-cool prenant leurs quartiers d’été.
La sonnerie du portable d’un type placé à un mètre de moi retentit. Il gueule comme un putois, il se croit tout seul, j’en ai rien à foutre de ses affaires. Je crois comprendre qu’il y a eu confusion sur l’heure d’un rendez-vous. Le type sort un billet de son portefeuille, et décampe, son portable à l’oreille. Il a oublié deux journaux sur la table, je les attrape pour y jeter un coup d’œil ! L’un est un journal sportif à grand tirage, en revanche je ne connais pas l’autre, de format plus petit, la couverture montrant une femme à la poitrine généreuse et dévoilée m’apprend qu’il ne s’agit cependant pas d’un manuel de jardinage. Je feuillette amusée, ce sont des petites annonces. Des petites annonces bien coquines…
Qui l’eu cru ! Toutes ces annonces m’excitent, il y a de tout, des sados, des masos, des homos, des lesbiennes, des travelos, des partouzeurs, des apprentis cocus, des voyeurs, des exhibos. Je voudrais foutre ce canard en l’air, mais non ça m’excite, ça m’excite et je continue à lire
Et puis je tombe sur ça :
« Tina, 26 ans aimerait rencontrer une jeune femme qui accepterait de faire ses besoins devant moi. Réciprocité bienvenue. »
N’importe quoi ! N’importe quoi ! Il y a des tarées graves quand même ! Allez regarder quelqu’un chier ? Non mais ça ne va pas ! Pisser encore, ce peut être rigolo ! Mais la merde, ça pue, c’est moche ! Berck Berck Berck et re berck !
Et puis ce flash, ce souvenir ! La campagne, ma cousine, la forêt….
– Faut que je fasse caca ! M’avait-elle annoncée.
– Ben vas-y ! Planque-toi derrière un tronc d’arbre !
– Non, reste avec moi, j’ai peur des serpents.
– Bon, ben vas-y, je me tourne !
Je le fais ! Mais ma cousine m’interpelle !
– Il n’y a rien derrière moi ?
Je suis bien obligée de me retourner ! Malgré moi je suis fascinée, ma cousine est accroupie, en train de déféquer et je la regarde, je n’arrive pas à détourner mes yeux de ce gros boudin qui pendouille et qui finit par dégringoler mollement au sol ! Je suis tout d’un coup terriblement excitée !
– Hum, ça fait du bien de faire un gros caca ! Commente-t-elle ? Tu n’as pas envie toi ?
Je lui ai répondue que non, je l’ai regardé s’essuyer et je suis restée avec mon excitation ! Le soir dans mon lit, je me suis rejoué la scène dans ma tête et j’ai regretté de ne pas avoir répondu à cette étrange demande de réciprocité. Allez donc savoir pourquoi ? Le goût de l’interdit sans doute… L’excitation retombée, j’ai refoulé ce plaisir pervers qui m’avait envahi. Et puis quelques jours plus tard quand ma cousine m’a demandé si elle pouvait faire caca devant moi « comme l’autre jour », au lieu de partager son délire, j’y ai mis des limites : « Pipi, oui, mais pas caca ! » L’affaire en est restée là. Les jeux uros ont ensuite intégré petit à petit mon univers érotique mais jamais je n’ai accepté de franchir la frontière que je m’étais fixée. Et pourtant régulièrement des esquisses de fantasmes scatos m’assaillent, ça ne dure jamais longtemps d’habitude.
Pourquoi suis-je si excitée alors ? Je relis encore l’annonce. Rejouer cette scène une fois, juste une fois, après on verrait bien ! Après tout qu’est-ce que je risque ? Et puis cette impression si troublante de tenter le diable… Un numéro de téléphone est indiqué, je le compose. Evidement c’est un répondeur ! C’est vrai qu’il doit falloir gérer ce genre d’annonce. On me demande mes coordonnées, je les donne, je pourrais toujours dire que c’est une blague si ça me prend trop la tête.
J’ai passé la journée comme d’habitude à vendre des pantalons, des petits hauts et autres fanfreluches à quelques minettes et le soir en rentrant dans mon studio de « célibataire et fière de l’être » je ne pensais plus du tout à cette affaire quand mon portable sonna vers 19 h 30
– Je suis bien au 06 xx….
– Oui !
– Vous avez appelé suite à mon annonce….
– Ah ! Oui, c’est vrai !
L’excitation étant retombée, je n’avais plus trop envie de donner suite.
– Vous avez quel âge ? Demande la douce voix
– 28 !
– Et vous êtes quel genre ?
– Quelconque, brune à lunettes. Pas trop moche.
– Vous êtes sur Montpellier même ?
– Oui, mais…
– On peut se voir, pour discuter un peu ?
– Oui, mais…
Ça y est, les images de ma cousine qui reviennent. Il faut que je me calme, je ne vais quand même pas m’embarquer avec n’importe qui pour faire n’importe quoi…
– Je peux vous retrouvez où ? Insiste-t-elle
– Au « café des amis » devant la gare, à la terrasse, dans vingt minutes.
– Donnez-moi un signe de reconnaissance, c’est moi qui vous aborderais, je prends mes précautions, vous comprenez ?
– Je sais pas, moi, j’aurais un gilet noir et un cahier bleu à la main.
– Dans combien de temps ?
– 20 minutes, ça va ?
Ravagée, je suis ravagée, mais j’ai un plan, le cahier bleu je ne vais pas le sortir tout de suite, comme ça si je vois une fée carabosse en train de chercher quelqu’un et bien elle continuera à attendre.
Je m’installe à la terrasse, le gilet sur les genoux et le cahier dans le sac. Personne n’a l’air ni d’attendre ni de chercher qui que ce soit sinon cette jolie blonde un peu plus loin, qui attend probablement son mec…
Donc récapitulons : j’ai rendez-vous avec une nana qui a passé une petite annonce pour qu’on chie devant elle et vice versa ! Il faudra que je consulte !
La blonde passe et repasse devant la terrasse ! Ce n’est pas elle tout de même ? J’enfile le gilet, elle regarde dans ma direction, semble hésiter. Je sors le cahier bleu et fais le geste de m’éventer avec. Elle s’approche, c’est elle !
– Bonjour, je suis Gwen !
– Chloé, enchantée ! Je ne vous voyais pas comme ça, vous êtes charmante.
– Merci ! On se tutoie !
– Oui !
– Toi aussi, tu aimes les grosses cochonneries alors ? Me dit-elle en guise d’entrée en matière.
Alors, je lui explique qu’il ne faut peut-être pas aborder le problème de cette façon. Et je lui explique : le bouquin d’annonces, la sienne d’annonce, le flash avec la cousine, tout sur la cousine, mon excitation, mon incomprehensible excitation.
– Et sinon sexuellement tu te classes comment ? Me demande-t-elle.
– Je ne me classe pas, j’aime tout un tas de chose, les mecs, les filles, les partouses, l’uro, un peu le SM… En fait j’aime beaucoup de choses mais je ne pratique pas souvent. Je suis trop indépendante pour supporter la vie de couple, alors le sexe c’est souvent en solo… et toi ?
– J’avais une copine, une fille plus vieille que moi, mais elle a été mutée dans le Nord, elle m’a initié à un tas de trucs, alors ça me manque, c’est pour ça que j’ai passé une annonce un peu extrême, mais faut pas croire, il n’y a pas que ça dans la vie ! Sinon, je te plais ?
– Oui, t’es mignonne !
– Bon, alors je t’emmène chez moi ?
Ben voyons !
L’impression d’être prise dans un engrenage… Et mon cœur qui fait des gros toc-toc dans cet interminable escalier. On rentre, la porte se referme. Je jette un coup d’œil sur le studio. C’est gentiment décoré, peut-être un peu chargé à mon goût, des poufs, des coussins, des tableaux genre pop’art. On se croirait à Greenwich Village dans les années hippies
– T’es pas pressée, j’espère ?
– Non ! (je n’allais pas lui dire oui)
– T’as mangé ?
– Non.
– T’as peut-être faim, il est 21 heures passés ?
Elle farfouille dans le frigo.
– Jambon, pâtes, ça va ? J’ai du fromage, des fruits, tu bois quoi, du vin ?
Nous voilà à parler de nous, de nos vies, de nos boulots respectifs, elle travaille dans une boîte d’assurance. On se trouve quelques affinités. Elle est gentille, douce, je m’étonne de ne l’avoir jamais rencontrée, mais c’est vrai qu’elle n’a rien de particulier qui ferait qu’on la remarque.
On a mangé un dessert, elle me propose un café, je décline. Je l’aide à débarrasser la table et à faire la vaisselle.
Et puis sans transition :
– Je vais pisser, tu veux regarder, je suppose ?
– Bien sûr !
– J’aimerais bien un petit bisou avant.
Pas de problème, on se rapproche on se serre dans nos bras, on se roule un patin d’enfer. J’en suis toute chose.
– Viens !
Elle quitte son pantalon, puis sa culotte, elle m’exhibe carrément sa chatte poilue.
– Elle te plaît ?
– Bien sûr qu’elle me plaît.
– Tu aimerai que je te pisse dessus ?
– Oui, pourquoi pas ?
– Dans la bouche ?
– Un peu dans la bouche, oui !
– Déshabille-toi, sinon on va en foutre partout !
Me voilà en train de me foutre à poil devant une inconnue rencontrée il y a un peu plus d’une heure.
– Hum, c’est mignon tout ça ! Commente-t-elle.
– N’est-ce-pas ?
Elle m’embrasse les tétons, me caresse, me malaxe les fesses. Je lui fais comprendre qu’elle pourrait elle aussi retirer le haut. Pas de problème, le petit haut valse, le sous-tif, également. C’est trop mignon tout ça !
On s’embrasse, on se pelote, on roule sur le tapis, mais Gwen se libère.
– Viens, j’ai trop envie !
Je la suis dans la salle de bain, elle me fait allonger par terre, puis approche son pubis de mon visage. C’est vrai qu’elle avait une grosse envie, j’en avale pas mal mais rapidement, je ne peux plus suivre; j’en laisse plein à côté, on rigole comme des bossues.
– Alors, il est comment mon pipi ?
– Hum ! Un délice !
– T’as pas envie, toi ?
– Si je peux t’en faire un peu, c’est quand tu veux !
Elle m’embrasse à nouveau, je suis bien, elle me susurre alors à l’oreille :
– Alors tu voudrais qu’on fasse des grosses cochonneries maintenant ?
Je lui fais signe de la tête que oui, le moment fatidique est donc arrivé.
– T’as envie de faire un petit caca ? Demande-t-elle.
– Je ne sais pas, je ne crois pas, pas tout de suite !
– Pousse pour voir !
Je le fais, mais sans résultat !
– La meilleure façon est d’aller voir sur place ! Répond-elle alors.
Elle mouille alors son doigt et me le pénètre dans l’anus qu’elle me trifouille avec énergie.
– Pousse en même temps… C’est pas très loin, je sens ta merde, mais il faut peut-être attendre un petit peu… c’est pas un problème… On attendra.
Elle sort son index en vérifie l’état ! Il n’est pas très net, c’est le moins que l’on puise dire, recouvert qu’il est de choses marrons. Elle le regarde, amusée et sans hésiter un seul instant elle se le fourre dans la bouche et le nettoie de sa langue.
– Deuxième tentative ! Dit-elle en m’enfonçant cette fois deux doigts ! Allez pousse, pousse ma petite salope !
Elle retire ses doigts, me les fout sous le nez !
– Lèche !
– Non !
– Sois pas bête, ça n’a pas beaucoup de goût !
– Si ça n’a pas de goût, pourquoi veux-tu que je le fasse ?
– Parce que c’est pervers, parce qu’on est deux belles cochonnes et parce que ça me fait plaisir ! Ouvre ta bouche, ma mignonne !
Elle me dit ça tellement gentiment que je n’ose pas refuser. Je lèche ses doigts, c’est acre, et effectivement ça n’a pas beaucoup de goût.
– C’est bien, on fera quelque chose de toi, commente Gwen en plaisantant. On va attendre que ça vienne… Mmmm moi par contre, je crois que je vais faire un joli petit étron !
Elle me fait un peu peur, je ne sais pas trop où je m’embarque. Peur mais fascinée aussi !
– Tu veux vérifier ? Demande-t-elle
– Tu veux que je te mette un doigt ? Osais-je.
A mon tour je me mouille l’index et lui introduit dans l’anus, je sens effectivement une masse un peu molle. Je réalise que je suis en train de lui toucher sa merde, et que non seulement ça ne me gêne pas plus que ça, mais que ça m’excite !
– Je crois qu’il y a un gros caca en préparation ! Lui-dis je !
– Ok ! Retire ton doigt !
Bien sûr mon index est sale, je lui offre à sucer ! Je pensais qu’elle refuserait, me demandant de le faire, mais non elle me lèche le doigt, et une fois que c’est fini, elle approche son visage de mes lèvres, nous nous embrassons, un vague goût acre reste alors sur sa langue ajoutant à mon trouble.
Gwen s’en va chercher une assiette dans sa cuisine, elle se met ensuite à genoux sur la table, me tourne le dos au dessus du plat qui est prêt à recevoir ce qu’elle va chier.
– Tu veux me sucer l’anus avant !
– Oui, mais ne pousse pas, alors ?
– Tu as tort, mais OK, autant y aller progressivement.
J’approche mon visage de son trou du cul ! Bigre, ça ne sent pas la rose par là ! Ça sent nettement plus fort que ce qu’il y avait sur nos doigts à l’instant !
– Dis donc, tu sens un peu fort !
– C’est normal, c’est un trou du cul, c’est une odeur naturelle. Tu vas t’habituer, lèche !
Je lèche quelques instants son petit anus, mais j’ai l’impression que celui-ci à tendance à se dilater, je n’ai quand même pas envie de recevoir sa crotte dans la bouche. Je me recule.
– Ne pousse pas !
– Je ne pousse pas, c’est toi qui appréhendes. Bon j’y vais ! Regarde bien et tu vas me commenter tout ça !
Commenter ? Il faut faire des commentaires ?
– Tu vas me dire ce que tu vois !
– Pour l’instant je ne vois pas grand chose, si… ton trou du cul se dilate !
– Je vais essayer de faire ça tout doucement !
– Ça y est, ton caca commence à sortir !
– Ça te plait de me regarder chier ?
– Je ne sais pas si ça me plait mais ça m’excite.
– C’est de quelle couleur ?
– Ben, marron, c’est toujours marron, non ?
– Oui mais marron comment ?
– Marron foncé !
– T’as de la chance se sont les plus belles merdes.
Un long étron merdeux se fraye un chemin hors de l’étroit conduit, sa taille augmente dans des proportions que je n’aurais pas cru possible, puis la merde se casse et tombe dans l’assiette. Gwen défèque toujours, une nouvelle merde sort de son anus et vient rejoindre l’autre, une troisième arrive; mais avant qu’elle ne tombe, elle y met la main, en récupère un peu et se l’étale entre ses fesses.
Je crois que j’ai fini, viens me nettoyer avec ta langue !
Je jette un coup d’œil sur le cul merdeux de ma complice de ce soir, non trop c’est trop, je ne me vois pas lécher tout ça et je le lui dis.
– Juste un peu, je ne te demande pas de tout enlever… mais juste un peu pour faire plaisir à ta copine !
– Je ne sais pas…
– Ce n’est pas pire que de lécher les doigts, c’est la même chose…
– Bon je vais essayer, mais tu ne seras pas fâchée si j’arrête ?
J’y vais. Je choisis une zone pas trop encombrée et je commence à lécher, effectivement à part ce petit côté acre, le goût est plutôt neutre. Il y a l’odeur, mais ça reste supportable, je lèche, je lèche.
– Ça va ? demande-t-elle ?
– Ouais !
– Lèche-moi le trou !
Au point où j’en suis, je n’ai plus aucune réticence, je lance ma langue sur l’anus merdeux, je l’embrasse puis je le suce de petits coups de langues répétées. Je m’enivre de ce que je fais, je suis maintenant complètement dans le trip. Le goût n’est pas à proprement (?) parler désagréable, avec un arrière-goût un peu amer comme certains fromages. En fait le premier pas franchi, c’est même pas mauvais du tout, un peu particulier mais pas mauvais.
– Hummm, elle est bonne ta merde !
– Ben tu vois !
Je suis dans un état second, ma chatte est mouillée comme une soupe, je continue à lui lécher le cul comme si je dégustais le meilleur plat d’un grand restaurant.
Et puis les jeux scatos ont aussi leur limites, alors excitées comme des puces nous nous sommes retrouvées spontanément en soixante-neuf à nous lécher la moule jusqu’à l’orgasme…
On a pris une douche, pas ensemble, l’une après l’autre…
Je craignais un peu la suite, mais Gwen m’a rassuré.
– C’était un fantasme, je suis contente de l’avoir réalisé ! Me dit-elle. Mais on ne recommencera pas… Si on se croise un jour dans Montpellier on se fera un bisou, on pourra même prendre un café vite fait, mais on en resteras là.
Voilà qui me convenait très bien.
Environ un mois après cette rencontre, je croisais Gwen en rentrant du boulot. Nous somme allées boire un verre, en fait on était contente de se retrouver, nous avons bavardé comme des pies, je l’ai suivi chez elle, on s’est bien amusé, on s’est trouvé tellement bien ensemble que cela va bientôt faire 10 ans que nous vivons ensemble.
Fin
Quelle excitation de lire ce joli teste ! Je crois que je deviens de plus en plus scato !
Comme quoi on peut écrire de belles histoires scato qui ne tombent pas dans le sordide
Il fallait du talent pour décrire ces choses extrêmes sans choquer. Bravo !
Ce n’est pas bâclé, c’est bien scénarisé, on y croit, Bravo !
Encore une belle histoire scato ! Je me souviens de mon premier trip scato avec mon amie plus âgée. Nous nous connaissions que depuis quelques semaines après avoir sympathisé dans une boite pour filles. Elle m’a raconté sur le ton de la plaisanterie qu’elle avait rompu avec une fille, et qu’elle regrettait les fantaisies qu’elles pratiquaient ensemble, Elle m’a expliqué que cette fille lui servait de papier à cul et qu’elle en retirait beaucoup de plaisir. Quand elle m’a proposé d’essayer, j’étais tétanisé mais la chose me tentait. Elle est allé chier et m’a tendu ses fesses. J’ai encore le souvenir de ce magnifique fessier à peine pollué de taches brunes. J’ai léché tout ça avec gourmandise. Elle m’a alors proposé que la prochaines fois elle me chierait dessus, j’ai accepté. Cochonne je suis !
Malgré la faiblesse de l’amorce j’ai trouvé ce récit plutôt bon
Dommage que la rencontre soit un peu « artificielle », sinon c’est pas mal du tout
Le fantasme est extrême mais il est délicieusement raconté sans surenchère et avec un certain réalisme