Fantasme inavouable par Mathilda Stenberg

Fantasme inavouable par Mathilda Stenberg

Bonjour, moi, c’est Catherine. Aujourd’hui c’est mon anniversaire. Mon fils est parti en vacances chez sa grand-mère. Nous sommes seuls à la maison mon époux et moi. Seuls et plein d’idées coquines. Pour commencer, ce matin je me suis habillée sexy : moulée dans une petite robe de jersey qui souligne mes formes pleines. Mes seins sont prêts à jaillir du profond décolleté. Sous ma robe courte, je ne porte pas de culotte. C’est dans cette tenue que je prépare le brunch. En jouant à la soubrette sexy qui ondule du popotin. Dans le fauteuil en face de moi, Olivier me regarde et me fait des compliments un peu grossiers.

– T’as vraiment l’air d’un pute, habillée comme ça !
– Tu crois mon chéri ?
– Oui, une morue, une poufiasse, un garage à bites.

C’est fou ce que j’aime la grossièreté dans certaines situations. Il relève ma robe et embrasse mes fesses.

– Je t’enculerais bien comme la traînée que tu es !
– Oh, oui,, mon chérie.

Un coup de sonnette nous tire de nos jeux érotiques.

– Va donc ouvrir, ma salope ! Mme dit Olivier
– Quoi ? Moi.. dans cette tenue !
– Bien sûr, quand on veut jouer les putes, il faut assumer !

La sonnette continue à tinter, avec insistance et je me décide à ouvrir, un peu gênée de me montrer aussi peu habillée à un inconnu.

Mais l’homme sur le palier n’est pas un inconnu. C’est François, un collègue de mon mari, un beau garçon pour lequel j’ai d’ailleurs un faible avoué. Un sourire aux lèvres, il me détaille. Moi je m’éclipse vite à la cuisine, sous prétexte de leur préparer des boissons. J’entends les deux hommes et je sursaute en écoutant leurs propos :.

– J’ai besoin de fric ces temps, alors si tu veux baiser ma femme, c’est 400 balles.

L’autre tente de marchander.

– Ecoute, c’est à prendre ou à laisser. Pour ce prix, je te la cède pendant trois heures… Tu verras, tu en auras pour ton argent !

Quand je les rejoins au salon, l’affaire semble conclue. Je ne sais si je vaux deux chameaux ou trois vaches laitières, mais les deux compères semblent satisfaits de leur affaire.

Le collègue d’Olivier soulève ma jupe et caresse ma toison. Il aurait pu demander quand même ! Je ne suis pas un objet.

Du coup je m’éclipse dans la cuisine, mais Olivier me rappelle trois minutes après. Je reviens donc.

– Je suis désolée, me dit François, je me suis laisser aller…
– C’est bon, on ne va pas en faire un plat.
– Faut dire que ton mari m’a fait une proposition farfelue et moi comme un con, j’ai prix ça au pied de la lettre.
– La proposition était sérieuse, mais j’aime bien qu’on me demande mon avis !

Il ne sait plus quoi dire le François ! Alors j’ajoute, très chatte.

– Mais si tu m’avais demandé mon avis, avant de me tripoter, j’aurais sans doute dit « oui ».
– Ah ! Et maintenant tu dis quoi ?
– Je dis « oui »
– Et pour ce prix-là, elle te fera tout ce que tu veux ! surenchérit Olivier.
– Sauf ce que je ne veux pas ! Nuançais-je

Et pour mieux tenter son client, il relève ma jupe pour lui dévoiler mon derrière.

Les deux hommes se lèvent et François commence à caresser mes seins.

– Top là, dit-il en tendant la main à mon mari.
– Affaire conclue.

Cette situation étonnante me met dans tous mes états. Mon fantasme enfin se concrétise, je suis une putain.

L’homme me saisit par la main et je reprends mes esprits. Je le guide dans ma chambre, jusque vers l’armoire remplie d’accessoires érotiques.

Je retire mes escarpins et ma robe. Nue et tremblante, je me présente devant lui. D’une main il caresse mes jolis seins, tandis que de l’autre il titille mon clitoris. Je mouille déjà et mon petit bouton durcit.

Il me fait monter sur le lit où je m’installe à quatre pattes. Il caresse ma croupe, il écarte mes fesses, me lèche le trou et y glisse un doigt mouillé de salive. Je frémis de plaisir. Alors doucement il y enfile un petit godemiché qu’il fait aller et venir. Puis il me demande de m’installer sur sa bonne bite en érection. L’opération est difficile. Je dois tenir le petit olisbos à l’intérieur de mon anus et en même temps m’accroupir sur son pieu. J’ai de la peine à maintenir toutes ces queues à l’intérieur, mais après quelques tâtonnements, je trouve enfin la position adéquate. L’anus rempli par le gode et la chatte travaillée par la grosse queue de François, je jouis comme une folle. Il ne tarde pas à faire de même et me tends sans un mot sa queue maculée de sperme. Je m’empresse de la nettoyer, j’adore avaler du foutre !

On souffle quelques minutes. Mon mari nous rejoint. Il nous apporte quelques rafraîchissements. Je suis toujours sur le lit, avec mon gode profondément planté dans le derrière. Mon mari me regarde à peine, il s’adresse à son collègue :

– Qu’est-ce que tu attends pour l’enculer cette chienne ?
– J’y pensais mais j’aimerais bien qu’elle me lèche le cul avant !
– T’as entendu, la pute ? Mon collègue veut que tu lui lèche le cul.

Il se met en levrette pour me faciliter l’accès et je lui lèche la rondelle.

– Quelle salope ! Quand même commente mon mari ! Elle me fait bander cette morue !

Du coup le voilà qui se déshabille et qui se met à se branler.

– Tu en as une belle queue ! Lui fait remarquer François.
– Pourquoi ? Elle t’intéresse, T’aimerais la sucer ?
– Pourquoi pas, juste un peu comme ça !

Je pensais qu’ils plaisantaient mais non, François prend dans sa bouche la bonne bite d’Olivier et finit par la faire cracher ! Je rêve ou quoi ?

C’est mon tour de me mettre en levrette, je cambre bien mon popotin, François m’encule, il en a une plus grosse que celle de mon mari et l’introduction est légèrement douloureuse, après ça va, il me fait jouir plusieurs fois et il explose dans un spasme.

Une nouvelle fois il me donne sa bite à sucer. Elle sort de mon cul, ais au point où j’en suis…

Mais ce n’était pas fini !

– Viens, on va la rafraichir ! Dit mon mari à son collègue. Non toi la pute te ne re relève pas tu nous suis à quatre pattes dans la salle de bain.

Et c’est en cœur qu’ils m’arrosèrent tous les deux de leur bonne pisse. Je trouve que celle de mon mari à meilleur goût que celle de François

Je me sens humiliée et, en même temps, je suis très ravi de ce qui vient de se passer. Depuis le temps que je voulais réaliser mon fantasme de faire la pute, mon mari me l’a fait réaliser, c’est un chou !.

Nous nous sommes douchés et nous sommes allé tous les trois au restaurant continuer de fêter mon anniversaire. Merci les garçons !.

Fin

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3 réponses à Fantasme inavouable par Mathilda Stenberg

  1. Sorenza dit :

    Elle est courte mais elle est bonne 😉

  2. Michard dit :

    Amusant, mais on a lu ce fantasme mieux raconté

    • Sonia Kubler dit :

      Je suis assez d’accord. C’est vrai que c’est très factuel et limite bourrin, mais le style léger et décontracté compense cela. Et puis c’est toujours intéressant de voir illustrer ce fantasme dont certaines voudraient nier l’existence.

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