Les années 70
3 – Ma femme se prostitue par Alban
Vers la fin février de cette année 68 la réputation de bonne salope ma femme ayant largement dépassé les limites de son service, la direction, sous prétexte de mise en conformité de son labo, le ferma et la muta avec une importante promotion dans un autre service ou la possibilité de faire apprécier ses charmes était très limitée. Elle en fut d’ailleurs assez peu contrariée, ayant peu de nouvelles bites à découvrir. Jacques, son meilleur collègue fut muté dans une société annexe en province. A l’occasion de son départ il organisa une petite fête à laquelle je fus invité et dont ma femme, comme on s’en doute, fut la reine. Je fis ainsi connaissance de tous ceux dans le service qui avaient baisé ma femme et dont la plupart n’étaient jamais venus à la maison, j’en comptais très exactement 14 plus les 7 que je connaissais. Certains en me serrant la main éprouvaient une sorte de gêne. D’autres au contraire me félicitaient et me remerciaient d’avoir une femme aussi salope et de me montrer à ce point compréhensifs.
Tous ne baisèrent pas ma femme ce soir là, certains se contentèrent de se branler ou de se faire sucer la bite en la regardant, comme moi, se faire mettre par les autres. C’était la première fois que je la voyais se faire baiser et enculer par autant de types et je prenais conscience que ma femme était vraiment une salope, ou un vrai « gouffre à bites » comme aurait dit Michel.
Avec Michel je découvrais aussi ma femme sous un nouvel angle. Elle appréciait la belle bite de Michel, mais c’était aussi et surtout la façon dont il la traitait avant de la baiser. Le plus souvent il lui faisait admirer sa queue raide et lui disait : « T’aimes ça ma salope te faire enculer, t’aimerais prendre cette belle bite dans le cul, alors demande le moi gentiment. » Si ma femme très excitée s’approchait bouche ouverte pour le sucer, il se reculait : « Non on ne touche pas ! » et ma femme au comble de l’excitation disait « Oui, je suis une salope, j’aime me faire enculer, encule moi ! Vide tes couilles dans mon cul » Et a genoux au bord du lit elle lui tendait sa croupe en s’écartant les fesses nous montrant sa rosette qui palpitait d’impatience.
Pour faire bonne mesure souvent quand Michel à grand coup de reins avait lâché son foutre dans le cul de ma femme je prenais le relais et mêlais mon foutre au sien.
Mais elle aimait aussi s’empaler sur ma bite et offrir en même temps sa croupe à Michel. Celui-ci lentement la pénétrait et je sentais la lente progression de son gland dans le cul de ma femme. C’était chacun notre tour d’effectuer un va et vient, d’abord lentement puis, une fois que nous avions pris le rythme, de plus en plus vite. C’était très excitant et chacun de nous faisait de gros efforts pour retarder le moment de vider nos couilles. Ma femme n‘arrêtait pas de jouir en criant son plaisir et je la sentais couler sur mes couilles. De temps en temps Michel lui disait : « T’aime ça ma salope te faire défoncer le cul et la chatte, hein t’aime ça ? Alors dis le nous ! » Et ma femme docile répétait. Nous arrivions presque à chaque fois à lâcher notre foutre ensemble ce qui déclenchait chez ma femme un nouvel orgasme plus fort que les autres accompagnés de cris significatifs.
Après c’était la pause, ma femme ayant basculé sur le coté en me rendant ma liberté restait un moment à remuer encore doucement avec de petit gémissements, puis tout son corps se détendait dans un abandon total. Nous savions qu’elle avait besoin d’ une bonne demie heure de repos et en profitions pour préparer de quoi reconstituer nos forces avant de remettre ça.
Mais connaissant ma femme, sachant qu’elle aimait, la diversité, je demandais à Michel de la faire baiser aussi par quelques un de ses copains. Il ne se fit pas prier et quelques bites de ses copains prirent le chemin du cul et de la chatte de ma femme, toujours c’accord pour se faire enfiler. C’était très excitant de le voir et surtout de l’entendre leur offrir ma femme, et de faire des commentaires sur ces bites qui la baisaient et l’enculaient. Il n’arrêtait pas de s’émerveiller de la façon dont « ma salope se faisait tringler par autant de mectons et s’envoyait en l’air en chantant la romance ». D’après lui il n’y avait que les « bonnes baiseuses, les salopes comme la mienne qui gueulaient en prenant leur pied ».
Plusieurs fois il me dit qu’il était dommage qu’aimant autant la bite elle ne fasse pas la pute, que c’était un peu du gâchis.
Quand je lui dis que ma femme, elle même m’en avait déjà parlé, il me dit : « Alors qu’est-ce que t’attends ? »
J’y pensais, j’y pensais de plus en plus, mais me trouvais toujours de bonnes raisons pour remettre à plus tard. L’idée m’excitait, je l’imaginais se faire baiser en levrette dans un bois, ou mieux encore dans un bordel, comme ceux que j’avais connus en Algérie, ou les putes se tapaient une vingtaine de mecs à chaque convoi. Mais je l’imaginais plus volontiers dans un bar à putes à Chambéry ou j’avais fais mes classes. J’avais gardé le contact avec le copain qui s’était maqué avec la patronne, et plusieurs fois j’avais été tenté de l’appeler.
Mais que ma femme fasse vraiment la pute dans un vrai bordel me mettais mal à l’aise. Je lui répétais qu’en se faisant baiser par mon client en échanges des commandes c’était aussi une façon de faire la pute et que grâce à elle, grâce aux coups de queue qu’elle prenait, mon chiffre d’affaire avec ce client avait quintuplé. Lui je le rencontrais rarement, et j’aimais autant. Il avait donné ses ordres à ses collaborateurs et c’était très bien comme ça..
A l’époque je baisais la secrétaire d’un autre client, une blonde presque aussi salope que ma femme. Michel étant comme moi représentant, les « réunions » le soir ou les « visites d’usines », c’était terminé.
En mars et avril il y eu des manifestations d’étudiants. On roulait mal. Dans les entreprises, ça grondait aussi. Ma femme vers la mi-avril cessa de voir mon client. Dans sa société également les syndicats bougeaient. L’actualité frappait avec insistance à la porte et nous y étions très attentifs.
Début Mai tout se précisa avec la pagaille que l’on sait. La majorité de la société de ma femme ayant cessé le travail, elle fit grève à la maison. Pour Michel et moi pas question non plus d’aller chez les clients. Et tout s’organisa le plus simplement du monde. Avec l‘accord de ma femme et le mien, Michel invita des copains à qui il proposait de venir « baiser la femme de son pote et se faire rincer la dalle pour 50 Francs et sans RV entre 14h et 18H » Ma femme était ravie et moi je laissais faire
En tarifiant les prestations de mon épouse, nous pensions limiter raisonnablement les coups de queue qu’elle allait prendre. Ce fut d’abord quelques uns chaque après midi, puis les copains en ayant parlé aux copains, ils furent de plus en plus nombreux. Ma femme faisait face sans aucun problème. Pourtant m’inquiétant pour elle, je proposai que nous nous limitions à 3 jours par semaine mais voulant, il faut croire rivaliser avec les putes des bordels d’Algérie, elle ne fut pas d’accord et continua à se faire défoncer le cul et la chatte chaque après midi par plusieurs bons bandeurs.
Michel alors proposa également à nos « invités » de « taper le carton » pendant, qu’après quelques coups de queue, mon épouse puisse récupérer avant d’affronter un nouvel assaut.
Certains jouaient au tarot d’autres préféraient le poker.
Parfois une partie acharnée, faisait presque oublier ma femme. Celle-ci en bonne salope, ou en pute soucieuse de sa réputation, venait dans la salle de séjour regarder un instant les joueurs avant de passer sous la table et de sucer quelques bites. Ce qui, assez régulièrement, interrompait la partie. Et c’est sur la table au milieu des cartes qu’elle prenait ses derniers coups de queues.
Souvent les invités partis et après avoir pris un bain, pendant que je préparais le dîner, ma femme me demandait : « Qu’est-ce qui t’excite le plus mon chéri de voir ta femme faire la pute ou de la voir se faire baiser par pleins de mecs ? » je savais que ce qui l’excitait c’était de se faire baiser devant moi et que de faire la pute décuplait son excitation. Pour moi il y avait peu de différence, mais ce qui m’étonnait le plus c’était d’être toujours autant excité en voyant toutes ces bites la baiser ou l’enculer.
C’est ainsi que notre appartement pendant presque un mois se transforma en un tripot doublé d’un bordel, ou ma femme unique pute, a pris d’après les comptes de Michel 115 coups de queues. Ma femme trouva que c’était peu en comparaison des putes des bordels Algériens et que cela représentait peu a coté du nombre de des coups de queues qu’elle prenait chaque mois à son travail. Elle avait quand même maigri de deux kilos mais n’aurai jamais surtout voulu reconnaître qu’elle était un peu fatiguée. Il faut dire qu’elle ne faisait pas semblant et jouissait avec toutes bites qu’elle prenait dans la chatte ou dans le cul.
Pour elle comme pour nous la reprise fut dure. Tout ne rentra pas dans l’ordre immédiatement, il y eu du flottement. Certains « clients »continuaient à téléphoner mais ma femme n’en rencontra que quelques uns.
Quinze jours plus tard ma femme appris que les syndicats dans sa société avaient obtenus pour certaines catégories de salariés, à laquelle elle faisait partie, de ne travailler qu’à mi-temps. Quand ma femme m’en parla, je su tout de suite qu’elle accepterai, et avant même que je puisse donner mon avis, elle se mit à développer des tas d’arguments. « Ce sera formidable ! Tu te rends compte tous mes après midi de libre ! Il va se mettre à faire beau, au lieu de me faire baiser dans un lit je pourrais faire la pute dans un bar ou dans un bois …. ». Amusé par son, enthousiasme et sachant que quoi que je dise je n’aurais pas le dernier mot, je ne pouvais que souscrire à son programme en le minorant et en y trouvant des aménagements.
Elle continuait, me parlant d’un bois pas très loin de son travail ou elle allait de temps en temps se faire baiser par des collègues qui n’étaient pas de son service.
Mais elle avait gardé le meilleur pour la fin.
Elle m’annonça que mon client la dernière fois qu’elle l’avait vu, lui avait proposé de la mettre en relation avec un autre de mes clients « amateurs de jolies femmes libérées et à la toison abondante ».
Ma réaction fut immédiate : ce fut un Non catégorique. Ma femme s’en étonna : « Mais pourquoi ? » Et sans attendre la réponse me fit remarquer que mon chiffre augmenterai de nouveau ce qui me vaudrait la considération de ma direction.
Je fini par dire oui mais c’était surtout parce que je connaissais bien ce client, dur en affaires mais débordant de sympathie et de jovialité, je savais de plus qu’il plairait à ma femme. La quarantaine, grand brun, svelte et une certaine distinction. De plus je préférais qu’elle s’intéresse à ce client plutôt que de passer certains après midi comme elle le prévoyait, dans un bar à putes.
Le bar à putes c’est Michel qui en avait eu l’idée, celui qu’il connaissait vers la porte Maillot était fermé mais ma femme en avait sans problème accepté l’idée et faire « vraiment » la pute était devenu son principal fantasme.
( à suivre)
Un astucieux mélange de vécu et de fantasmes, mais c’est aussi une ode à la liberté de faire ce que l’on veut de son propre corps. Et cela je ne peux que l’apprécier
J’ai envie de défendre ce texte. Il dérange , tant mieux 😉
Il n’y pas de vice s’il n’y a pas de préjudice
j’avoue avoir pris un plaisir certain à la lecture de ce texte présenté comme une histoire vraie (mais après tout ne n’est pas cela le plus important). C’est aussi un joli pied de nez au politiquement correct
Désolé de ne pas me ranger à l’avis général. pour moi c’est glauque et immoral.
T’as pas tout compris, toi 😉
Eh, oui, et tout ça se passe entre ADULTES CONSENTANTS et ne fait de mal à personne. Les lois et les furies néo-puritaines n’ont pas à s’en mêler, ça ne les regarde pas !
Ce qui rend ce récit particulièrement excitant c’est que ça sent le vécu, (même si tout ça est un peu romancé). Et puis ce fantasme est tellement loin de la nouvelle religion sexuelle que veulent nous imposer les bonnes sœurs féministes que c’en est encore plus réjouissant.
Ce récit mélange de façon intéressante trois fantasmes féminins beaucoup plus courant qu’on ne le suppose : le candaulisme (dans le rôle actif), la pluralité masculine et la prostitution. Pour les deux derniers, il n’est pas politiquement correct de l’admettre, et pourtant, quel mal à ça puisque tout se passe entre adultes consentants.
un concept intéressant, très excitant et tellement politiquement incorrect ! bravo !