Ce jour là je me suis rendue chez un couple d’amis Michel et Valérie. Nous
avions convenu que Michel consacrerait la soirée à me prendre en photo (ce
qui est plus pratique et donne de meilleurs résultats que de tenter de se
prendre soi-même !). Pour les rejoindre, j’avais revêtu un chemisier de soie
largement décolleté qui laissait entrevoir mes petits seins remontés par un
serre taille de vynil noir, un mini string de vynil, des bas résille et une
mini jupe également en vynil noir, et je m’étais coiffée d’une perruque mi
longue rousse. Il faisait encore jour, et la petite jupe, remontée par la
position assise de la voiture ne cachait plus grand chose de mon intimité.
Sur la route, je traînais volontairement en doublant camions et
camionnettes, car je pensais bien que la position surélevée des chauffeurs
pouvait ainsi leur permettre de se régaler à la vue de mes cuisses largement
dénudées jusqu’à la limite du string. Une amie travestie avait fait la même
expérience quelques semaines plus tôt et m’avait fait part du plaisir
qu’elle avait ressenti à s’exhiber ainsi. Or je dois avouer que
l’exhibitionnisme fait partie d’un de mes jeux favoris et que fréquemment,
lorsque je suis en déplacement, je me travestis et me promène en petite
tenue légère dans ma chambre d’hôtel en ayant laissé la porte largement
ouverte. Pour en revenir à mes camionneurs, certains ce soir là me firent
quelques appels de phares, mais dommage pour eux je n’avais pas de temps à
leur consacrer…
Chez Michel et Valérie, nous avons commencé par prendre un verre, et je
voyais dans leur regard une petite flamme prometteuse. Enfin, nous avons
commencé les prises de vue. Michel mitraillait et je prenais les poses
successives pour lesquelles Valérie intervenait de temps en temps pour
rectifier un mouvement tout en en profitant pour laisser traîner ses mains
sur moi. Au fil des photos l’effeuillage commença. La minijupe fut la
première à disparaître, puis vint le tour du chemisier, du serre taille et
enfin du string. Nue à l’exception de mes bas et de mes escarpins, j’offris
complaisamment mon clito et mes fesses à l’objectif du photographe qui
passait de plus en plus de temps pour prendre ses clichés.
Nous décidâmes un changement de tenue et je filais dans la
salle de bain pour y procéder. Je revins vêtue d’une mini robe de dentelle
noire, d’un porte-jarretelles retenant des bas de soie et d’un micro string
de dentelle. A mon retour au salon, je retrouve Valérie et Michel
entièrement nus en train de se caresser joyeusement. Je constatais que
Michel bandait sec. Nouvelle séance de photos et nouvel effeuillage pour
finir juste avec le porte-jarretelles, les bas et les escarpins. Sous
prétexte de rectifier les poses, Valérie et Michel n’hésitaient plus à me
peloter de partout et c’est ainsi que nous arrivâmes à la dernière photo.
Assise sur le canapé, cuisses largement ouvertes j’offrais le spectacle d’un
clito bien dressé et bien raide pour lequel Michel se mit à plat ventre pour
mieux viser. Photo prise, je me relevais et c’est alors que Valérie
s’agenouilla devant moi. Prenant mon clito en bouche elle se mit à me sucer
et me masturber doucement d’une main tout en me caressant les couilles avec
l’autre main. Michel vint se positionner derrière moi et je sentis un sexe
ferme s’incruster entre mes fesses tandis que ses mains s’emparaient de mes
petits seins, pinçant les pointes des mamelons. Il pinçait de plus en plus
fort tout en imprimant un léger mouvement de rotation aux pointes exacerbées
et hyper sensibilisées. Je laissais échapper un gémissement de plaisir et
Valérie accéléra ses mouvement ce qui provoquait un balancement érotique de
sa poitrine généreuse contre mes cuisses. Le gland de Michel avait déjà
dépassé mon anneau et les douleurs que je ressentais au niveau des seins se
mêlait au plaisir intenses de sa pénétration et de la fellation dont j’étais
l’objet. N’en pouvant plus j’explosais dans un râle de plaisir, inondant
Valérie d’un sperme abondant et épais. Je laissais Michel continuer à me
besogner pour finalement s’épancher sur mes fesses tandis que je suçais
consciencieusement la chatte de Valérie, agaçant son clito et introduisant
ma langue dans un vagin inondé et odorant.
Soirée merveilleuse à renouveler….
Ce matin, à mon réveil, je me suis posé des pinces à seins lestées pour
réveiller la douleur provoquée par Michel et qui m’avait fait tant jouir
puis je me suis godée en pensant à lui.
La photo illustrant ce texte en représente l’auteur !
T’as raison , Danielle, il n’y a rien de meilleur qu’une bonne bite dans le cul… mais ton récit est un peu court