Amélia se déchaine par Belle-cour

Amélia se déchaine par Belle-cour

Je me nomme Jules et je suis étudiant en lettres. J’ai 24 ans, ma petite amie Amélia est une jeune femme assez réservée, une excellente amante et poète à ses heures.

L’autre fois, en regardant mes couilles, elle m’a dit « les courbes de tes testicules me fascinent autant que le spectacle enivrant d’un tableau de Sonia Delaunay ». Une réflexion qui m’a chavirée !

Il est temps maintenant de vous narrer mon histoire qui vous le verrez est fort spéciale, mais n’anticipons pas

C’était un vendredi soir les parents d’Amélia étaient partis diner en ville, m’avait-elle dit :

– Allo ! Jules ! Ça te dirait de passer à la maison, mon petit chéri ?
– Bien sûr, quand ça ?
– Mais tout de suite mon petit chéri ! J’ai trop envie de toi !
– Ah bon !
– Humm, si tu savais, j’ai envie de prendre ta bite toute entière dans ma bouche de pute !

Qu’est-ce qui lui arrive ? Elle a pété les plombs ou quoi ?

Je sonne, la voix d’Amélie me crie que c’est ouvert ! C’est un peu comme dans les films américains ici, infoutus de fermer une porte !

Je suis éberlué parce que je vois ! Ma copine est là, en dessous très sexy noir en dentelle dont un soutien-gorge contenant très bien sa grosse et jolie poitrine

Elle est excitée comme pas deux et commence immédiatement à m’enlever mon pantalon et à me tailler une pipe. C’est alors que je la soulève et la retourne pour pouvoir moi aussi humer l’adorable parfum de sa voluptueuse chatte. Elle est déchainée elle me suce à m’en faire exploser les couilles mais moi aussi je m’acharne sur sa chatte qui est trempée par l’excitation. Je mets sa chatte dans ma bouche et je commence à lui lécher le clitoris et quasiment immédiatement elle commence à se tortiller de plaisir. Elle est en train d’avoir son premier orgasme de la soirée.

On souffle un peu et elle se met en levrette m’invitant à la pénétrer. Et au moment où j’allais le faire, ses parents sont apparus dans l’encoignure de la porte.

Dans ces moment-là parfois on pense et on fait n’importe quoi. La première pensée qui m’est venu à l’esprit a été de me dire que leur bouffe au restaurant n’avait pas duré bien longtemps, ensuite je me suis caché derrière le côté du canapé.

– Mais ne vous gênez pas pour nous. Nous aussi on a été jeune, continuez, mais continuez, ça vous ne dérange pas qu’on se rince l’œil ?
– Mais non papa ! Répond Amélia.

Qu’est-ce que voulez que j’ajoute ,

Moment d’hésitation, Amélia me masturbe et me flatte les couilles. La mère d’Amélia pose sa main sur la braguette du père, puis lui sort la bite et commence à la branler

– Prends-moi ! Me supplie Amélia, ne t’occupe pas d’eux, tant mieux si on les excite !

Sortant de l’ombre j’entreprends ma pénétration dans la chatte d’Amelia qui était toute chaude de voir ses parents s’exciter devant elle d’autant que maintenant sa mère avait la bite du père en pleine bouche

Amélia était plongée dans une sorte de plaisir interminable et puis comble de tout, je mis ma semence partout sur elle c’est à ce moment qu’elle poussa un cri du tonnerre tout en tombant dans mes bras.

J’étais épuise et c’est là que la mère d’Amelia qui après s’être débarrassée de ses fringues à la vitesse grand V vient pour me sucer et je n’en revenais tout simplement pas. Une vraie furie, elle me gobait les couilles, l’enfonçait un doigt dans ma anus. Fou d’excitation, je la retournai et commençai à l’enculer frénétiquement jusqu’à ce qu’elle me supplie d’accélère, ce que je fis volontiers. Juste au moment où elle allait avoir un autre orgasme je sortis mon membre maculé de merde et lui demandais de se coucher sur le dos elle me fit une cravate de notaire du tonnerre de dieu avec ses grosses mamelles blanchâtres. et je lui éjaculai dessus elle criait à rendre son mari jaloux.

Au même moment Amélia et son père nous regardaient en se masturbant mutuellement. Amelia avec sa main branlait la bite de son père tandis qu’il lui introduisait ses doigts dans la chatte mouillée. Puis elle s’accroupit, pris la bite du paternel dans la bouche et ne la lâcha que quand celle-ci juta son sperme.

– A toi, maintenant ! me dit ma copine.
– A moi de faire quoi ?
– Ben de sucer la bite de mon père !

J’aurais pu refuser, je n’avais jamais fait ce genre de choses, mais je n’étais pas contre et même que dans mes fantasmes secrets… Mais là j’étais pris au dépourvu. Cela dit je n’envisageais pas de me dégonfler devant ma copine.

Je pris donc cette bite encore gluante de sperme dans ma bouche et elle ne tarda pas à rependre une bonne vigueur. Je m’étonnais de la douceur de la chose, tentait de m’appliquer mais le papa se rendit bien compte que j’étais loin d’être une expert en la matière.

– Tu veux que je t’encule.
– Pas aujourd’hui une autre fois peut-être.
– T’as tort ! Me dit Amélia, il encule très bien, moi j’aime bien !
– Oui mais toi tu es une femme !
– Justement je ne vois pourquoi le plaisir anal serait réservé aux femmes, allez amène ton cul ! Me dit-elle d’un ton péremptoire

Il est parfois des arguments imparables.

Une minutes parés j’avais la bite du papa dans mon trou du cul, l’introduction n’a pas été évidente, ce mec n’a rien d’un sauvage, mais une bite c’est plus gros qu’un doigt !

– Arrêtez, arrâtez, j’ai mal !
– Ça va passer, on essaie encore une minute.
– Non, non !

Il a continué, et curieusement la douleur a fait place à des ondes de plaisir qui secouèrent tout mon être. Je n’en revenais pas que ce soit si bon de se faire sodomiser.

Pendant ce temps, Amélia était venu faire un câlin à sa mère, lui nettoyant de sa langue le sperme et les traces de merde qui étaient restés sur sa belle poitrine.

Elle me regarda ensuite avec un air vicieux :

– L’inceste est très pervers, mais ça me fait tellement mouiller, hummm.

Parfois on ne sait que dire ! Donc je ne dis rien. Tout le monde se rhabille.

– Je vais vous laisser… Balbutiais-je
– Pas avant d’avoir trinqué, cette petite sauterie improvisée était géniale, venez, nous allons boire un verre.

Le paternel a débouché une bouteille de Bourgogne. Ma foi c’était du bon pinard.

– Pas mal, n’est-ce pas ? Du Gevrey Chambertin, j’en ai fait rentrer trois caisses… Mais je vous en prie, emportez-en une bouteille chez vous, c’est cadeau.
– Ah, ben merci, au revoir toute le monde.

J’ai embrassé Amélia, et je suis rentré me coucher, trop crevé.

Le radio-réveil me réveille, je sais c’est fait pour ça, mais aujourd’hui c’est samedi. J’ai fait un de ces rêves, ma petite Amélia qui était déchaînée à tel point qu’elle a même sucé la bite de son père ! C’est idiot les rêves, on est-ce qu’on va chercher des bêtises pareilles ? Enfin ce n’est qu’un rêve !

Mais que fait cette bouteille de Bourgogne sur mon guéridon ?

Fin

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9 réponses à Amélia se déchaine par Belle-cour

  1. Avril dit :

    A lire comme un petit délire, ne soyons pas trop exigeant

  2. Breton dit :

    Se déchainer c’est bien mais s’appliquer ce n’est pas mal non plus !

  3. London dit :

    Moi j’aime bien sucer des bites, souvent je vais dans le sous-sol d’une sexshop, il y a souvent des bites à sucer. J’ai aussi essayé de me faire sodomiser mais j’ai dit au mec d’arrêter, ça me faisait trop mal

  4. Roisard dit :

    Je cite : « les courbes de tes testicules me fascinent autant que le spectacle enivrant d’un tableau de Sonia Delaunay »
    Moi je ne sais pas mais une nana qui me sort ça, ça me fait débander !

    • Bernardin dit :

      Oui, on se demande ce que ça vient faire là ? Si c’est pour faire style c’est raté.
      Sinon, je n’ai rien contre les délires flash, mais là c’est bâclé !

  5. Chastaing dit :

    Il ne faut jamais confondre vitesse et précipitation.
    L’idée de base était potentiellement intéressante
    L’auteur a sans doute écrit ça en étant excité comme un pou
    Pourquoi pas, mais après il faut se relire au calme.

    • Lucia dit :

      On dirait d’ailleurs qu’il y a deux plumes différentes dans ce texte. Quoiqu’il en soit tu as raison, il serait à réécrire

      • Roques dit :

        Oui, bien sûr ! ça aurait pu être davantage travaillé, mais tel qu’il est ce texte m’a bien fait bander.

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