Un ouvrier consciencieux par Mondoi

Un ouvrier consciencieux
par Mondoi

J’ai des travaux ce matin à l’appartement, cet état de fait, bien que rare et banal, me met toujours dans un état d’excitation particulier car il m’est déjà arrivé de sympathiser « plus que mesure » avec l’ouvrier qui vient chez moi, comme l’électricien de la mise aux normes par exemple (voir le texte)… N’étant pas un bisexuel acharné mais plutôt épisodique, et ayant posé une journée au travail pour être présent, j’espère bien en profiter et je fantasme sur la possibilité d’un petit plaisir différent de ma sexualité habituelle…

Le gars est arrivé à huit heures trente et je lui offre un café vu que je traîne devant le mien en répondant à mes mails, il accepte, on discute des travaux puis il part se mettre au travail… C’est un gars d’une trentaine d’année, au look un peu ordinaire avec son bleu de travail et sa conversation limitée, mais bon, je ne recherche pas spécialement un intello pour mes envies passagères, je le laisse bosser et vais me détendre sur mes sites préférés, que souvent je regarde d’une main, mais aujourd’hui je reste sage, n’étant pas tout seul, il y a juste mon érection naissante qui pourrait me trahir…

Il passe et repasse plusieurs fois derrière moi dans mon bureau pour ramener son matériel, je réduis l’image de fesse ou la vidéo que je regarde à chaque fois, mais de moins en moins rapidement, je suis persuadé qu’il mate discrètement l’écran derrière mon dos, personne ne peut s’en empêcher, c’est un réflexe conditionné par des années d’internet et d’ordi pour tout le monde et je pense faire plus connaissance avec mon ouvrier en le laissant furtivement voir ce que je regarde, ça ne loupe pas, au bout d’un quart d’heure il me lance, :

– Ah…! C’est quand même bien l’informatique…!

Je lui réponds que c’est surtout pratique pour travailler, il ajoute que c’est pratique aussi pour voir plein de choses, et surtout des « choses coquines »…

Je lui réponds que ce n’est pas faux et qu’il y en a pour tous les gouts, là, il me lance en s’arrêtant derrière moi,

– Ah ça oui… Et c’est quoi vos gouts…?
– Bof… ça dépend des moments… il y a vraiment de tout… lui dis-je évasif.
– Ca c’est sur… Et là…? Vous êtes sur quoi par exemple…? Me demande-il sans aucune gêne.
– La dessus… lui dis-je en ouvrant une page de lesbiennes pratiquant l’anal.
– Ah ouais…! J’aime bien… dis-t-il intéressé.

Je le laisse regarder les ébats saphiques quelques minutes, il s’est rapproché de mon bureau et je vois que l’effet est presque immédiat, une bosse apparaît sous son bleu de travail, curieux de tout et sans aucune gêne , il me demande qu’est-ce que j’aime bien regarder d’autre, je lui répond que ça ne va pas peut lui plaire, il insiste en me disant de lui montrer quand même, je lui ouvre une page où des Dames s’occupent du petit orifice d’hommes, avec langue, doigts, objets de toutes sortes, elles donnent du plaisir aux messieurs par derrière en s’occupant aussi du devant avec main et bouche…

– Ah…! Ca je connais aussi…! Vous êtes comme ça vous…? Vous aimez ça…? me demande-t-il sur le ton de la confidence.
– Et bien ma foi… je ne déteste pas… et vous…? Vous pratiquez aussi…? Lui demandai-je sur le même ton.
– Bin… ça m’est arrivé mais pas souvent… Ma femme veut pas… ou faut trouver la copine qui veut bien vous faire ça…
– A moi ma femme me le fait… mais forcément, si on n’a personne sous la main… Faut se débrouiller tout seul… ou autrement…
– C’est quoi autrement…? me demande-t-il l’air étonné.
– Comme cela… lui dis-je en ouvrant une page bisexuelle où un couple homme/femme s’occupe d’un homme…

Il reste les yeux écarquillés et la bouche ouverte en les voyant se doigter les orifices tout en se suçant et léchant les uns les autres, mais il n’en débande pas pour autant, je vois même que la turgescence a augmentée, la mienne aussi d’ailleurs car la situation devient très chaude quand il me demande si j’ai déjà fait ça, je lui répond que oui, mais pas souvent et ajoute que cela semble lui plaire à voir l’effet que ça lui fait dans le pantalon, il se passe une main sur le paquet en admettant que c’est pas faux, malgré que ce ne soit pas son genre de le faire avec un homme, l’occasion fait le larron lui dis-je…

– Vous croyez…? me demande-t-il.
– Mais oui… Ce n’est pas parce que l’on se rend service entre hommes, une fois, que l’on en est…
– Ah bon…? Seulement pour rendre service…? me demande-t-il étonné.
– Bien sûr… Vous avez la gaule, moi aussi… on peut s’entre aider… et après « Basta », c’est fait… on n’en parle plus…
– Hum… je ne sais pas si… Enfin, je veux dire que c’est spécial comme idée…
– Fermez les yeux et pensez à votre femme… vous aimerez… lui dis-je en lui prenant le paquet à pleine main.

Il a fermé les yeux et se laisse caresser sans protester, je lui descend le zip de son bleu de travail pour avoir un accès direct à son engin, la chose est dure et se redresse de suite quand le lui baisse le devant du caleçon, une belle tige puissante et noueuse que caresse du bout des doigts, je lui masse le prépuce et le gland puis en approche ma bouche, un léger parfum de pipi me vient au nez mais cela m’excite encore plus, je le décalotte de la bouche sachant que sous la peau le parfum est plus corsé, je lui saisis les boules d’une main, elles sont pleines et velues, j’entame une fellation sur lui…

Il a posé ses mains sur ma tête et soupir au rythme des va-et-vient de ma bouche sur sa queue, je le suce quelques minutes puis le relâche en me relevant, il rouvre les yeux avec un regard implorant que la chose continue, j’ouvre mon pantalon et le baisse en lui disant que c’est à son tours de me faire voir ce qu’il sait faire pour « rendre service », hésitant, il me masse le devant du slip puis y introduit la main, il est un peu brutal et me décalotte de suite pour me branler, je lui demande de la douceur et l’incite à me prendre en bouche, il s’assied à ma place et pose ses lèvres sur mon gland…

– Et bien vous voyez… Ce n’est pas difficile de rendre service… On aime les mêmes choses tous les deux…
– Oui… C’est bizarre… Je ne pensais pas arriver à faire ça un jour… me répond-il.
– Une fois fait le premier pas, tout devient possible… Enlevez votre bleu… Je vais vous montrer…

Il se déshabille devant moi en gardant son caleçon et je l’emmène vers le canapé, je lui baisse sa culotte et le fais asseoir puis, m’agenouillant entre ses cuisses, je recommence ma fellation en lui relevant les jambes, j’inspecte la propreté de sa raie velue, ça va, je peux y poser la bouche et y passer la langue, j’alterne caresse buccales sur son dard et léchouilles sur son petit orifice qui se contracte par réflexe, mais au bout de quelques minutes de préliminaires attentionnés, sa rondelle se détend et j’y entre la pointe de la langue, il soupir de contentement, je le masturbe en même temps…

Les choses vont maintenant aller très vite, je remplace ma langue par une phalange de mon index, il se laisse faire, je salive copieusement sur mon doigt et le lui enfonce doucement en reprenant sa queue en bouche, il gémit un peu pendant la progression de mon index dans son anus mais il ne le refuse pas, j’active les va-et-vient de ma fellation et ceux du doigt dans son derrière et le voilà qui pousse des râles de plaisir en avançant ses fesses à la rencontre de ce qui lui fouille le cul, il réclame le doigtage, il aime ce que je lui fais, je l’enfile au plus profond et ressort pour le lui remettre…

Il a tenu moins de dix minutes avant de jouir et de me lâcher sa purée en plein visage, gémissant comme une pucelle de l’œillet, il a poussé un cri en éjaculant plusieurs fois des jets d’un sperme fournit, dommage, j’allais lui ajouter un deuxième doigt, je m’étais reculé en le sentant venir, je n’avale pas mais aime me faire arroser, il reste un moment effondré, sans réaction, je le laisse reprendre ses esprits, maintenant, il se redresse et me dit merci pour ce « service rendu », je lui dis que j’attends le sien en retour, il me laisse sa place sur le canapé, j’enlève mon slip et me laisse faire par lui…

Il s’occupe de moi comme je l’ai fait pour lui, maladroitement mais avec appétit, il me pompe comme une goulue et me mange l’anus comme un affamé avant de me fourrer un doigt profondément et surement, je suis bien ouvert et j’en réclame un deuxième qu’il rajoute de suite, je ne tiens pas plus longtemps que lui, trop excité par les événements, je le préviens que je vais jouir, il s’écarte trop tard et reçois une partie de mon éjaculation sur le visage, il a le sourire de l’homme content de la tâche accomplie, je le remercie également pour le « service rendu », il repart travailler…

Le lendemain, dès qu’il arrive, je lui demande s’il a besoin que je lui « rende service », il me répond qu’il dit pas non, je lui baisse le pantalon pour le sucer et là, je le surprend en lui présentant mes fesses et en lui offrant mon anus à sodomiser de sa verge dressée, j’ai envie de ça depuis mon réveil ce matin et me suis fait un lavement pour être propre des fesses, je lui tend le lubrifiant et vais me mettre à quatre pattes sur le canapé, il me prépare la rondelle de quelques caresses puis pointe son gland durcit contre mes plis anneaux, je pousse pour m’ouvrir, il me plante sa queue dans le cul…

Humm… son engin m’envahit, il me l’enfonce jusqu’à la garde puis commence à me besogner, je me fais enculer sauvagement, je sens bien qu’il en a envie à la façon dont il me baise le rectum, il me défonce à grands coups de rein, cherchant l’orgasme, et là, comme hier, il ne dure pas dix minutes et m’arrose le conduit de son foutre en se cramponnant à mes hanches, je n’ai pas le temps de jouir de la prostate mais compte bien me rattraper après, il s’excuse d’être venu aussi vite mais l’explique par l’excitation de la première fois dans l’anus d’un gars, j’essuie le sperme qui ressort de mon trou…

Plus tard, après qu’il ait travailler, nous buvons une bière et je lui passe une main sur les fesses en glissant un doigt dans sa raie pour effleurer sa rondelle, il comprend que j’ai des vues sur son petit trou et me dis qu’il ne se sent pas prêt à être sodomisé réellement, je lui propose de faire connaissance avec mes « amis de solitude », vibro et gode, il accepte « par curiosité » me dit-il, je vais les chercher pendant qu’il prend position cul nu sur le canapé, après un long préliminaire doigté et langue, je le pénètre avec le petit vibro de mes première fois, il me dit trouver cela agréable…

Effectivement, je vois sa rondelle détendue, je gratifie sa verge de quelques caresses stimulantes et le voilà qui demande à essayer mon « ami » latex, un sexe de vingt centimètres sur trois et demi de large, bien vaselinée, la queue factice trouve sans douleur sa place dans son rectum, il se soumet même à la pénétration en me tendant sa croupe, j’ai ma bite à la main et attend son invitation pour lui la mettre, à un moment, je lui retire le gode et me contente de le masturber en lui caressant sa rosette déplissée, il en ressent un manque et me demande de lui mettre quelque chose dans les fesses…

Je lui demande la permission de l’enculer, il accepte en implorant de ne pas lui faire mal, je le rassure sur ma façon de faire et pose mon gland sur son entrée en lui conseillant de pousser sur son sphincter, quand je vois son anus s’entrouvrir, je lui rentre mon gland doucement, il est serré le gueux, malgré ce que je lui ai mis avant, mais la place est faite ma tige s’enfonce dans son derrière, il a quelques râle de plainte mais se laisse enfiler, je vais passer de longues minutes à lui faire apprécier la chose qui l’envahit, puis je lui fais le cul, comme il me l’a fait, il pleurniche un peu, je l’encule…

Que c’est bon un cul de puceau, je prends un pied terrible à lui mettre sa secouée, le fourreau bouillant est étroit mais maintenant m’accueille en se laissant remplir, plusieurs fois je d’écule pour encore lui défoncer l’œillet puis je me laisse aller à faire monter l’orgasme et lui lâche ma purée au plus profond de lui, voilà, la chose est faite et le « service rendu », dans un sens comme dans l’autre, nous nous sommes fait le cul et bien vidés les couilles, il reste quelques jours pour finir les travaux et se « rendre service » de la façon qu’on veut, j’ai parlé de nos femmes, qu’on pourrai échanger…

FIN

 

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3 réponses à Un ouvrier consciencieux par Mondoi

  1. Stablinski dit :

    L’amorce est maladroite, la suite est mécanique. Tant pis !

  2. Pozo dit :

    C’est vrai que ce n’est pas désagréable de se faire enculer de temps en temps. Lundi en sortant du bureau je me suis rendu dans le sous-sol d’une sex-shop où l’on fait parfois des rencontre. Il y avait un barbu en costume, la bite dehors bien bandée, j’ai approché ma main et lui ai demandé si je pouvais sucer ! Je me suis régalé cinq minutes, puis il m’a proposé de m’enculer ce qu’il a fait devant les 5 ou 6 personnes présentes. Il m’a fait ça comme un chef, c’était bon

  3. carminez dit :

    Du gonzo… c’est très mécanique… forcement c’est du gonzo

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