Tant va le Temps…Tant va le Cul… 30 – Courtoisies féminines… par Verdon
Bon, ça y est tout est redevenu calme. Chacun est rentré, qui sans doute chez soi, ou bien peut-être ailleurs, que sais-je… dans les bras de sa mère ou bien sur son trottoir… ne m’en demandez pas trop, moi je marche comme une âme en peine… et surtout comme un canard, à la recherche de je ne sais quoi… C’est qu’il y a été fort ce con de Charlot (je lui revaudrai ça… ).
(Hé ! Vous autres, c’est quoi ces sourires narquois… J’aimerais bien vous y voir à la monte… . ça dépend de quel côté on se trouve, me dira-t-on !)
Je comprends maintenant les indispositions de la Juliette quand il tourne autour de son cul avec son vireton chevalin, le Charles !
Bon j’avoue que je lui ai piqué son trou… mais il s’en est payé un autre qui, à ce que je sache, ne lui a pas déplu ! (et j’en sais quelque chose!).
Aujourd’hui donc, on récupère. Moi dans mes meubles, Charlot chez sa mère… Rosette fait son tapin. Juliette est chez elle avec Ernestine (ça fait vingt-quatre heures qu’elles tapinent entre elles… ).J’imagine qu’il va falloir torcher les draps !…
Je suis quand même curieux d’aller voir ce que font ces deux femelles. J’ai laissé Juliette entre les mains d’Ernestine et je crains que cette dernière ne lui fasse subir les pires avanies qu’elle n’ait jamais goûtées la pouliche !
Oh mais qui parle ici d’avanies, alors que la plus grande chance de Juliette serait justement de découvrir enfin, avec ma délurée copine, les joies du mélange des plaisirs féminins et fasse en même temps l’apprentissage de nouvelles jouissances et celui de sa soumission aux bonnes gaillardises de son homme.
Je m’introduis donc furtivement dans l’appartement de ces deux Dames, à la recherche de quelques joyeusetés qu’elles pourraient mutuellement se procurer et me faire partager. Mais vous savez qu’il ne faut pas importuner deux Dames entre elles. Je regarde… c’est tout.
Je ne suis pas déçu.
J’entends du bruit, des protestations, des oui !, des encore ! et des ‘clacs, clacs’… et des
– Chieuse ! Pisseuse ! Dégueulasse… des je t’aime… fais-moi tout !
… Et encore un tas de petites expressions gentilles qui traduisent des gestes colorés et sans doute parfumés, qui taquinent mes oreilles mais pas mon bout du nez, car d’ici je ne sens rien. Je suis juste derrière la porte de la chambre. Légèrement entrebâillée elle me permet toutefois d’assister à une démonstration orgiaque éblouissante.
Juliette est couchée sur le dos en travers du lit. Je ne vois que sa tête sur l’oreiller et en surplombs de sa chevelure, les extrémités de ses tétins qui pointent sur ses nichons, avec en fond de paysage, le cul majestueux d’Ernestine à cheval sur elle en lui tournant le dos.
Les bras tendus, Juliette a les mains sur les voluptueuses fesses d’Ernestine… Elle semble les écarter, livrant au grand jour le merveilleux spectacle du trou de balle de cette dernière qui s’évase au milieu de la raie de son cul, pour laisser sortir, vous savez quoi !…
Un mulot mes amis ! Tout petit et mignon, mais tout noir et fumant comme ma tasse de café au petit déjeuner !… Un boudin fait maison… Je vous jure !… Qui fuse et s’encanaille entre les blancs nichons de la pauvre Juliette terriblement vexée par la suprême offense (offrande ?).
Furieuse, elle s’en débarrasse dans les draps, la cochonne, et de rage, frappe à la volée les fesses de sa maîtresse (a-t-on jamais vu ça !), qui lui colle alors son cul contre le visage, l’obligeant à faire le ménage sur les rivages aromatiques de l’infâme rondelle (ce qui est la moindre des politesses).
Résignée, la lécheuse n’a d’autre choix que de s’exécuter gentiment et avec minutie. Mais la place est bien propre. Ernestine est une artiste en la matière (ce mot est bien choisi !), qui sur son beau tableau, ne fait pas de bavures avec la gouache !
J’admire un instant le travail de mes deux artistes et je bande. J’ai déjà si souvent laminé ce beau trou ! Avec sa langue plate, Juliette lape de haut en bas et vice (en voilà encore un joli mot !) versa, la profonde raie culière. Elle papillote un instant autour de l’œilleton et pointe par moment son pointu bout de langue au fond du charmant orifice rose… elle fait des bons Ernestine en geignant la coquine… et je bande !…
Aussi voulant desserrer la ceinture de mon froc pour libérer ma pine de son enfermement, je m’appuie sur la porte, perds l’équilibre et me retrouve comme un con agenouillé cul nu, au pied du lit de ces Dames qui stoppent leurs ébats !
Des cris, des retournements, des draps dont elles se couvrent… nos deux meufs faussement effrayées se redressent et s’apprêtent à me fracasser le crâne avec un pot de fleurs que saisit l’une d’elles.
Non mais regardez-moi ces deux gouines qui se défonçaient le cul à l’instant et font preuve maintenant de grincheuses manières devant un pauvre mec qui n’a que sa pine pour se défendre !
*
– Oh ! Pardon mes Dames… je passais par hasard, ne vous dérangez pas, je m’en vais de ce pas !… (tout en essayant de remettre à leur place dans mon froc, ma bite et mes couillons).
Ben non, ce n’est pas leur avis. Elles en ont que faire de mes excuses !… .sans doute que ma belle bandaison les a excitées les morfales.
Elles se jettent sur moi, les femelles ! Finissent de me foutre à poil ! Me renversent sur le lit et me sautent dessus comme agneau sous tigresses !
Qui m’attrape les couilles ou me turlupine la bite. Qui me fait un patin à me bouffer la langue. Qui dans mon cul me fout deux index vengeurs (bienfaiteur tout de même !), et putain, qui me fesse à quatre mains rageuses.
Juliette sauvageonne du coup, saisit un godemichet en bois, qui traîne sur le lit et me l’enfonce, la conne, là où ce fut ma fête et pas plus tard qu’ hier ! (décidément, moi qui ai l’habitude de gestes plus gaillards, me voilà soumis aujourd’hui à quelques courtoisies pas très protocolaires !).
Bon je ne vais pas vous dire que j’ai souffert, nom de dieu !
Mais quand même ! Où est le Mâle ? Pétard ! Si elles en veulent du bâton elles vont en avoir, les connes ! Je l’ai raide bon sang ! À qui le tour ?
Alors je m’occupe d’abord d’Ernestine… je lui rembarre ma biroute dans son trou à rats pour lui enlever l’envie de recommencer ses vilenies bestiales…
Mais elle ne crie pas ‘grâce’, car elle en veut ‘encore’… elle jouit comme une bête… et je crois qu’en son cul, ma pine bien foutue lui vaut bien plus de joies que rat qui s’est enfui !
Et je lui mets la dose, demandez à Juliette qui reprend du service au rayon femme de ménage et que je remercie en lui faisant rougir son putain de p’tit cul.
Ensuite couchée sur le dos à même le sol, elle se fait sauter en 69 par Ernestine qui me présente ses fesses pour que je lui pisse au cul. Je vise son œillet rose. Elle adore et remue de complaisance. Ça cascade entre ses cuisses et dégouline dans le gosier de Juliette qui ouvre en grand sa bouche et n’en perd pas une goutte.
Ernestine récupère le gode en bois qui me fait des infidélités, pour l’enfiler tout de go (après l’avoir rincé sous ma pisse), dans l’œillet de Juliette qui n’a pas l’air de s’en plaindre. (elle s’y fait la chérie, elle s’y fait … le trou s’est agrandi et c’est de bonne augure !).
Tout cela se termine sous la douche. Sur du carrelage, dans une grande pièce. L’eau tombe par plusieurs jets, depuis le plafond.
Elles se serrent toutes deux bras dans les bras et je les savonne, je les décape, je passe une main éponge sur tout leur corps, des orteils aux cheveux sans oublier bien sûr leur petit trou, leur vagin et leurs seins globuleux.
Que c’est doux, que c’est bon et relaxant. Enlacées, seins contre seins, elles se bécotent et pissent à leur tour ventre à ventre et bouche à bouche !
En passant mes mains dans la fontaine de leurs amours, je récolte un peu du bon jus, l’un plus foncé que l’autre mais les deux si chauds et si odorants que je les porte à mon visage.
Ensuite elles se disputent ma bites et mes roustons pour les savonner, les malaxer en les branlant et n’oublient surtout pas mon petit trou qui en ressort comme un sou neuf.
Elles sont délicieuses ces nanas à me tripoter tout le corps. Les tétés, le ventre, l’entre fesses (oh oui là c’est bon !). Je rêve, je suis sur un petit nuage fait de fesses, de seins, de joues pleines et de ventre rebondis et de femmes merveilleuses.
Je les adore et elles tout autant me font de gros câlins.
Et pour en finir ce soir…
Elles s’allongent côte à côte sur le lit (refait, bien entendu), et je les masse, et l’une et l’autre de leur cuir chevelu jusqu’au plus gros orteil.
J’aime leur masser le cou et les épaules, malaxer leur dos en pressant leurs vertèbres. Descendre sur leurs côtes, leur palper le râble et frictionner leurs hanches.
Je passe un bon moment à leur pétrir les fesses. Mes mains qui s’introduisent dedans leur raie culière taquinent au passage leur p’tit œillet fripon heureux de la douceur de mes bonnes courtoisies.
Je descends sur leurs cuisses, et des jambes aux chevilles je flatte leur beauté pour enfin achever mes gourmandes faveurs en glissant une langue généreuse et taquine entre tous leurs orteils…
Elles jouissent les Belles. Calmement sans bouger, enlacées, bras dessus leurs épaules, les nichons écrasés, bouffants de part et d’autre, un peu comme ces bouées sur le flan des canots.
Elles nagent dans le bien-être et le bonheur… l’abandon.
Mais elles s’endorment les garces, ignorant mes émois et mes dernières caresses !
Soulagée l’une pète et l’autre lui répond…
Un bisou lèvres à lèvres et les voilà qui dorment !
Heureusement chez Charlot, j’ai ma revanche à prendre…
C’est sa maman qui m’ouvre… tenue légère, les yeux brillants… belle quinqua…
– Viens dans ma chambre? me dit Charlot…
-Ta mère ?… Quel charme !… Euh…
– Laisse tomber, elle est avec Bérengère… On ne dérange pas deux femmes ensembles
– Voyons !… à qui le dis-tu !
Alors avec mon pote… eh bien… il est déjà à poil… vous connaissez la suite…
Pardon, on ferme la porte…
01/12/2023
Cet auteur a une façon diabolique de décrire des orgies décontractées. J’adore
J’aime cette belle illustration de la courtoisie