Tant va le Temps… Tant va le Cul… Si PIVERT m’était conté… par Verdon

Tant va le Temps… Tant va le Cul… Si PIVERT m’était conté… par Verdon

Il n’est pas très raisonnable notre ami Pivert qui nous laisse tomber après nous avoir mis l’eau à la bouche (ou la goutte à la bite), alors même qu’il nous embarquait dans une délicieuse petite histoire* pleine de promesses alléchantes (c’est le moins qu’on puisse dire) concernant les péripéties amoureuses d’une bien honorable famille bourgeoise.
*(Voir sur ce site : Lisette chez les bourgeois, par Pivert… ).*

J’ai donc décidé de prendre le relais.

Cependant, j’ai changé un peu l’ordre des choses.

J’ai vieilli un peu le père, André, la soixantaine un peu dépassée, mais tout aussi lubrique qu’auparavant, il peut encore bien vous secouer une bourgeoise qui a de la brioche par derrière la devanture, et du nichon à l’étalage. S’il n’a pas la bistouquette très performante, il aime bien tripoter des rondeurs appétissantes et de plus, il a le derrière, comme qui dirait : ‘assez frivole’.

Justement, marié en secondes noces, avec Odile, la cinquantaine, toute aussi délurée que lui, un peu soumise, mais surtout bien en chair, et en mesure de lui offrir d’affriolantes venaisons. Elle fait bien son affaire, ne dit-on pas que c’est dans les vieux pots qu’on fait les bonnes soupes. (mais elle n’est pas vieille, Odile).

Lisette, la soubrette est superbe, toute en forme et déjà bien éduquée et recommandée par de braves gens qui ont apprécié ses services rendus, sa discrétion et ses bonnes dispositions envers les Dames et les Messieurs, pour faire parfois quelques petites tâches supplémentaires grassement rémunérées. (son mari très compréhensif, ayant à ces moments-là, carte blanche pour ne pas s’ennuyer… ).

Paraît-il, qu’il ne lui fallait pas beaucoup de temps, une fois bien chauffée, avant qu’elle ne tombe la culotte.

Avec autant de référence, elle est vite embauchée.

Certes, un petit peu revêche, mais plutôt malicieuse, elle va faire languir le Monsieur, histoire de faire monter la tension érotique.

Mais le Maître des céans est assez habile pour lui faire découvrir derrière certaines propositions équivoques et bienveillantes, que le service bien accompli, peut être agrémenté d’agréables gratifications.

Ainsi, avec condescendance, il la rassure, la fait mousser, et bientôt, désarçonnée elle va oublier ses soi-disant réticences avec un volontaire et réel abandon.

Odile, l’épouse, bien qu’un peu soumise, est toujours un peu jalouse de la présence de cette personne étrangère dans la maison. Elle n’a pas été prévenue, ni ne l’a pas choisie. Elle cherche à se venger des bons empressements de son mari.

Alors c’est à ce dernier de régler le problème entre elles. Avec un peu de sévérité, quelques amabilités et beaucoup de flatteries, il sait remettre de l’ordre dans le poulailler et voilà nos deux cocottes prêtes à partager des plaisirs très lubriques pour lui dévoiler leurs capacités féminines à se débrider.

Et à se partager leur nombril et les autres trous, nos deux crapuleuses en oublient leurs soucis.il faut dire que pour toutes deux, leur instinct charnel va dépasser leurs querelles.

Voilà qui permet à ce couple de vivre en bonne entente, chacun sachant que quelques écarts, de ci, de là, n’ont rien de compromettant pour leur fidélité.

Quant au fiston, Kévin, né en premières noces… le quart de siècle dépassé, il faut s’en méfier…

Ça a la détente rapide, un gars comme ça, et il ne faut pas laisser traîner devant lui, quelques fessiers troublants ou bien une paire de roberts frétillants, sans prendre le risque de voir voltiger avant l’heure, leurs roustons, entre les guibolles de ces Dames et … gare aux Messieurs qui naviguent à la voile !

D’ailleurs, en référence, n’a-t-il pas déjà, laissé derrière lui, plus d’une nana, soulagée de ne plus se faire décaper tous les soirs, si amoureusement le troufignon

Bon, les présentations ayant été vite faites et les goûts raffinés de nos joyeux libertins bien explicités et même légèrement démontrés, je peux redémarrer l’histoire.

J’espère que Pivert ne m’en voudra pas, si je ne respecte pas exactement le schéma qu’il avait en tête (mais rien ne l’empêche de nous faire connaître son appréciation ou son contraire).

Donc, notre ami Pivert, nous a laissé la charmante Lisette, nue et endormie sur son grand lit, pour sa première nuit, chez ces braves bourgeois qui savent si bien, profiter des plaisirs de la vie.

Elle s’abandonne à un profond sommeil réparateur, après sa dure journée de labeur. Ravie par l’accueil qui lui a été fait et par le confort de la chambre.

Étendue nue sur le lit, le drap ramené négligemment sur son ventre, elle permet à sa généreuse poitrine et à ses jambes grandes ouvertes, de profiter d’un petit souffle espiègle qui vient lui chatouiller les tétons qui débandent et lui rafraîchir la foufounette encore humide des dernières petites émotions de la soirée.

Une main sur la chatte, elle s’endort en se disant qu’elle est tombée dans une bonne maison. Ses premières inquiétudes s’estompent, tandis que l’image du pénis du garçon, remplit encore ses paupières qui ont du mal à se refermer, tant l’instrument lui a paru monstrueux !

Dans la grande salle de séjour, la soirée continue. Belle-maman assise sur le canapé, s’affaire habilement, sur la bonne bite du fils qui debout devant elle, lui maintient la tête de ses deux mains pour la baiser en bouche. Les aller et retour de la bite entre ses lèvres n’ont pas l’air de lui déplaire à la mégère, tant elle a les yeux ronds et la bouche gloutonne. Elle bave comme une cochonne et on ne sait si elle mouille ou si elle pisse, car la banquette est trempée entre ses cuisses.

En même temps, elle se tripote les mamelles et se pince les bouts des seins.

Un peu plus loin André, le père, est assis dans un fauteuil, face à la télé, le dos tourné par rapport aux deux autres.

Il fait chaud. Il est nu, les deux pieds sur la tablette devant lui, il se tripote désespérément la quéquette tout en regardant une cassette porno qui l’excite énormément mais vainement.

Les yeux fixés sur l’écran, il se fout royalement de ce qui se passe dans son dos. Obnubilé par la vision d’un gros cul tout blanc qui occupe toute la place de l’écran et qui se paie une jolie bite noire et rutilante, il s’écrie :

– Oh ! Putain… Regarde Kévin ! Qu’est-ce qu’il se prend le gars… Regarde ! Tu crois que ça va rentrer ?

Vous pensez bien qu’il s’en fout le Kévin… Occupé comme il est, à dorloter sa belle-mère, il préfère le concret et… va s’y que te pousse la bite dans la gorge de la gourmande qui s’étouffe en se cramponnant à ses seins…

La nuit bien avancée… L’épouse bien abreuvée… Kévin soulagé et le père désabusé… Tous les trois vont se coucher… Demain il fera jour.

Eh bien, le lendemain, ce dimanche matin, quand le jour se lève, le premier qui en fait autant dans la maisonnée, c’est André, le père.

Et qu’est-ce qu’il fait ce ‘lève tôt’…

Il va pisser, bien sûr (comme vous tous, je suppose, hi… hi !) et il va se recoucher… chez la nouvelle servante, évidemment.

– Bouh ! Mais qu’est-ce que c’est ça ?… elle bougonne la chipie (elle n’a plus l’âge de jouer avec un gros nounours… ). On ne peut pas dormir tranquille !
– Chuuut… viens dans mes bras, ma cocotte, que je te réchauffe !

Mais, c’est qu’elle le repousse… elle n’a pas envie apparemment de se faire réchauffer.

– Non !… Va peloter ta femme, ce n’est pas mon souci !

Il insiste, elle se débat un peu, elle finit par se retourner, en lui montrant son cul.

– Ah le cul ! coquine… tu veux le cul… ben voyons ! Tu aimes ça, le cul, salope… viens ! Tu dormiras après !

Alors il la caresse depuis les épaules, jusqu’au creux des fesses, le vilain.
Elle n’apprécie pas trop… Elle a sommeil, elle veut dormir.
Il insiste, lui passe une main entre les jambes et puis remonte, doucement….

– Et merde ! J’ai sommeil, ce n’est pas l’heure !
– Comment ce n’est pas l’heure ?… Il n’y a pas d’heure pour les bonnes choses… et il lui glisse un bisou dans le cou et une tape sur le bas du dos.
– Bouh !… Il fait chier celui-là (oh l’impolie !).

Mais elle bouge un peu son cul. Se détend et ouvre un peu plus ses cuisses…

(ben oui, vous en connaissez beaucoup des bonnes salopes qui n’ouvrent pas leurs fesses quand vous lui taquinez le gourmand !… Ah ! La vôtre ! Oh pardon… Eh bien attendez, j’arrive… Tiens, je la sens qu’elle frémit déjà, votre famélique… Oh la coquine !.. .Oups !).

Eh bien voilà… elle a compris la Lisette. Il se réveille son petit chose…
Evidemment, qu’elle a compris, elle sait qu’un monsieur c’est têtu… Il veut lui mettre sa bite au cul… alors elle écarte un peu plus ses guibolles…

– Boff ! Bon il le veut mon cul, il va le prendre et puis il me foutra la paix !

Ne voilà-t-il pas qu’elle relève même un peu le cul… la salope ! Ben oui, elle ouvre la porte… hi… hi, la bonne affaire ! (je vous l’ai dit… c’est automatique !).

Aussi, y va-t-il du bout du doigt, le saligaud …

– Du bout du doigt ! Mais ça ne va pas ? Il est tout sec mon trou mignon ! Mets-moi le doigt au con, mon couillon… Elle ne t’a rien appris ta mère !

Quel culot ! Parler comme cela à son patron ! (non, là ce n’est pas son patron. Ce matin, c’est son amant… ).

Il lui met donc le doigt au con, le brave.
Putain que c’est mouillé l’endroit, nom d’un chien !
Et que c’est chaud ! Il agite un peu son doigt… Et c’est un flot de cyprine qui s’échappe de la douce fente.

– Toutes pareilles ! Qu’il se dit… ça serre les fesses, mais ça boue là-dedans !

Du coup, elle l’écarte la fesse…

– Oh que c’est bien ça !

(C’est si bon de glisser sa main entre les fesses chaudes d’une nana qui mouille ! Humm ça vous fait bander la queue !)

– Et vlan, tiens ça c’est pour toi.

Et il lui fout un doigt dans le cul… .bien profond, le salaud !

– Ooohooo ! qu’elle s’écrie en faisant un bond.

Non, pas un grand bond, juste un petit bond pour bien s’empaler sur ce coquin de doigt, le doigt du bonheur, celui qui lui perfore le cerveau en même temps que le trou du cul, après être grimpé le long de l’épine dorsale…

– Oui ! continue… Remue-le… Oui ! Comme ça !

C’est que c’est bon cette chose-là ! Juste au réveil. Je vous le dis, elle aime ça.
C’est bon parce que c’est osé de se faire mettre un doigt dans le trou du caca… .pouf ! C’est drôle ! C’est vicieux et c’est sale ! Oh ! Mais c’est si bon !

Elle le fait des fois toute seule… Mais là, le gros doigt d’un Monsieur ! Oh que c’est surprenant ! Ça a un petit goût de péché… et c’est si bon le péché ! C’est bon de se faire perforer la rondelle !

Mais on sait bien que pour la gourmande, un petit bout de doigt, c’est tout juste une approche, un apéro, un préliminaire, comme on dit…

– Ça vous plaît, mademoiselle ?
– Ce n’est qu’un avant-goût, Monsieur ! C’est maigre ! Encore s’il n’y en avait deux !…

Eh bien deux, pourquoi pas !

– Oui, c’est mieux !

Et même quelque chose de plus gros… Une grosse pine, par exemple…

Sauf que la pine d’André, elle est un peu flemmarde. Elle est molle ce matin, elle ne réagit pas, putain de garce !

– Oh oui, tu me la mets ta pine… Cochon !

Il l’a tellement tripotée sa pine hier soir… Qu’elle n’a plus de vigueur, plus de jus. Elle capitule, au grand désespoir d’André et à la grande déception de la soubrette qui tend son cul désespérément.

– Tout ça… .Pour ça ! Et moi qui ai sommeil…

– Attend, Papa, retire-toi, j’ai ce qu’il faut entre les jambes…

Waouh ! La bonne surprise !

C’est le fiston qui débarque, à poil et équipé d’une biroute vachement impressionnante déjà recouverte du préservatif nécessaire, une capote rigolote, avec au bout une tête de chat qui donne au gland un petit air féroce.

Ce salaud de Kévin, ça doit faire un moment qu’il admire en douce Lisette et les manœuvres de son père qui tente vainement de l’enculer.

Pourtant le vieux il avait du répondant l’autre jour quand il se payait sa femme avec l’aide de Kévin.

Il faut dire qu’il était passé avant lui, le gaillard pour préparer le trou et bon dieu il l’avait bien ouvert. Ainsi, le père il n’a pas eu de mal, même pas de beurre, c’est entré tout seul, puis la vieille elle a serré l’anus comme savent bien le faire les dames expertes.

Il a bien joui le vieux !

Mais Lisette, elle a le cul serré, alors là, il faut du dur. Elle aime que ça soit dur, mais là, peine perdue et pourtant elle s’en donne du mal à écarter les fesses.

Alors sans discuter, il lui laisse place libre au fiston. Il va le regarder enfiler la boniche. Et ça lui plaît beaucoup de faire le voyeur et d’admirer la jolie bite de son fils faire du bon travail. (il tient bien de son père le fiston !).

– Bon, mais je veux me payer une soubrette ! S’écrie Kévin.

C’est ce qu’il déclare à Lisette, tout en lui tendant les mains pour l’obliger de se lever.

– Alors mets ta tenue de travail… Et montre-moi comment tu fais bien le service, et bouge-toi, un peu… qu’il lui dit en lui tapant sur ses fesses nues.

Il lui tend ses fringues et la voilà qu’elle se nippe en bonne soubrette qu’elle est.
Body, jarretière, jupette et dentelles, tout y passe … elle a oublié la culotte… mais non pas de culotte il n’en veut pas !
Elle est ravissante notre Lisette.
Splendide, sexy, excitante.
Un liseré au ras des fesses, les nichons qui débordent de la dentelle, et la coiffe avec un petit nœud sur les cheveux… .

Ah ! Une soubrette comme celle-ci devant vous, vous ne résistez pas !
Et il ne résiste pas le Kévin… .
Il durcit …
Il fonce…

Et que fait la Lisette ?
Eh bien, Lisette, le croyez-vous… .elle n’est pas nunuche, elle n’attend que cela, la coquine…
Elle les ouvre ses cuisses,

Même qu’elle écarte ses fesses, de ses deux mains, l’affamée !
Ben voyons ! Quand on aime cela et qu’on est une bonne soubrette… pourquoi se gêner !

– Oh oui ! Qu’elle s’écrie, mets-le-moi ton beau nœud ! (non sans une certaine appréhension, mais pas sans tendre son cul rond au désir du beau gars qui pousse, lentement, mais sûrement).

Et qu’est-ce qu’elle se prend, la mignonne ! Oh oui ça entre bien… ça le décape l’œilleton.

C’est fou de voir le joli membre faire sa place dans le bon conduit. Tout doucement, il lui en met plein les fesses.

La foufoune resserrée n’en mène pas large, bien qu’en réalité, elle sait depuis longtemps ce que c’est qu’un gros sexe !

Ben oui, elle s’en soit déjà pris plus d’un, dans la chatte et même deux à la fois la catin !

Mais là, avec ce gros mandrin dans son p’tit trou voisin… qu’est-ce qu’elle va jouir la bougresse !

D’ailleurs, si pour l’instant elle ne mouille pas, la pachole, ça ne va pas tarder… et vous allez voir le flot juteux qu’elle va lâcher dès qu’elle va crier la belle enculée… ( ben oui, on sait très bien que pour bien ouvrir le cul, il faut ouvrir la bouche… c’est classique… tenez, elle a déjà la bouche ouverte !… .).

Et tandis qu’au branle du cul, elle crie notre affamée, comme une bonne ânesse qui braie dessous son mâle, Kévin, ne s’arrête pas pour autant. Il pousse de plus en plus, il la bourre, il est heureux !

Et elle donc !… Elle jouit, une fois, deux fois… et peut-être une troisième…
Mais il faiblit le bourricot…
Allons donc ça ne se fait pas !… Reprend-toi Buridan !…

– Encore, encore !qu’elle demande…

Il va se reprendre.

D’abord il fait un quart de tour, et il se glisse entre ses cuisses, les bras par dessous ses jambes, il lui remonte les genoux jusqu’au cou et retourne dans la fournaise anale avec encore plus de vigueur !

Il sort, il entre… ça y est, il jouit à son tour, en gueulant comme un ours !

Il sort de nouveau, par mégarde, en aspergeant le ventre et les seins de Lisette, puis retourne au chaudron… Oh putain que c’est bon !

Alors cette fois-ci, elle se pâme, elle se meure, elle étouffe… .elle est K.O.
Lui aussi, il a tout donné… il s’est vidé, il est H.S.
Il s’écroule, paf, sur le côté, la bite encore raide et luisante comme le glaive du gladiateur et sa tête de nœud toute mousseuse des amabilités qu’il a généreusement accordées à la soubrette.

Bonté divine ! Quelle partition !
Le calme est revenu.

Odile, la belle-mère, est pleine de louanges envers le jeune homme.

– Bravo, mon chéri, tu l’as bien assaisonnée la petite merdeuse. Regarde elle est complétement rétamée. Elle n’aura plus de mal à faire sa petite crotte maintenant et c’est son mec qui va être heureux de trouver la porte grande ouverte !… Ah la salope !

C’est vraiment une salope cette belle-mère… Espérons qu’elle ne va pas trop attendre pour se faire attendrir la rosette à son tour… Jalouse … Va !

Mais elle n’est pas méchante, Odile. Non, elle a compris qu’il a dû quand même souffrir le Kévin en forçant le passage si serré du petit trou de Lisette.

En effet il est tout rouge son braquemart, tout enflammé.

Aussi, bonne Dame elle va le câliner le gros membre, le caresser et même le sucer toute salope qu’elle est.

– Oh qu’elle est bonne ta pine mon chéri. Humm ! Tellement juteux encore ! Et ce petit goût piquant ? Ah, c’est qu’elle a laissé sa carte de visite la cochonne de Lisette. Elle mérite la fessée. Ce sera pour la prochaine fois. C’est que c’est trop bon pour l’instant.

Et en bonne mature habituée, elle suce tant et si bien le garçon que bientôt, ce dernier bande à nouveau et jouit encore une fois, dans la bouche de sa belle-mère.

Elle déguste, elle trouve cela bien bon et les petites vilenies de Lisette, lui font des moustaches brunes autour de ses lèvres.

Pendant ce temps, le gros cochon d’André s’est courbé sur le ventre de Lisette, pour réparer les dégâts qu’a laissés son fils dans l’entre jambes de la soubrette.

Il lape comme un gros chien qui mange dans son écuelle. Il grignote la rondelle encore tout enflammée, elle aussi et ça lui fait beaucoup de bien à la jeune femme… Oh que ça lui fait du bien !

Elle miaule, elle ouvre bien ses cuisses, mais comme il fait cela du bout de sa langue, le délicat, elle te lui plaque les mains sur le crâne, au Monsieur pour bien lui fourrer bien le museau dans la soupe… Hi !… Hi !

– Alors tu la trouve bonne la mayo ! Hi ! hi ! Va, avale tout !
Dis-moi que c’est bon, mon cochon !
– Pfff ! Oh oui, c’est bon
– Bien sûr que c’est bon ! C’est le nectar de ton fils, agrémenté des bonnes délicatesses de ta soubrette adorée, mon coquin !

Et voilà, la journée ne fait que commencer et tout un chacun et chacune a profité de bien agréables et licencieux instants…

Parions que les réjouissances ne sont pas encore terminées.

Après un petit tour rapide dans les toilettes, tout le monde se retrouve dans le séjour pour reprendre un peu la forme et les formes.

Elle l’a faite sa petite crotte, Lisette, et le cul tout neuf, la voilà qui reprend, comme si de rien n’était, son service en petite tenue de soubrette comme la maison l’exige. Le cul nu évidemment, elle est déjà prête à satisfaire l’impatience d’une main frauduleuse, ou de se laisser investir le trou du cul par de gros doigts crapuleux.

Monsieur se branle toujours la balayette infernale, tout en se grattant le cul. Il jette un petit œil envieux sur la pine de Kévin, qui satisfaite de sa belle prestation, se balance lourdement entre ses cuisses au-dessus d’une paire de couilles à faire blêmir un âne.

Odile, quant à elle, elle se pourlèche encore les babines qui légèrement boursouflées, accusent encore la violence dont elles furent l’objet sous l’assaut généreux de la gaillarde pine du jeune homme. Ses gros tétins qui pointent en l’air, prouvent qu’elle a encore beaucoup de tendresse à dispenser sous ses mamelles.

Eh bien, voyons, n’est-elle pas belle la vie… quand on sait la prendre par les bons bouts !

Ohé ! Pivert… .
Elle t’a plu mon histoire extravagante ?
C’était comme ça que tu voyais son déroulement ?
Bon, écoute, à toi de jouer maintenant, on aimerait bien en connaître la suite.
Alors, va s’y, branle-toi la zigounette et crache-nous le meilleur de ton jus afin de nous écrire de belles pages, à l’encre de tes couilles…

05/11/2025

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