– On se donne une heure, d’accord ? Annonce Agnès se voulant très directive.
Et sans autre préambule, les deux filles entreprennent de se déshabiller, invitant tacitement le professeur et Béatrice à en faire de même !
– Whaouh, t’es pas mal gaulée toi ! Tu me plais bien ! S’exclame Stéphanie à l’adresse de Béatrice, je vais commencer par m’occuper de toi pendant que ma copine s’amuse avec Martinov.
– Te gêne surtout pas, fais comme chez toi, la vanne Agnès.
– On permutera après, pleure pas ! Allez, tout le monde sur le plumard !
Le professeur et Béa subjugué par le culot, mais aussi par le charme de ses demoiselles, ne bronchent pas et se couchent l’un à côté de l’autre sur le grand lit moelleux.
L’instant d’après, Stéphanie léchait la chatte de Béatrice tandis qu’Agnès suçait avec application la queue de notre cher professeur.
Il est un peu déçu, Martinov, non pas par la pipe que lui prodigue la jolie rousse, mais parce que la prestation fait trop professionnelle, la fois précédente avec le petit duo lesbien suivi de la laps-dance était autrement plus émoustillante et érotique à son sens.
Béatrice aurait préféré Agnès qu’elle trouve plus piquante que sa camarade mais puisqu’après il y aura permutation, elle se dit qu’il lui suffira de patienter.
Mais patienter en faisant quoi ? En regardant les arabesques du papier peint de la chambre ! C’est bien mal connaître la Stéphanie qui n’a rien d’une amputée de la langue et qui s’en sert pour titiller bien comme il le faut le délicieux abricot de la jeune chimiste, et afin d’être encore davantage efficace, elle n’hésite pas à introduire un doigt et le faire aller et venir. Du coup Béatrice se laisse aller et commence à mouiller.
– T’aimes ça, ma salope ! Lui dit la brune qui connait bien le vocabulaire du romantisme.
– Continue, continue, c’est toi la salope, tu vas me faire jouir, continue, continue.
Martinov de son côté apprécie maintenant la prestation de sa fellatrice qui non seulement le suce consciencieusement, mais en profite pour lui tortiller les tétons.
Un moment, il lui indique qu’il aimerait bien lui embrasser ses seins. Agnès y consent et notre vert professeur s’en régale. Mais voilà que sa partenaire lui encapote la bite et sans lui demander son avis le chevauche telle une walkyrie de fête foraine.
– Doucement, doucement, indique le professeur qui veut, et c’est tout de même la moindre des choses, en avoir pour son argent.
– T’inquiète, on a dit une heure, on fera une heure ! Le rassure Agnès.
Juste à sa gauche, Béatrice commence à gémir, Stéphanie, sentant sa cliente (ben, oui c’est sa cliente) proche de la jouissance redouble d’efforts y allant de ses doigts et sa langue et bientôt la jeune chimiste hurle son plaisir en se tétanisant, puis en s’affaissant comme une chiffe molle.
– Tu pars vite, toi dis donc ! Lui dit Stéphanie.
– Faut dire que tu sais y faire !
– Normal, j’ai pris des cours de langue vivante.
Agnès proposa alors de permuter, cette dernière vint donc embrasser et caresser Béatrice avant de lui proposer de se retourner afin de voir ses fesses.
– Oh ! Le joli cul ! S’exclama-t-elle en lui claquant la fesse droite.
– Eh ben ?
– Tu n’aimes pas les petites fessées ?
– Si, si ! Tu peux y aller, mais pas trop fort quand même.
– Comme ça ?
– Oui ! Vas-y ! Une tout petit peu plus fort quand même !
Agnès frappa du plat de sa main, mais s’arrêta après une vingtaine de coups, ayant scrupule à abîmer ce si joli cul qui commençait à virer au rose foncé.
Stéphanie demanda à Martinov s’il voulait conserver la même position ou bien en changer.
– Si tu te mettais en levrette ? Lui proposa-t-il.
– Gros coquin, comme ça tu vas pouvoir mater mon gros cul !
La fille se mit dans la position demandée, et il faut dire que ce cul était aussi charmant qu’excitant. Martinov demanda s’il pouvait se laisser aller à lécher tout ça ? Il avait la permission !
La vue de son cul ! L’odeur de son cul et maintenant le goût de son cul ! Voilà de quoi faire bien bander notre professeur, mais il bandait déjà. Sa langue s’immisça dans la rosette de la jolie brune qui en frétillait d’aise.
– T’es un sacré lécheur, toi !
Martinov se demande si la belle serait d’accord pour faire des choses plus hard, ça ne coute rien de demander.
– Je peux te mettre un doigt ?
– Non ?
– Je suppose que je ne peux pas te sodomiser non plus ?
– Tu supposes très bien !
Le professeur est un gentleman et n’insiste pas, mais Agnès malgré qu’elle soit très occupée avec Béatrice a tout entendu et se moque d’elle.
– Qu’est-ce que t’as à faire ta chochotte, il ne va pas te le démolir ton cul !
– J’ai le droit de pas vouloir, non ?
– Bien sûr que t’as le droit, mais quand on fait la pute, on fait pas des chichis !
– Parce que refuser de se faire enculer, c’est du chichi ?
– Parfaitement mademoiselle !
– T’as qu’à le faire toi !
– Bien sûr que je peux le faire !
– Ben viens, prend ma place !
– Tu ne vois pas que je suis occupée avec cette charmante personne, non !
Moment surréaliste, Martinov est là à attendre que ces demoiselles aient fini de s’envoyer des vannes.
– Ecoutez, vous n’allez pas vous disputer ! Intervient-il, je demandais juste ça comme ça, je n’en fais pas un problème.
– On ne se dispute pas, on échange des points de vue ! Réplique Agnès. Bon mais puisque ce n’est pas un problème n’en parlons plus.
Du coup le professeur s’est encapoté et s’introduit dans la chatte de Stéphanie où il s’y trouve fort bien, il a beau aimer les petites perversions, il n’est pas si compliqué pour autant.
Agnès a repris ses échanges de câlins avec Béatrice. Elle a plus ou moins l’intention de la faire jouir à son tour mais ne se presse pas, et puis caresser la douce poitrine de la jeune chimiste lui procure du plaisir, alors, pourquoi s’en priver ?
– Elle est chiante, ma copine ne pas vouloir se faire enculer ! Lui confie-t-elle, C’est pourtant pas désagréable !
– Oui, quand c’est bien fait !
– Ah, tu vois on est d’accord !
Puis s’adressant à Stéphanie.
– Tu vois, Béatrice, elle est moins coincée que toi, elle aime bien se faire enculer !
– Tu ne vas pas recommencer, non ?
– C’était juste un aparté !
Martinov sent son plaisir monter, il tente de se maîtriser, mais quand on ne peut pas, on ne peut pas et il finit par lâcher sa purée et se dégager. Il s’affale, épuisé, sur le lit !
– Y’a pas une bouteille d’eau qui traine ? Demande-t-il.
– Je peux aller voir dans ton frigo ? Lui demande Stéphanie
– Oui, y’a du jus d’ananas, et prend quatre verres en même temps
Agnès en profite pour s’approcher du professeur.
– Je te laisse se reposer cinq minutes, et après je viendrais te voir, moi, tu pourras m’enculer, je n’ai rien contre !
Martinov répond d’un sourire béat.
Stéphanie revient avec de quoi se désaltérer. Courte pause dans une ambiance bon enfant.
Et la voilà qui caresse négligemment le torse du professeur, la main d’Agnès en fait de même mais sur ses testicules. Béatrice par jeu lui frôle la verge.
– Ben dis-donc, c’est ta fête aujourd’hui, trois jolies nanas pour toi tout seul. Lui dit Agnès.
– Hé, hé !
– Bon, on va essayer de le faire rebander cet homme-là ! Stéphanie, pince-lui ses tétons, moi je vais lui faire un truc spécial.
Le truc spécial en question n’est rien d’autre que le doigt de la jolie rouquine, préalablement lubrifié qui s’introduit dans l’anus du professeur.
– C’est bon, hein !
– J’aime bien !
A ce régime-là, Martinov retrouve quasiment sa vigueur d’antan. Un petit coup de branlette avec l’autre main pour consolider tout cela et le voilà prêt pour la suite
– Allez, encule-moi, Martinov, Lui dit Agnès en lui tendant une capote.
Il ne va pas se le faire dire deux fois, mais tient préalablement à lui butiner l’anus à coup de langue.
– T’aime ça sucer les trous du cul, hein mon cochon ?
– Ma foi, c’est exquis !
– Surtout que je ne sais pas si je me suis bien essuyé le cul, ce matin, le taquine-t-elle.
– C’est pour ça que ça sent l’andouillette ! Répondit le professeur refusant de la croire, mais entrant dans son jeu.
Quelques instants plus tard, il se met à pilonner le mignon petit cul de la jolie rousse à grand coups de bite ! Il sait aussi qu’il va pouvoir maintenir son érection pendant quelques minutes, mais ne surestime pas ses possibilités, bientôt il débandera et ne jouira pas une seconde fois, c’est qu’il n’a plus vingt ans, notre vieux coquin de chercheur.
Stéphanie est revenue vers Béatrice et lui propose un remake de sa jouissance de tout à l’heure. Notre blonde chimiste n’est pas contre, mais elle voudrait bien lui lécher de la moule. Facile de régler ce genre de problème, il suffit de s’installer en soixante-neuf. Béatrice se laissa lécher sans problème et cela jusqu’à la jouissance, mais pour la réciproque, Stéphanie en fut réduite à simuler assez maladroitement, d’ailleurs elle mouillait à peine.
« D’accord, c’est de la prostitution, la fille ne me désirait pas, normal qu’elle n’ait pas joui, mais mécaniquement j’ai quand même fait ce qu’il fallait, en fait j’ai dû manquer de temps… »
Les filles ne sont pas vaches, elles n’ont pas regardé leurs montres, mais l’heure est maintenant dépassée. Martinov décule, l’extra-balle n’a pas fonctionné, mais il est néanmoins satisfait de cette petite séance.
Béatrice aurait préféré passer plus de temps avec Agnès, mais elle aussi a trouvé la prestation agréable.
– Si vous voulez des choses un peu spéciales, faudra nous le dire, on n’a pas beaucoup de tabous, à part cette andouille qui ne veut pas se faire enculer ! Leur dit Agnès.
– Ah, toi, ça va, on va régler ça à la maison ! Répond Stéphanie.
– Absolument, je vais encore être obligée de te punir !
Une question démange Béatrice :
– Vous êtes vraiment lesbiennes ?
– A quoi bon les étiquettes ? Répond simplement Agnès.! Ou sont les toilettes ? J’ai comme une envie de faire un petit pipi !
– Pisse-moi dessus, si tu veux ! Intervint Béatrice avec un sourire malicieux.
– Tu serais pas un peu vicieuse, toi ?
– A quoi bon les étiquettes comme tu viens de le dire ! J’adore ce genre de choses… alors comme je sais que ça ne te dérange pas…
– Bien sûr que ça ne me dérange pas, mais normalement l’heure est passée, on va dire que c’est un cadeau de la maison ! Allez viens, je vais te faire les chutes du Niagara !
Béatrice s’installe dans le carré à douche, accroupie, visage relevé, Agnès l’enjambe à moitié de façon à ce que sa chatte soit à proximité du visage de la jeune chimiste. Quelques petites secondes de concentration, et c’est partie. Un vrai torrent, Béa en avale quelques rasades, manque de s’étouffer et reçoit tout le reste sur le corps et s’en badigeonne
Le professeur Martinov qui matait dans l’embrasure de la porte n’en perd pas une miette :
– Vous êtes vraiment deux belles cochonnes.
On se dit aurevoir, bisous, bisous, le trip sexuel s’est bien passé et les photos compromettant Achille Després ont été détruites, Tout va bien pour Martinov et Béatrice.
– Attend je ne comprends pas, t’as quelle heure, toi ? demande Stéphanie alors qu’elle s’apprête à enfourcher sa mobylette.
– 16 h 30 ! Déjà !
– J’ai pas vu le temps passer !
– Le temps passe plus vite quand on baise, c’est ça la relativité !
– N’empêche que tu n’avais pas à insister comme ça, quand je n’ai pas voulu me faire enculer ! Tu crois vraiment que toutes les putes se font enculer ?
– Je voulais simplement le fidéliser, maintenant c’est fait, on voulait gagner un client, on a un couple de clients !
– Quand je pense que tu ne voulais pas faire la pute, et que maintenant c’est presque toi qui mènes la barque !
– Fallait pas me donner l’idée !
En rentrant chez elles, le fait que l’ordinateur soit resté allumé ne les étonna pas plus que ça, chacune mettant ça sur le compte de l’étourderie de l’autre.
Lundi 22 avril
Achille Després déprime, après l’euphorie de sa libération, il angoisse désormais un maximum. Il sait son alibi fragile, il sait aussi que l’inspecteur Frémont ne va pas lâcher l’affaire.
Effectivement Frémont cherche… sans rien trouver, mais il lui vint une idée.
« Admettons qu’il ne se soit rien passé le jour du crime entre Després et Michel Tanseau ! Ce dernier lui sert juste d’alibi, Mais c’est bien sûr ! Et un alibi de cet acabit ça se paye, très cher même. »
Branle-bas de combat !
Fremont demande les relevés bancaires des deux protagonistes qui ne révèlent rien de suspect.
« Le paiement a dû s’effectuer autrement : un bijou, un objet de valeur, ou alors, un échange de service ? »
Frémont se déplaça à Paris, là où habitait l’individu lequel jura ses grands dieux qu’il n’avait jamais vu Després et qu’il était victime d’un quiproquo. L’inspecteur n’en tira rien d’autre, mais se fit communiquer par Internet les dossiers d’enquêtes de ses précédents forfaits.
Les rapports précisaient les deux boites gays qu’il fréquentait. A aucun moment il n’était question de l’Hamilton-sauna qu’avait mentionné Després.
« Evidemment ça ne prouve rien, mais c’est bizarre quand même ! »
Il se mit ensuite à relire les déclarations de Després.
« Voyons voir ! Le mec aurait dit à Després qu’il habitait dans le coin, c’est faux, il habite Paris, ça ne prouve rien non plus, il a pu mentir… Continuons… Le mec lui a arraché son portefeuille… Bingo ! »
Mardi 23 avril
Fremont se rend au flanc chez Després, il n’y est pas, il se rend ensuite au café des « Ailes de France », le voit et l’aborde en se voulant rassurant.
– Juste une question, vous pouvez sortir une minute ?
Blême, Després suit l’inspecteur sous les yeux sarcastiques des habitués du lieu.
– Passez-moi votre portefeuille !
– Mon portefeuille ?
– Oui, non, videz-le ! Gardez ce qu’il y a à l’intérieur, je veux juste le portefeuille, on vous le rendra bientôt ! Je vous laisse.
Després reviens à sa place en s’efforçant de paraître décontracté. Et soudain il comprend…
« Ils vont chercher d’autres empreintes que les miennes… Je suis cuit, je pourrais toujours raconter que le mec avait des gants, mais bon… Ça veut dire qu’ils sont en train de fouiller dans tous les coins, mon alibi va s’écrouler ! Je fais quoi ? Prendre le maquis ? A tous les coups je suis surveillé ! Il doit pourtant y avoir une solution ? »
Fremont a tôt fait de faire inspecter les empreintes digitales laissées sur le portefeuille. Evidemment, il n’y a que celles de Després !
« Et cette conne de juge d’instruction qui l’a libéré ! »
Il s’en va lui expliquer…
– Mais toutes ces vérifications, vous ne les aviez pas faites auparavant ? S’étonne Madame la juge.
– Ben non ?
– Pour moi, il était implicite que vous les aviez faites ! Vous vous rendez compte de la bévue que vous m’avez fait faire ? Eructe-t-elle.
– Ça y est, ça va être de ma faute !
– Evidemment que c’est de votre faute. Vous me mettez en porte à faux, heureusement encore que l’affaire n’ait pas été médiatisée, on va rectifier vos bêtises….
Paniqué, Després, lui est allé chez son avocat à Saint Germain en Laye.
– Plaidez coupable, je ne vois pas d’autres solutions, je plaiderais les circonstances atténuantes, ça ne va pas être évident, il y a eu préméditation.
Dépité, il rentre chez lui, une voiture de police l’attend devant sa grille d’entrée et on l’embarque.
Jeannette prévenue est folle de rage et se rend chez les deux filoutes en s’assurant qu’elle n’est pas suivie, elle leur glisse un mot dans leurs boites aux lettres
« II y a du nouveau, je voudrais vous voir rapidement »
Puis prise d’une impulsion subite elle monte à leur appartement et sonne.
– On arrive, on arrive !
« Elles ne travaillent jamais, ces deux pétasses ? »
– Bon, ça ne va pas du tout, Achille est de nouveau en garde à vue, je viens d’avoir l’avocat au téléphone, l’alibi s’est écroulé…
A suivre
Quelle santé ce Martinov !
J’aime ces récits où les femme se donnent dans chichi
Une magnifique partie carrée avec trois belles nanas avec une belle illustration qui le fait bien
Quand je lis une belle partouze
Ma bite devient jalouse