Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 9 – Les trois lascars
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Je me rendais donc le lendemain en fin de matinée à une adresse, Boulevard Richard Lenoir et montais chez un certain monsieur Leduc.
– Que me vaut cette visite, ma charmante dame ? Me demande l’individu en me déshabillant des yeux.
– Une personne dont je ne puis relever le nom, m’a demandé de vous contacter au sujet d’un contrat.
– Les contrats, c’est payant !
– J’ai ce qu’il faut !
– Racontez !
– Demain à 10 heures, gare Saint Lazare, j’ai rendez-vous avec un type à qui je dois remettre une enveloppe. (bref je lui explique sans lui dire qu’il s’agit d’un attaché de l’ambassade de l’empire ottoman)
– Et dans l’enveloppe il y a quoi ?
– Elle est factice, elle sera censée contenir des documents compromettants, mais en fait ce ne sera pas le cas.
– Je vois, il y a fort à parier que votre bonhomme sera couvert par un ou deux comparses, ça va être compliqué. Il faut que je réfléchisse un peu. Et vous savez ce qui stimule la réflexion ?
– Non mais vous allez me le dire !
– La chose, voyons ! La chose !
– Quelle genre de chose ?
– Quelque chose comme le sexe !
J’éclatais de rire me méprenant complétement sur ces intentions.
– C’est en vous branlant le bigoudi que vous allez trouver un plan ? Me gaussais-je.
– Non, c’est en faisant l’amour avec vous
Gloups !
– Mais rien ne presse, j’ai une vague idée sur la façon dont nous pourrions procéder, mais il faut que j’en parle avec quelques amis. Allez donc vous poser sur un banc sur le boulevard, le temps est clément aujourd’hui, et revenez dans une heure !
Une heure plus tard je revenais chez le bonhomme qui n’étais plus seul.
– Voici Georges dit Jojo la flèche, et Guillaume dit Guigui.
N’étant pas complétement débile, je me doutais bien que ces appellations venaient tout juste d’être inventées. Ces deux gaillards-là affichaient des figures patibulaires (pas tibulaires du tout comme disait un humoriste)
– Comme je vous le disait tout à l’heure, il nous faut un plan qui tienne la route, nous avons un vague idée mais il faut l’affiner. Et pour l’affiner il faut un stimulant. Acceptez-vous de nous stimuler ?
– Tous les trois ?
– Tant qu’à faire !
– Et si je refuse ?
– On majore la prime, mais comme je suppose que vous n’avez pas sur vous le montant de cette majoration…
Me voilà au pied du mur ! Bien sûr j’aurais pu refuser et dire à monsieur Conrad que ce Monsieur Leduc ne souhaitait pas honorer ce contrat… Mais en fait je n’y ai même pas pensé !
– Bon, je vais être à vous, mais promettez moi de ne pas user de brutalité.
– Mais chère amie dont nous ne saurons jamais le nom, nous sommes doux comme des agneaux.
– Par ailleurs, si vous me pénétrez le con, retirez-vous avant de gicler.
– Mais oui, ma douce, maintenant assez parlé, montre-nous tes atours !
Je me suis donc débarrassée de mes vêtements tandis que les trois lascars se dégageaient de leur vêtements du bas.
Et aussitôt c’est la ruée ! Six mains qui me pelotent, me caressent, me triturent. Pas un seul endroit n’est épargné. J’ai des doigts dans la chatte, d’autres dans mon trou du cul.
J’essaie de ne pas rester passive, mais ça n’a rien d’évident. Je parviens tout de même à m’emparer d’un bite que je branlote.
– Suce-moi salope !
J’ignorais que j’étais chez des poètes.. Mais la salope que je suis se baisse et fourre la bite de Guigui (car c’est de lui qu’il s’agit) .dans ma bouche..
Les deux autres viennent à ses côtés. J’ai compris ce qu’ils veulent, et donc je les suce les uns après les autres. J’ai complétement oublié l’épisode « lingette », mais heureusement leur état n’a rien de repoussant. En même temps Leduc tripote les fesses de jojo. Ces deux-là seraient à voile et à vapeur que cela ne m’étonnerais pas.
Je suce, je suce, je n’arrête pas de sucer, à ce point que je vais finir par avoir mal à la mâchoire.
Jojo se retourne et me présente ses fesses. Il veut donc que je lui prodigue une feuille de rose. Or justement ça ne sent pas précisément la rose à cet endroit mais j’en ai vu d’autre et lèche donc de trou de balle avec application.
Au bout d’un moment Leduc me demande de m’étaler sur le sol, ou plus exactement sur le vieux tapis.
– Ben non, ça ne va pas le faire ! Objecte Jojo.
S’en suit une courte discussion sur la meilleure position à adopter. Ils me font rire à être aussi empruntés
C’est finalement Leduc qui vient s’étaler à ma place et on me demande de le chevaucher.
Du coup Jojo peut venir derrière moi afin d’accéder à mon trou de balle
Et le trio se met en branle. Pas évident comme figure de style, il faut de la synchronisation et ça ne vient pas de suite.
Quant à Guigui, il se pointe devant mon visage la bite en avant. Je vais donc le sucer pendant que les deux autres vont m’enfiler
C’est Jojo qui a jouit le premier, il se retire de mon cul exposant sa bite bien polluée. Il me contourne et a sans doute l’idée de me la faire nettoyer. Manque de chance pour lui, ma bouche est occupée, du coup il s’en va je ne sais où.
Guigui a déchargé dans ma bouche, j’en ai recraché un peu, j’ai avalé le reste. Leduc s’est retiré (c’est bien de tenir ses promesses) et sa bite vient dans ma bouche remplacer celle de son acolyte.
Ouf, c’est fini !
Je me relève et cherche de quoi me rincer un peu. Mais voilà que Guigui et Leduc entreprennent de pousser le tapis sur le côté. En dessous ce sont des tomettes. Et on me demande de m’y allonger.
Pourquoi faire ?
J’avoue ma grande perplexité
– On va t’arroser, ça va te rafraichir ! Indique Leduc.
Ah bon ! Mais c’est froid les tomettes ! Je m’installe néanmoins et j’attends. Mes trois zigotos me pissent dessus. Curieusement alors que la partouze m’avait laissé indifférente, cette douche dorée aurait tendance à m’exciter. Allez comprendre, vous ?
–
Et en se rhabillant, Leduc m’annonça que le plan était prêt.
– Voilà comment nous allons procéder…
A suivre
Pour se stimuler certains prennent du safran.. mais le sex c’est tellement mieux
Quand y en a pour deux il en y a pour trois
(Proverbe burkinabé)