Martinov 29 – L’archipel de Véga – 9 – Erotisme automobile par Maud-Anne Amaro

Martinov 29 – L’archipel de Véga – 9 – Erotisme automobile par Maud-Anne Amaro

Plusieurs jours plus tard…

Il est 18 heures passées et Béatrice quitte le laboratoire du professeur Martinov à Louveciennes, elle prend la direction de la gare, une Peugeot noire attend 50 mètres plus loin. Rivière, l’âme damné de la secte de l’Archipel, en sort juste au moment où Béatrice passe.

– On est un peu perdu. Le chemin de la gare, s’il vous plaît ?
– Tout droit, puis à gauche au carrefour.
– Vous y allez ?
– Oui, vous m’emmenez ?
– Avec plaisir, montez.

Et tout va alors très vite, Béatrice a le temps de reconnaître Moineau au volant avant qu’un tampon de chloroforme l’envoie dans les vapes.

Et c’est ainsi que Béatrice se fit kidnapper pour la seconde fois consécutive

Arrivée à Marly, Moineau attendit que Woland se soit éloigné pour lui expliquer ce qu’il attendait d’elle.

– Voilà, nos expériences ont été interrompus malencontreusement, nous allons les reprendre là où vous en étiez.
– Mais espèce de bougre d’âne, est-ce que vous êtes au moins capable de comprendre que je ne sais pas faire ! Hurle la jolie chimiste.
– Vous ne savez pas faire quoi ?
– Chercher un antidote à un poison dont on ne connait pas la composition, ça n’a aucun sens ! Achetez-vous un cerveau !
– Je le sais bien que ça n’a aucun sens, mais vous n’aurez qu’à faire semblant.
– Pardon ?
– Vous avez très bien entendu, faites semblant !
– J’aimerais comprendre ?
– Je ne vous dois aucune explication. Reposez-vous cinq minutes, puis au boulot.

Les gendarmes de Limoges poursuivent leur enquête, ils demandent la collaboration de la police parisienne afin d’enquêter sur le propriétaire de l’Archipel, celle-ci se rend donc à son domicile de Marly les Violettes puis rend son rapport :

« Il apparaît que monsieur Woland a acquis la propriété dite de l’Archipel afin de réaliser une opération immobilière, il ne l’a loué à personne et déclare ne pas avoir été mis au courant du fait qu’elle était squattée. Pendant la période que vous nous indiquez monsieur Woland a déclaré avoir été en croisière privée en Méditerranée à bord du yacht de ses parents, alibi confirmé par ces derniers. »

Bien oui, Woland qui n’est pas complétement idiot avait demandé à ses parents de le couvrir par ce beau mensonge.

Le lendemain de son enlèvement le professeur Martinov s’inquiéta de l’absence de sa jolie collaboratrice d’autant que ses appels téléphoniques n’aboutissaient pas .

Fou d’inquiétude et craignant le pire, il se rendit à son adresse parisienne où personne ne lui répondit.

Alors il fit de nouveau appel aux services de Gérard Petit Couture.

– Ou bien ce sont encore les cinglés de l’Archipel ou bien c’est autre chose, on va partir de la première hypothèse mais par où commencer ?

Il apprend par la gendarmerie de Limoges qu’un seul suspect est sous les verrous, mais il n’obtient pas d’autres renseignements .

Gérard passe quelques coups de fil afin d’obtenir à toutes fins utiles les coordonnées du propriétaire de l’Archipel.

Il se rend donc accompagné de Florentine à Marly les Violettes et demande à être reçu par le propriétaire des lieux

– Petit-Couture, défense du territoire, se présente-t-il en exhibant sa carte périmée.
– Oui et alors ?
– Connaissez-vous cette personne ? Lui demande-t-il en exhibant une photo de Béa stockée sur son téléphone portable.
– Non, pourquoi ?

Quelque chose dans l’expression de Woland persuade Gérard que celui-ci ment, alors il y va au culot, et du culot, Gérard en a à revendre !

– Bien, nous allons faire une petite visite…
– Vous avez un mandat ? Demande Woland.
– Nous ne sommes pas la police, nous sommes la sécurité du territoire et nous n’avons pas besoin de mandat…

Woland ne sait que répondre à ce bluff et laisse Gérard et Florentine cheminer parmi les pièces de cette coquette demeure.

La porte blindée et insonorisée derrière laquelle Béatrice est censé travailler se trouve dissimulée par un pan pivotant de la bibliothèque. Gérard ne s’aperçoit de rien.

– Bon, apparemment elle n’est pas ici ! Tu vas nous dire ce qui lui est arrivée, ou je vais devenir méchant !
– Oh ! Calmez-vous ? Et pourquoi d’après vous cette personne serait susceptible de m’intéresser ?
– Parce qu’à l’Archipel vos petits copains se livraient à des expériences bizarres, que ceux-ci ont été interrompues par la gendarmerie et que j’ai l’impression que vous souhaiteriez les reprendre.
– Je vous signale que les activités bizarres comme vous dites, qui se sont déroulées à l’Archipel l’ont été à l’insu de mon plein gré. Pendant cette période j’étais en croisière en Méditerranée, ce que s’est permis de vérifier la police qui m’a interrogé à ce sujet.

Du coup Gérard est déstabilisé et ne possède plus d’angles d’attaque..

Alors une seule solution faire croire à ses interlocuteurs qu’ils n’ont rien à se reprocher, s’en aller pour mieux revenir à la charge ensuite…

Le professeur Martinov déprime, la police ne peut rien faire avant le délai d’usage de 48 heures.

De son côté Moineau ne chôme pas, il a envoyé un message à tous les adeptes de la secte, y compris ceux qui l’ont quitté après l’esclandre de Michelet. Il y explique qu’après une enquête, les malversations constatées ne sont imputables qu’au seul Nalon, actuellement sous les verrous, que celui-ci été banni de la secte et qu’il est temps de classer cet épisode, de tourner la page et qu’un rassemblement est prévu à Marly Les Violettes; que des tentes seront prévues pour le confort des membres et que ceux-ci seront accueillis quand ils le souhaiterons. etc, etc…

Et bien sûr Servane fit partie des destinataires.

– Allo ! C’est Servane ! Euh monsieur Gérard… je n’ai pas noté votre nom de famille.
– Ah, vous êtes la personne qui nous a abordé à Limoges après la conférence de presse.
– Tout à fait, je voulais vous faire part d’un message que je viens de recevoir, et qui peut vous intéresser, je vous l’envoi en MMS.

« Si après ça je n’obtiens pas mon interview, c’est que je ne suis plus bonne à rien ! »

Gérard lit le message et manque de s’étrangler.

– Putain de bordel de merde !
– Ben qu’est-ce qui te prends ! S’étonne Florentine.
– Ce salonard de Woland qui nous raconte qu’il n’a rien à voir avec la secte ! Quel sale menteur ! Tiens lis ça !
– On fait quoi, on y retourne ? Propose Florentine.
– Allo, monsieur Gérard, je suis toujours là !
– Oui, vous téléphonez d’où ?
– De Paris, mais je vais me rendre à Marly, le temps de préparer quelques affaires.
– O.K, on se retrouve là-bas, mais on ne se connait pas. C’est moi qui vous approcherais si nécessaire.

Derrière la grille, un bonhomme au visage graisseux, sans doute l’un des adeptes, est chargé de filtrer les entrées.

– Je peux voir votre invitation ? Demande-t-il
– Mon invitation c’est ça ! Répond Gérard en exhibant sa carte de la DGSE.
– Je vais prévenir monsieur Woland !
– N’en faites rien, on va lui faire une surprise.
– Je ne sais pas .
– Tu nous laisses entrer, conard, ou je tire dans la serrure !

Qu’est-ce qu’on peut perdre comme temps en formalités !

Gérard et Florentine s’approchent du bâtiment, ils perçoivent une certaine agitation provenant de l’arrière, ils décident d’y aller voir.

Un quinzaine de tentes y sont montées, des gens discutent entre eux tandis que des ouvriers installent des tables de plein air. Une véritable ambiance de kermesse, il ne manque que les ballons !

Ils pénètrent à l’intérieur.

– Encore vous ? S’exclame Woland.
– Ben oui ! Plus menteur que vous, il y a qui ? Pinocchio ?
– Pardon ?
– C’est quoi derrière ? La fête du village ?
– Qu’est-ce que ça peut bien vous faire ? J’ai quand même bien le droit d’organiser un petite fête avec mes amis
– Et vous fêtez quoi ?
– Je n’ai pas à vous répondre.
– Alors moi je vais vous le dire, vous êtes en train de reconstituer la secte de l’Archipel de Vega.
– Vous vous égarez, monsieur !
– Et en voici la preuve ! Répond Gérard en exhibant le message envoyé par Servane qui l’a pris soin d’imprimer

Le visage de Woland se décompose avant qu’il ne murmure un vague :

– Ce n’est pas ce que vous croyez je peux tout vous expliquer…
– Et vous allez me sortir un de vos mensonges ! Alors écoutez-moi, je me fous de vos activités de charlatan comme de ma première branlette, mais ce qui m’intéresse pour le moment c’est de savoir ce qu’est devenue mademoiselle Béatrice Clerc Fontaine.
– Mais je n’en sais rien.
– A l’Archipel vous aviez des laboratoires derrière des portes blindées ?
– Je n’ai jamais mis les pieds à l’Archipel.
– Menteur, je suppose qu’ici c’est pareil ?.
– Si nous cessions cette conversation ?
– Certainement pas. Apportez-moi le plan de la baraque.
– Mais je n’ai pas ça !
– Si, en principe c’est annexé à l’acte de propriété, allez me le chercher
– Je n’ai aucun papier ici, j’ai un homme d’affaires qui s’occupe de tout ça.
– Ben voyons ! Répond Gérard en giflant son interlocuteur
– Vous n’avez pas le droit !
– Dis-moi où est Béatrice ou je t’en fous une autre.

C’est à ce moment-là que surgissent armes au poing, Moineau et Rivière qui se tenaient dans la pièce contiguë et qui ont tout entendu.

– Ça suffit maintenant, vous abusez de votre pouvoir, veuillez quitter les lieux immédiatement.
– Et sinon ?

Simple question, mais bonne question, puisque les deux abrutis sont incapables de répondre.

Profitant de ce moment d’hésitation Gérard qui avait son revolver en poche tire sur la jambe de Woland qui s’écroule de douleur.

Rivière, surpris et choqué lâche son arme et lève les mains au ciel.

– Ne me faites pas de mal.
– Où est Béatrice ?
– Je vous assure que je n’en sais rien.

Deux invités, adeptes de la secte, se pointent en courant.

– On a entendu des coups de feu.. Oh, mais qu’est ce qui se passe ?
– Un fou qui nous a tiré dessus, j’ai voulu le maîtriser, il s’est enfui dans la cave, nous l’avons enfermé, la police est prévenue, elle arrive. Répond Gérard sans se démonter.

Satisfait de cette explication, les deux andouilles repartent, tandis que Gérard n’en revient pas de cette capacité qu’il a eu à mentir ainsi de sang-froid.

Gérard demande à sa compagne de surveiller les trois zigotos puis après s’être emparé de quoi écrire, arpente les lieux en mesurant approximativement les pièces et en les dessinant sur le papier de façon à constituer une esquisse de plan

Au bout d’un quart d’heure, il constate un vide dans le plan, correspondant à l’arrière de la bibliothèque

Ça devient facile, il essaie de faire bouger tout ça, un pan pivote et révèle une porte blindée.

« Maintenant il faut ouvrir »

– Béatrice tu m’entends ?

Pas de réponse, il tambourine. Et miracle, ça tambourine de l’autre côté.

– Je reviens, dit-il, sans savoir s’il a été entendu.

Il redescend.

– Bon, j’ai trouvé la porte blindée, maintenant je veux la clé.
– Attends, lui dit Florentine, l’autre idiot perd du sang, je fais quoi ? J’appelle une ambulance ?
– Oui, mais où est la clé de ce bordel ?
– Je peux tout expliquer… répond Woland.
– Je ne veux pas d’explication, je veux la clé.
– Quelle clé ?

Et il reçoit une nouvelle baffe, à croire qu’il aime ça !

– Bon, bon, je vais vous dire où elle est, mais ce n’est pas ce que vous croyez.
– C’est ça, c’est ça.

La clé n’était pas cachée mais posée négligemment sur un guéridon de l’entrée.

– Je vous accompagne ! Décrète Moineau.
– Gérard ! Comment tu m’as retrouvé ? Demande Béatrice

Moineau profite de ce moment d’émotion pour se jeter sur Gérard en un geste désespéré. Mais il est loin de faire le poids, et Gérard d’une manchette bien placée l’envoie dans les vapes.

– Vite Béa, on se tire, je t’expliquerais tout ça après.
– Mes affaires ! Il faut que récupérer mes affaires
– On va demander au joufflu blond.

Ils redescendent, abandonnant le corps inconscient de Moineau.

– Bon c’est fini, on se casse, toi le blondinet tu vas venir avec nous.
– Mais moi je n’ai rien fait ! Proteste Rivière.
– Ta gueule ! Lui répond Gérard en lui attachant les poignets avec un bas nylon qui trainait dans la boite à gants. Et dis-nous où sont les affaires de Béatrice.
– On s’en est débarrassé, c’est parti à la poubelle.
– Pauvre connard ! Ne peut s’empêcher de lui dire Béatrice.
– Mais ce n’est pas moi !

Gérard téléphone ensuite à Servane :

– On a fini, rejoins-nous dans la voiture, devant la grille, une Opel Corsa bleu métallisé… On va d’abord aller voir les flics ensuite on ira boire un coup, on l’a bien mérité.!

Au commissariat le plus proche, Gérard entre accompagné de Beatrice et de Rivière.

– C’est pour porter plainte pour enlèvement et séquestration.
– Ah ? Vous pouvez me préciser l’identité de la victime ?
– C’est moi ! Répond Béatrice
– Vous avez vos papiers d’identité ?
– Ben non, ils me les ont détruits.
– C’est qui « on » ?
– Notamment ce monsieur ! Répond Gérard en désignant Rivière !
– Mais moi je n’ai rien fait ! Proteste Rivière qui se répète un peu.
– C’est vous qui lui avez attaché les poignets !
– Oui, je n’avais pas de menottes.
– Ce monsieur aurait agi seul ?
– Non, j’ai laissé deux de ses complices au 1 bis rue du Capitaine Crochet à Marly les Violettes… l’un est blessé à la jambe, l’autre était dans les pommes…
– Mais vous êtes qui, vous monsieur ?
– Gérard Petit-Couture ancien agent de la DGSE et ancien ministre.
– Ciel, venez avec moi dans le petit bureau, on va démêler tout ça…

Et pendant ces formalités, Florentine et Servane font connaissance..

– On vous doit une fière chandelle… commence Florentine.
– Pensez-vous, j’ai maintenant de quoi pondre un article passionnant, peut-être même que j’écrirais un bouquin…
– Ça n’a pas été trop dur de vous infiltrer là-dedans.
– Non, j’ai fréquenté des gens autrement plus dangereux, ceux-là ce sont des doux dingues inoffensifs. Et puis il régnait une ambiance décontractée, c’était parfois amusant.
– Comment ça ?
– Disons que ça s’envoyait en l’air allègrement ! Je ne vous choque pas j’espère ?
– Pas du tout, confidence pour confidence, mon mari et moi sommes assez libertins.
– Ah ? Vous faites de l’échangisme ?
– Ça nous arrive, oui ! Mais nous avons quelques amis très partageux.
– De l’échangisme avec plusieurs hommes ? Avec des femmes ?
– Tout ça !
– Moi j’ai parfois des pulsions nymphos, mais j’aime bien les femmes aussi.! Répond Servane en regardant Flo de façon canaille.
– Alors qu’est-ce que tu attends pour m’embrasser ?
– T’es directe, toi !
– Ben oui, pourquoi s’encombrer de protocole ?
– Alors ne nous encombrons pas !

Voilà ce qui s’appelle être rapide en besogne. Les deux femmes se roulent une pelle magistrale tandis que les mains se font baladeuses, un peu les seins, un peu l’entrejambe, et tout ça dans la bonne humeur malgré l’étroitesse du véhicule.

– T’as déjà baisé dans une bagnole ? Demande Servane.
– Baiser c’est un grand mot mais on fait plusieurs expériences d’exhibitionnisme en bagnole.
– Tu me racontes ?
– Si tu veux, mais regarde dans la boite à gants, il y a peut-être quelque chose qui pourrait t’intéresser.

Servane ouvre…

– Oh, un gode, des capotes, du gel ! Ben dis donc !
– Autant être prêt à toutes éventualités !
– Je vois, je peux me servir du gode !
– Mais bien sûr ma poule !

Elle se saisit du joujou, l’encapote, puis après avoir écarté sa petite culotte, se le plante direct dans la chatte.

– Maintenant raconte-moi !

Le récit de Florentine

Je ne me souviens plus pour quelle raison nous avions emprunté cette route forestière qui se terminait en cul de sac dans un mini parking.

On se gare et on aperçoit une bagnole entourée par trois mecs qui se branlent la bite peu discrètement.

– Il doit se passer de drôles de trucs à l’intérieur ! Me dit Gérard.

L’un des trois mecs se déplace et vient regarder par la vitre de notre voiture, mais comme il n’y a rien à voir, il repart aussi sec.

– S’ils veulent du spectacle, on peut leur en donner ! Me suggère Gérard.
– Pourquoi pas ?
– Déshabille-toi un petit peu..

Je libère mes seins et je me tripote la chatte, mais personne ne vient. Gérard donne un coup de klaxon. Du coup l’un des voyeurs se ramène, s’approche et se branle en matant mes nichons. Il a une jolie bite, je baisse la vitre, le branle un peu, puis je le prend en bouche, le gars ne s’attendait peut-être pas à ça, mais il se laisse faire !

Le gars a joui dans ma bouche, je crache, un second arrive, la bite est moins jolie mais qu’importe, je suis trop excitée et je le suce.

Un autre mec s’est pointé côté conducteur et regarde Gérard se branler.

Gérard baisse la vitre.

– Elle t’excite ma bite ?
– Oui, elle est belle.

Du coup mon copain ouvre la portière et se fait sucer par le mec, tout cela n’a pas duré longtemps et on est reparti. Une expérience amusante et excitante.

Fin du récit de Florentine.

– Whah, ça m’a excité ton histoire ! Commente Servane tout en faisant aller et venir le gode dans sa minette.
– Et si tu me montrais tes nichons !
– Vas-y dégage-les ! Personne ne peut nous voir, vas-y c’est bon ! Mais dis-moi, ton mari, si je comprends bien, il est à voile et à vapeur ?
– Oui il est un peu bisexuel, il y en a d’ailleurs beaucoup dans les bois. Mais ça n’a pas eu l’air de te choquer !
– Non, non, au contraire, j’aimerais bien voir ça te plus près !
– Ça peut s’arranger assez facilement
– C’est vrai ?
– Puisque je te le dis…

Et Servane continue à se goder la chatte en gémissant de plus belle tandis que Flo se régale de ses tétons. La jouissance est intense et bruyante.

– Chut !
– Tu crois que c’est facile de jouir en silence, toi ?
– Occupe-toi un peu de moi !
– Tu veux le gode ?
– Non, baisse-toi et lèche.

Servane est véritablement une experte es-langue et envoya rapidement Florentine au septième ciel.

– Maintenant que cette histoire est terminée, le moins que l’on puisse faire c’est de faire une petite fête, tu seras des nôtres ?
– Avec plaisir.
– O.K. je t’enverrais l’adresse et l’heure !

Gérard sort du poste de gendarmerie et rejoint son véhicule.

– Alors les nanas, vous avez été sages ?
– Non, non, pas vraiment !

A suivre

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2 réponses à Martinov 29 – L’archipel de Véga – 9 – Erotisme automobile par Maud-Anne Amaro

  1. Collargol dit :

    a-t-on mesuré l’empreinte Carbonne de l’érotisme automobile ?

  2. Lucky dit :

    Le XXème siècle aura inventé l’érotisme automobile, avant suivant la classe sociale c’était le carrosse ou la charette à foin

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