Chatteries… en Noire et blanche… par Verdon

Chatteries… en Noire et blanche… par Verdon

Tiens ! Voilà un bon moment que je ne vous parle plus d’Ernestine !

Oui, ma bonne copine que vous connaissez bien.

Elle habite juste à côté de chez moi et possède une jolie véranda dans laquelle elle se promène à poil toute la journée. Ce qui pour moi est loin d’être désagréable.

C’est qu’en plus d’être ma proche voisine, elle dispose d’un de ces petits culs irrévérencieux capable de vous faire bander un Pape !

Bon, elle n’a pas que le cul de charmant, son visage est radieux, ses pommettes saillantes, la bouche volontaire, l’entre-jambes impatient et un sourire liquéfiant.

Et les seins ? Allez-vous me dire.

Eh bien les seins, ils ont été jolis, superbes même, en son temps, mais ils ont tant donné qu’ils ont perdu un peu de panache… mais pas d’insolence, ni de tendresse et la vigueur de ses longs tétons témoigne toujours de leur éternelle disposition. (ben oui ! Rappelez-vous, avec mon frangin on y a passé de sacrés bouts de temps à la téter la bonne Dame !)

Ça fait deux ou trois mois, qu’elle a disparue, ma laitière. C’est qu’elle n’aime pas l’hiver. Elle ne peut pas vivre à poil par des temps pareils. Alors elle se tire dans des pays chauds pour se faire bronzer les fesses et plus si affinité, (vous pensez bien !)

Je la soupçonne d’être allée rejoindre Moussa, son pote de Dakar. Oui ce fameux noir qui lui avait taraudé sérieusement la pastille, souvenez-vous… même qu’il m’avait fallu lui pommader l’étroit pertuis, (pas à Moussa !… à la coquine), pendant que son pourfendeur se barrait dans son pays natal, avec en trophée accrochés sur sa bite, quelques poils blonds du cul de l’inconsciente ! (Apparemment elle en a gardé un cuisant mais pas un mauvais souvenir… puis qu’elle y retourne, la Salope ! il paraît que quand elles y ont goûté… Oups !)

Eh bien, ma vagabonde est de revenue. J’ai aperçu de la lumière hier soir, entre ses volets, et qu’est-ce que je vois ce matin dès les premiers rayons de soleil… son fameux petit cul ! Arguant sous son sourire habituel, d’un de ces bronzages, à se demander si elle n’a pas passé son séjour assise sur un barbecue ! (humm ! Elle a dû s’asseoir sur autre chose !)

Elle me fait de grands signes pour m’inviter à la rejoindre, ce que je fais avec empressement et elle se fond dans mes bras.

Aussi je l’examine. Je lui fais faire un tour sur elle-même en lui tenant un bras au-dessus de sa tête. Ça va. Elle se tient bien, elle est ravissante, bronzée… le lui tâte un peu la couenne, elle n’a pas perdu de graisse et la raie du cul toujours aussi avenante… il n’y a rien à dire … elle est potable… c’est de la bonne carne (Oups, ça il va me falloir l’effacer, si je ne veux pas avoir d’ennuis !)
Ils me l’ont pas massacrée, les ‘Indiens’ là-bas, mon Ernestine. Elle me revient en forme, brune et fraîche à déguster,

On s’embrasse à langue que veux-tu et je sens son pubis qui se colle sur mon ventre, déjà à la recherche de vigueurs matinales. (ah ! Elle a la venelle toujours, aussi chaude !)

Je défais la ceinture de ma robe de chambre pour sentir sa peau nue se blottir contre mon corps bouillant

Mais hélas, c’est le fiasco ! J’ai la bistouquette qui pendouille comme une vieille chaussette et déçue, la gourmande n’arrive pas à faire glisser mon chichi dans son clapet d’amour.

– Oh qu’est-ce qu’il se passe mon chéri !… c’est la débandade !

Je ne suis pas fier du tout. J’ai honte, mais je me serre bien contre elle dans l’espoir de revigorer mon membre paresseux.

Avec deux coups de cul, elle se dégage et penchée en avant elle soulève dans ses mains, mon service trois pièces en déroute. Elle se marre, la garce, elle se marre en pointant du doigt ma déroute infernale !

– Oh le petit chose qu’elle dit ! Oh le microbe … et elle rit comme une détraquée. Hé, petit ! C’est quand que tu vas faire ta première communion ? Hi ! Hi… .

Mais elle ne va pas bien ma voisine ! Elle m’énerve ! On ne parle pas ainsi à un vétéran ! Ça arrive à tout le monde d’être en panne !

En plus, hier après-midi, j’ai sauté ma femme de ménage… une bien grasse et délicieuse personne… Mais bon dieu !… Quel débordement d’amour !… Ce n’est plus de mon âge de bousculer du si gros gibier ! Mais elle suce si bien ! Alors j’ai quelques maigres mais si bonnes excuses, quand même…

Et puis il n’y a pas si longtemps, quand je lui tambourinais l’arrière-train, Ernestine, elle meuglait comme la ‘Marie’ quand le paysan du coin, l’amenait au taureau !… (sa vache, pas Ernestine… voyons !… Il faudrait suivre les gars !) ».

Une bonne fessée sur son petit cul couleur pain grillé, ça va lui remettre les idées en place à ma belle !…

Un 69, une bonne pipe et en lui écartant le joufflu, voilà qui me permet de refaire l’inventaire de son jardin d’agréments et d’évaluer les pertes et profits de son long séjour sous le soleil et sous les bites africaines.

Humm, c’est bon ! Ça sent la savane (ça change de la lavande… ), en effet, elle a dû se faire drôlement turlupiner l’abricot et le trou d’évent, sous les palmiers, la coquine ! Mais c’est en bon état. Carminé et moelleux à souhait.

Tiens ! Je remarque qu’elle n’a plus aucun duvet autour de son chantier d’amour. Plus un poil, nom d’un chien. Rien !… Ma langue glisse et hop ! Elle tombe dans l’échancrure… Le minou d’une nymphe. Le désert de Gobi !

Bon ce n’est pas forcément très folichon, mais ça a un côté excitant. Ça fait un peu nubile, jeune femme, je veux dire. Du coup je sens que je commence à bander…

Je décide, alors, de fureter entre ses fesses et de lui grappiller les hémorroïdes à ma chérie.

Légèrement fendu et un peu boudiné, il m’a ce trou du cul, un peu plus polisson. Il a pris de l’aisance dirait-on. (Voilà ce que c’est que de fréquenter du ‘joli monde’)
Je lape, je lape le vierge monticule et je lui croque la raie des fesses non sans oublier son petit trou de balle qui m’a l’air d’avoir pas mal été élargi à se faire courser par des bites plus épaisses que son petit alésage… même que les hémorroïdes, oh là là !… Mais c’est amusant les hémorroïdes… comme des boules d’anis au bout de la langue !… Oups !

– Oh, tu me chatouilles… qu’elle me dit.
– Eh bien… chatouillons !

Comme certains bouts du nez au milieu de la figure, il est, ce médaillon, d’une insolence très approfondie, si j’ose dire. Et dessous lui, l’ouverture béante et affamée de son minou, semble rivaliser et jalouser ces bonnes dispositions que lui a procurées de grosses pines.

Devant un si bel étalage, je n’hésite pas, moi…

Un petit coup en bas, un autre en haut… et je passe à l’ouvrage.

Ernestine s’est humidifié l’anus avec sa mouille. Elle écarte bien ses fesses. Je pose mon gland sur le beau médaillon. Je pousse… et hop !

Ma pine pénètre facilement. Elle n’a aucun mal à se faire une place,

Habitué à s’ouvrir, le petit orifice se laisse visiter très volontiers, tout heureux de glisser sa jolie collerette, autour de ma queue (un peu comme ces filles des îles qui vous enfilent des colliers de fleurs autour… du cou !)

– Humm ! C’est bon… doucement… oui va s’y, continue ! ça entre !

Ben oui, ça entre. Ça y est, le gland a pénétré et l’anus s’est resserré autour de lui.

Coquine, elle dit : « Aie ! Aie, arrête ! ».

« Aie ! », mais pensez-vous, ça entre tout seul, elle en a vu d’autres ! C’est pour me faire marcher… pour m’exciter… (elle sait y faire la chipie !) Aussi, je pousse davantage… et ça entre, ça entre bien à fond, elle a relâché ses fesses et tortille son cul en se plaquant contre mon pubis… elle en veut plus !

Alors je la ferraille, elle ne crie plus, elle geint.

– C’est bon ?
– Humm ! c’est bon ! Bouge ! Encule-moi plus fort… pousse ! Je ne te sens pas ! Où es-tu ?… Qui c’est qui m’a foutu ce mec-là ?

Putain ! C’est qu’elle se croit encore en Afrique chez les éléphants, ma grognasse ! Moi je fais ce que je peux, avec ce que j’ai, quoi ?

Merde !… Ça va se faire élargir le verre de lampe et de retour… ça vous trouve le chichi minuscule !… Demain je vais lui chercher un jésus chez le charcutier du coin et vous allez l’entendre brailler l’affamée.

C’est vrai que je nage un peu dans son rectum. Il y a de la place pour deux ! Mais c’est bon et ma jouissance arrive avant la sienne. Alors j’entre et je sors plusieurs fois de son cul en lui garsaillant la pacholle, et la voilà qui se met à hurler, la tête enfoncée dans l’oreiller Je l’achève en la retournant et je m’assois sur sa poitrine en lui donnant ma pine à bouffer, que je lui pousse jusqu’au fond de la gorge.

Elle étouffe. Elle bave. Elle a des yeux blancs qui louchent sur ‘microbe’… hi ! hi… .

– Alors salope tu la sens ma pine ? Il est trop petit mon zizi ! Tu en veux encore… dis-moi donc qu’il est trop court… dis-moi… ils sont meilleurs les zizis noirs ?

Ses yeux me fusillent… ses mains me griffent les cuisses… mais j’insiste encore en la saisissant par les bras. Alors elle me le mord, la garce. (je ne l’ai pas volé celle-là !… mais tout de même elle ne va pas prendre ma quéquette pour une andouille de Guéméné… )

Aïe ! Du coup je m’échappe, et bouche ouverte, elle me crache au visage un chapelet de grossièretés verbales, accompagnées du trop-plein des bonnes amabilités que je lui avais déversées dans le gosier. (juste recours, sans doute, contre mes insoutenables intempérances)

Je la retourne de nouveau et elle a droit à une petite correction, bien soignée, histoire de lui faire exprimer ses regrets et quelques larmes au milieu d’un petit sourire condescendant.

Aussi, devant son petit air désemparé, penché sur elle, je te lui fous un patin à réveiller une morte.

– Na ! Tu vois … je ne suis pas vindicatif ma Belle !

D’abord elle résiste…

Puis tout doucement elle s’abandonne, coulante elle glisse sa langue contre la mienne. Son corps se détend, je la lâche, ses yeux sont redevenus amoureux. Elle sourit et m’enlace par le cou pour me rendre un second baiser… Elle est adorable.

Ben, mes aïeux ! J’ai quand même, été un peu fou ! (ce n’est pas permis ! Oh, juste un peu… )

Mais que voulez-vous… elle m’a excité la chipie.

Et puis, le final… .ça ne lui a pas déplu… dirait-on !

Ne dit-on pas aussi qu’un bien fait n’est jamais perdu !

Allons, passons au pardon maintenant, à la tendresse, aux flatteries. Elle aime cela.

– Ah ! tu es la meilleure ! je ne connais pas plus amoureuse que toi. Tu fais si bien l’amour… Tu es ma Reine… mon Amour. Je suis fier de toi. Je ne t’en veux pas. Tu as goûté à des plaisirs différents, c’est bien, tu es une noble Dame… .

Assouvis tous les deux, on se serre et je la câline gentiment, heureux de l’avoir de nouveau près de moi, après une si longue absence… Je la masse comme elle adore. Elle s’endort, c’est rare pour une femme, mais que voulez-vous, je l’ai tant secouée !

Je la regarde endormie. Elle est sublime. C’est beau une nana qu’on a achevée et qui se lâche, là étendue, livrée à la pâture, molle, ouverte… elle ne risque plus rien… elle jute encore un peu de la bouche ou de son minou, ou bien de son petit cul satisfait ! …

Ben oui putain son cul !… .Il est encore flagrant de complaisance le salaud… le petit trou brillant au milieu de ses fesses lascivement ouvertes et indifférentes à mon regard vicieux et à ma pine en déroute… .en travers du lit, couchée sur le côté, un sein qui s’échappe et la cuisse rabattue, nonchalante… .elle dort.

– Voyoute ! Que je lui dis, un peu plus tard dans la soirée.. Je craignais pour toi. Qu’as-tu fait pendant tout ce temps, au milieu de tous ces bandits qui, d’après ce que j’ai vu entre tes jambes, n’ont pas dû beaucoup te ménager !
– Ouah ! Le Paradis et l’Enfer (c’est meilleur) J’ai été reçue comme une Reine. Tous dévoués autour de moi, ils m’ont accueillie comme l’une des leurs et chouchoutée comme je ne l’ai jamais été. Ils étaient tous empressés et aux petits soins pour mes plus grands plaisirs (et pour les leurs… )Je n’ai pas pu leur résister..
– tu t’es faite sauter comme une gazelle !
– Oh, deviendrais-tu jaloux maintenant ? Alors si on ne peut plus baiser avec ses bons amis… où va-t-on !
– Mais non, j’aurais bien aimé te voir faire l’amour avec tous ces cochons !
– Ben les cochons ils ne t’auraient pas fait de quartier, sais-tu, mon chéri… pauvre de toi !
-Parce qu’ils ne t’en ont pas fait à toi !
– Aie ! Tu as raison… mais moi ce n’était pas pareil… c’était de la courtoisie.
– De la grosse courtoisie me semble-t-il !
– Sûrement, c’est pour ça que c’est bon ! Hi… Hi !
– Alors, raconte-moi.

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Alors elle m’explique qu’à son arrivée à Dakar, elle retrouve son copain Moussa accompagné bien entendu, de son épouse. Une jolie personne, bien en chair, drapée dans des tissus chamarrés qui l’enveloppent de haut en bas en lissant son embonpoint comme une papillote autour d’un chocolat. Embonpoint qui a l’air par ailleurs plein de promesses.

Et ses lèvres bon dieu ! Des lèvres pulpeuses … Oh la jolie bonbonnière, le beau clapet d’amour.
Un volumineux bandeau fleuri sur la tête, un visage joufflu et rayonnant, transpirant de gaîté et de bonheur, qui traduit la joie et le plaisir de recevoir la copine de son homme.

Ernestine prévoyant la chaleur, s’est vêtue d’une simple robe camisole, sans soutif. Elle fait le ravissement de ses hôtes et les yeux de Moussa trahissent déjà une vive émotion en découvrant sous le mince tissu, des formes et des ombres rafraîchissantes.

– Hi ! Hi ! de la bonne ‘blanquette’ toute fraîche débarquée du gros avion !

Il en bave déjà, le saligaud !…

Ils grimpent dans une vieille voiture qui les amène dans une villa, nichée au milieu de palmiers et de bananiers, sur les hauteurs de la ville.

Moussa les quitte pour retourner à son boulot, mais ce n’est pas sans jeter de nombreux coups d’œil sur la tenue légère de leur amie…

– « Quel petit cul ! », qu’il glisse dans l’oreille de sa compagne tout en lui tâtant la fesse
– « le mien ne te suffit pas ? », rétorque la jalouse, en remuant son popotin, non sans un petit sourire de complaisance… .(le sien doit faire quatre fois le volume du premier… Oups !)
– « Va travailler… ce soir la nuit sera longue !! ».

Après une rapide visite de la maison et une petite collation, Ernestine se repose dans un fauteuil d’osier, tandis que Fatou, l’épouse, vaque à ses affaires ménagères. Elle a quitté sa robe, pour enfiler elle aussi, un boubou, genre camisole, qui met joliment en valeur ses belles formes qu’Ernestine découvre avec plaisir.

Elle va, elle vient la bonne maîtresse de maison, Ernestine fait celle qui sommeille, mais en réalité, la suit des yeux et se ravit de voir bouger ses gros seins qui ballottent librement dans le tissu, et la copieuse paire de fesses qu’elle trimbale dans le bas de son dos.

Quand elle passe à côté d’Ernestine, Fatou semble faire exprès de frotter son postérieur contre le fauteuil. Ça plaît à son invitée qui n’est pas insensible à cette petite odeur de sueur qui s’échappe de dessous les chiffons de la dame affairée. Elle le fait exprès cette dernière. Elle sait que ses chairs en transpiration ont un parfum aphrodisiaque qui va fatalement exciter la paresseuse.

Elle voit bien qu’Ernestine ne la quitte pas des yeux et que la façon dont elle croise et frotte ses jambes, est la preuve que ça commence à chauffer entre ses cuisses et qu’elle doit avoir du mal à contenir son excitation.

Alors elle pousse un peu plus loin pour la provoquer. En se baissant pour balayer le sol, elle colle son postérieur contre le bras du siège. Ce qui a pour effet de faire remonter le tissu de la robe et de découvrir les belles rotondités des cuisses d’ivoire de la Belle.

Ernestine ne résiste pas. Elle pose sa main sur un genou et remonte lentement le long de la cuisse de la noire. Il n’y a pas de culotte. C’est chaud, c’est gras et ça s’ouvre naturellement pour laisser le passage de l’inquisitrice qui se heurte rapidement à la chatte bouillante de Fatou. Les cuisses se referment et gardent prisonnière l’intruse digitale.

Ernestine cherche à s’introduire dans l’échancrure noire, en y glissant un doigt, puis deux. Elle trousse délicatement de long en large, la fente humide, pour l’ouvrir.

Sous ces bonnes caresses les cuisses se desserrent.

Elle retire sa main dont les doigts son déjà dégoulinant de mouille. Elle les suce.

– Humm, c’est bon…

Elle apprécie ce bon goût de chatte noire qu’elle découvre pour la première fois.

– Il a bon goût ton minou, Fatou ! Un goût d’herbes sauvages !
– Oui ma chérie, et le bon goût de mon homme, si entreprenant !

Flattée, Fatou embrasse sa bienfaitrice à pleine bouche avec ses grosses lèvres en faisant pénétrer sa langue vigoureuse, dans le palais de son amie complétement subjuguée par ce geste inattendu mais tellement envahissant.

Elle répond à l’attente, et elles échangent leurs salives en guise de bienvenue, ce qui provoque de violents frémissements tout le long de leur échine.

Finalement, toutes deux lâchent prise et Fatou invite Ernestine à prendre une douche pour se préparer pour la soirée avant le retour de son Mec.

Ça se passe dehors, sous le soleil, dans une cour damée et entourée de quatre hauts murs

Sans formalités, Fatou se déshabille, Ernestine en fait autant en admirant son hôte.

Puis, avec un tuyau d’arrosage, elles s’arrosent mutuellement avec une eau rafraîchissante, en gloussant comme des oies.

Elles jouent, font gicler l’eau sur leur visage, sur les seins, sous les bras et entre leurs cuisses.

– Tourne-toi que je t’arrose le cul !
– Ah ! c’est fort ! c’est bon ! vise mon trou du cul !… hi ! hi !… c’est bon ! Encore !
– Ecarte bien tes fesses, Fatou… je vais t’en faire autant !

Elles s’amusent comme des folles nos deux femmes, et bientôt se retrouvent seins contre seins et se cajolent en se faisant couler l’eau sur la tête.

– Oh attend, j’ai envie de pisser !
– Eh bien va s’y, pisse-lui dit Fatou en laissant tomber le tuyau sur le sol. Ouvre tes jambes et pisse !
– Oh ! Ici, tu crois ?
– Mais oui, laisse-toi aller… c’est bon !… laisse couler !

Les jambes écartées, Ernestine pisse de bon cœur dans le creux des mains de sa copine qui écope le bon jus pour le porter sur ses nichons et à sa bouche et en goûter la saveur. Elle glisse la main entre ses cuisses, pour caresser la touffe blanche de son invitée, curieuse de toucher ce petit écrin poilu d’où s’écoule le bon jus doré, aigre-doux.

– Humm !… A ton tour maintenant ! Baisse-toi devant moi, profite ma Belle !

Alors elle se met à pisser avec abondance la grosse cochonne. Un bon jet chaud et blond jaillit de sa chatte écarlate dont les chairs rouges et laquées, contrastent avec la noirceur de la peau et les bordures patinées de la vulve.

C’est un jet puissant et parfumé qui gicle sur le visage d’Ernestine et dégouline sur ses épaules et sur sa poitrine. De ses mains elle relève ses nichons en se frictionnant pour mieux apprécier l’arrosage et profiter de ce parfum d’herbes sauvages dont il est imprégné.

– Oh que c’était bon ! S’écrie notre assoiffée, déçue que l’averse soit déjà terminée, il faudra recommencer !

Après s’être rincé tous leurs petits endroits sensibles, elle dépose le tuyau et assise, le dos au mur Ernestine reçoit Fatou qui se couche, câline, entre ses genoux à la recherche sûrement de quelques douceurs féminines dont Ernestine est très bonne dispensatrice.

Elles passent un bon moment à se caresser mutuellement, pour passer agréablement le temps et découvrir avec bonheur les mille secrets de leur corps.

Elles regardent mutuellement leur chatte qui finalement, ne sont pas si différentes et tout autant gourmandes.

Celle de Fatou est large et pulpeuse et ferme. Elle a dû en croquer des grosses bites.

Celle d’Ernestine est fine, gracieuse, délicate. Elle donne envie de la lécher.
Elles sont belles toutes deux !

Fatou jambes écartées et chatte ouverte, souffle un peu, tandis qu’Ernestine les mains sur les gros nichons de la noire reste ébahie par la beauté naturelle de sa nouvelle copine.

Mais elle n’est pas la seule à jouir du spectacle.

Elles n’ont pas vu que Moussa, arrivé pendant leurs ablutions, s’est planté là, devant elles. Il les observe et se régale du spectacle des deux amoureuses.

Il est surexcité notre homme, il bande, mais commençant à se déshabiller, il fait du bruit et fait sursauter Fatou qui, surprise, pousse un cri en se levant.

– Ouah ! Que fais-tu là ? Tu es en avance ! Va-t’en, on est entre filles, file, on n’a pas besoin de toi !

Il reste là figé, à moitié nu et le sexe tendu, prêt à mordre, comme un rottweiler devant sa proie.

Ernestine une main sur sa chatte et l’autre sur les seins, joue à la nunuche qui ferait une découverte. Elle n’en ferme pas les yeux pour autant.

Sans doute est-elle impressionnée par la taille du bel instrument… ( et pour cause, n’en n’a-t-elle pas fait les frais au cours d’un si cuisant petit séjour que l’olibrius a passé chez elle, l’année précédente)

Mais là, elle ne se sent pas tout à fait prête à renouveler l’expérience, et craintive elle se barricade derrière les grosses fesses de Fatou qu’elle enlace de ses bras.

Fatou réitère son ordre, tout en menaçant son époux, avec un bambou qui traînait par là.

Sous les injonctions de sa compagne, le grand, le fort, le beau Moussa, tout doux, range sa panoplie et se retire, honteux comme un petit chien qui se fait gronder.

– Oh, le pauvre ! Comment tu l’as remballé !
– Ben tu l’as bien vu ! Il était prêt à te défoncer la rosette, ce salopard !
– Humm ! Tu as raison… mais pourtant !
– Pourtant ! Pourtant ! … Serais-tu assez salope pour te faire rectifier la pastille, devant moi, ma chérie ?
– Il est si beau ton mec !
– Oui eh bien pour l’instant planque-le, ton cul… on verra ça plus tard, je n’ai pas envie de t’amener à l’hôpital !
– Boff ! Ce n’est qu’un gros zob !
– Pouff !…

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Eh bien dites-donc les amis !

Une sacrée Mamadou qui a l’air de bien mener sa barque, dirait-on !

C’est vrai qu’elle a les moyens d’encaisser la bergère ! Vous ne feriez pas le poids, bandes de gentils pédés ! La voyez-vous assise sur votre nez la pisseuse !

Et son gugusse, qui se laisse mener comme un toutou !… Vous y croyez, vous ? On a vu qu’il avait de bons moyens, semble-t-il !

Je suis persuadé que la toute en fesse… il va se la ramener à la raison, n’est-ce pas ! Et avec l’outil qu’il a … il va en boucher des trous !… Attention, ne vous approchez pas.

Et ma ‘blanquette’… m’a l’air que ça commence à bouillir dans la cocotte… non ?

Avec tout cela, je crois que ça va nous faire un mélange explosif pour la nuit qui vient… branlez-vous les amis…

… Vous ne serez pas invités.

– 10/02/2025

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2 réponses à Chatteries… en Noire et blanche… par Verdon

  1. Harivel dit :

    Quel plaisir de retrouver la prose de l’ami Verdon… et en pleine forme en plus !

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