Evidemment les événements de la matinée m’ont travaillée toute la journée. (voir chapitre précédent)
Il me fallait prendre une décision et j’étais en pleine confusion : d’un côté l’envie de revoir cette femme me tenaillait, de l’autre il fallait bien admettre que j’étais en train de transgresser le principe sur lequel nous nous étions mis d’accord, Sylvain et moi de ma propre initiative.
J’avais eu la faiblesse de communiquer mon numéro de portable à Isabelle. Quelle conne je suis ! Elle m’a appelée en fin d’après-midi.
– Salut ma puce, je ne te dérange pas ?
– Non.
– J’ai oublié de te demander : tu as l’intention de raconter ce qui s’est passé ce matin à ton mari ?
– Non, enfin j’en sais rien !
– Tu devrais ! Ce serait plus correct !
– Tu crois ?
– Bien sûr
– Juste ta visite, alors ! Je ne parlerai pas du chauffeur !
– Non, faut tous dire.
– Je ne vais quand même pas lui raconter que tu m’as fait faire la pute !
– Si, il faut tout dire. Si vous commencez à vous cacher des trucs, c’est dangereux, il n’entre pas dans mes intentions de briser votre ménage.
– Je vais voir !
– Suis mon conseil, tu ne le regretteras pas. Je te laisse, Tchao !
Bien évidemment, elle n’avait rien oublié de me demander ce matin. Sa suggestion est une manipulation, me laisser mijoter puis intervenir pour forcer ma décision. Cette femme possède de véritables dons d’ensorceleuse.
Mais elle n’avait pas tort et je décidais donc d’en parler à Sylvain. Le soir je lui racontais tout.
Il ne manifesta aucune colère, aucun signe d’énervement, mais manifestement l’histoire l’intriguait. Il insistait pour connaître des détails qu’il n’était sans soute pas nécessaire de connaître pour prendre une décision. J’allais même jusqu’à me demander un moment si mon histoire n’était pas en train de l’exciter.
Je voulus en avoir le cœur net et lui mis la main sur la braguette.
– Mais tu bandes, mon salaud !
– Ben oui !
– Je suis en train de te raconter qu’une pétasse m’a pratiquement obligée à faire la pute avec son chauffeur et toi tu bandes !
– Obligée, obligée ! T’as bien voulu, non ?
– Disons qu’elle a su me mettre en condition.
– Hum ! Avoue qu’elle n’est pas banale ton histoire !
– Elle n’est peut-être pas banale, mais ce n’est peut-être pas la peine de bander comme une salope.
– Arrête de me traiter de salope, ça m’excite !
– Bon, c’est possible de parler sérieusement ? M’agaçai-je.
– Mais, certainement !
– Ben alors, j’y vais ou j’y vais pas à son rendez-vous ?
– T’en meurs d’envie, non ?
– Oui, j’en meurs d’envie, mais si j’y vais, ça nous libère tous les deux de notre promesse, mais je suppose que ça t’arrange, non ? Le problème c’est qu’on joue avec le feu. On avait un pare-feu, on est en train de le foutre en l’air.
Sylvain lève les yeux au plafond, il fait toujours ça quand il réfléchit.
– Voyons les choses autrement ! Finit-il par dire. On s’était dit que dorénavant quand on irait en club, on refuserait tout échange d’adresses. On peut toujours fonctionner comme ça… Plus de contacts extérieurs sauf qu’on fait une exception avec Isabelle !
Voilà qui me convient parfaitement, on s’embrasse, on s’enlace, je sens sa bite à travers son pantalon.
– Si on se faisait un petit apéritif crapuleux ? Suggère-t-il.
– O.K. On mangera après ! Si on essayait le gode ceinture que tu m’as acheté l’autre jour ?
– Bonne idée !
Je le sors du placard et l’emporte dans la chambre. Sylvain m’y rejoint… quand retentit la sonnette de l’entrée.
– J’y vais.
J’ouvre et découvre stupéfaite, le chauffeur d’Isabelle en tenue de plombier. C’est quoi ce délire ? Et Voilà Sylvain qui rapplique.
– C’est pour quoi ? Bafouillai-je
– J’ai dû oublier la montre quand j’ai changé votre joint, elle a dû rester dans le placard sous l’évier.
Et en disant cela, il me fait un imperceptible clin d’œil.
Je fais quoi ? Je rentre dans son jeu ou je le fous à la porte ? Je suppose qu’il ne vient pas de sa propre initiative, et qu’il s’agit d’une nouvelle manigance d’Isabelle. J’entre donc dans le jeu en me promettant d’arrêter si ça prend une tournure qui me déplait.
– Allez voir, je vous en prie.
– T’as appelé le plombier ? Me demande Sylvain complètement largué.
– Oui ! J’allais t’en parler !
– Ah ?
Il s’en va.
– Madame Isabelle me fait vous demander si votre mari est au courant ?
– Oui, mais…
– Vous lui avez tout dit ?
– Oui, mais…
Je n’arrive pas à en placer une, il file dans le salon et interpelle Sylvain.
– Ah Monsieur Sylvain ! En fait c’est vous que je voulais voir, je ne me suis pas présenté je me prénomme Victor, et je suis le chauffeur de Madame Isabelle.
– Attendez, j’ai du mal à suivre. Vous désirez quoi au juste ?
– Mais moi, je ne désire rien du tout, Madame Isabelle m’a simplement demandé de me mettre un moment à votre disposition, si cela vous convient.
– Et bien, vous remercierez Madame Isabelle, mais je n’ai besoin de rien et nous avons à faire… Aussi si vous pouviez nous laisser.
C’est à ce moment que j’interviens.
– C’est ce monsieur qui m’a joliment enculée ce matin !
– Oui, et alors ?
– Et bien, tu ne serais pas intéressé de voir sa bite ?
– Mais, pas du tout !
– Juste une seconde ! Allez-y Victor, montrez lui votre queue.
Et Victor sort sa queue de sa braguette. Elle est demi-molle mais quelques judicieux mouvements de poignet parviennent à la faire bander correctement.
Sylvain reste bouche bée.
– Ben suce-là !
– Heu….
– Heu quoi ? Tu ne veux pas goûter à la bite qui a défoncé le cul de ta petite femme ?
– Si, mais avoue que c’est complètement dingue !
Et sans autre commentaire, il s’agenouille afin de prendre en bouche cette jolie queue, du moins son extrémité… Parce que vu la longueur de la chose…
Depuis cette fameuse sortie en club où la bisexualité de Sylvain s’est révélée au grand jour, j’ai réalisé mon fantasme de voir deux hommes se donner du plaisir sexuel entre eux. Et force est de constater que ça me fascine toujours autant et que ça m’excite de même.
Voir le membre viril de Victor coulisser entre les lèvres de mon mari a quelque chose de magique, et mon bas ventre ne manque pas de me le rappeler.
Je passe derrière Sylvain et sans déranger sa besogne, je lui ouvre le pantalon afin de dégager sa bite qui bande comme celle d’un taureau. Puis je lui soulève sa chemise et lui pince fortement ses bouts de seins…
Sylvain est chauffé à blanc et augmente la cadence de sa pipe. Cette affaire va se terminer plus vite que prévu. Je m’aperçois alors que mon mari ne suce pas trop bien et a tendance à confondre fellation et pompage de bite.
Je vais pour m’agenouiller à ses côtés afin de pratiquer une didactique turlutte à deux bouches, mais contre toute attente, Victor se dégage.
– Mets-toi à poil et à quatre pattes, je vais t’enculer.
– Elle est peut-être un peu grosse, non ? Proteste Sylvain
– Ne vous inquiétez pas, j’ai l’habitude et je suis très doux, n’est-ce pas Madame Muriel ?
– Ma fois !
– Bon on essaye, mais si je vous dis d’arrêter, vous arrêtez, d’accord ?
Victor acquiesce silencieusement, se déshabille prestement et s’encapote la bite.
Plusieurs essais d’introduction s’avèrent infructueux. Il faut se rendre à l’évidence, ça ne passe pas !
– On n’y arrivera pas ! Commente Sylvain sans que je puisse dire s’il s’en félicite ou s’il s’en lamente.
Je m’approche, c’est la première fois que j’assiste d’aussi près à une pénétration anale ! Quel spectacle troublant de voir ainsi une bite s’enfoncer ainsi entre les jolies petites fesses de mon mari. Je cherche à participer d’une façon ou d’une autre, mais ne sais comment me détacher de cette vision fascinante. Sylvain pousse des gémissements fort peu discrets, il est aux anges. Victor accélère, puis décule brusquement en faisant un drôle de bruit, un peu comme une bouteille qui se débouche, retire sa capote et envoie une longue giclée de sperme sur le dos de mon mari. Il s’essuie avec un kleenex et se rhabille sans dire un mot.
Sylvain à demi-groggy finit par se relever et va pour se diriger vers la salle de bains, à ce moment Victor sort deux billets de son portefeuille et les pose sur la table.
– C’est quoi ? Demande mon mari.
– C’est pour vous, c’est toujours le baiseur qui paye !
– Mais…
– Je sais. Normalement, on paye d’avance, je me conformerai aux règles la prochaine fois, soyez en assuré. Sur ce, messieurs-dames, je vous souhaite une bonne soirée.
J’ai comme une envie de rire…
Et le voilà parti.
– C’est dingue ! Balbutie Sylvain.
– Va te nettoyer le dos et rejoins-moi vite dans la chambre, je ne tiens plus, j’ai la chatte en feu !
Je me déshabille et m’étale sur le lit. Le gode ceinture est resté sur la table de chevet. On l’essayera un autre jour.
Qu’est-ce qu’il fout Sylvain ? J’entends le bruit de la douche ! Il va me faire attendre encore longtemps ce zigoto ?
Et si… Je prends le gode ceinture et me le fous dans la minouche. Je le fais aller et venir, je mouille tellement que ça fait des floc-floc dans ma chatte.
– Je suis là !
Ben oui, je l’ai vu et il a la bite en étendard ! Comment il fait pour tenir une telle forme ?
– Lèche-moi, j’en peux plus !
Ce n’est sans doute pas ce qu’il souhaitait faire de prime abord, mais il n’est pas chiant, et il s’exécute gentiment, léchant d’abord ma mouille pour ensuite venir (enfin !) butiner mon clitounet. Je suis partie très vite. Très vite et très fort. Houlala que ça fait du bien.
Sylvain semble dubitatif.
– J’ai compris ! Il faut que tu te soulages d’urgence, je te suces ?
– Euh… Ton cul ?
OK, je me mets en levrette, après tout ce n’est pas une mauvaise idée, j’aime bien jouir du cul. Sylvain a dû me sodomiser moins de 3 minutes chrono avant de lâcher sa purée.
– Essaye de continuer un peu.
– Je peux pas, je vais te lécher encore si tu veux.
– Non laisse, ça va, on va casser la croûte.
– Quand même c’est dingue cette histoire ! Je me demande à quoi elle joue, Isabelle ?
– Ne t’inquiète pas, on ne devrait pas tarder à avoir de ses nouvelles.
– Qu’est-ce qui te fait dire ça ?
– Mon petit doigt !
– Fous le moi dans le cul.
C’est demandé si gentiment… mais ça ne l’a pas fait rebander !
(à suivre)
Les trois dernières répliques sont à tomber… Belle ambiance libertine et bisexuelle !
Les chauffeurs de maitres sont les premiers à être au courant des turpitudes de leurs employeurs… alors évidemment, ça déteint
Voir par exemple les souvenirs du chauffeur de François Hollande et notamment de l’escapade de ce dernier chez Cludia Cardinale la nuit de la mort de Lady Di
cochon, le chauffeur
Tous des enculées ! Mais je n’ai rien à dire moi aussi j’adore me faire mettre 😉
L’auteur sait nous faire bien bander
Un vrai plaisir de lie ça !
Complètement déjanté mais si agréable à lire. Et en plus ça fait bander la bite !
que de plaisir de vous lire Muriel et Sylvain , et j’espère bientôt lire la suite je vous embrasses tendrement tout les deux
Des suites sont effectivement prévues. Elle sont écrites et en attente de publication. 😉
Notre couple coquin dans de nouvelles aventures pour notre plus grand plaisir. C’est bien écrit, c’est excitant et sans prise de tête !