Marie, ma collègue belle et sale à la fois par François01

Marie, ma collègue belle et sale à la fois par François01

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS
EXPLICITES

Comme vous le savez déjà si vous avez lu mon premier récit (celui qui raconte les aventures de ma femme avec Georges son amant et aussi mon ami), [non disponible sur ce site] je suis un mari cocu et plutôt heureux de l’être. Ceci dit, je suis toujours ouvert à une escapade sexuelle avec une femme, et même parfois avec un homme.

Il faut que je vous raconte l’aventure que j’ai eue pendant deux mois avec ma collègue de travail Marie. Mais d’abord je dois vous décrire cette très piquante jeune femme.

Marie est d’origine Italienne, elle porte de longs cheveux noirs dont elle entretien la teinte minérale avec des recettes dont seules les femmes ont le secret. Elle est âgée de 39 ans mais a su conserver un très beau corps. Elle est de petite taille (un peu moins d’un mètre soixante), elle est fine tout en ayant des formes voluptueuses qu’elle met en valeur en s’habillant de vêtements toujours très collants. On peut pratiquement toujours deviner qu’elle porte des strings tant ses fesses sont moulées dans ses pantalons. Il arrive même souvent que la forme de sa fente apparaisse dans l’entrejambe de son vêtement, ce qui ne manque pas de me provoquer de douloureuses érections. Pour tout arranger, elle fait partie de ces femmes que je qualifie de  » pisseuse  » , à savoir qu’elle se rend au moins six fois par jour aux toilettes. Cela fait déjà un certain temps que je la surveille pour la devancer et pour écouter l’écoulement de son urine en faisant silence dans le WC voisin. Je ne compte plus les fois où j’ai tout lâché dans mes doigts en entendant le bruit si caractéristique de l’urine glissant dans son urètre de femme.

Pour tout dire, elle a commencé à s’apercevoir de mon manège depuis quelques temps déjà et il faut ajouter que je ne lui suis pas indifférent. Elle n’hésite pas à me confier ses états d’âmes concernant ses copains du moment, ce qui est toujours un très bon signe avec les femmes.

Bref, ces suppositions et fantasmes se sont brutalement concrétisés lors d’une fin de journée il y a de cela deux mois. Nous avions dû passer un vendredi particulièrement actif et seuls tous les deux en raison de l’absence de nos collègues pour cause de maladie et visite en clientèle.

Il était 18 heures, fin légale de notre journée, lorsque je décidais d’aller dans le bureau de Marie pour lui proposer une petite discussion avant le départ. Je m’arrêtais face à elle, figé comme une statue. Marie avait pris une posture bien peu féminine puisqu’elle était assise les jambes ouvertes (un peu comme un homme en train de siroter une bière au comptoir) la main gauche posée à l’intérieur de sa cuisse et qu’elle me jaugeait d’un regard extrêmement provocateur. Elle me dit alors :

– Tu sais mon petit chou que je rêve depuis longtemps de te manger tout cru !.

Je n’en revenais pas qu’elle me sorte un truc pareil même si nous étions depuis longtemps très proches tous les deux. Elle m’appelait en effet souvent son chou à la crème comme moi je l’appelais ma beauté fatale. Des petits mots gentils en quelque sorte. J’éclatais donc de rire et lui dis :

– Tu m’as bien eu alors. Tu sais que c’est pas bien de jouer avec les garçons ! .

J’avais piqué cette réplique dans le film  » Nikita » de Besson où JL Anglade répond cela à la miss Parillaud.

C’est alors qu’elle se lève sans se départir de son sourire et qu’elle reprend :

– Dis donc, tu crois que j’ai pas vu ton cirque depuis quelques temps. Tu m’observes, tu me touches les mains à chaque fois que tu en as l’occasion, tu ne peux pas décrocher ton regard de mon entrejambe lorsque je m’habille collant. Oses me dire que tu n’as pas envie de moi ?.

Là j’ai craqué, je n’avais plus rien à dire et mon pénis qui bandait dur dans ma culotte prouvait de façon irrémédiable que j’avais immensément envie de Marie et que peu importait ma femme, ma famille, le monde entier à ce moment là. Je m’approchais donc d’elle et, très doucement, peut-être craignant un ultime refus, j’approchais mes lèvres des siennes. Notre baiser fut fougueux et nos langues ne cessaient de se mélanger ? L’haleine de Marie datait du matin, tout comme la mienne, et sa bouche était pleine de saveurs douces ou fortes qui me faisaient bander à m’en faire mal. Pour tout dire, je craignais de ne pas pouvoir me contrôler. Il se passa alors quelque chose que je n’avais jamais vécu : Marie faisait provision de salive dans le fond de sa gorge et me l’injectait dans la bouche avec force. Pour résumer elle me crachait dans la bouche, littéralement !

J’étais follement excité d’autant plus qu’elle me palpait les bourses avec une maîtrise qui démontrait qu’elle avait déjà fait cela avec de très nombreux garçons. Elle arrêta le baiser et me demanda si j’aimais sa façon d’embrasser. Je lui répondis que j’en étais fou, ce qui la fit sourire et dire  » comme tous les autres  » . Elle alla donc plus loin et sa racla bruyamment la gorge, comme le ferait un grognard, pour me cracher son mélange sur la langue et bien me l’enfoncer dans la bouche à coup de palots. Ce qui devait arriver arriva et je me mis à gémir en sentant mon sperme se répandre entre ma culotte et mon pénis surtendu, poissant au passage mes poils et mes testicules encastrés dans mon ventre par la puissance de l’éjaculation. Je la regardais avec le regard d’un chien battu et je l’entendis me dire :

– Tu n’as quand même pas déjà tout lâché mon salaud ? Tu vas pas t’en tirer comme ça, tu dois m’honorer correctement !

Elle défit mon pantalon et exposa le massacre : ma queue toujours raide, à la limite du priapisme ; le sperme en quantité impressionnante qui avait giclé partout. Et elle fit le ménage, jusqu’à ce que plus une goutte de mon foutre ne soit visible. Seule ma culotte restait bien empesée. Ce ménage se termina par un long baiser pendant lequel je dus reprendre tout mon sperme. C’était incroyablement bon et je buvais, j’avalais, je pompais tout ce que sa bouche daignait me donner. Elle reprit alors en disant :

– Maintenant je veux aussi du plaisir. Déshabille-moi ! .

Je faisais alors glisser ses vêtements, découvrant son corps dont j’avais tant rêvé. Ses seins étaient magnifiques, d’une taille idéale, pendant légèrement vers le bas. Je les suçais avec passion, faisant sortir les tétons qui étaient curieusement retournés à l’intérieur du mamelon. Je la léchais aussi sous les globes, sous les bras ou je dégustais une partie de son odeur de femme, une odeur de transpiration forte, celle d’une peau brune puissante. Je descendais le long de son nombril, caressant son ventre plus très plat, mais si plein de promesses. Enfin, je me mis à frotter mon visage contre son sexe au travers de sa culotte, un string blanc avec des petites dentelles sur les cotés.

Il m’apparut alors deux choses. La première était que Marie avait une forte pilosité de la vulve puisque je sentais un bon matelas de poils entre le tissus de la culotte et la peau. La seconde était que son sexe exhalait une puissante odeur d’urine, ce qui semblait logique après une longue journée durant laquelle elle avait dû se rendre aux toilettes au moins six ou sept fois. Je n’osais pas lui dire à quel point ce fumet me ravissait d’autant plus qu’aucun parfum ne venait en altérer la composition. Je devenais dingue en constatant, à la lumière de sa lampe de bureau, que le tissu était visiblement jaune et humide au niveau du bas de sa vulve. Ce fut elle, une fois de plus, qui pris les devants en me disant :

– Est-ce que tu es gêné mon petit chou ? .

Je lui répondis :

– Oh non, si tu savais comme j’aime !.

Elle reprit :

Alors baisse un peu la culotte et regarde bien le fond !.

Je ne compris pas bien le sens de sa remarque mais je m’exécutais en découvrant un sexe magnifique, poilu, sans doute jamais taillé comme le font ces anti-femmes au sexe de gamine. On voyait bien la fente rose au milieu des poils. Elle mouillait et le liquide blanc et épais s’accumulait comme une goutte de lubrifiant aux commissures des grandes lèvres. En baissant le culotte, je vis ce qu’elle voulait me montrer : une trace marron sans équivoque empesant tout le fond du string blanc. Voyant que j’avais vu, elle reprit

– Et là, est-ce que tu es gêné mon petit chou ? .

Pour toute réponse, je me mis au travail en commençant à parcourir son sexe de ma langue, emplissant ma bouche de ses odeurs et récoltant le produit de son vagin. Elle balaya son bureau de toutes ses affaires, se coucha dessus et releva ses cuisses et exposant totalement ses zones anales et génitales. Son visage était sérieux lorsqu’elle me dit :

– Tu nettoies tout ça et tu auras peut être droit à glisser ta quequette dedans ! .

Je finissais donc le nettoyage de son sexe pour descendre progressivement vers l’anus. Il était rose, entouré de poils d’un noir de geais. Bien que son aspect soit propre, il exhalait une puissante odeur de merde. Marie me dit

– Allez, suce-le. J’ai pensé à toi en faisant mes besoins tout à l’heure. Je me suis essuyée vite fait à cause du téléphone et le string à fait le reste comme tu peux le voir. Je veux que ta langue fasse la finition ! .

Je me mis donc à lui téter l’anus, sans la moindre caresse préliminaire autour, ce qui n’est pourtant pas mon habitude. L’odeur était forte. Ses résidus de merde emplissaient ma bouche pour y laisser une saveur indicible. Au dégoût primaire que l’on pourrait imaginer se substituaient des saveurs lointaines. Celles des aliments dont Marie s’était nourrie et dont les tanins ressortaient fanés par son cul divin. Je voulais m’enfoncer dans ce cul et, écartant les fesses à les faire éclater, je fis pénétrer ma langue jusqu’à la crampe. J’ouvrais le trou et m’y frottais tout le visage pendant qu’elle se branlait en gémissant. J’écartais la rondelle en positionnant mes doigts autour et en priant pour qu’il en sorte ce que j’attendais tant. C’était pendant que ma bouche était ainsi collée comme un O à son trou que Marie, se lâchant sans complexe, libéra un pet qui me remplit comme je le méritais.

Je devenais fou. Ne le suis-je pas déjà ? Il fallait de je vide ma prostate du sperme qui s’y accumulait sans quoi je risquais de mourir de plaisir inassouvi.

Marie le comprit en me laissant rentrer en pleurant de plaisir. Je ne fis que trois mouvements dans son vagin, je ne l’oublierai jamais, avant de me caler au fond pour gicler-juter-vidanger-défalquer-emplâtrer-chier mon foutre en lui mordant la langue face à ses yeux révulsés. A ce moment, j’ai cru devenir l’un des êtres étranges des tableaux de Dali, un homme aux testicules pendant par les yeux et qui se trouverait aspiré par une femme-vortex dont la bouche ne serait qu’un immense trou du cul peuplé de cascades de folies.

Nous sommes restés comme ça pendant une heure en ne comprenant pas ce qui s’était passé. Nous n’avons jamais pu trouver les mots pour analyser notre aventure, mais je me demande aujourd’hui ce qui peut être plus fort que cela. Le regard de Marie était perdu quelque part, presque le regard d’un mort… terrifiant et inoubliable.

Vous allez peut-être trouver cela incroyable, mais aujourd’hui, alors que nous n’avons plus de relation intime puisqu’elle a un copain stable, j’aime et je respecte Marie au plus profond de mon être.

S’il y a un psycho qui peut m’expliquer tout ça, je suis ouvert à la discussion…

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5 réponses à Marie, ma collègue belle et sale à la fois par François01

  1. Rene dit :

    Très cochon, très hard, très extreme, mais paradoxalement ça m’a beaucoup excité

  2. Volga dit :

    Le fantasme est difficile à écrire, soit on évase, soit on tombe dans le super-crade, ici l’auteur reste dans le bon milieu (ça sent d’ailleurs le vécu) et pourvu que l’on ne soit pas insensible au fantasme parvient à nous le faire partager. Bravo !

  3. Claire dit :

    Bravo ! très beau texte ! Belle écriture ! Le passage scato est décrit avec un réalisme saisissant empli de tact et de respect. Chapeau l’artiste !

  4. Pinoch dit :

    Où peut-on trouver d’autres texte de cet auteur, notamment celui dont il est fait référence dans l’introduction du récit ?

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