Ma petite vie gay
5 – Récit de ma petite chérie : « Elle est si mimi »
par Emmanuel_2
Je ne sais plus très bien la raison mais j’ai eu envie l’autre samedi du patrimoine quand les musées étaient gratuits de me balader toute seule car il faisait si beau qu’on se serait cru au printemps. Et puis ca faisait longtemps que je n’étais plus allée au musée. Voila c’est tout !
Je vais à Guimet que j’adore et je déambule tranquillos devant les vitrines. J’étais en petit chemisier blanc échancré et rien dessous comme j’aime tant et mon jean » So slim » avec des strass que j’adore. Je me sentais super belle et attirante.
Avec juste mon petit sac de cuir rouge carmin à l’épaule je frimais un peu-beaucoup, flirtant avec les fantômes du musée un peu désert dans cette partie, prenant des poses un peu trop aguichantes, roulant un peu des hanches et des fesses quand une vitrine me renvoyait ma silhouette, une main négligemment fourrée dans mon chemisier sans m’en soucier. Bref je me sentais désirable et belle comme seules les femmes le ressentent. De temps en temps je m’asseyais et tout en admirant les poteries japonaises je rêvassais plus que je ne me concentrais, tellement ivre de ces instants de liberté absolue et de beauté autour de moi.
Un moment je me suis adossée à un mur et sur un petit banc, face à des fines porcelaines japonaises et, la détente et la lumière diffuse aidant, je me suis à moitié assoupie de bien-être et langueur.
J’ai senti tout à coup une délicate caresse sur la cuisse et en ouvrant les yeux j’ai vu à coté de moi une petite japonaise qui s’asseyait. Le banc étant un peu étroit elle avait du se coller à moi pour faire sa place et son petit blouson de cuir qu’elle avait posée sur ses genoux dépassait sur mes cuisses.
Elle était belle et fraiche comme tout, dans les 18 ans, une tête fine mais comme elle tournait la tête vers le coté opposé je ne voyais pas ses traits .Elle portait un chemisier couleur anis ouvert de façon délurée et une petite jupette indigo très courte relevée sur des longues jambes fines. Par l’échancrure du chemisier je voyais des tout petits seins comme je les aime qui pointaient sous le tissu. De mon coté je voyais l’auréole foncée et large de son sein se montrer joliment au travers du tissu que son téton tendait agressivement.
Elle semblait si jeune et si fragile que je n’ai pu m’empêcher de la détailler longuement. Ses cheveux longs et noirs étaient noués en chignon assez haut laissant apparaitre une nuque délicatement adorable. Un petit grain de beauté placé juste sous le lobe de sa petite oreille semblait le seul petit défaut destiné à mettre en valeur le reste du corps.
Tout à coup elle s’est tournée vers moi comme si mon regard l’avait dérangée. Elle m’a fixée avec une petite mimique charmante, un mignon sourire coquin associé à des fins yeux noir de jais qui m’ont fait craquer sur le champ.
C’était une petite beauté de porcelaine avec une petite frimousse d’ange et des petites lèvres un peu retroussées sur des petites dents de perle .Elle a du percevoir mon émoi devant tant de beauté car elle a pincée ses yeux et m’a adressée un petit signe de tête et un sourire si charmant que j’en étais retournée .Mon Dieu qu’elle était adorable de finesse !
Une peu gourde et me sentant banale devant elle, je lui rends son signe de tête avec mon sourire N° 5 (celui qui fait craquer mes amantes) et, ne sachant comment réagir, me tourne doucement vers les objets des vitrines placées face à nous. Bien sûr, je suis extrêmement attirée vers elle et mon cœur bat à tout rompre et ma respiration trop rapide ne laisse aucun doute sur mon émoi.
Un court moment passe (j’ai tellement chaud et je sens mon bas ventre se tremper de désir!) ; pas de bruit juste nos deux rapides respirations dans le silence du musée. Un petit objet tombe de son blouson et roule à quelques mètres devant nous. Elle se lève doucement, pose son blouson et va le ramasser. Elle se penche un court instant sans plier les genoux et je vois le haut de ses cuisses dessiné par une minuscule culotte blanche si menue qu’elle cache et sépare à grand peine 2 petites fesses rondelettes. J’aurais jurée l’espace d’une seconde qu’elle ne portait rien dessous mais la vue de « cette culotte qui ne cache rien » m’a été un film d’une heure qui s’est gravé dans mon esprit. Je pourrais encore dessiner ce galbe des fesses, le minuscule trait blanc du tissu entre les fesses, le renfoncement circulaire brun foncé à l’endroit de l’anus, ce double gonflement des lèvres ourlées de son sexe. Tout cela tellement fort et gracieux que l’image en a été gravée en moi en l’espace d’un fragment de seconde.
Elle se relève, se retourne et candidement me sourit en mordillant le coté droit de sa lèvre inférieure. Plus ravageur comme sourire, ça n’existe pas ; et elle vient se rassoir tout prés de moi. Ses cuisses touchent les miennes maintenant et je sens sa chaleur se propager immédiatement dans les miennes. Elle pose son blouson un peu à cheval sur moi, et je sens sa main qui passe dessous et se pose sur ma cuisse. Je n’ai jamais ressenti quelque chose d’aussi menu, d’aussi léger et attirant à la fois. Je me tourne et la trouve les yeux fouillant l’échancrure mon chemisier, regardant ma poitrine se soulever frénétiquement au rythme du désir qui m’envahit.
Un bref instant de silence scandé par nos respirations et je sens sous son blouson, sa main qui au travers de mon jean rejoint mon pubis et un doigt qui s’essaye à pénétrer la fermeture éclair sans succès puis s’enfonce légèrement entre mes cuisses. Mon corps décide d’écarter les cuisses tandis que mon esprit est en panique devant une demande de plaisir si soudaine. Je ferme les yeux et m’appuie au mur tandis que je sens ses doigts me malaxer le sexe. Je désire tellement être nue à ce moment là que j’ai l’impression de m’écarteler sous ses caresses et mon miel coule entre mes lèvres alors que je ne bouge pas. J’ai l’impression que mon clito a pris la dimension d’un pénis et qu’il cherche seul à se placer sous ses doigts.
Je rouvre les yeux ; son visage est là si prés du mien que je me noie dans ses pupilles si noires. Ses lèvres sont si belles et gonflées comme des fruits que j’ai envie de les écraser avec les miennes.je passe la main dans son dos en remontant vers la nuque et je la vois fermer les yeux de plaisir. Ma main redescendant se place sur ses fesses. Elle se soulève légèrement sur le coté laissant ma main englober l’un de ses lobes. Mes doigts touchent enfin sa si menue culotte qui n’est qu’une demande à s’insérer plus avant. S’insérant sous le fin tissu, J’avance mes doigts. Je sens son petit trou humide qui palpite au passage de mes doigts; puis plus loin la chaleur de son sexe trempé .Elle s’ouvre tout ce qu’elle peut malgré l’endroit où nous sommes et je sens ses lèvres qui se moulent sous mes doigts dans une tentative de les engloutir.
Je n’en peux plus et apparemment elle non plus. On halète tous les deux en se dévorant des yeux. Je me dégage doucement, me lève en la fixant amoureusement, et me dirige doucement vers les toilettes en espérant qu’elle a compris ma manœuvre. Je rentre, et dans la glace me voit comme quand je fais l’amour, les yeux brillants, les lèvres pulpeuses et humides, la poitrine dressée, les cuisses écartées de désir malgré moi.
J’attends quelques interminables secondes et elle rentre, élégante beauté tout sourire, ses pommettes de porcelaines ont une petite ombre rouge et ses fines lèvres semblent plantureuses. Elle me refait son pincement de lèvres et ses yeux amoureux.
Dans un élan, je la prends dans mes bras et on s’embrasse fougueusement comme si notre vie en dépendait, balayant nos corps de nos mains sans contrôle.
Je l’entraine sans mal dans une cabine, ferme la porte et m’assois sur le couvercle de WC. Tout en relevant sa trop courte jupe j’entreprends de lui descendre frénétiquement sa culotte. Levant ses jambe l’une après l’autre je la lui retire puis j’embrasse amoureusement ce petit morceau de tissu qui m’a tant émue, respirant son mélange d’odeurs délicates. Plaçant mes mains sur ses fesses je la rapproche de mon visage puis de mes lèvres qui se tendent impatiemment. Je l’embrasse sur le bas-ventre découvrant une petite fleur de chrysanthème stylisée faite par ses petits poils noir sur sa peau blanche. Tout le reste est épilé avec soin et je vois prés de ma bouche sa petite fente comme un trait d’encre de chine. Je cherche à m’insérer entre ses cuisses. Elle gémit doucement avec des petits mots aigus comme des cris d’oiseaux. Je l’embrasse là puis plus profondément. Elle place un pied sur le couvercle prés de moi, entrouvrant son entrejambe autant qu’elle le peut. Je n’en finis plus de déguster son sexe, sa sève de sucer et téter son clitoris, Me contorsionnant, avec la langue je pénètre son sexe et suce son intérieur comme j’aime tant le faire avec Marie .De l’autre main je masse son anus puis le pince pour en faire gonfler l’anneau qu’elle contracte et gonfle au rythme de mes caresses. Je sens ses petites mains, l’une insérée sous la ceinture de mon jean qui caresse rapidement mon mignon petit trou (qui comme toujours rêve de sa visite) puis descend vers la porte de mon plaisir, l’autre qui me caresse les seins en me pinçant et vrillant les pointes de temps en temps.
Ses doigts me fouillent, pénètrent violemment mon puits d’amour, m’écartèlent, puis reviennent sur mon petit trou qu’ils envahissent sans façon. Ces allers-retours me brulent de jouissance d’un bout à l’autre de la raie. Elle m’embrasse la nuque et de sa langue me vrille des vagues de jouissances dans tout le corps.
On respire si fort que tout le musée doit être en émoi. Puis elle se crispe un peu, se tend, s’ouvre tout ce qu’elle peut, jouit violemment en déversant sur ma langue et dans mes lèvres sa liqueur si désirée. Comparée à celle de Marie elle est un peu plus sirupeuse et parfumée comme si je désirais retrouver en elle des saveurs exotiques. Je sens l’orgasme me foudroyer, mon sexe cracher sa jouissance, mon ventre engloutir ses doigts, mon anus s’ouvrir et se fermer au rythme de la jouissance qui me tue.
Puis petit à petit, on se calme .Je la lèche de plus en plus doucement tandis qu’elle se décontracte sur mon dos. De temps en temps un coup de langue amoureux dans son sexe ou sur son clitoris la fait vibrer. Elle a abandonné sa main dans mon jean et je sens ses doigts pénétrant encore mon sexe et sa main écrasant mon anus tout gonflé de plaisir, comme s’ils voulaient à la fois me pénétrer et rester là à me caresser.
Je la laisse reprendre son souffle, la redresse doucement et elle retire ses mains. Je prends ses mains les lèche et les embrasse pour me retrouver dans mes odeurs et elle fait de même avec les miennes comme si on partageait nos odeurs et saveurs. Elle m’embrasse, me » roulant un patin » avec une grâce et une douceur incroyable. Elle me mange la langue et j’ai même l’impression qu’elle cherche dans ma bouche avec sa langue la liqueur qu’elle m’a si amoureusement donnée. Doucement on récupère, en se mangeant du regard, je prends sa culotte et l’embrasse délicatement, léchant ses parfums et ses jus puis la mets dans ma poche de jean tout en lui plaçant un baiser d’amour. Elle sourit, me fait sa mimique de pincement des lèvres. On remet en état nos tenues puis on écoute une seconde le silence du musée et on sort doucement dans la partie lavabo miroir. Personne… Ouf !
On se pomponne un peu collées l’une à l’autre, se regardant, complices de l’instant dans la glace ; je lui mets la main sur les fesses qu’elle a maintenant nues, insère un doigt curieux entre ses cuisses, caresse son clito puis entre doucement dans son sexe trempé avec quelques doux va et vient. Puis les retirant je les hume avec délice en fermant les yeux. Mon dieu que son odeur est excitante ! On se sourit, s’embrasse et nous sortons toutes les deux dans le hall d’exposition, espérant que les caméras n’ont pas enregistré nos ébats.
On se dirige vers la sortie et je lui laisse prendre quelques mètres d’avance pour admirer ses petites fesses maintenant sans cachette. La jupe bien que courte cache à peine son postérieur mais elle ne semble pas y prêter attention. Un regard dans un miroir me confirme qu’elle m’observe et pour exacerber mon voyeurisme coquin, de la main elle remonte délicatement l’arrière de sa jupe me clouant sur place par la beauté de son cul de porcelaine.
Dans la rue on s’embrasse tendrement et je la regarde filer comme un faune vers la bouche de métro. Zut! J’ai oublié de lui donner mon adresse. Tant pis !
En rentrant le soir j’enfile sa culotte pour prolonger la journée de rêve et en attendant le retour de Marie chérie, je sens des picotements dans mon entrejambe et mon sexe qui crie « famine » . A l’instant où Marie rentre, je la déshabille vivement, la plaque sur le canapé, me met nue sauf la petite culotte blanche et nous faisons l’amour comme des bêtes.
En fait sa culotte est en coton hyper doux et fin et sa coupe tient à la fois du string et de la petite culotte d’enfant. C’est d’autant plus désirable que ça ne cache rien. Un petit cœur rouge est brodé sur l’emplacement du clitoris et une étoile verte sur celui de son petit trou. Ces détails sont tellement charmants que j’ai envie tout le temps de sentir cette broderie sous mes doigts. Depuis quand j’ai un petit moment de déprime , je prend ce petit bout de tissu encore amoureusement parfumé de ses odeurs et je le respire , je le plaque contre mon sexe et je suce un peu mon pouce de tendresse en me caressant longuement et tendrement , laissant redéfiler à l’envie les images de cet après-midi de pure beauté..
Voila c’est fini, petit Emmanuel. Marie n’a jamais su d’où provenait cette culotte que j’aime tendrement et je garde ce secret d’alcôve si tendre et si merveilleux que j’ai l’impression d’avoir fait l’amour avec une fée.