Ma rencontre avec C.
Sperme et urine
par Alexandra
Après de longues semaines de conversations sur MSN, il est enfin venu, le jour où j’ai pu rencontrer C. Celui-ci avait été très excité à la vision de mes photos et il me disait bander comme un fou en les regardant. Nous avons appris à nous connaître et planifié une rencontre au cours de laquelle nous avions convenu de respecter certaines règles. La première étant que C. voulait bien m’accueillir chez lui mais qu’en aucun cas il ne voulait me croiser avant de m’être changée en Alexandra. Le stratagème fut vite trouvé et tout se passa comme convenu. C. savait ce qu’il voulait également du point de vue vestimentaire, il m’avait bien fait comprendre quelles étaient ses préférences. Il désirait que je m’habille le plus « pute » possible. Sitôt dit, sitôt fait !
A peine sortie de la chambre, il me dévisage, me demande de m’avancer et de marcher un peu devant lui. Je m’exécute en lui demandant si je suis assez pute à son goût, ce qu’il confirme. Il vient se positionner derrière moi et m’enlace, je sens son corps tout contre mon dos, et déjà ses mains se baladent sur ma jupe, dont il remonte les pans pour mieux caresser mes cuisses. Il semble satisfait de ma tenue, je porte les bas résille à couture qu’il voulait que je mette. Je me tourne pour lui faire face et je m’agenouille. Je lui lance un regard interrogateur et j’ai ma réponse immédiatement, je sais que je peux lui baisser le pantalon et m’occuper de lui. Il n’attend que ça d’ailleurs !
« – Oui, vas y grosse pute, prend ma bite en bouche »
Je considère ça comme une invitation et je ne me fais pas prier une seconde !
Je lèche sa bite sur toute sa longueur, simultanément, je lui malaxe les fesses avec mes mains qui parfois se baladent sur son torse. Je lui propose de s’asseoir dans le divan tout proche. Une fois bien installée, la petite chienne que je suis, vient se positionner à ses pieds, un genou à terre, l’autre jambe fléchie afin qu’il puisse la caresser à sa guise. J’incline la tête et enveloppe son sexe de mes lèvres. Je le suce comme ça pendant de longues minutes. Je l’entends gémir et parfois aussi proférer des insultes à mon attention, « vas-y salope, continue, suce ma bite ! ».
Ensuite il s’affaisse un peu plus dans le fauteuil, offrant à ma vue son arrière train. « Lèche-moi le cul, pouffiasse ! »
Oui, aujourd’hui je suis vraiment une petite cochonne qui en redemande, je lui bouffe le cul, ma langue fouille entre ses fesses, entre en contact avec son trou et je le nettoie du mieux que je peux. Ensuite je fais des allers-retours, bite-couilles-cul. Mon complice a saisit sa caméra numérique et immortalise la scène. Mon regard croise l’objectif, et ça m’incite encore plus à me comporter comme une actrice de film porno.
Lorsque nous sommes bien chauds, nous nous décidons à passer à la chambre, afin de « passer aux choses sérieuses ». Le sexe de mon partenaire est bien dur, je me suis occupée de lui, il enfile donc le préservatif et puis, malheureusement, panne sèche. Ce sont des choses qui arrivent bien sûr, et je ne lui en veux pas, au contraire, je fais mon possible pour arranger ça, en le pompant du mieux que je peux, plongeant mon regard coquin dans le sien. Mais rien n’y fait, l’érection obtenue ne suffira pas à honorer ma petite chatte. A charge de revanche ! Nous n’allons pas nous laisser abattre pour autant, il y a encore d’autres moyens de s’amuser ! Je propose à mon partenaire de le sucer à fond et il donne son accord sans avoir à réfléchir bien longtemps ! Je m’allonge sur le lit et il vient se positionner à califourchon sur moi, je suis tout à fait immobilisée, mais ça ne me dérange pas du tout. Il se positionne au dessus de mon visage et commence à se branler devant moi. Pour ma part, je le caresse en le regardant, ma bouche grande ouverte, langue offerte. Ca y est, le moment est arrivé, il explose devant moi, son sperme jaillit sur mon visage, sur mon cou, sur ma langue aussi bien sûr. Il jouit et je lui prends le sexe une dernière fois en bouche pour le nettoyer.
C. est exténué mais un peu déçu de ne pas avoir pu me donner du plaisir. Je lui dis qu’il peut toujours m’en donner, en m’initiant à une « perversion » toute nouvelle pour moi.
Nous en avions parlé précédemment et il s’est préparé toute la matinée dans l’éventualité où j’aurais l’envie et le courage d’essayer.
« D’essayer quoi ? » me direz-vous ? La golden shower.
Ca faisait très longtemps que je fantasmais sur la douche dorée et il me semblait que c’était la bonne occasion et la bonne personne pour le faire. Je lui explique donc que j’ai envie de passer à l’acte et il me répond que ça tombe bien, qu’il se retient d’uriner depuis de longues heures et qu’il ne tient plus ! Je passe donc dans la salle de bains et je me positionne accroupie, face à lui, dans la douche. Je suis vêtue uniquement de mon porte jarretelles, bas et talons hauts. Me voilà donc face à ce sexe d’où va jaillir bientôt un liquide tout autre, et probablement dans une toute autre quantité que ce dont j’ai l’habitude ! Et effectivement, mon partenaire se lâche et le jet m’atteint en plein visage ! Le liquide chaud se répand partout sur mon corps, mes mains ne restent pas inactives et je répands cette pisse partout sur moi, je me lave avec elle. Mon amant du jour dirige son sexe d’une main, de l’autre il tient sa caméra et ne perd pas une image de cet instant ! A présent il a dirigé son sexe vers ma bouche et elle se rempli de son urine. Une fois pleine, je déglutis et en avale une bonne partie. Le jet ne s’arrête pas et cette sensation me remplit de bonheur. Je me sens vraiment à ma place, Alexandra la petite pute soumise qui se fait pisser dessus, quelle humiliation, mais quelle jouissance !
Enfin, après une minute d’un jet puissant et ininterrompu, la vessie est vide et pour remercier C. de cette expérience enrichissante, je lui prend une dernière fois la bite en bouche et lui dépose un petit bisou sur le bout du gland.
Après une bonne douche (une vraie, celle-là), je le retrouve une dernière fois, nous nous disons au revoir et à bientôt. Depuis ce jour, je n’ai plus aucune nouvelle de lui, ni de ses belles vidéos…
Assez décevant même si c’est probablement du vécu… sinon l’auteur ne nous aurait pas fait le coup de la panne séché. Et puis cette manie d’appeler les gens par leur initiales, ça sert à quoi ? C’est si difficile que ça d’inventer un prénom fictif