Première expérience à trois : Un dîner par jeanmysapo

Première expérience à trois :
Un dîner
par jeanmysapo

L’ambiance était chaleureuse et commençait à faciliter des échanges de plus en plus « légers » entre Max et ses deux ravissantes invitées :

– Cela vous fait quelque chose Max, de dîner ainsi, aux chandelles, avec deux femmes, dans cette chambrette rustique aménagée par leur soin, avec romantisme, en petite salle à manger d’amoureux?
– J’adore, Sylvie et pour être sincère, Anne le sait, je fantasme discrètement mais avec délice.
– Oh ! On veut savoir ; Max ; quels sont vos fantasmes ce soir.

Max sourit, sert un second verre de vin à sa séduisante maîtresse et à son amie Sylvie qui, ce soir est leur invitée à ce petit dîner « amour-amitié-privautés»

Anne avait souvent entendu son amant évoquer le plaisir qu’il aurait, un jour, à recevoir une autre femme dans leur intimité amoureuse… Elle avait révélé ce fantasme à son amie Sylvie et l’avait convaincue sans grande peine à ce dîner coquin. Le thème lui avait elle dit sera « amour-amitié et privautés »

De fait, dans cette chambre d’ami, en deux temps et trois mouvements, les deux copines avaient dressé un buffet campagnard près de la cheminée, à deux pas du grand lit « de coin ».

Pour Max, le jour était enfin venu. Il avait été excité et troublé toute la journée à l’idée que ce soir ou cette nuit, ils feraient l’amour à trois. Il allait pouvoir déshabiller, ploter et faire l’amour à Virginie sous les yeux de son amie Anne. A plusieurs reprises il s’était masturbé à cette idée depuis ce matin, mais, soucieux de préserver ses capacités, il n’avait pas « conclu » ses branles, se refreinant à la dernière seconde.

De plus en plus souvent au cours des mois écoulés, dans le feu de ses ébats avec Anne, sa séduisante maîtresse, Max « invitait » ce fantasme du triolisme et lui « donnait corps »

– Oh ! Je voudrais peloter ton amie Virginie sous tes yeux. Oh ! Ses nichons !
– Gros cochon !
– Tu me laisseras la déshabiller, dis ? Elle t’a dit que je la branche bien, que je suis très sexy, alors ! Ce sera une chouette expérience et un beau cadeau pour moi, mon amour.
Pour s’assurer une promesse absolue, ce jour là, Max avait mené son amante dans une cascade d’orgasmes qui la faisait glousser de jouissance :
– Oh ! Oui ! Maxxxxx ! Oui, vas-y ! OUI !!!
– Tu voudras bien que je baise ta copine devant toi dis, promets moi !
– Oui ; tu pourras jouir de ses formes plantureuses, vilain cochon ! Je t’arrangerai le coup.

A cette idée hyper excitante, Max, ce jour là, s’était mis pilonner avec rage sa belle maîtresse et sentant la jouissance se propager dans ses reins, il avait sorti sa longue verge suintante et éjaculé sans retenue sur le pubis d’Anne en hurlant son plaisir.

– Oh ! Mon Amour ! Nous allons vivre des expériences bien gratifiantes. Merci !

Autant Anne était le type même du mannequin aux mensurations parfaites (poitrine généreuse en plus) Autant Sylvie se distinguait par ses formes généreuses (poitrine et chevelure opulentes et chute de reins terriblement excitante)

La bouteille reposée, Max se dit que le dîner se présentait à merveille. Il posa sa main sur le genou d’Anne, lui sourit amoureusement et entreprit de caresser voluptueusement sa désirable maîtresse, sous la table. Il s’aventura très haut, frôlant les lèvres de son sexe. Anne rosit de plaisir.

Sylvie, de sa place, ne pouvait que voir et elle sourit aux amants énamourés.

– Mais, ça promet, vous deux, on se donne déjà du plaisir. Bravo ! Tant pis si je joue l’exhibitionniste, O K ?
– Mais soyons exhibitionnistes et voyeurs ce soir, les filles.
– Je vous propose un jeu : O K ?
– -Oui, répondent-elles sans malice.
– Jeu de la vérité et des gages. Je vous pose des questions ; si vous mentez, je vous inflige un gage coquin.
– Oh ! Ça va être chaud, s’esclaffe la pulpeuse invitée.
– Première question à notre Amie : Quel est précisément votre âge, Sylvie ?
– Euh ! 47 ans.
– Je regrette, Anne m’a dit cet après midi que vous fêteriez vos cinquante ans l’an prochain. Gage !
– Mais, attendez : A toi, Anne, mon Amour, une question: As-tu déjà eu l’envie de faire l’amour avec une femme ?
– Euh ; non.
– Faux, ma chérie, Sylvie peut bien le savoir ce soir ; tu m’as avoué avoir eu déjà une aventure lesbienne il y a une dizaine d’années dans ta maison de vacances et que tu avais trouvé cela génial. Vrai ?
– Oh ! Mais, tu dévoiles tout, Max ; je suis gênée.
– Vous avez toutes deux menti et aurez le même gage.
– Chouette, s’empresse de dire Sylvie. Quel gage ?
– Eh bien voilà, mais d’abord reprenez un verre de ce délicieux nectar.
– Mais on va être -pompettes.

Toutes deux dégustèrent le délicieux breuvage et l’effet de l’alcool commença à les rendre « très libérées ».

– Votre gage, passer dans la salle de bains et revenir sans rien sous votre jupe. C’est mon fantasme N° 1 : vous savoir toutes deux, nues sous votre jupe. Voilà !
– Oh le coquin dit Anne ; on joue souvent à cela Max et moi quand nous sortons au cinéma ou au restaurant ; même chez des amis, parfois. S’ils savaient ! Allez, Sylvie, on obéit.
– Mais.
– Pas de Mais, viens.

C’est en riant comme deux gamines que, main dans la main elles quittèrent la pièce. Max but une rasade et se promit une soirée des plus coquines. Il entendait les deux séduisantes complices rire de bon cœur dans la salle de bains attenante.

– Voici, monsieur s’annonça Anne qui précédait Sylvie pour rejoindre leur place.
– Top ! Stop ! Vous avez été prises en flagrant délit de mensonge, maintenant je vérifie tout…

Prenant sa maitresse dans ses bras, il l’embrassa voluptueusement et lui dit qu’il allait vérifier soigneusement qu’elle était bien nue sous la longue jupe fendue, et il décréta que Sylvie devait participer à cette vérification en bonne et due forme.

Joignant le geste à la parole, sous le regard émoustillé de Sylvie, Max laissa ses mains remonter le long des superbes jambes de son amante, découvrit ses fesses tentatrices, les pelotant et les présentant sans vergogne au regard de l’invitée faisant mine ainsi de vérifier l’absence de sous vêtement. Anne était merveilleusement nue sous sa jupe!

Ostensiblement, il fit en sorte que Sylvie puisse contempler le cul voluptueux de son amie et le charmant petit sexe caché sous une fine toison brune. D’une main experte, Il effleura les lèvres de ce sexe tant désiré et y prodigua une lente mais courte caresse. Anne fit mine d’être offusquée, mais juste ce qu’il faut pour se rendre encore plus désirable.

-Enfin, Max !
-Mais tu es si belle, mon amour ! N’est ce pas, Sylvie ? Venez toucher ces fesses pommelées et douces comme du velours. Venez !

Max savait que Sylvie était secrètement amoureuse d’Anne ; en effet, à trois reprises, par courrier électronique (n’osant pas lui déclarer les yeux dans les yeux), elle lui avait fait des déclarations empressées ; Anne lui répondait alors qu’un jour peut-être les circonstances feraient que, mais pas comme ça…

A ma grande surprise et pleine satisfaction l’amie vint caresser les cuisses et les fesses d’Anne, retenant mal l’émoi que cette situation lui procurait. Elle avait le souffle court et le teint empourpré. De toute évidence, elle désirait fortement ma maîtresse.

Max laissa retomber les pans de la robe et voyant Sylvie rejoindre sa chaise s’esclaffa !

– Oh, mais, non, Sylvie, je dois vérifier sur vous aussi !
– Oh ! Non ! Quand même ; Je vous assure que je n’ai rien dessous !
– Vérification !

Max prit galamment le bras de son invitée et la conduisit sous la lumière. Ses mains descendirent lentement, très délicatement sur la croupe généreuse de Sylvie, sans toutefois relever la jupe multicolore.

Il entreprit de palper, de peloter de dessiner ces merveilleuses et plantureuses fesses entre lesquelles il se promettait bien de se donner de la jouissance cette nuit.

Quand sa main entreprit de faire ressortir la forme des lèvres du sexe et que d’un doigt, toujours à travers le tissu, il masturba quelques secondes le clitoris érigé de désir de son invitée, celle-ci minauda de plaisir et fut prise d’un léger tremblement .

Max sentit que son invitée mouillait. Elle flageolait sur ses jambes ; l’excitation était à son comble. Avant de libérer sa prise, il décréta qu’elle devait être remerciée et, à cette fin, plaqua sa bouche sur les lèvres brulantes de Sylvie. Leur premier baiser fut fougueux. Le beau mâle sentit sa queue s’ériger avec impatience ; les deux femmes le remarquèrent.

Max en profita pour, cette fois, relever complètement la jupe de la plantureuse femme et offrit à Anne le spectacle de la nudité de son amie dont l’abondante toison brune semblait attendre de puissantes éjaculations …Mais quel cul, pensa Max !

Le repas reprit son cours et les conversations devinrent plus coquines encore.

– Il doit bien caresser ton amant Anne. Ah ! Ses mains !
– Mais, ma chère, tu seras sa proie cette nuit ; tu pourras en juger autant que tu voudras.
– Oh ! Non ! Je ne peux pas !
– Mais si, Sylvie, nous dormirons ensemble, tous trois.
– Mais, au fait, tes fantasmes, Max ?
– Oui, j’en ai un autre : vos seins ! Oh ! Vos seins !
– Mais ce sont les seins de toute femme !
– Non : Votre poitrine, Sylvie, je l’ai déjà dit à Anne quand je lui fais l’amour ; votre poitrine me fait bander ! Je ne suis déjà masturbé la nuit en fantasmant sur vos seins. Quel aveu, non ?
– Je vais vous prouver d’ailleurs, que cette fois encore, vous ne me dites pas toute la vérité précisa Max.

Il se plaça derrière son amante et après avoir amoureusement dessiné son fin visage entreprit de palper les seins fermes et fièrement érigés sous le chemisier et un soutien gorge qui semblait être orné de dentelle aguichante. Il dessina chaque lobe, excita les pointes par-dessus les vêtements promis à une prochaine chute et commença à dégrafer délicatement le frêle vêtement vert empire.

Anne apparut alors en soutien noir très coquin et Max mit une éternité à libérer et ploter les majestueux seins de sa belle. Excitant les pointes, il demanda à Sylvie si cela lui faisait de l’effet de découvrir la nudité de son amie.

– Mais, qu’elle est belle Anne ! Superbe ! Je suis toute chose…
– Venez, Sylvie, venez caresser et vous mettre en émoi aussi. Hum ! Comme c’est bandant pour l’homme que je suis. Ma maîtresse a les seins les plus parfaits qu’il se puisse imaginer.
Bientôt, Max avait devant lui, lui tournant le dos, les deux femmes aux seins nus. Il les plotait, les caressait plaquait les seins de l’une sur ceux de l’autre. Et Là ! Oh ! Merveille, Sylvie s’empara de la bouche de son amie et l’embrassa très amoureusement ; ce qui n’eut pas l’air de déplaire à Anne.

Max se dévêtit, ne gardant que son fin shorty noir et plaqua sa verge bandée à mort contre les reins des deux femmes.

– Oh votre cul, Sylvie ; Oh ! Vos seins lourds dans mes mains !

Puis, il mit à profit ce moment délicieux pour faire choir la jupe de chaque belle. Toutes nues, elles entreprirent assez naturellement de se caresser langoureusement et de multiplier les baisers de braise.

Quand il jugea le moment opportun, Max s’empara de la bouche de Sylvie, d’une main il caressa savamment les lèvres toutes humides de son sexe enflammé de désir et il l’entraîna sur le lit-divan.

-Anne, ma chérie, je veux faire l’amour avec ton amie, devant toi, maintenant ; tu veux bien ?
– Donnez-vous du plaisir ; je vous aime tous deux.

Maintenant couchée, nue sur le lit, les cuisses assez largement ouvertes, Sylvie se pâmait sous les caresses de Max dont l’érection devint énorme à travers son shorty noir.

C’est Anne qui s’empara de cette queue prometteuse et la sortit fièrement de sa prison pour la présenter à son amie.

Elle en profita pour le branler délicatement au dessus de la toison de Sylvie qui devenait pourpre d’excitation et de désir.

Couché sur le dos lui aussi, en croix sous le bassin de Sylvie, Max présenta sa bite à l’entrée de ce sexe qu’il allait pénétrer pour la première fois. Il était incroyablement excité à l’idée de cette première intromission et ce, sous les yeux d’Anne.
Très voyeur, il regarda son gland approcher des lèvres puis le clitoris de sa très bientôt maîtresse ; Il bandait d’émoi et de plaisir.

– Oh ! Ma chérie, je vais baiser ton amie, devant toi, tu veux bien ? Comme c’est excitant ! Branle-toi, masturbe-toi en nous regardant baiser, je t’en prie.
– Je vais vous filmer et me faire jouir. Oh ! Oui : Vas-y Max, donne toi du plaisir. Ça m’excite !

Déjà, Max se caressait le gland tuméfié à l’entrée de la grotte de jouissance et multipliait les brèves et courtes pénétrations ; quels délices pour Sylvie et lui. Il S’enfonçait goulument dans ce sexe voluptueux, chaud, huilé, profond.

– Quelle excitation ! Il baisait l’amie de sa maîtresse en toute impudeur !
– Oh ! Anne, Il me baise, ton homme ! Oh ! Oh !!

Sous l’œil de la caméra et de son amante, Max se laissa rapidement emporter, il s’enfonça brutalement jusqu’aux couilles en accélérant savamment ses va-et-vient, projetant son dard au plus profond de cette grotte magique, limant, pilonnant, arrachant des cris de jouissance à Sylvie. D’une main il masturbait le clito, de l’autre il la plotait activement.

Anne abandonna la caméra et vint à son tour caresser les seins de son amie.

Elles s’embrassèrent goulument tandis que Max contenait mal son trouble de voir ces deux superbes femmes se livrer à ces ébats amoureux sous ses yeux. Il dut faire un effort de concentration énorme pour se retenir de gicler.

Tous trois étaient au paroxysme du plaisir et Sylvie eut un violent orgasme qu’elle cria fortement.

Max ménageait la montée de sa propre jouissance ; il retardait au maximum l’éjaculation libératrice, se refreinant pour que la jouissance soit encore meilleure. Il tenait des propos crus et excitants :

– Là, vous la sentez bien, ma bite, dites ?
– Oh ! Oui ! Oui !
– Vous aimez ça, hein ? Regarde ta copine, comme elle aime ça, Anne ! Je vais gicler…
– Mais quel cul ! Quel cul ! Je vais l’éclater !

Anne excitait le clitoris de son amie frôlant volontairement la hampe de Max. De sa main gauche elle se caressait aussi et se masturbait délicieusement.

N’y tenant plus de plaisir, Max sortit sa longue verge lubrifiée, lui asséna une courte masturbation au dessus de la toison de Sylvie puis se laissa éjaculer en longs et puissants jets sur les seins de l’invitée qui hoquetait de jouissance.

Se voir éjaculer ainsi sous les yeux des deux femmes procura à Max un trouble énorme.

Ce qui devait arriver arriva : Femme fontaine, Anne, sous la puissance érotique de la situation et troublée à l’extrême par ce délicieux tableau, laissa échapper un jet de plaisir, sans retenue, sur le carrelage comme cela lui arrivait parfois lors des ébats les plus chauds.

– Pardon !
– C’est merveilleux ma chérie.
– Oh ! Comme c’est excitant ajouta Sylvie. Mais que de bonheur !

Tous trois se blottirent sur le lit en chien de fusil ; Max, lové entre les corps voluptueux de ces deux femmes qu’il ne cessa de palper, caresser, humer. Il ne trouva pas le sommeil
En effet, quand il dessinait de ses mains les fesses tentatrices de sa maitresse son érection devenait pressante. Sylvie qui ne dormait pas non plus, le branla très délicatement et le guida avec volupté vers le chemin de la chatte de son amante qui semblait dormir profondément.

Il la pénétra très lentement tandis que Sylvie lui caressait délicieusement les couilles. Fou d’excitation, il s’enfonça pleinement dans la gaine chaude et accueillante d’Anne qui se mit à glousser de plaisir.

Cette pénétration fut brutale, bestiale, rapide et lui arracha un cri de jouissance quand il se vida sans retenue en elle.

Il prit conscience du fait que pendant qu’il sautait Anne, Sylvie se masturbait en gloussant délicieusement.

Tous trois dormirent jusqu’au petit matin, blottis l’un contre l’autre.

Le Week-end ne faisait que commencer.

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à Première expérience à trois : Un dîner par jeanmysapo

  1. Ursulin dit :

    Lire les dialogues ratés au second degré est assez rigolo
    genre
    – Oh ! Mon Amour ! Nous allons vivre des expériences bien gratifiantes. Merci !
    ou encore
    – Venez, Sylvie, venez caresser et vous mettre en émoi aussi. Hum ! Comme c’est bandant pour l’homme que je suis. Ma maîtresse a les seins les plus parfaits qu’il se puisse imaginer.
    sinon… bof…

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *