Le moussaillon
J’ai rencontré l’ami Julien
Dans la forêt, dimanche matin.
Et j’ai lorgné son cul mignon
Qui tressautait dessous son short.
Ça m’a donné l’envie très forte
De lui trousser le trouffignon.
Ayant compris mes intentions
Il s’est couché sous un buisson
Pour me montrer aimablement
L’œillet pimpant de ses 20 ans.
D’abord d’un jet bref et bien dru
J’ai lubrifié son beau fendu
En lui pissant au trou du cul.
Puis j’ai vidé le superflu
Dans son clapet à baratin.
Alors il a pompé tout fier
Ma bonne pine bien épaisse
Tout étonné de la tendresse
De cette queue sexagénaire
Qui lui parût de très bon goût.
» D’autant lui dis-je, que ce matin
J’ai pris ma vieille de trous en trous « .
Au-dessus de ses roubignolles
Je l’ai foutu comme une femelle.
Il a aimé….ou peut-être Elle….
Car jouissant comme une folle
Il a crié » Putain ! C’est bon !
Va-s-y plus fort ! Bourre-moi le con ! « .
Pourtant j’avais bien dans mes mains
Du jeune mâle, le bel engin
Qui a juté entre mes doigts
Une sacrée purée de poix.
J’ai eu plaisir en l’enculant
A enfiler avec mon gland
La perle rose de sa jeunesse
Goulet d’amour pour la vieillesse.
Ses couilles tendres, mes couilles anciennes
Se sont gavées de politesses
Puis j’ai quitté ses bonnes fesses
Pour retourner voir ma maîtresse
Qui m’a sucé avec adresse.
Dedans mon lit elle ne s’est plainte
Car les effluves juvéniles
Qui embaumaient mon ustensile
Lui ont donné la sensation
Qu’elle se payait un moussaillon.
24/08/2019
Quand je lis ça, ça me donne envie d’aller taquiner les queues de quelques garçons. Mais je vais attendre un petit peu, il est tôt ce matin
Hum ! Cela m’a réveillé quelques souvenirs enfouis, des bonnes bites dans ma bouche, des bonnes bites dans mon petit cul…