Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 5 – Retour dans la jungle par Nicolas Solovionni

Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 5 – Retour dans la jungle par Nicolas Solovionni

Quant au lieutenant Schmidt, il est alité dans la clinique du docteur Nuru aux « bons soins » de Gundula Miller. La Mafia malgré ses ramifications n’est pas partout !

L’air de rien cette histoire a fini par me passionner. Pour avancer, il me fallait d’autres indices, d’autres renseignements. Je retournais à la clinique et tentais de dialoguer avec Schmidt.

– Tu sais que ton navigateur a été tué ?
– Normal, il en savait trop !
– Quoi ?
– On n’allait pas prendre de risques avec ce gars-là, il n’était pas fiable.
– Tu ne vas pas me dire que vous faites assassiner votre navigateur à chaque voyage ?
– C’est pas ça, le navigateur titulaire a eu un accident avec sa barge, il en a pour un petit bout de temps à l’hôpital.
– Et il est dans quel hôpital ?
– Je ne sais pas trop, c’est sur Louzia3
– Et il s’appelle comment ce mec ?
– Akira Egushi.

Autrement dit si je veux avancer, il me faut aller sur place. Après tout pourquoi pas, ça me fera une balade !

Je réuni mon staff…

On va refaire les présentations

Dyane Makaya, dont on a déjà parlé et qui est ma seconde de vaisseau, une belle MILF blonde aux formes voluptueuses, aujourd’hui patronne d’un institut de massage de standing.

Nerren Petrov est mon navigateur, bisexuel et plutôt obsédé, il est plein d’humour et c’est un collaborateur que j’apprécie particulièrement. propriétaire d’un restaurant.

Nadget est une jolie blackette exerçant les fonctions de technicienne de bord. Elle aussi est propriétaire d’un restaurant (et d’une jolie piscine en prime)

Dilos est notre ingénieur de bord, il a été un moment amoureux fou de Dyane, mais leur idylle a pris fin sans qu’ils ne soient fâchés pour autant. Aujourd’hui propriétaire d’un bel hôtel.

Eh oui, on a tous fait fortune (voir les détails dans Stoffer 2 – Les labyrinthes d’Orza)

Je fais donc l’article, je pensais qu’il s’agirait d’une formalité mais ça pinaille.

– Pourquoi s’occuper de ça nous-même ? On n’a qu’à refiler le tuyau à la police fédérale ! Objecte Nerren.
– Je voudrais d’abord voir si mon tuyau est fiable, et ensuite au passera la main aux fédéraux. Rétorquais-je tout content de ma réplique.
– Et qu’est-ce que tu vas faire de Sheila ! Me demande Dyane.

Saperlipopette ! Je n’y avait plus pensé à celle-ci !

– C’est qui Sheila ? Demandent les autres.

Je leur explique…

– Soit l’un d’entre nous ne part pas et reste avec elle, soit on l’emmène ! Propose Dilos.

Finalement on décide de l’emmener avec nous…

– Oui, mais la promesse que tu as faite aux filles dans la presqu’ile ?

Ah, oui, il y a ça aussi…

– Je m’en occuperai en rentrant ! On part demain ?

Et tout le monde est partant… quand on a la folie de l’espace dans la peau, c’est pour longtemps.

Je branche donc la Sheila et lui explique mon projet.

– Et c’est en allant te balader dans les étoiles que tu vas tenir ta promesse ?
– Je vais de ce pas en caser deux dans mon cabaret, je m’occuperai des autres à mon retour. Viens avec moi on va prendre une barge…

Je pose la barge à la lisière de la jungle. Heureusement que Sheila est avec moi parce que pour se retrouver dans ce fouillis, c’est la croix et la galère.

Zorah nous accueille avec un grand sourire.

– Alors tu viens tenir ta promesse ? Me demande-t-elle
– Je dois m’absenter de la planète plusieurs semaines… Pour le moment je peux rapatrier deux filles, les autres ce sera à mon retour.
– O.K. l’essentiel c’est que tu sois de parole. Vidia et Antinéa, êtes-vous d’accord pour partir les premières ?.

Bien sûr qu’elles sont d’accord !

– Nous n’avons pas grand-chose à t’offrir pour te remercier, mais nous serions ravies de nous amuser avec toi !

Je l’aurais parié !

Et c’est la belle Zorah qui ouvre les « hostilités » en me portant ostensiblement sa main sur ma braguette.

Je me laisse faire… En fait j’ai toujours adoré me laisser faire ! Elle m’extrait ma bite de mes fringues et après quelques mouvements de branlette, elle se l’engouffre dans sa bouche gourmande.

Kali, sa fille, passe derrière moi et me fait glisser mon pantalon sur mes chevilles, la coquine me pelote les fesses, les écarte et sans crier gare m’enfonce un doigt dans le cul.

Franchement ça ne se fait pas ! Elle aurait pu demander ! Mais n’empêche que j’apprécie, sollicité par devant et par derrière c’est super, non ?

On me demande de me déshabiller… Ben oui, le sexe, c’est toujours mieux à poil !

Et les deux sauvageonnes me tripotent partout, la bite, les couilles, les fesses, les tétons… De vraies furies.

C’est Zorah qui me lâche la première… Mais c’est pour se positionner devant moi en levrette, croupion relevé, cuisses écartée, la rosette en évidence !

Si ce n’est pas une invitation à la sodomie, qu’est-ce cela peut-être d’autre ?

Subrepticement je m’approche, ce trou du cul m’attire de trop, il faut que je le lèche ! Putain quel parfum subtil, ça me rend fou !

Sous l’action de ma langue, le petit trou se met à béer. J’avance le bout de ma langue comme je le peux, mais ce n’est pas ma langue qu’elle veut, la bougresse !

– Encule-moi, encule-moi !

On y va ! on y va !

Ma bite glisse là-dedans comme une luge sur une pente de ski. Je m’y enfonce avec bonheur et commence une série de va-et-vient rapides pendant que sa fille Kali vient devant elle pour l’embrasser et lui titiller les seins. C’est beau l’esprit de famille !

Et pendant que je ramone la belle mature, je sens un doigt me pénétrer le fondement. Cette fois c’est la jolie Vidia qui s’autorise cette privauté culière, tandis qu’à quelques pas, Sheila se fait bouffer la chatte par Antinéa.

Zorah ne tarde pas à jouir du cul, du coup j’accélère ma cadence et lui éjacule dans le fondement.

Je ressors ma bite maintenant gluante de sperme et tachée de matière fécale… Je cherche de quoi m’essuyer, mais Kali accoure et me nettoie tout cela de sa jolie bouche ! La coquine ! La salope ! (ce n’est pas incompatible)

De retour en ville, je leur explique :

– Nous allons nous rendre au Diable rose. C’est un cabaret dont je suis le patron, il y a surtout des transsexuelles, l’ambiance est assez bonne si j’en crois ce que l’on me raconte. Je vais vous confier aux bons soins de Riquita. Ce sera un placement provisoire, on refera le point à mon retour.
– Mais je ne comprends pas ! Intervient Sheila. Tu cases deux des filles, c’est très bien, mais moi pourquoi tu ne me cases pas avec elles.

Bonne question qui me prend quelques secondes au dépourvu.

– Euh gérer deux personnes supplémentaires ou en gérer trois, ce n’est pas la même chose, mais on peut toujours se débrouiller. On va dire que je te laisse le choix : ou tu embarques avec nous, ou je te laisse avec tes copines.
– Hi ! Hi ! Et toi tu préférerais que je vienne avec toi ? J’ai bon ?
– Ben oui, t’as bon !
– Ne tombes pas amoureux de moi, je ne suis pas le genre à m’attacher.
– Je ne suis pas amoureux, j’aime bien ta compagnie, c’est différent.
– Ma compagnie ou ma poitrine ?
– Ce n’est pas incompatible !
– Alors d’accord, je pars avec toi !

Brave fille !

A suivre

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2 réponses à Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 5 – Retour dans la jungle par Nicolas Solovionni

  1. Biquet dit :

    On avait déjà Blanche Neige et les 7 nains, voici Stoffer et les 7 nymphos !

  2. Forestier dit :

    Dabs la jungle, terrible jungle, on y revient et devinez pourquoi ?

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