Feux d’artifice – 2 – Le camping-car par Louise01
EXPLICITES
(suite de « Feu d’artifice »)
Peut-être vous souvenez-vous de moi, Louise, qui ai vécu une soirée mémorable avec mes amis Martine et François accompagnés de leur copine Magali lors du bal du 14 juillet 2001.
Compte tenu que de mon état de fatigue, mais aussi à cause des nombreuses bières ingurgitées, je me suis résolue à accepter la proposition des mes amis de passer la nuit sur place dans le camping car. Le véhicule est spacieux mais pas vraiment prévu pour quatre personnes ; Martine et François se partagent le grand lit tandis que Magali et moi-même nous nous allongeons sur deux étroites banquettes séparées par la table que nous avons repliée pour la circonstance.
Alors que tout le monde était couché je me rends compte que nous n’avions même pas pris de douche, ce n’est pas très sérieux après ce que nous venions de vivre. J’ai l’impression de dégager une véritable odeur de pissotière, mais apparemment cela ne dérange personne ; Magali est déjà endormie et le couple chuchote en se faisant des bisous, sans doute encore excité par ce qu’ils m’ont fait subir. Alors pourquoi devrais-je me faire du soucis si eux ne s’en font pas, et sur ce je m’enfonce dans les bras de Morphée.
Mon sommeil est de courte durée car je suis réveillée par l’inconfort de ma couchette dont la largeur n’atteint pas celle de mon fessier, il faut dire que côté cul mère nature m’a gâtée plus que de raison, et mon tour de hanches me fait parfois ressembler à ces statues de l’antiquité…
A défaut de dormir je me mets à repenser à l’aventure que j’ai vécue ce soir ; le résultat ne se fait pas attendre et je me retrouve rapidement avec ma main entre mes cuisses. Je repense à la queue de François, et comme pour mieux me remémorer cette sensation je glisse ma seconde main sous mes grosses fesses en envoyant un doigt à l’assaut de mon petit trou. Pour faciliter son introduction je me couche sur le côté, mon majeur y entre d’ailleurs si facilement que je décide de mettre l’index aussi ; et me voilà en train de me frotter le clito avec en plus deux doigts profondément enfoncés dans le cul tout en me mordant les lèvres pour ne pas gémir. Je me suis ainsi fait du bien pendant un assez long moment, mais d’un coup j’ai la désagréable impression d’être observée et je réalise alors que, comme je tourne le dos a la copine Magali, je lui offre une vue imprenable sur mon cul nu que je suis en train de fourrer avec mes doigts. Je suis persuadée qu’elle ne dort plus et qu’elle ne doit pas perdre une miette de l’indécent spectacle que je lui offre ; cela devrait sans doute me gêner, mais au contraire je sens mon sexe qui mouille de plus en plus et je suis sure que je vais tacher la couchette.
Mais non je ne rêve pas, j’entends bien ma voisine qui se lève et deux secondes après je sens le souffle de sa bouche tout contre mon oreille :
– Quelle salope tu fais, on dirait que ça ne t’a pas suffi tout à l’heure ?
Visiblement elle n’a pas l’intention d’attendre ma réponse puisqu’elle m’attrape le bras me forçant ainsi à ressortir de mon anus, et immédiatement elle porte ma main à sa bouche pour sucer mes doigts goulûment. La honte m’envahit car je me doute bien dans quel état ils doivent être, n’ayant pas encore été à la selle de toute la journée. Comme pour confirmer mes craintes Magali me force à tourner la tête et me prend la bouche pour un baiser passionné. Ses lèvres sentent fort et je reconnais l’odeur de mon cul ; sa langue cherche la mienne, elle a un goût fort et très amer, sans doute celui de ma merde. Au même moment ma main droite qui n’est pas restée inactive déclenche un violent orgasme et je crois bien que, si cette petite cochonne n’était pas en train de ma bâillonner avec sa bouche, j’aurais réveillé tout le camping avec mes cris de jouissance.
Evidemment notre manège avait réveillé les deux autres qui, assis sur leur lit, se sont manifestés en lançant un hypocrite :
– Ne vous dérangez pas pour nous !
Mais l’état de la queue de François, plaquée contre son nombril tellement il bandait, démontrait bien qu’il était réveillé depuis un moment et n’avait pas du perdre grand chose du spectacle. Et voilà Martine qui met son grain de sel en me disant :
– Pour te faire pardonner de nous avoir réveillé il va falloir nous faire une petite gâterie !
Aussitôt Magali me prend par la main et m’amène devant le lit de mes amis, elle m’ordonne de me mettre à genoux, je m’exécute et me retrouve le visage à quelques centimètres de la verge dressée. Dieu que cette queue est belle, elle sent très fort et son aspect luisant me prouve qu’elle était encore dans le vagin de Martine il y a très peu de temps. Mes lèvres sont attirées comme par un aimant et se referment automatiquement sur ce barreau de chair brûlant ; son odeur puissante et son goût acidulé me font chavirer, j’ai l’impression de sucer François et de lécher Martine en même temps. Alors que je me délecte de cette offrande je sens derrière moi que mon anus va être investi une fois de plus ; ça ne peut être que Magali puisque Martine est devant moi sur le lit, sauf que cette fois ce n’est pas un doigt mais bel et bien sa bouche qui se colle contre mon cul. Quelle sensation délicieuse, il ne faut que quelques minutes à cette cochonne pour dilater mon orifice au point que toute sa langue arrive à pénétrer mon anus. Martine qui est dans un état d’excitation extrême repousse brutalement son mari en arrière, m’arrache littéralement son sexe de la bouche et vient s’empaler sur la magnifique queue. Je me trouve maintenant le nez dans la raie de mon amie qui m’ordonne :
– Lèches moi le cul salope pendant que je me fait baiser par mon homme, si tu t’y prends bien tu auras une récompense !
Ma langue monte et descend dans la raie du cul de Martine au gré de sa chevauchée ; elle non plus n’a pas pris de douche et son odeur de femme en chaleur et d’urine séchée me font chavirer. Je ne me prive pas de glisser jusqu’aux couilles parfaitement rasées de François et j’en profite pour boire ce jus d’amour qui suinte à chacun de leurs va et vient. Sa chatte fait un bruit obscène chaque fois qu’elle se laisse retomber sur le sexe fiché en elle, un peu comme un ballon qui se dégonfle. Entre temps Magali a changé de position, elle est maintenant couchée sous moi, la bouche colée sur ma chatte comme une ventouse ; je me liquéfie carrément lui offrant ma liqueur en abondance. Evidemment elle n’oublie pas mon cul pour autant puisqu’elle y a fourré plusieurs doigts, je ne saurais dire combien mais mon anus est si bien lubrifié que j’ai l’impression qu’elle pourrait y mettre la main entière. Soudain François se dégage du sexe de sa femme et me crie :
– Vite Louise, prends le, ta récompense arrive !
Je me jette sur cette queue gluante et l’engloutis d’un coup, à tel point que son gland me fait mal au fond de la gorge. Quelques secondes après de violents jets de sperme épais et brûlant se répandent dans ma bouche et manquent de m’étouffer, c’est aussi le moment d’avoir un nouvel orgasme dont la bouche Magali, toujours scotchée à ma chatte, est la première bénéficiaire. Dehors le soleil se lève et nous décidons d’aller tous ensemble aux douches du camping pour laver nos corps suintants et odorants avant de prendre un sérieux petit déjeuner. Mais comment donc ai-je pu me contenter de la masturbation pendant trois longues années, j’ai encore tellement de choses à rattraper que lorsque je quitte mes amis (ou plutôt amants) je les invite à venir dîner à la maison le soir même. Mais ceci est une autre histoire…
LOUISE de Strasbourg.
Envoutant !
Délicieusement pervers !
Je ne saurais dire pourquoi ce petit texte me trouble mais le fait est qu’il me trouble
Un peu trop cochonnes, je trouve
Une femme n’est jamais trop cochonne
J’adore ce genre d’ambiance, c’est bien fait on imagine l’odeurs des corps se donnant du plaisir
Délicieusement cochon