Autoanalyse
Quatrième partie : Bénédicte m’éduque
par Marie Salama
Le lendemain, je me suis demandée toute la journée ce qui allait se passer le soir. Bénédicte m’avait complètement possédée, quoiqu’elle fasse ou me demande, j’étais bien décidée à la suivre. Mes cours se terminaient assez tôt et j’arrivai la première dans la chambre. J’ôtai ma culotte et relevai mon kilt pour me laver l’entrejambe à notre petit lavabo. Je voulais être prête, au cas où. Puis je m’assis à ma table et attaquai la pile de trucs que j’avais à faire.
La perverse rentra une heure après comme si de rien n’était, me sortit les banalités habituelles et alla travailler. Ma seule consolation fut de pouvoir accéder facilement à mon intimité. Au réfectoire j’étais assise à côté d’elle et je fis une nouvelle entorse au code de bonne conduite des sœurs, j’écartai les jambes espérant une main qui s’y glisserait. Rien.
Le supplice continua toute la soirée, Bénédicte se battait avec Marx et moi avec Fourier. Enfin vers onze heures, elle rangea livres et cahiers. Avec beaucoup de soin, elle prépara son sac pour le lendemain, toujours sans un mot ni un regard. Elle se leva, se dirigea vers son lit et se dévêtit avec une lenteur inhabituelle, disposant soigneusement ses habits sur sa chaise. Quand il ne resta plus que ses sous-vêtements, elle vint vers moi et me dit :
– Enlève-les.
Je commençai par le soutien-gorge dévoilant une poitrine magnifique. Je n’osai pas y toucher. Je descendis très lentement son slip et eus le temps de voir une auréole jaune. Quand il tomba, elle leva une jambe après l’autre pour que je puisse le récupérer. J’interprétai ce mouvement comme une invite à l’utiliser. Je l’approchai de mon visage et posai l’auréole sur ma bouche. Elle était très humide. Je restai plusieurs secondes ainsi, m’enivrant de cette odeur dont, ce soir, celle d’urine dominait très nettement.
Bénédicte me regardait, l’air à la fois incrédule et ravie.
– Tu aimes ?
Je hochai simplement la tête de haut en bas, je devais avoir l’air très ingénue et très salope.
Elle s’allongea sur le lit.
– Alors lèche-moi s’il te plait, comme hier. Tu m’as rendue dingue, je n’ai pensé qu’à ça.
Je me mis à genoux, elle écarta les jambes et me laissa faire. Très doucement, j’ouvris son sexe avec mes deux index, charmant spectacle dont je ne serais pas prête à me lasser. Je le maintins ainsi et approchai ma langue, l’odeur était forte mais terriblement exquise. Cette fois-ci, je voyais bien ce que je faisais et ne touchai que son méat, comme elle me l’avait demandé. Le goût était salé, apportant la preuve s’il en était encore besoin, que la coquine avait préparé son coup. Je revivais à la puissance 3 le baiser d’Aurélie, sauf que c’était moi qui embrassais. Bénédicte était en train de monter au septième ciel. Je m’arrêtai avant qu’elle n’y arrive, un peu à moi de la torturer.
– Vas-y continue, ah qu’est-ce que c’est bon !
Je décidai de l’exciter encore plus et ne lui répondis qu’après quelques secondes qui durent lui paraître longues :
– Tu n’as pas honte de faire pipi-culotte à ton âge ? Je suis sure que tu l’as fait exprès, pour me le faire lécher, petite cochonne, dis-je en la regardant dans les yeux avec un grand sourire.
Comme je l’avais prévu, le simple fait de lui dire que j’avais compris son manège et que j’y adhérais pleinement suffit à la faire partir. Elle cria.
Je la regardai avec beaucoup de tendresse, elle garda les yeux ouverts qui se révulsèrent pendant quelques fractions de secondes. C’est étonnant comme la jouissance sur un visage peut ressembler à la souffrance. J’attendis qu’elle ait retrouvé ses esprits.
– Jamais, je n’ai eu autant de plaisir, me dit-elle. C’est vrai que tu m’avais chauffée à blanc avec tes histoires d’hier. J’ai voulu savoir l’effet que ça produisait et j’ai fait exactement la même chose que toi, après ta visite médicale. Je ne pensais pas que tu irais jusqu’à me lécher, même si je l’ai espéré toute la journée.
En l’écoutant, je commençais à découvrir que la sexualité était quelque chose de bien compliqué et que notre cerveau était plus important que toutes nos zones érogènes réunies. Ce qu’on m’avait toujours présenté comme dégoutant m’excitait maintenant au plus haut point et c’était visiblement la même chose pour Bénédicte.
– Ça y est, je suis revenue sur terre, on va s’occuper de toi maintenant.
J’étais toujours à genoux devant elle, d’un geste, elle me fit me relever et m’approcher d’elle.
Elle passa la main entre les pans de mon kilt et me caressa rapidement.
– Pas de culotte, bravo ! Voyons si tu es aussi négligée que moi.
Elle sentit ses doigts et les goûta.
– Ah non, c’est tout propre !
– Oui, je me suis lavée tout à l’heure…
– Ah, je vois, mademoiselle veut me faire honte. Eh bien, si tu veux être propre, j’ai une idée pour que tu le sois encore plus ! Enlève ton kilt, assieds-toi au bord du lit et écarte les jambes.
Elle se leva, me montrant une paire de fesses qui me donna envie de croquer dedans et alla chercher quelque chose dans sa trousse de toilette pendant que je me déshabillai complètement. Je me demandais ce qu’elle allait encore inventer.
– On va te faire toute nette, puisque c’est ça que tu veux, me dit-elle en me montrant une paire de ciseaux.
Maintenant toutes les filles se baladent complètement épilées, mais dans les années 80, on sortait tout juste de la révolution sexuelle et c’était encore la période sans soutien-gorge, mais avec les poils en friche. Ce rappel historique, pour te faire prendre conscience, cher lecteur, que Bénédicte allait encore dynamiter un tabou.
Excitée comme je l’étais, j’étais prête à accepter n’importe quoi.
Elle s’installa confortablement à mes pieds et commença à couper mes poils. Je frissonnai, peut-être le froid de la lame sur ma peau, et vis tomber la première touffe. Ma colocataire continua ainsi pendant une ou deux minutes, elle avait amené son miroir et s’arrêta pour me montrer son œuvre. Mon pelage ressemblait à celui d’un chien galeux, pas très beau à voir.
– Passons à la seconde phase, si mademoiselle veut bien s’approcher du lavabo.
Elle fit couler l’eau et fouilla à nouveau dans ses affaires. Elle sortit un rasoir, un bol, un blaireau et de la crème à raser, l’attirail anti-poil aux pattes de l’époque. Elle fit rapidement mousser la crème dans le bol. Elle s’installa sur une chaise, face à moi, trempa le blaireau dans le bol et me le me passa, en insistant sur des endroits pourtant dépourvus de poils. Elle le fit remonter à plusieurs reprises forçant l’ouverture de ma fente, je frissonnai à nouveau.
– Ah non, je veux de la concentration pour le rasage.
Elle arrêta cette caresse qui provoque pourtant des sensations tout à fait inédites.
Elle rasa d’une main experte les poils qui avaient échappé aux ciseaux. Un rapide passage de son gant de toilette pour rincer, un coup de serviette et j’étais prête pour l’inspection. Le miroir me renvoya plusieurs années en arrière, avant ma puberté.
– Regarde, c’est pas mignon ? Viens on va l’essayer.
Bénédicte me prit par la main et me fit coucher sur son lit.
Elle vint se positionner au-dessus de moi, tête-bêche. Je sentis sa langue passer sur tous les endroits que le rasoir avait éclaircis. Encore une sensation incroyable que je ne connaissais pas. C’est à ce moment que je me suis sentie vraiment nue, comme je ne l’avais jamais été. Bénédicte s’interrompit et s’assit purement et simplement sur mon visage.
– Vas-y fais ma toilette.
Elle me laissa faire quelques instants en lâchant quelques soupirs d’aise, puis reprit son exploration, me permettant d’admirer son intimité béante à quelques centimètres de mon visage.
Je décidai d’être un peu égoïste et pris mon plaisir quand elle attint mon clitoris.
Bénédicte se retourna ensuite et toujours à califourchon mais face à moi, se masturba quelques secondes, s’excitant elle-même de son exhibition digne d’un spectacle de la rue Saint Denis. Quelque chose coula sur mes seins quand elle jouit, me laissant augurer de nouvelles découvertes.
Je pensais que nous allions en rester là, mais Bénédicte avait encore une idée derrière la tête.
– Tu sais que tu m’as fait découvrir des choses très excitantes, tes histoires d’infirmerie et tout ça. Tu as envie de me faire plaisir ?
Dit comme ça, il était impossible de refuser, d’ailleurs je n’en avais aucune envie. Sans attendre la réponse, elle alla chercher mon verre à dent et me dit :
–
Allez, c’est l’heure de l’entrainement, pas plus d’un centimètre.
Je me levai et pris le verre, Bénédicte s’assit à mes pieds pour ne rien manquer du spectacle. Je me cambrai, écartai mes lèvres et approchai le récipient. Je réussis à n’émettre que quelques gouttes et attendis les nouvelles instructions.
Elle écarta le verre, se colla à moi et me dit :
– Recommence.
Je sentis la pointe de sa langue se diriger vers mon méat.
Si mon histoire vous plait, dites-le-moi. Pour me contacter : marie.salama@free.fr.
© Marie Salama 2008
Autoanalyse
Quatrième partie : Bénédicte m’éduque
Le lendemain, je me suis demandée toute la journée ce qui allait se passer le soir. Bénédicte m’avait complètement possédée, quoiqu’elle fasse ou me demande, j’étais bien décidée à la suivre. Mes cours se terminaient assez tôt et j’arrivai la première dans la chambre. J’ôtai ma culotte et relevai mon kilt pour me laver l’entrejambe à notre petit lavabo. Je voulais être prête, au cas où. Puis je m’assis à ma table et attaquai la pile de trucs que j’avais à faire.
La perverse rentra une heure après comme si de rien n’était, me sortit les banalités habituelles et alla travailler. Ma seule consolation fut de pouvoir accéder facilement à mon intimité. Au réfectoire j’étais assise à côté d’elle et je fis une nouvelle entorse au code de bonne conduite des sœurs, j’écartai les jambes espérant une main qui s’y glisserait. Rien.
Le supplice continua toute la soirée, Bénédicte se battait avec Marx et moi avec Fourier. Enfin vers onze heures, elle rangea livres et cahiers. Avec beaucoup de soin, elle prépara son sac pour le lendemain, toujours sans un mot ni un regard. Elle se leva, se dirigea vers son lit et se dévêtit avec une lenteur inhabituelle, disposant soigneusement ses habits sur sa chaise. Quand il ne resta plus que ses sous-vêtements, elle vint vers moi et me dit :
– Enlève-les.
Je commençai par le soutien-gorge dévoilant une poitrine magnifique. Je n’osai pas y toucher. Je descendis très lentement son slip et eus le temps de voir une auréole jaune. Quand il tomba, elle leva une jambe après l’autre pour que je puisse le récupérer. J’interprétai ce mouvement comme une invite à l’utiliser. Je l’approchai de mon visage et posai l’auréole sur ma bouche. Elle était très humide. Je restai plusieurs secondes ainsi, m’enivrant de cette odeur dont, ce soir, celle d’urine dominait très nettement.
Bénédicte me regardait, l’air à la fois incrédule et ravie.
– Tu aimes ?
Je hochai simplement la tête de haut en bas, je devais avoir l’air très ingénue et très salope.
Elle s’allongea sur le lit.
– Alors lèche-moi s’il te plait, comme hier. Tu m’as rendue dingue, je n’ai pensé qu’à ça.
Je me mis à genoux, elle écarta les jambes et me laissa faire. Très doucement, j’ouvris son sexe avec mes deux index, charmant spectacle dont je ne serais pas prête à me lasser. Je le maintins ainsi et approchai ma langue, l’odeur était forte mais terriblement exquise. Cette fois-ci, je voyais bien ce que je faisais et ne touchai que son méat, comme elle me l’avait demandé. Le goût était salé, apportant la preuve s’il en était encore besoin, que la coquine avait préparé son coup. Je revivais à la puissance 3 le baiser d’Aurélie, sauf que c’était moi qui embrassais. Bénédicte était en train de monter au septième ciel. Je m’arrêtai avant qu’elle n’y arrive, un peu à moi de la torturer.
– Vas-y continue, ah qu’est-ce que c’est bon !
Je décidai de l’exciter encore plus et ne lui répondis qu’après quelques secondes qui durent lui paraître longues :
– Tu n’as pas honte de faire pipi-culotte à ton âge ? Je suis sure que tu l’as fait exprès, pour me le faire lécher, petite cochonne, dis-je en la regardant dans les yeux avec un grand sourire.
Comme je l’avais prévu, le simple fait de lui dire que j’avais compris son manège et que j’y adhérais pleinement suffit à la faire partir. Elle cria.
Je la regardai avec beaucoup de tendresse, elle garda les yeux ouverts qui se révulsèrent pendant quelques fractions de secondes. C’est étonnant comme la jouissance sur un visage peut ressembler à la souffrance. J’attendis qu’elle ait retrouvé ses esprits.
– Jamais, je n’ai eu autant de plaisir, me dit-elle. C’est vrai que tu m’avais chauffée à blanc avec tes histoires d’hier. J’ai voulu savoir l’effet que ça produisait et j’ai fait exactement la même chose que toi, après ta visite médicale. Je ne pensais pas que tu irais jusqu’à me lécher, même si je l’ai espéré toute la journée.
En l’écoutant, je commençais à découvrir que la sexualité était quelque chose de bien compliqué et que notre cerveau était plus important que toutes nos zones érogènes réunies. Ce qu’on m’avait toujours présenté comme dégoutant m’excitait maintenant au plus haut point et c’était visiblement la même chose pour Bénédicte.
– Ça y est, je suis revenue sur terre, on va s’occuper de toi maintenant.
J’étais toujours à genoux devant elle, d’un geste, elle me fit me relever et m’approcher d’elle.
Elle passa la main entre les pans de mon kilt et me caressa rapidement.
– Pas de culotte, bravo ! Voyons si tu es aussi négligée que moi.
Elle sentit ses doigts et les goûta.
– Ah non, c’est tout propre !
– Oui, je me suis lavée tout à l’heure…
– Ah, je vois, mademoiselle veut me faire honte. Eh bien, si tu veux être propre, j’ai une idée pour que tu le sois encore plus ! Enlève ton kilt, assieds-toi au bord du lit et écarte les jambes.
Elle se leva, me montrant une paire de fesses qui me donna envie de croquer dedans et alla chercher quelque chose dans sa trousse de toilette pendant que je me déshabillai complètement. Je me demandais ce qu’elle allait encore inventer.
– On va te faire toute nette, puisque c’est ça que tu veux, me dit-elle en me montrant une paire de ciseaux.
Maintenant toutes les filles se baladent complètement épilées, mais dans les années 80, on sortait tout juste de la révolution sexuelle et c’était encore la période sans soutien-gorge, mais avec les poils en friche. Ce rappel historique, pour te faire prendre conscience, cher lecteur, que Bénédicte allait encore dynamiter un tabou.
Excitée comme je l’étais, j’étais prête à accepter n’importe quoi.
Elle s’installa confortablement à mes pieds et commença à couper mes poils. Je frissonnai, peut-être le froid de la lame sur ma peau, et vis tomber la première touffe. Ma colocataire continua ainsi pendant une ou deux minutes, elle avait amené son miroir et s’arrêta pour me montrer son œuvre. Mon pelage ressemblait à celui d’un chien galeux, pas très beau à voir.
– Passons à la seconde phase, si mademoiselle veut bien s’approcher du lavabo.
Elle fit couler l’eau et fouilla à nouveau dans ses affaires. Elle sortit un rasoir, un bol, un blaireau et de la crème à raser, l’attirail anti-poil aux pattes de l’époque. Elle fit rapidement mousser la crème dans le bol. Elle s’installa sur une chaise, face à moi, trempa le blaireau dans le bol et me le me passa, en insistant sur des endroits pourtant dépourvus de poils. Elle le fit remonter à plusieurs reprises forçant l’ouverture de ma fente, je frissonnai à nouveau.
– Ah non, je veux de la concentration pour le rasage.
Elle arrêta cette caresse qui provoque pourtant des sensations tout à fait inédites.
Elle rasa d’une main experte les poils qui avaient échappé aux ciseaux. Un rapide passage de son gant de toilette pour rincer, un coup de serviette et j’étais prête pour l’inspection. Le miroir me renvoya plusieurs années en arrière, avant ma puberté.
– Regarde, c’est pas mignon ? Viens on va l’essayer.
Bénédicte me prit par la main et me fit coucher sur son lit.
Elle vint se positionner au-dessus de moi, tête-bêche. Je sentis sa langue passer sur tous les endroits que le rasoir avait éclaircis. Encore une sensation incroyable que je ne connaissais pas. C’est à ce moment que je me suis sentie vraiment nue, comme je ne l’avais jamais été. Bénédicte s’interrompit et s’assit purement et simplement sur mon visage.
– Vas-y fais ma toilette.
Elle me laissa faire quelques instants en lâchant quelques soupirs d’aise, puis reprit son exploration, me permettant d’admirer son intimité béante à quelques centimètres de mon visage.
Je décidai d’être un peu égoïste et pris mon plaisir quand elle attint mon clitoris.
Bénédicte se retourna ensuite et toujours à califourchon mais face à moi, se masturba quelques secondes, s’excitant elle-même de son exhibition digne d’un spectacle de la rue Saint Denis. Quelque chose coula sur mes seins quand elle jouit, me laissant augurer de nouvelles découvertes.
Je pensais que nous allions en rester là, mais Bénédicte avait encore une idée derrière la tête.
– Tu sais que tu m’as fait découvrir des choses très excitantes, tes histoires d’infirmerie et tout ça. Tu as envie de me faire plaisir ?
Dit comme ça, il était impossible de refuser, d’ailleurs je n’en avais aucune envie. Sans attendre la réponse, elle alla chercher mon verre à dent et me dit :
–
Allez, c’est l’heure de l’entrainement, pas plus d’un centimètre.
Je me levai et pris le verre, Bénédicte s’assit à mes pieds pour ne rien manquer du spectacle. Je me cambrai, écartai mes lèvres et approchai le récipient. Je réussis à n’émettre que quelques gouttes et attendis les nouvelles instructions.
Elle écarta le verre, se colla à moi et me dit :
– Recommence.
Je sentis la pointe de sa langue se diriger vers mon méat.
Si mon histoire vous plait, dites-le-moi. Pour me contacter : marie.salama@free.fr.
Marie Salama 2008