Une vie de soumis 6 – Florence se dissipe par Ysan01

 

Une vie de soumis
6 – Florence se dissipe
par Ysan


UNE VIE DE SOUMIS

Par Ysan

Rappel des chapitres précédents : Ysan c’est moi, jeune éphèbe androgyne, élève aux Beaux-Arts. Depuis fort longtemps notre professeur n’était pas insensible à mon charme équivoque. Un soir où nous étions seuls dans l’atelier il m’a dépucelé et dès le lendemain a entrepris mon éducation amoureuse et ma féminisation avec l’assistance d’un ami médecin. Maintenant je ne parle de moi qu’au féminin, je m’habille en fille, je ne suis plus Ysan mais Florence. Mon amant parti en province organiser une exposition, pour la première fois je vivais seule dans son appartement et je m’étais permis quelques libertés. J’avais fait l’amour avec d’autres hommes, mais mon maître me manquait. J’attendais avec impatiente son retour.

CHAPITRE VI
Florence se dissipe

C’est ce soir que mon amant devait enfin rentrer de son long voyage. Pour le recevoir dignement en esclave soumise, j’avais prévu une tenue de soubrette : porte-jarretelles et bas noir, escarpins à talons aiguilles et puis un simple petit tablier blanc à volants dont le haut dissimulait à peine mes jolis petits seins et qui se terminait derrière par un énorme nœud mettant en valeur ma croupe bien cambrée. Ma tenue était très érotique.

J’avais préparé un souper d’amoureux aux chandelles en n’oubliant pas de poser la cravache sur la table basse, à coté des verres à apéritif. Je sentais le besoin impérieux d’être dominée et violentée par mon maître. Tous ces préparatifs m’avaient mise dans un état d’excitation fébrile. Quand je l’ai entendu ouvrir la porte je me suis précipitée pour me pendre à son coup. Il m’a violemment serré contre lui, je sentais son sexe en érection. Bouche ouverte je m’offrais à ses baisers, la pénétration de sa langue étant le prélude aux intromissions plus fougueuses qui m’attendaient. Puis il m’a fait virevolter devant lui, admirant mes petits seins maintenant bien formés grâce aux hormones. Il passait la main entre mes cuisses pour retrouver ma petite queue dissimulée dans son anneau. Il était ravi de l’intervention faite par le médecin. Son excitation était à son comble quand il m’a demandé de marcher devant lui, vers la chambre.

J’ai parcouru lentement le long couloir en ondulant de la croupe. Il me suivait à distance pouvant ainsi profiter du spectacle que je lui offrais. Mes jambes gainées de noirs, mon charmant petit cul encadré par les jarretelles et surmonté par le nœud blanc du tablier devaient encore accroître son excitation.

Arrivés dans la chambre, c’est moi, dans mon rôle de soubrette soumise qui l’a déshabillé. Debout, il se laissait faire. Mon travail terminé, à genoux devant lui, j’ai pris son sexe en bouche. En quinze jours d’absence, j’avais oublié combien mon amant était bien monté. J’étais en transe à l’idée que dans un instant cette bite énorme allait défoncer mon petit cul.

Sans tarder, il m’a prise dans ses bras puissants pour me déposer à plat ventre sur le lit. La croupe bien cambrée, j’attendais avec angoisse d’être sodomisée. D’un coup de rein puissant son gland charnu a forcé mon sphincter, j’ai poussé un petit cri. Sa longue bite fouillait au plus profond de mes entrailles, il me limait, me pilonnait sans ménagement. J’ai compris qu’il allait jouir très vite. Voulant participer plus intensément à son plaisir, j’ai dégagée ma petite queue de son anneau et me suis masturbée. Nous avons éjaculé ensemble, c’était délicieux.

Quand nous nous sommes relevés, il a vu l’auréole de mon sperme sur le drap. Le ton a changé :

– Mais tu t’ais branlée sans ma permission petite salope !
– Je voulais jouir en même temps que toi mon chéri.
– Ce n’est pas une raison, tu ne dois faire que ce que je t’ordonne ! Tu as besoin d’une sérieuse reprise en main Florence. Puisque tu veux faire la soubrette commence par changer les draps et demain tu feras la lessive.

J’ai vite compris que sa colère était factice, mais comme chez le médecin je me suis empressée de rentrer dans ce jeu de soumission qui m’excitait. Tout comme chez le médecin j’ai pris l’attitude de la petite fille prise en faute. Debout devant lui, mains derrière le dos, les yeux baissés, je lui ai répondu :

– Je te demande pardon, mon chéri, j’ai désobéi, je ferais tous les travaux ménagers que tu m’imposes. Je sais que je mérite une punition mais je t’en supplie, ne soit pas trop sévère avec moi.

Sans un mot, il est allé s’asseoir dans un fauteuil. Je m’afférais à changer les draps. Chaque fois que je passais devant lui j’ondulais de la croupe, je lui présentais mon petit cul pour l’exciter un peu plus. Quand j’ai eu terminé ma besogne, il s’est levé et m’a ordonné de monter à quatre pattes sur le siège. L’heure n’était pas à la discussion, j’allais enfin subir ce que j’attendais. Je savais que j’allais souffrir dans un supplice divin où l’angoisse s’ajoute au plaisir.

Il avait pris de fines lanières de cuir. En un tour de main je me suis retrouvée les cuisses fermement attachées aux accoudoirs, les bras liés derrière le dossier. Je ne pouvais pas faire le moindre mouvement et dans cette position humiliante, ma croupe dressée était offerte à tous les sévices.

Il a commencé par me poser les pinces à seins. Pour la première fois je devais les supporter depuis que ma poitrine s’était développée. La jouissance dans la douleur en était plus violente et ce n’était que le début de mon supplice. Il est allé chercher l’énorme gode vibrant que j’avais du m’introduire lorsque nous avions «fait l’amour par téléphone». Il l’a enfoncé dans mon cul sans ménagement, heureusement mon petit trou était encore bien ouvert après la sodomie que je venais de subir. Les vibrations intenses de l’engin mettaient tout mon corps en transe. Ensuite les coups ont commencé à pleuvoir sur ma croupe. Ce n’était pas la cravache habituelle qui m’excitait toujours, mais un abominable fouet dont la fine lanière brûlait mon petit cul fait pour l’amour. J’avais besoin de violence, j’étais servie:

– Tu vas maintenant comprendre que tu dois obéir, petite salope !
– Oui mon chéri, je te demande pardon
– Tu es punie Florence, je ne suis plus ton chéri, tu dois m’appeler maître et me vouvoyer
– Maître je serai votre esclave soumise mais pitié cessez de me maltraiter. Mon petit cul marqué par les coups ne vous excitera plus.

Il a enfin cessé le supplice et m’a détachée, ce jeu violant était terminé. J’ai séché mes larmes, et avec mon plus beau sourire je lui ai dit :

– Maître si vous voulez venir au salon l’apéritif est servi

La soirée fut délicieuse, mon amant ravi par le dîner que j’avais préparé. Etre obligée de le vouvoyer me plaçait dans une position de soumission complète qui me plaisait. J’avais gardé ma tenue de soubrette, lui avait mis son kimono habituel. A la fin du repas il s’est assis dans un fauteuil et m’a demandé de lui servir un Cognac. Moi, j’allais et venais pour tout ranger. A chaque passage je m’attardais devant lui, qu’il puisse admirer mes petits seins bien fermes à peine dissimulés par le haut du tablier, mais aussi mes jolies fesses rougies par le fouet.

Mon petit manège a vite produit son effet, sa bite énorme pointait sous le kimono. J’ai pris l’initiative de le provoquer :

– Maître vous avez une érection magnifique, je suis à votre disposition pour vous satisfaire. Voulez vous que je vous suce ou préférez vous m’enculer ?
– Florence tu es une vraie petite pute. On va essayer autre chose. A cheval sur mes cuisses, empale-toi sur ma queue et fais-moi jouir. Je veux voir si tu en es capable.

J’ai pris la position sans attendre. Son énorme bite d’airain bien en main, j’ai pointé le gland turgescent sur mon petit œillet. Les yeux fermés, retenant mon souffle, je me suis embrochée d’un seul coup jusqu’à la garde. La douleur était vive, mais vite remplacée par le plaisir quand j’ai amorcé de lents mouvements de vas et vient. Mon maître, très excité, pelotait fébrilement mes seins, triturait mes tétons et bouche contre bouche me faisait boire son Cognac. Notre jouissance a duré longtemps, quand il a vidé son foutre dans mon ventre j’ai eu un orgasme de femme. Epuisée, je me suis endormie dans ses bras.

Le lendemain, c’était dimanche, dernier jour des vacances de printemps. Ensuite il me faudrait reprendre les cours, redevenir Ysan, étudiant aux Beaux-Arts et passer le concours. Ainsi en avait décidé mon maître.

En attendant, je venais de dormir dans ses bras. Au réveil je me suis hasardée à le tutoyer. Il ne m’a pas grondée, j’en ai déduit que ma punition était finie. Pour ce dernier jour de vacances, il m’a annoncé un programme alléchant : déjeuner dans un grand restaurant et cinéma l’après-midi. Je voulais être belle, je lui ai proposé d’étrenner le petit tailleur style Chanel que j’avais acheté en son absence. Il a accepté, mais c’est lui qui a choisi mes dessous :

– Tu mettras le caraco en soie rose, les porte-jarretelles assortis, des bas beiges mais pas de culotte. Et n’oublie pas de prendre un lavement. Je veux que tu sois très propre, tu seras certainement sodomisée par plusieurs hommes avant la fin de la matinée.

J’ai obéi, un peu angoissée par ses propos. Nous sommes partis à pied. Je me trouvais très sexy et les hommes se retournaient pour me regarder. Avant d’arriver au restaurant mon amant m’a prévenue :

– Florence, il ne te faut pas oublier trop vite que hier tu étais punie. Au restaurant tu relèveras ta jupe que ton cul nu frotte sur le cuir de la banquette. Souffrir un peu te rappellera ta punition.
– Mais mon chérie, ma jupe est étroite, je vais devoir me trousser très haut tout le monde verra mes jarretelles.
– Peu m’importe, tu dois m’obéir.

Arrivée à notre table, j’ai essayé de remonter ma jupe le plus discrètement possible, mais une fois assise tout le monde pouvait voir le haut de mes bas et les jarretelles. Le cuir du siège chauffait mes fesses meurtries, la sensation était à la fois douloureuse et excitante. Quand le maître d’hôtel est venu prendre la commande, il ne se privait pas d’admirer mes cuisses et a chuchoté quelques mots à l’oreille de mon amant. Dès son départ, j’ai su ce qu’il avait dit :

– Florence, avec tes attitudes de petite salope tu as excité ce brave garçon. Il te faut maintenant le soulager. Va aux toilettes, laisse la porte ouverte, trousse ta jupe jusqu’a la taille, déboutonne ton corsage et attend. Il va venir te sodomiser.

Ainsi j’allais me faire prendre par un inconnu, la situation n’était pas pour me déplaire. J’ai obéi, sans rien dire. Debout dans les toilettes, le porte-jarretelles apparent, les seins dégagés, ma position devait être particulièrement érotique. Le maître d’hôtel n’a pas tardé à venir. Sans un mot, il m’a serrée contre lui, bouche ouverte je m’offrais aux baisers d’un si bel homme. J’aurais aimé que ses baisers fougueux durent une éternité, mais très vite il m’a courbée et mains appuyées sur la cuvette je lui présentais ma croupe. Tout en pointant son gland sur mon petit trou, il m’a parlé :

– A ce que je vois, mademoiselle a été sévèrement punie, quel en était le motif ?
– Monsieur, je n’ose pas vous le dire.
– Mademoiselle, vous devez tout me dire, si non vous serez encore punie par votre maître.
– Hier soir je me suis masturbée sans son autorisation.
– Alors il a bien fait de vous livrer à moi, vous êtes une vraie petite pute en chaleur mademoiselle. Vous allez la sentir passer ma grosse bite.

D’un coup de rein puissant il a forcé mon œillet. L’homme était un expert en sodomie. Il savait alterner les coups de butoir violents et les mouvements plus lents. Parfois même il sortait complètement pour avoir le plaisir de forcer à nouveau mon petit trou étroit. C’était pour moi douloureux mais très excitant. Je criais. Pour me faire taire il m’a bourré une serviette dans la bouche. Je mordais les tissus, mais ma jouissance était extrême. Quand il s’est vidé dans mon ventre, j’ai eu un orgasme de femme.
Il est reparti sans un mot et en regagnant notre table je rêvais que tous les hommes présents dans la salle allaient à tour de rôle m’enculer dans les toilettes. Je l’ai dit à mon amant, il a eu une réponse sibylline :

– La journée ne fait que commencer ma petite Florence, tu auras d’autres bites avant ce soir

Quand nous sommes partis du restaurant, le maître d’hôtel est venu nous saluer et j’ai bien vu que mon amant ne payait pas. C’est moi qui l’avais fait avec mon cul, j’en étais très fière.

Après cet excellent repas nous nous sommes dirigés vers le cinéma. Mon maître ma alors renouvelé les instructions du matin, obligation de m’asseoir en troussant ma jupe étroite, le haut de mes cuisses était exhibé à la vue de tous. Le siège à ma droite était libre, il ne l’est pas resté longtemps, un homme seul n’a pas tardé à l’occuper. Dès que les lumières se sont éteintes j’ai senti sa main sur mes cuisses. Je n’osais pas bouger. Il s’est enhardi, son autre main a. commencé à fouiller mon corsage. Mon amant a vu le manège, il m’a chuchoté ses instructions à l’oreille :

– Laisse le faire et caresse sa bite. Quand il bandera bien, descend entre ses cuisses et pompe le à fond. Je veux que tu avales tout.

Je connaissais la technique de l’amour au cinéma pour l’avoir pratiquée sur mon amant dans le passé. L’homme a joui très vite. J’ai eu bien du mal à avaler tout son foutre acre et gluant. Il est parti avant la fin du film, mais un autre qui avait vu le manège est venu prendre sa place. D’un signe de tête mon amant m’a fait comprendre que je devais renouveler la séance.

Quand nous sommes sortis de la salle j’avais l’estomac barbouillé par tout ce sperme avalé. Mais toutes ces humiliations de la journée m’avaient mise dans un état d’excitation fébrile. Mon amant l’avait bien compris. Dès que nous sommes arrivés chez lui, il m’a demandé de trousser ma jupe et de me mettre en levrette sur le canapé. Il m’a sodomisée longuement et une nouvelle fois ma jouissance a été intense.

Cette folle journée marquait pour moi la fin des vacances de printemps. Demain il me faudrait, pour un trimestre encore, reprendre les cours aux Beaux-Arts, redevenir Ysan, attendre les week-ends pour retrouver mes habits de fille et l’amour. Heureusement le temps passe vite.

La fin du trimestre approchait, c’était un vendredi soir. En nuisette rose, j’étais assise sur ses genoux, il me pelotait les seins tout en buvant son whisky :

– Pour demain soir, j’ai prévu une soirée insolite, ma chérie. Un excellent ami propriétaire d’un club privé vient de me téléphoner. Il organise un marché aux esclaves, je veux te présenter.
– Mon chéri ! Tu veux me vendre ! Tu n’as pas le droit! (j’ai commencé à pleurer)
– Tu n’as rien compris petite idiote, c’est un jeu. Ce club est fréquenté par des gens très bien, les esclaves sont vendues aux enchères uniquement pour la nuit. C’est le moyen de faire payer à chacun les frais de la soirée. Toi qui aimes te faire monter par les vendeurs de prêt-à-porter, mon ami médecin et d’autres, là pour une nuit complète tu auras toutes les bites que tu voudras, moi je t’observerai. Je veux voir les résultats de l’éducation que je t’ai donnée.

Ses propos ne m’avaient que moyennement rassurée et puis j’ai vite compris tout le charme excitant de cette soirée. J’allais être vendue aux enchères, une occasion unique de mesurer mon emprise sur les hommes, voir combien ils étaient prêts à dépenser pour me posséder. Ensuite je serais livrée à des inconnus qui sauraient me faire découvrir des plaisirs nouveaux. Cette perspective d’une soumission accompagnée d’une certaine angoisse me plaisait.

Le lendemain mon amant ne m’as pas touchée « il fallait se réserver pour la soirée ». Nous sommes allés au cinéma, mais avant de partir il m’a dit :

– Mets ton plug, il faut que tu sois bien ouverte pour ce soir.

Au retour le moment était venu de se préparer pour cette folle nuit :

– Va dans la salle de bain j’ai préparé ta tenue et n’oublie pas de prendre un lavement, je veux que tu sois impeccable. Crème bien ton petit trou, il va beaucoup servir.

Il avait prévu pour moi une tenue particulièrement provocante : des bas noirs à couture et des escarpins à talons aiguilles, mais surtout une grande guêpière en satin noir bordée de fine dentelle. En haut les demi-bonnets ne cachaient pas mes petits seins, ils les rehaussaient au contraire et mettaient en valeur les pointes de mes tétons au dessus de la dentelle. En bas la large bande de dentelle voilait mon pubis et derrière elle formait un écrin voluptueux autour de ma belle croupe. Ma tenue était complétée par de longs gants noirs, pas de bijoux mais un collier d’esclave et des bracelets assortis

Une fois habillée, fardée, parfumée et après avoir vérifié la fixation de ma petite queue dans son anneau, je me suis présentée devant lui:

– Mon chéri, la tenue que tu as choisie me plait beaucoup, mais je ne peux pas sortir ainsi
– Bien sur, tu vas mettre le manteau de fourrure que je t’avais acheté à l’entrée de l’hiver

Le club était situé en grande banlieue, une belle demeure dans un parc où l’on pouvait garer discrètement les voitures. Dans l’entrée une soubrette s’occupait du vestiaire. Je n’osais pas enlever mon manteau de fourrure, mon amant l’a fait. Ainsi je me suis retrouvée juchée sur mes talons aiguilles, en guêpière et cul nu au milieu de ce vaste hall, au moment où les invités arrivaient.

Le maître des lieux, un homme grand, élégant au visage sévère est venu vers nous. Manifestement pour lui je n’existais pas, je n’étais qu’un objet. Il s’est adressé à mon maître :

– Bonsoir cher ami, quel plaisir de vous voir chez nous. Vous nous amenez là une bien belle pouliche, j’espère que vous allez la mettre aux enchères, elle fera des heureux cette nuit J’ai prévu pour elle le présentoir numéro trois, vous pouvez l’y conduire.

Mon maître a sorti de sa poche une laisse qu’il s’est empressé de fixer à mon collier Il m’a conduit vers le grand salon sous le regard concupiscent de tous les hommes qui me jaugeaient. La pièce était très vaste, au pourtour il y avait une vingtaine de socles en bois numérotés et surmontés chacun d’un poteau. J’ai du monter sur le présentoir numéro trois qui m’était réservé, et les bras dans le dos, il m’a attaché au poteau :

– Je m’absente un moment pour me mettre en tenue, mais je reviens vite pour te surveiller. Je t’interdis de parler, mais tu dois te laisser tripoter par tous les hommes. N’oublie pas que l’un ou plusieurs d’entre eux vont te louer pour la nuit. Sois docile et soumise.

Les hommes et même quelques femmes on commencé à tourner autour de moi. Ils étaient tous nus sous leur kimono. Les plus hardis ou les plus intéressés montaient sur le socle, ils palpaient mes seins, passaient la main dans mon entrejambes, enfonçaient brutalement deux doigts dans mon petit trou. Je dois l’avouer, c’est là où j’ai découvert que cette soumission complète correspondait à ma vraie nature et me procurait une excitation intense.

Mon amant revenu, lui aussi en kimono, la vente aux enchères a commencé. A tour de rôle les esclaves étaient offertes aux acquéreurs. J’entendais les prix monter, mille euros, deux mille euros ! Mon angoisse s’accentuait je voulais être la plus belle, la plus chère, battre ce record. Mon tour est enfin arrivé. Mon amant m’a conduit en laisse sur l’estrade centrale pour me présenter au public :

– Je vous présente Florence, elle a vingt ans et comme vous avez pu le constater en allant la palper, elle a des seins de fille, une queue de petit garçon, mais le plus important c’est son cul. Tournes toi Flo afin que nos amis puissent admirer ta belle croupe. La sodomie elle adore, je l’ai bien préparée, elle prend les bites jusqu’au diamètre de six. (J’ai entendu un Oh ! admiratif dans l’assistance et je cambrais les reins afin de mettre en valeur tous mes charmes). Pour conclure je vous dirais que Flo est une vraie petite salope faite pour l’amour. Se faire prendre par dix ou vingt hommes dans la nuit ne lui fait pas peur, vous pouvez donc vous regrouper pour la louer ce soir. Avez-vous des questions à me poser ?
– Elle suce comment ?,
– Flo je te laisse répondre
– Mon maître m’a appris à bien prendre tout le gland en bouche, à lécher et branler la hampe, à caresser et mordiller les couilles.
– C’est bien, mais tu avales tout ?
– Oh ! bien sur monsieur, j’aime avoir la bouche pleine d’un foutre acre et visqueux et j’aime aussi boire à la fontaine dorée.
– Alors tu m’intéresses beaucoup petite salope.

Il n’y avait pas d’autres questions, mon maître a pu lancer les enchères : «mille euros, deux mille, quatre mille, adjugé !!! » J’ai vu un groupe d’une dizaine d’hommes se congratuler bruyamment, ils venaient de gagner le gros lot. C’est à eux que j’allais être livrée pour la nuit.

Ils m’ont entraîné dans un salon de l’étage dont ils ont soigneusement fermé la porte. J’étais à eux et à eux seuls pour le reste de la nuit. Ils étaient neuf, tous de solides gaillards très excités. J’ai vite vu leurs queues, aucun n’était aussi puissamment monté que mon amant ce qui m’a rassuré. Le salon était une grande chambre meublée de plusieurs divans et d’un bar, le sol jonché de larges coussins. Un écran de télévision projetait un film porno. Jouxtant la chambre, il y avait une grande salle de bain.

Mes gaillards se sont installés en cercle sur les coussins. Il y avait un meneur qui m’a ordonné d’aller à quatre pattes de l’un à l’autre pour une première mise en bouche afin de bien les préparer. Ils avaient l’air d’apprécier. Ensuite j’ai du me mettre en levrette sur un canapé central et à tour de rôle ils venaient prendre mon cul. Tous étaient d’excellents baiseurs, à chaque fois j’avais un orgasme. Souvent ils ne me laissaient pas le temps d’aller faire un peu de toilette, chacun baignait dans le foutre de son prédécesseur. Quand le dernier se retirait, le premier avait retrouvé de la vigueur et le manège recommençait. J’étais devenue le vide couille de ces messieurs. Après plus de deux heures de jouissances à répétition j’étais complètement épuisée, fort heureusement eux aussi.

Vautrés sur les coussins, ils buvaient en regardant le film quand un petit groupe est venu les rejoindre. Il y avait trois solides gaillards et une toute jeune femme blonde et très belle qu’ils appelaient Isabelle. Manifestement la mignonne avait beaucoup servi. Le porte-jarretelles mal ajusté, les cheveux collés par le sperme elle m’a dit que sa petite rondelle était bien abîmée pour avoir voulu prendre des bites trop grosses. Elle était atterrée à l’idée de se faire monter par mes neuf gaillards. Je l’ai rassurée, ils n’en pouvaient plus.

Tous nos males vautrés sur les coussins buvaient et plaisantaient ensemble. Pour les distraire, avec Isabelle nous avons alors décidé de leurs offrir un petit spectacle érotique. Allongées sur le canapé central nous nous caressions comme deux vraies lesbiennes. Nous prenions les poses les plus lascives. Pour moi, c’était la première fois que je caressais une fille, je découvrais un plaisir nouveau.

J’ai alors pris l’initiative de m’allonger sur le dos et de sortir ma petite queue de son anneau. Isabelle avait compris, elle s’est étendue sur moi tête bèche. Alternativement je léchais son œillet meurtri et son clitoris turgescent. Elle me répondait par de petits gémissements tout en suçant mon sexe. Quand j’ai senti aux frémissements de sa croupe qu’elle atteignait l’orgasme, j’ai déchargé dans sa bouche. Nous nous sommes relevées sous les applaudissements de nos lascars ravis par le spectacle.

C’est le moment où mon maître est entré dans la chambre, ma nuit d’esclavage était terminée, mon éducation amoureuse aussi. Nous sommes rentrés à la maison. J’étais épuisée mais ravie et comblée. J’ais pu mesurer mon emprise sur les hommes à voir les sommes assez considérables qu’ils avaient dépensées pour me posséder une seule nuit. Grace à la soumission dans laquelle je me complais j’ai parfaitement compris que je pouvais ainsi manipuler et même dominer les plus fiers machos. Et puis pour la première fois je venais de faire l’amour avec une fille, j’y avais trouvé du plaisir.

Dans huit jours j’aurais terminé mes études une vie nouvelle pourrait commencer pour moi. La vie que je souhaitais.

(à suivre)

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