Une sortie en mer
9 – Le Pari
par Lovelace
Nous passons l’heure suivante à parler de choses et d’autres, d’expériences passées, etc. et le moment tant attendu par Lucie arrive enfin. C’est Alice qui donne le top départ. Elle s’approche de Lucie et commence à la caresser, lui lèche le lobe de l’oreille, descend sur ses bouts de seins, les titille avec les doigts et la langue. Lucie les yeux fermés apprécie ces prémices et en redemande. La main d’Alice descend encore, caresse son ventre et atteint son sexe. Elle écarte les lèvres, passe un doigt sur sa fente, frôle le clitoris, ce qui provoque un mouvement du bassin de Lucie. Elle accentue ses caresses et on voit nettement maintenant briller sa fente. Elle commence à mouiller sérieusement. Alice encadre le clitoris de deux doigts, il est bien gonflé. Elle le caresse jusqu’à lui faire atteindre l’orgasme. Nous nous approchons, Alice étant derrière Lucie, Yann et moi nous plaçons de chaque côté, Pierre se place en face. Il s’allonge place sa tête entre ses cuisses et commence à la lécher. Quant à nous, nous continuons de caresser ses seins, son ventre, ses flancs. Un deuxième orgasme la secoue, plus fort, ses cuisses claquent la tête de Pierre, qui boit le foutre qui s’écoule.
– Ho, nom de D…, que c’est bon, s’exclame-t-elle. Vous me faites jouir comme une folle.
Alice se lève et descend dans le carré ; Elle remonte quelques instants plus tard avec un panier, rempli de légumes et objets divers.
– Aller, tu es prête ? On va commencer. Dit-elle. Allonges-toi complètement, les gars, prenez lui les jambes.
Elle attaque direct par un concombre dans la chatte. Elle le rentre bien au fond de son ventre et le fait coulisser quelques instants. Elle le remplace par une grosse courgette, puis une aubergine. Sa fente est vraiment bien dilatée, maintenant. Soulevez la et posez la sur le rebord du cockpit nous somme Alice. Une fois en place, elle commence à la travailler avec sa main, s’insinuant progressivement en ajoutant un doigt à chaque nouvelle pénétration. La main ne tarde pas à entrer en entier. Lucie gémit, le poignet passe, Alice insiste jusqu’à l’avant bras, Lucie émet un cri rauque. Elle lui inflige ce qu’elle a subit hier, mais elle a une nouvelle idée. Elle prend la queue de Pierre, la branle et, dès que celui-ci a une rigidité suffisante, l’introduit. Sa main accompagne l’introduction et Lucie se retrouve avec le vit de Pierre ET la main d’Alice dans le con distendu. Lucie lâche un cri de douleur et Alice se retire. Le maximum semble atteint. Sa chatte est béante, dégoulinante de foutre. Nous la laissons récupérer quelques instants ; nous la pensons éreintée, en fait c’est elle qui nous relance !
– J’en veux encore ! S’écrie-t-elle. Je sais que je peux.
Alice se remet en place, flatte son minou (c’est plutôt un matou, maintenant !), et réintroduit sa main. Elle ne voit rien de plus important, volumétriquement, à insérer que ses deux mains. Elle glisse donc la deuxième, écarte un peu la vulve, et enfonce ses paumes. Seuls les deux pouces restent dehors. Elle s’en sert pour caresser le clitoris, tellement gonflé qu’on dirait une bite. Lucie est parcourue de tremblements et jouit dans un long spasme. Les pouces rejoignent les autres doigts et la progression continue jusqu’aux poignets.
– Tu y es arrivée, lance Alice. Je continue ?
Un sourire, qui devient un éclat de rire de joie, d’avoir réussi éclaire son visage :
– Vas-y, essaye encore un peu. C’est merveilleux, tant c’est monstrueux !
Quelle perversion chez nos femmes ! On ne les imaginait pas comme çà. Çà prouve qu’on ne connaît pas vraiment les gens, même quand on partage leur vie ! Là, elles étaient en transes, comme « Maraboutées » et elles laissent surgir tous les fantasmes qui les traversent, sans aucune retenue. A n’en pas douter, ce week-end laissera des traces !
Alice, encouragée par les injonctions de sa nouvelle amie, avance jusqu’au tiers de ses avant-bras, qu’elle tente d’écarter un peu afin d’atteindre le maximum de dilatation possible, et elle les fait aller d’avant en arrière labourant cette chatte qui n’est plus qu’un tas de chairs distendues. Cette pénétration hors catégorie arrive tout de même à arracher un énorme spasme
À Lucie qui lance un :
– Ho, ouiiiii ! De plaisir – mais est-ce vraiment du plaisir ? À ce stade, je pense qu’il s’agit d’un cri de victoire acquise dans la douleur, un soulagement d’avoir réussi.
Alice se retire et nous offre le spectacle de la vulve éclatée comme un fruit trop mûr, les chairs rougies, gonflées par l’attentat qu’elles viennent de subir.
– Une pause s’impose ! Dis-je. On va arroser çà !
Et je lui pisse à la raie, comme un pompier éteindrait un feu avec une lance à incendie.
– Houuu ! C’est bon s’exclame Lucie, çà rafraîchit !
– Maintenant nos gosiers !
Nous nous asseyons sur les coussins, sauf Lucie qui ne peux plus bouger et qui laisse à nos yeux effarés cette vision infernale de cataclysme sexuel !
– Pourvu qu’elle se referme, annonce Yann apeuré
– Ne t’inquiète pas, regarde ma chatte, comment est-elle malgré ce qu’elle a subit hier ? Dit Alice en ouvrant largement ses jambes.
Effectivement, son sexe est beau, il a retrouvé sa souplesse, les petites lèvres baillant légèrement, lascives, s’étalant sur les grandes lèvres, fines et fermes. C’est une invitation au plaisir, je ne peux me détacher de cette vision, et mon sexe répond présent ; il s’allonge comme s’il cherchait à atteindre cette bouche gourmande qui l’appelle. Apparemment je ne suis pas le seul à qui elle fait de l’effet ; Yann aussi a un début d’érection. Alice en rajoute, voyant l’effet qu’elle produit. Elle se retourne, se penche en avant et écartant ses fesses de ses deux mains, elle nous montre son anus :
– Et comme vous pouvez le voir, mon cul aussi a retrouvé sa forme ! Il est beau non ?
A le voir ainsi, on ne peut pas croire qu’il a subit les derniers outrages, qu’il a été écartelé dans des proportions inimaginables, si on ne l’avait pas vu.
– Tu nous donne envie de nous en occuper, dit Pierre. Tu es super sexy !
– Merci, répond-elle, flattée. C’est gentil.
En cette fin d’après midi, la chaleur est encore forte, mais il semble que ce soit à l’intérieur de nos corps qu’elle est la plus forte !
– Pour ma part, je mangerais bien un morceau, moi ! Annonce Yann
– Oui, hé bien moi, c’est mon cul qui a faim ! S’exclame Lucie, revenue de ses émotions précédentes.
– Tu es vraiment insatiable dis-je. Tu n’en as pas eu assez ?
– Il me reste à tester mes capacités anales, répond-elle. Après, on verra !
Et elle se retourne, à genoux sur les coussins, appuyée sur les coudes au niveau du pont.
– Allez, il est à vous !
Pierre est le premier à s’en approcher et lui applique une feuille de rose bien appliquée, qui lui font pousser des petits cris de plaisir.
– Oui, vas-y, c’est bon, t’arrête pas, hummmmm !
Cette caresse buccale a pour effet de la détendre et sa rondelle s’entre-ouvre légèrement. Il n’en faut pas plus à Alice pour y insérer un puis très vite deux et trois doigts. Elle l’astique lentement en tournant son poignet, pour bien assouplir l’œillet. Lucie se pâme. Pierre, qui pendant ce temps s’est branlé pour durcir son énorme chibre, écarte les doigts d’Alice et présente sa tête de nœud, devant le trou prêt à l’accueillir. Il n’a pas d’effort à faire pour se retrouver dedans. Il s’active et ne tarde pas à obtenir la récompense du plaisir de Lucie.
Yann et moi, ne voulant pas déranger le trio qui s’active devant nous, nous contentons d’être spectateurs de la scène, mais très actifs ! En effet, pour ne pas être totalement en reste, nous nous branlons mutuellement.
Pierre entame un rythme effréné ; il a saisi les cheveux de Lucie et lui tire la tête en arrière, pendant qu’il lui ramone le cul. Quant à Alice, elle le motive de la voix et du geste. Jusqu’à présent, elle caressait d’une main le dos de Lucie et, de l’autre, les fesses et les couilles de Pierre. Maintenant, elle s’active de la main gauche, au même tempo que Pierre en lui insérant deux doigts dans le cul. Entre lui et Lucie, se sont des séries d’onomatopées qui accompagnent la séquence qui s’achève par une grosse giclée de sperme sur les fesses de Lucie.
Alice remplace Pierre et tout en léchant la semence, profite de la dilatation laissée par l’énorme queue de Pierre pour y insérer sa main, les doigts joints et sans changer le rythme effréné que menait Pierre. Sa main se retrouve avalée, prisonnière jusqu’au poignet, de l’anus béant.
Yann se penche sur moi et me pompe le dard que j’arbore fièrement, se relève et c’est moi qui le prend en bouche ; nous alternons ainsi quelques instants nos pipes, mais ne voulant rien rater du spectacle, nous nous rasseyons, sages, seules nos mains continuant de maintenir la pression. Pierre est venu s’avachir à côté de nous, essoufflé mais ravi. Alice ressort son avant bras jusqu’au poing qu’elle a fermé, pour accentuer la dilatation et rentre à nouveau dans de longs aller retours. Lucie est maintenant prête à subir le test de la bouteille.
Comme hier pour Alice, la maxi bouteille d’eau présentée devant la large entrée entre bien au départ, mais il faut qu’Alice ajoute du lubrifiant pour passer le goulot sans déchirer la rondelle accueillante. Çà passe ! Lucie pousse un cri puissant qui se termine en un grognement sourd – je ne peux m’empêcher de regarder autour si il n’y a pas un bateau qui aurait jeté l’ancre trop près de nous – puis une sorte de feulement.
– Veux-tu que j’arrête ? Demande Alice elle aussi surprise.
– Non, vas-y, continue, non de Zeus, c’est énorme, mais çà va. Sa transe est totale est se transmet à tout l’équipage.
Alice retire enfin le pal monstrueux, et laisse apparaître un trou béant. Lucie, malgré la douleur est heureuse. Elle a réussi ! Devant ce gouffre je ne peux m’empêcher de tester une pénétration. Je rentre mon vit, mais il ne touche pas les parois, c’est trop large. Une idée perverse me traverse l’esprit : m’aidant de mes doigts, j’y glisse mes couilles et mon service trois pièces se trouve entièrement englouti dans son cul !
L’expérience s’arrête là, et c’est un bien. On a envie de refaire des choses plus normales, n’empêche que nous sommes tous super excités, même Lucie, qui n’en finit pas de rire à l’idée de l’exploit qu’elle vient de produire.
Elle s’allonge, appuyée sur un coude, le visage épanouit, fière d’avoir réussi son pari.
Pierre s’approche d’elle, l’embrasse et la félicite :
– Bravo, belle démonstration !
– Oui, je suis ravie d’avoir pu le faire ; mais je ne pense pas que je recommencerai.
– Tu pourras toujours te revoir en vidéo, j’ai tout filmé. Y compris l’introduction du service trois pièce de Bernard, tu verras c’est spectaculaire !
– Çà, j’en doute pas ! Je pense que je prendrai mon pied à regarder ce film.
En attendant, Yann est entreprit par Alice. Elle s’assoit sur lui, introduisant sa queue au fond de son cul. Je m’agenouille devant elle et lui lèche son clito bien gonflé. Tous trois sommes excités comme des guêpes et nous avons besoin de nous soulager. Quelques minutes suffisent pour qu’elle parte vivement dans un orgasme puissant : j’ai la face barbouillée de foutre ! C’est bon !
– viens toi aussi, me dit-elle, je vous veux tous les deux.
Je me place et la prend tout de go. Nous nous coordonnons et lui provoquons très vite un deuxième orgasme encore plus fort.
– Hooo, ouiiiii ! C’est bon, allez-y à fond, encore ! Venez, je veux vous sentir jouir en moi.
Nous activons nos mouvements et éjaculons à tour de rôle, dans ses orifices. Les fourmillements me reprennent, je me sens las, mais rassasié, j’ai les jambes qui flageolent. Je me retire et vais m’asseoir sur les coussins. Elle se relève également, s’étire et dit :
– Vous êtes vraiment champions, les gars, qu’est-ce que c’était bon !
– Oui, si on m’avait dit que le week-end se passerait comme çà, je l’aurai pas cru ! Comme quoi, l’improvisation à du bon ! On a fait en 2 jours, ce qu’on n’a pas fait en 10 ans ! Que d’expériences nouvelles, bon sang !
– Je n’aurai pas imaginé que l’on puisse assouvir ses fantasmes en un même lieu, avec les mêmes partenaires et en aussi peu de temps. Reprend Alice.
Il est bientôt l’heure de dîner, mais nous reprenons un verre et portons un toast à ce fabuleux week-end.
Les partouzes de cet auteur sot vraiment surprenantes, même si ici l’épisode de la bouteille me semble un peu limite
Cet épisode de la bouteille m’a bloqué