Une sortie en mer
10 – Le Retour – matin
par Lovelace
Dimanche matin, 8 heures. Je me lève beaucoup plus facilement qu’hier. Il faut dire que la soirée a été calme. Nous avons dîné, bien bu et pas mal discuté, mais rien d’autre !
J’enfile un short et un tee-shirt et je vais à terre chercher pains et croissants. Quand je reviens, la table est mise et je vois apparaître, cafetière à la main, mon ami Pierre.
– Salut, comment vas-tu, la nuit a été calme ?
– Total repos, m’assure t’il. Juste une petite pipe pour le sommeil !
– Racontes, tu l’es faite toi même ?
– Mais non, que tu es con ! Lucie, malgré, ou plutôt à cause, devrais-je dire, ce qu’elle a subit, avait envie d’une douceur pour adoucir ses rêves. Yann s’en occupait très bien, mais elle m’a appelé au moment où je rentrais dans ma cabine. Je suis allé voir et elle m’a dit qu’elle aimerait bien une petite gâterie, pendant que Yann la besognait. Tu me connais, je ne me suis pas fait prier et, pour me remercier, elle m’a rendu la pareille. Très bonne suceuse, la petite ! Quand je pense qu’au début du week-end elle arrivait pas à me prendre en bouche, elle a fait de sérieux progrès !
– Et ensuite ?
– Ben, ensuite, je suis retourné dans ma cabine et j’ai ronflé.
– Même pas une petite pénétration ?
– Même pas ! Tiens, c’est sympa les croissants ; Merci.
– Je t’en prie. A ton avis, on fera quoi une fois arrivés ?
– Toi je ne sais pas, mais moi, je rentre à la maison, je monte la vidéo et on se la passe avec Viviane. Elle sera de retour de garde et aura certainement faim ! Çà la mettra en appétit.
– Elle va sûrement regretter de ne pas avoir été avec nous.
– Je ne sais pas ; tu sais on n’a eu qu’une expérience à plusieurs, et nous n’avions pas trouvé çà très concluant. Nous n’avons jamais recommencé.
– Elle va peut-être mal le prendre alors ?
– Je ne pense pas. D’abord parce que c’est avec vous et qu’elle vous apprécie : il y a quelques temps, elle m’avait même suggéré que si notre expérience échangiste avait eu lieu avec vous, elle aurait sûrement trouvé çà bien. En plus je ne lui cache rien.
– Si elle te reparle d’échangisme, tu pourras lui dire que nous sommes d’accord. Vu les scènes tournées, quand elle verra la vidéo, la question ne se posera plus !
– Vous parlez de partouze ? – c’est Alice qui vient de montrer le bout de son nez par le panneau et qui a saisi la fin de notre conversation.
– Non, on disait que si Viviane le souhaitait, on pourrait remettre çà avec elle.
– Ha, oui, avec plaisir, dit Alice, je suis sûre que c’est une grande cochonne !
Sur ce, arrivent Lucie et Yann, qui après les salutations d’usage, s’installent prendre leur petit déjeuner.
– Nous partirons sur le coup des 10 heures, si vous le voulez bien. Si vous avez des courses à faire, c’est maintenant.
– Moi, c’est une grosse commission que j’ai envie de faire ! Je peux aller dans l’eau ? Demande Lucie
– Bien sûr, ma chatte, dis-je, c’est biodégradable.
Quand elle revient de son petit bain, quelques instants plus tard, je lui demande :
– Alors, c’était comment ?
C’est super jouissif ; tu n’imagine pas, sentir la fraîcheur de l’eau sur les muqueuses juste après que l’étron soit sorti, c’est vachement agréable !
– Tiens, je vais essayer aussi, dit Alice.
– Hé, les filles, l’océan, ce n’est pas une cuvette de chiottes ! Si çà flotte on aura l’air de quoi ?
– En tout cas, le mien a coulé à pic ! Il avait honte de tout ce qu’il a vu hier !
Tout le monde rit et, finalement, nous voilà tous dans l’eau pour faire nos ablutions. Les vannes scato déferlent, on rigole comme des gosses, mais il est vrai que chier dans l’eau, c’est vachement agréable.
– Qui a déjà fait l’amour dans l’eau ? Demande Alice.
– Moi, il y a longtemps, répond Lucie, mais c’est pas très agréable. L’eau pénètre en même temps et empêche une bonne lubrification, les muqueuses sont un peu rêches.
– Aïe !
– Comme tu dis, Aïe !
Après avoir fait nos besoins et avoir nagé un peu, nous remontons à bord.
– Bon, on prépare le bateau et on y va. Dis-je
Déjà ? On ne va quand même pas se quitter comme çà, pas après ce qu’on vient de vivre depuis deux jours. Demande Lucie.
– Ne t’inquiètes pas, Lucie, lui répond Pierre, on a au moins 6 heures de navigation avant d’arriver.
– Ha, bon ! J’aime mieux çà.
Une fois le cockpit rangé des reliefs du petit déjeuner, je mets le moteur en route. Nous sommes parés, Pierre va à l’avant remonter l’ancre. Je fais demi-tour et face au vent, nous envoyons les voiles. Dès que le bateau a prit un peu de vitesse, je coupe le moteur, et le silence nous enveloppe, seul le chuintement de l’eau sur la coque trouble le silence ambiant. Les filles remontent du carré, nues, une serviette à la main et vont s’allonger sur la plage arrière. Je me retourne pour les regarder et mes yeux se posent sur deux belles paires de fesses rebondies, prolongées par les fuseaux harmonieux de leurs jambes légèrement entre-ouvertes. Beau spectacle en vérité, j’ai du mal à regarder devant moi !
Comme il n’y a plus grand chose à faire sinon tenir la barre, Pierre et Yann les imitent, mais eux s’allongent sur les coussins du cockpit. Sont sur le dos et le spectacle n’est pas tout à fait le même. Deux bites flasques, l’une deux fois plus grande que l’autre, masquant partiellement deux paires de couilles pendantes presque jusqu’à l’anus. Et moi je reste comme un con derrière ma roue à barrer le bateau. Une fois passé le phare des baleines, je mets le pilote et, retirant mes vêtements, je rejoins les filles à l’arrière. Elles sont de côté, appuyées sur un coude et se caressent langoureusement les fesses tout en discutant. J’entends Alice proposer à Lucie de venir à la maison le temps qu’ils se trouvent une chambre pour le reste de leurs vacances.
– Alors les filles, j’arrive à temps, qu’est-ce que vous complotez ?
– Rien du tout, me dit Alice, je disais à Lucie qu’ils pourraient loger chez nous le temps de trouver une chambre d’hôtel. Elle me dit qu’ils vont terminer leurs vacances à Pornichet.
– Je n’ai rien contre. Chez nous aussi on a des plages naturistes.
– Oui, je sais, dit Alice, on avait vu çà sur internet.
– Par contre, trouver une chambre d’hôtel risque de ne pas être simple. Vous pourriez loger à bord, si on n’en trouve pas.
Tout en discutant, je me suis glissé entre elles. Leurs mains ne caressent plus leurs fesses, mais les miennes. Elles remontent le long de mon dos, redescendent, remontent… de façon négligée, un peu comme sur une plage, on prend une poignée de sable qu’on laisse s’écouler entre ses doigts. La différence, c’est que le sable ne bronche pas ! Moi, je ne suis pas insensible aux caresses :
– Vous commencez à m’exciter, les filles, avec vos agaceries.
– Retournes-toi et montre comment tu es excité, me dit Alice.
Je me retourne et leur montre mon début d’érection. Elles reprennent leurs caresses, au même rythme et avec la même nonchalance. Mon sexe durcit et bat sur mon ventre. Lucie le prend en main, Alice elle, s’occupe de mes couilles. Et les voilà qui me branlent et me malaxent les couilles, et toujours avec la même attitude, comme elles joueraient à se tortiller une mèche de cheveux du bout des doigts. C’est agaçant et très excitant. Je ne les vois pas, j’ai le soleil dans les yeux, mais je sens leur connivence. Lucie se relève et enveloppe ma queue avec sa bouche, alors qu’Alice, elle, vient s’asseoir sur ma bouche. Nous nous trouvons dans une position de 69, mais à trois ! J e m’applique à lécher avec application la fente qui me surplombe, je suce du bout des lèvres le clito, joliment engoncé dans le fourreau bombé que surmonte les lèvres gonflées, y applique ma langue. La vulve commence à s’enduire de son nectar, c’est délicieux.
Pendant ce temps, Lucie s’applique à aspirer, lécher le gland cramoisi. Je relève et écarte les jambes et elle peut ainsi me malaxer le sac fertile d’une main experte. Que c’est bon !
Du fait de notre position, Alice peut également s’occuper de sa copine. Ainsi personne n’est en reste. Elle la masturbe habilement, dans des mouvements d’avant en arrière et insérant, au passage, un doigt dans la chatte puis deux lorsque le plaisir commence à monter et que la vulve commence à se dilater. Je suis toujours surpris de la vitesse à laquelle ces deux femmes jouissent. Alice, je la connais depuis 10 ans, je sais qu’elle peut avoir trois, voire quatre orgasmes en moins de 5 minutes, je pensais que c’était un cas, mais je vois que c’est la même chose pour Lucie. Là encore, les prémices sonores de leur orgasme se font entendre très vite et elles explosent quasi simultanément ;
Je sens les fesses de Lucie, qui s’est assise pour bloquer le mouvement d’Alice, trembler sur mon ventre au moment de la décharge exquise. Alice m’abreuve de son foutre qui coule à flots et d’un mouvement en avant du bassin, se retire de ma bouche. Je me retrouve avec son bel œillet devant la bouche, je continue donc de m’occuper d’elle, mais derrière cette fois en lui faisant une feuille de rose. Et elle aime çà, la bougresse ! J’insinue ma langue et lui applique des va-et-vient qui allongent la durée de la transe. Tout son corps frémit puis se relâche d’un coup. Lucie s’avance vers mes pieds et absorbe mon vît brûlant dans sa chatte accueillante. Elle m’attrape les chevilles et reste ainsi, sans bouger, quelques instants profitant pleinement de la pénétration, malaxant ma queue raide et gonflée de ses muscles vaginaux. J’ai envie que ce moment perdure, qu’il devienne éternel tant le plaisir est grand.
Pierre et Yann, sortis de leur somnolence par les gémissements des filles, s’approchent de nous. Yann nous contourne et, s’agenouillant derrière Alice, présente sa verge à l’anus gourmand. Alice, qui ne demande que çà tend ses fesses et le gland est très vite absorbé, suivi de la hampe qui s’enfonce jusqu’à la garde. Cette vision féerique m’enchante et me transporte, j’ai envie de jouir et en même temps que çà ne s’arrête pas ! Je souffle, détend mes muscles afin de pouvoir prolonger cette extase. Faute d’accès disponible, Pierre se contente de se faire sucer par Lucie. Mais la gourmande se relève et lui offre, en l’accompagnant de la main l’entrée de la chatte que j’occupe déjà. Elle est trempée, dilatée à souhaits, aussi sa grosse verge se fraye assez facilement un passage en glissant le long de ma queue. Cette double intrusion provoque à Lucie une décharge orgasmique puissante, elle se pâme, mais appelle au mouvement.
– Vas-y, Pierre, vas-y, défonce moi, c’est bon, ho, ouiiiii, c’est bon, baisez-moi, baisez-moi !
Pourquoi refuserions-nous d’obéir ? Nous voilà donc, une fois de plus ensemble, mais pas dans la même femme (notre dernière double vaginale était pour Alice), synchrones allant et venant dans un fourreau qui semble fait pour nous. L’intensité de la scène est immense. D’un côté j’ai l’image : Yann défonce Alice, obéissant à ses injonctions, ses couilles claquant sur la chatte à chaque pénétration, de l’autre la sensation, la verge de Pierre coulissant le long de la mienne, me fait une sorte de masturbation. C’est Divin !
Une fois de plus, ce sont Lucie et Alice qui par leur orgasme déclenchent la réaction en chaîne.
Yann décule, se déplace et tend sa bite à Alice qui le termine avec la bouche, avalant tout ce qu’elle peut, et se délectant du nectar.
Puis, Pierre ressort également, m’entraînant avec lui, et décharge sur les seins de Lucie qui se badigeonne comme elle le ferait avec une crème à bronzer. Je ne peux pas bouger, aussi c’est Pierre qui m’astique le manche et me fait jouir, mon spasme fait gicler mon sperme comme un geyser.
Quel début de journée !
Tout le monde se relève, moi en dernier et pour cause ! Et, en me mettant debout, mon regard atterré accroche la vision d’un voilier que nous dépassons, à environ 200 mètres sous notre vent. Une femme, assise, seins nus, sur le roof, tient une paire de jumelles à la main ; un homme, le visage tourné vers nous, tient la barre. Ils nous font signe avec de grands gestes, et nous leur rendons leur salut, politesse de mer oblige. Ils n’ont assurément rien manqué du spectacle ! Pierre et moi nous regardons, nous connaissons le bateau ! Je blêmis, j’ai une boule au ventre. Alice, qui le remarque, me demande :
– Qu’est-ce qui se passe, tu as vu un fantôme ?
– Non, nous dépassons le bateau du Dr R.
– Merde !
– Qu’est-ce qui se passe ? Demande Lucie
– On vient de saluer notre toubib, lui répond Alice.
– Ha, oui, quand même !
C’est décidément un week-end fort en émotions en tous genres ! Je tombe littéralement sur les coussins du cockpit, et tout le monde m’imite. J’ai besoin de souffler, de récupérer, de réfléchir à après, lorsque nous serons au port et que nous nous croiserons sur les pontons. Yann nous prépare des Ti’punch et allume la sono du bord, histoire de dédramatiser la situation et remettre l’ambiance, tombée d’un coup. Après quelques verres, l’alcool faisant son effet, la détente s’installe à nouveau, et nous plaisantons de la situation.
– Ce sont des amis à vous ?
– Non, mais on les connaît depuis pas mal de temps
– Disons que çà va être gênant de se déshabiller devant lui, quand on aura besoin d’une auscultation ! Plaisante Alice.
– T’imagine la scène si tu vas le voir pour des hémorroïdes ! Surenchérit Lucie
Tout le monde éclate de rire.
– Remarquez, ils ont peut-être apprécié la scène, dit Yann, madame avait les jumelles à la main tout de même !
– Çà se trouve, elle en est toute excitée et tanne son mari pour qu’il la culbute sur le pont.
– Oui, mais si elle veut la même chose que ce qu’elle a vu, il va avoir du mal, tout seul !
– Déconnez pas, ils ont 50 balais ces gens là
– Hé, justement ! Ils font peut-être plus l’amour que dans un plumard en position du missionnaire !
La conversation continue sur ce ton, pendant encore un bon moment, le temps que le repas, préparé à 10 mains, soit prêt. Le repas se déroule dans la joie et la bonne humeur retrouvée.
– Bon maintenant, on va essayer de faire un peu plus attention, Dis-je. On n’est pas obligés d’arborer un étendard en haut du mât pour signaler que notre voilier est un lupanar !
à suivre
Ah, si j’avais un yacht !
Une très chaude partouze maritime qui donne envie de participer
J’aime bien cette saga qui réveille ma bisexualité latente
Petite question pour avoir un avis sur la pratique de la double penetration vaginale evoquée ici ? est elle repandu ? je ne te cache pas ma curiosité naissante pour cette experience. comment puis je trouver des temoignages ?
merci d’avance
Franck
Disons que c’est d’abord un truc de partouzeurs, ça se fait, mais comme ça manque à mon expérience personnelle et que je ne suis pas vraiment pressé de l’expérimenter, je ne peux, hélas pas en dire grand chose. C’est techniquement pas trop compliqué, la femme soit se mettre en sandwich comme pour la double classique, après il doit falloir synchroniser. Ça me paraît quand même bien anecdotique, c’est un peu la performance pour la performance.
Voilà