Une sortie en mer 8 – Le Repos – le gage par Lovelace

Une sortie en mer
8 – Le Repos – le gage
par Lovelace

Il est 8 heures, ce samedi matin, quand j’émerge d’un lourd sommeil. Je me glisse doucement hors de la couchette, Alice dort à points fermés. Je me lave les dents et file dans le carré préparer du café. Le temps qu’il coule, je monte sur le pont, pour préparer la table du petit déjeuner.

Je passe dans le cockpit, m’étire et remarque tout de suite une absence : le bateau de nos amis d’un soir n’est plus là. Ils ont dû partir assez tôt, surtout qu’ils avaient une longue route à faire aujourd’hui puisqu’ils avaient pour objectif de rejoindre, dimanche, La Corogne, au nord de l’Espagne.

Je sors la table de son logement, mets de l’ordre dans les coussins, certains tachés, rappellent les souvenirs de l’orgie d’hier soir.

Le soleil tape déjà et j’installe le taud afin que nous déjeunions à l’ombre. Je descends chercher tout ce qu’il faut, bols, beurre, confiture, etc. et remonte avec le café qui a fini de couler. Ce premier Mug de café me fait le plus grand bien et fini de me mettre les idées en place.

Une demi-heure plus tard apparaît mon ami Pierre, frais comme un gardon, souriant.

– Tiens, ils sont partis ? – lui aussi c’est la première chose qu’il a vu en sortant
– Oui, ils avaient une bonne quinzaine d’heures de nav à se taper aujourd’hui.
– Ils étaient bien sympas en tout cas. Les deux petits jeunes, tu crois qu’ils vont virer pédés ? demande-t-il en souriant.
– Ce serait le comble ! On les invite à partouzer et ils repartent amants !
– As-tu fait des toasts, me demande t’il pour changer de sujet
– Non j’ai pris des navettes.
– Ok, je descends en faire.

A neuf heures, branle-bas de combat, tout le monde émerge en même temps. Yann d’abord puis Lucie et enfin Alice. Lucie n’est vêtue que d’un tee-shirt, ce qui la rend très sexy. Alice, quant à elle porte un petit short, mais le débardeur qu’elle a mit sur elle, est suffisamment échancré sous les bras, pour laisser voir ses seins à chaque mouvement de bras :

– Bravo les filles ! A peine levée et déjà provoc. Lancé-je
– Tu n’as qu’à regarder ailleurs, me rétorque Lucie. Comment tu vas Alice ?
– Je suis rompue. Je peux à peine m’asseoir avec ce que tu m’as fait subir hier. Tu ne te rends pas compte !
– Ho, si ! Contrairement à toi, moi j’ai pu contempler mon œuvre et c’était Dantesque !
– Je veux bien le croire, moi aussi j’aurai aimé voir çà.
– Et bien, sois contente, lui dit Pierre, tu vas pouvoir t’admirer, j’ai tout filmé, depuis le retour de la plage jusqu’au départ au resto.
– Comment t’as fait, on ne t’a jamais vu avec une caméra. J’ai installé la votre sur la bôme et j’utilisai la mienne à la main quand vous étiez très occupés.
– Enorme ! Ça c’est super ! On va se faire des copies et les garder en souvenir. Quel week-end mes enfants ! s’exclame Yann.
– Il n’est pas fini, le week-end. Du reste, ce matin vous allez donner congé à votre hôtel et après on lève l’ancre, d’accord ?
– D’accord, Bernard, ce plan me va, me répond Lucie. On mange et on y va.
– En tout cas, dit Pierre, aujourd’hui, ce sera repos en ce qui me concerne.
– Pour moi aussi ; j’ai les couilles en bouillie et le gland tout enflammé à force de ramoner des conduits pleins de bactéries ! Le cul c’est bon, mais malgré tout ce qu’on peut y mettre c’est plus sec qu’une chatte.
– Moi aussi, j’ai besoin de repos, surenchérit Alice. Il faut que mon matériel reprenne sa forme initiale ; je suis encore distendue, je le sens. Je suis pas sûre de pouvoir me retenir si j’ai envie d’aller aux toilettes !
– Oui, surtout que tu as continué à te faire enculer toute la soirée en plus de ton gage.
– C’est plus fort que moi, j’adore çà !
– Je comprends, dit Lucie, depuis hier, je ne me suis jamais autant fait sodomiser et je dois dire que plus je le fais, plus j’aime çà. D’ailleurs j’aimerai essayer de trouver la limite, comme Alice hier, tant devant que derrière.
– Et bien écoute, si tu es en forme, nous on se contentera de te tester avec des ersatz de sexes, mais c’est sûr ce sera sans nos bites !
– Bon, coupe Yann, on verra çà plus tard. Pour l’instant, on va régler l’hôtel.

Pierre prend l’annexe et les emmène à terre pour les ramener une demi-heure après avec leurs bagages.
– On n’avait pas fait attention, mais ils sont partis, nos copains d’hier soir, annonce Yann
– Tiens, c’est vrai çà, on saura pas comment vont nos deux nouveaux pédés, annonce Lucie
– Arrête, c’est pas parce qu’on les a sensibilisés à la bisexualité qu’ils sont devenus pédés, réponds-je
– Moi, dit Alice, je rejoins Lucie ; ils se sont découvert et ils se pacseront avant l’hiver !
– Pierre a apparemment le même sentiment, dis-je.
– C’est évident, mon chéri, tu n’as pas remarqué comme ils se sont trouvés dans la soirée ? Et en plus, c’est toi qui les y as aidés.
– Bof, après tout, on s’en fout, c’est leur problème, pas le notre.
– Et c’est quoi le notre ? demande Pierre
– Puisque c’est une journée de repos pour Alice, Bernard et toi, et que Yann hésite entre vous rejoindre dans cette phase de repos, c’est moi, le problème !
– Et qu’est-ce qui te ferait plaisir ?
– J’aime le jeu, j’ai envie de jouer.
– A quoi ? demande Yann
– Ho, tes petits jeux de société, sans conséquence. Alice a pu, hier se faire enfiler une cartouche de 30cm de long et de 29cm de périmètre, j’ai mesuré ! Et ce dans le cul. Je veux savoir si je peux en faire autant ! Et puis j’aimerai vous mesurer aussi, bref, des petites choses comme çà.
– Ce qui compte, c’est pas la mesure, c’est ce que çà te procure comme satisfaction qui compte, lui dit Alice
– On est d’accord, je souhaite allier les deux !
– Bon, mais d’abord, on quitte les lieux et on remonte sur Ré. C’est pas loin et çà nous fera du bien de prendre l’air.

Sur ce, on se prépare à partir, et une demi-heure plus tard, nous voilà en route, toutes voiles dehors en direction de Ars en ré. Une petite navigation tranquille, facile reposante. Les filles ont profité de la pleine mer pour s’étaler, nues sur la plage arrière. Nous avons pu admirer leur plastique de face et de dos. Elles ont été sages en dehors des caresses qu’elles se sont prodiguées en se passant de l’huile solaire sur le corps et des quelques bouche à bouche qui leurs ont succédé. Elles ne peuvent pas se caresser sans faire monter la pression. Nous les arrosons de temps en temps avec la douche de pont, ce qui provoque des petits cris, et finit en bataille d’eau.

Arrivés, nous jetons l’ancre devant Ars et décidons de mettre pied à terre, pour faire quelques courses. Au marché, nous achetons des légumes pour nos salades et dès qu’ils ont une forme suggestive, nos femmes ne peuvent s’empêcher de se regarder avec des sourires de connivence et des airs entendus.

De retour au bateau le panier est vidé et qu’y a t’il dedans ? Carottes pour la salade de carottes râpées ! Courgettes, pour un gratin ! Concombres bien sûr, pour les crudités ! Aubergines, pour la moussaka ! Pour notre part, nous avons acheté de quoi renouveler la cave qui en a pris un coup hier. Nous nous installons dans le cockpit et nous préparons notre EPO (eau, pastis, olives) pendant qu’elles sont à la cuisine. Un fois les préparations terminées elles nous rejoignent.

– Les gars, j’aimerai savoir ce que je me suis pris, hier, nous dit Lucie, j’ai un mètre souple, je voudrai mesurer (décidément, elle est attachée aux mensurations !)
– Si çà t’amuse, lui dis-je en souriant, mais sans conteste, le vainqueur si classement il y a est Pierre, alors !
– On va le faire sous forme de jeu, avec des gages et des récompenses, surenchérit-elle.
– Les gages, on a vu ce que çà donnait quand tu gagnais, très peu pour moi, dit Pierre.
– On va pas faire la même chose tous les jours.
– Vous allez écrire sur une feuille de papier, les mensurations que vous pensez être les vôtres et celles de vos compagnons, et Alice et moi, allons les vérifier. Nous vous récompenserons selon vos souhaits à chaque bonne réponse.
– D’abord, dit Alice, on commence par la longueur au repos de votre chibre.

Nous jouons le jeu et écrivons les chiffres qui nous semblent être les bons.

– Maintenant, la longueur en érection. Le périmètre en érection au plus gros de la hampe, la longueur du gland et son périmètre au plus fort de l’érection. Allez, Bernard, annonce tes chiffres
– Je dirai que Yann et moi avons le même sexe à quelque chose près soit environ 9cm au repos, 16cm en érection, le périmètre, c’est le plus difficile, mais je dirai 10cm au milieu et 11cm pour le gland. Quant à Pierre, à vue de nez 17cm au repos, 14cm de périmètre pour la hampe et 16cm pour le gland et une longueur développée de 22cm.

Chacun de nous s’exécute, Alice notant consciencieusement toutes les données.

– Maintenant on va vérifier vos dires, annonce Lucie. Aller Alice au boulot

Nous baissons nos shorts et Alice, avec un mètre de couturière, mesure les membres. Mais pour mesurer le développement, il faut évidemment passer à un autre jeu. Me souvenant de l’anecdote d’hier, je fais un tour d’horizon des bateaux mouillés dans le coin ; il n’y en a pas de proches ou dans un azimut leur permettant de voir notre cockpit, je laisse donc les filles œuvrer. Elles nous astiquent à tour de rôle, jusqu’à obtenir une érection optimale et Alice mesure immédiatement avant que çà puisse retomber.

Le verdict tombe peu après :

– Pour la longueur au repos, c’est Bernard le plus proche, à un demi-centimètre près pour Yann. Pour la longueur en érection, le plus près est encore Bernard, mais erreur de 3cm sur la queue de Pierre qui fait 25cm et non 22cm. Pour les périmètres, c’est Pierre le plus près pour les hampes bravo avec 11cm pour Yann et Bernard et pile 14cm pour Pierre, mais pour les glands, les gars, vous n’êtes pas bons : c’est 11 pour Yann, 13 pour Bernard et 16 pour Pierre.
– C’est ce que j’ai dit, fais-je remarquer.
– Non, tu as dit 11 pour ton gland me répond Lucie. Le plus près sur les mesures de périmètres reste Pierre.

Les vainqueurs sont donc Pierre et moi, Yann est le grand perdant. Nous soufflons de satisfaction d’échapper à un gage quelconque, venant de Lucie, on se méfie.

– les vainqueurs auront droit à des massages prodigués par Alice et moi, le perdant, on lui annoncera au dessert quel sera son gage.
– C’est dur, les filles, je vais stresser tout le long du repas, dit Yann.

Nous nous mettons à table et les filles nous servent après s’être changées et nous reviennent seulement vêtues d’un tee-shirt long, totalement redécoupé par leurs soins, laissant apparaître les mamelons, les fesses et le sexe. C’est assez sexy et on a du mal à regarder ailleurs.
Après le repas qui s’est terminé par un banana Split ! Nous sirotons notre café avec l’idée de faire une petite sieste. Yann préfère descendre, Pierre et moi nous allongeons sur les coussins, protégés par le taud. Les filles, qui n’ont pas envie de se reposer, partent faire un tour à terre. Deux heures après, nous sommes réveillés par l’abordage un peu brutal de l’annexe. Nos femmes réapparaissent, souriantes. Qu’on-t-elles encore pu bien faire, me demandé-je.

– Alors les p’tits loups, reposés ? Demande Lucie.
– Çà va beaucoup mieux, dis-je. Je suis en pleine forme maintenant.
– Çà se voit ! Me dit Alice, qui remarque la bosse de mon short.
– J’ai du faire un rêve érotique, réponds-je.
– Raconte !
– Je ne m’en souviens pas, mais il devait être bien !
– Tu as vu, il y a plein de monde d’arrivé, me dit Alice

Effectivement, la mer est jonchée de voiliers, ancrés autour de nous.

– Il va être difficile de réitérer nos exploits d’Oléron ici ! dit Pierre
– On se mettra à l’intérieur, dit Lucie, ils auront peut-être le son, mais pas l’image !
– Même le son, il faudra l’éviter, c’est assez familial comme mouillage, et pas mal d’embarcations comptent des enfants à bord.
– Et si on allait ailleurs ? demande Alice
– Je veux bien mais où ?

Je descends chercher une carte de l’île, pour chercher un autre mouillage susceptible d’être plus tranquille. Çà ne sera pas simple en ce beau et long week-end de 15 août ; tous ceux qui ont une coque en ont profité pour sortir.

Nous décidons donc de nous déplacer et trouvons devant la passe, un mouillage plus tranquille.

A peine en place, les filles décident de nous faire bénéficier de notre récompense, suite au jeu.
Elles nous demandent de nous déshabiller et de nous allonger sur le ventre, et commencent à nous prodiguer un super massage. Lucie à cheval sur mes reins, commence par me détendre au niveau des épaules et du cou, puis le long de la colonne vertébrale, en utilisant une huile de massage qu’elles ont achetée lors de leur escapade à terre. Elle se déplace vers mes pieds, s’assois au niveau de mes genoux et continue son massage au niveau de mes reins, des fesses, en n’oubliant pas de s’insinuer dans la raie. Un massage très appliqué de ma rondelle (pour l’assouplir), sans oublier d’y insérer un doigt, histoire de m’exciter un peu. Elle descend le long des cuisses, jusqu’aux pieds, mais ne peut s’empêcher de remonter vers mon cul et de recommencer son massage anal. L’effet qu’elle escomptait ne se fait pas attendre, je sens mon sexe se tendre, mais elle ne le voit pas car il est remonté sur mon ventre. Par contre, elle n’oublie pas mes couilles très détendues tant par la chaleur que le repos.

Après quelques minutes de ce traitement, elle me demande de me retourner afin de continuer son massage, de face. Je prends une grande goulée d’air afin de me décontracter et ne pas montrer mon érection naissante et m’exécute. Ma queue est à demi tendue, mais Lucie fait celle qui n’a rien vu – ou bien le fait-elle exprès. Elle m’applique sur les yeux un linge humide et parfumé. Cette fois le massage démarre des pieds. C’est vraiment agréable ; elle remonte lentement le long des jambes, s’attarde sur les cuisses, les écarte légèrement, pour bien en masser l’intérieur. Arrivée au niveau des aines, mes couilles ont droit à un traitement de faveur. Le massage est appliqué, plus long que nécessaire, mais est-ce surprenant ?

Contrairement à ce à quoi je m’attendais, elle ne touche pas à mon sexe. Elle le contourne, remonte sur le ventre, le torse, les flancs. Elle remonte au fur et à mesure de son massage et d’un coup, surprise, alors qu’elle a le bas ventre sur le mien, elle s’imprime un mouvement vers le bas et avale ma verge avec sa chatte bien lubrifiée. Elle ne bouge pas, mais utilise ses muscles vaginaux pour masser ma queue, tout en continuant, avec ses mains, de me masser la poitrine. Je respecte le jeu et me retiens de bouger. Je sens très bien ses muscles me presser et je sens monter une chaleur d’excitation un peu partout autour de mes parties génitales. Des frissons me parcourent le corps, et je finis par ne plus rien retenir et lâche d’un coup tout mon sperme.

– Que c’est bon, souffle Lucie, qui a senti la chaleur de ma semence, se répandre en elle
– Hummmm ! Oh, oui ! Et quelle douceur. J’ai l’impression de flotter, tant je me sens léger.

J’enlève le linge qui me masquait les yeux et m’apparaît le visage de Lucie, éclairé par un grand sourire montrant ses belles dents blanches.

Je tourne la tête et me rends compte que Pierre a subit exactement le même traitement que moi, Alice est dans la même position que Lucie. Elle se relève lentement, et j’ai la vision de la queue de Pierre qui n’en finit plus de s’extraire d’Alice !

Alice arrête son mouvement ascensionnel et, seul le gland de Pierre, reste planté au bord des lèvres qui retiennent la colonne de chair érigée. Mais, tout ayant une fin, le centimètre qui le reliait encore se rétracte et la queue ramollie retombe sur son ventre, accompagnée d’un filet de sperme qui s’écoule de la chatte de ma femme. Alice arbore, elle aussi, un sourire de grande satisfaction. Elles se regardent et nous quittent en même temps. Elles avaient bien préparé leur ballet, leur coordination a été totale, du début à la fin du massage. Elles se rejoignent au centre du cockpit et s’embrassent goulûment, mélangeant leurs langues agiles, tout en se caressant très sensuellement. Quel spectacle féerique !

Nous nous relevons également, nos corps luisants d’huile de massage et décidons de compléter cette séance, par un bain tonique. Nous plongeons dans l’eau fraîche, effectuons quelques brasses et revenons vers la plate-forme arrière du bateau. Les filles nous ont imités et nagent autour de nous. Nous sommes entièrement nus, la sensation de liberté est totale. J’ai toujours beaucoup aimé nager nu, le contact de l’eau sur les zones les plus sensibles du corps est très sensuel. Quand nous revenons à bord, Yann est dans le cockpit, un verre de thé glacé à la main :

– Vous en voulez ? Propose-t-il
– Avec plaisir, oui.

Il nous sert et nous buvons debout dans le cockpit. Nous sommes tous nus comme des vers, sauf Yann qui porte un short et un tee-shirt.

– Pour un nudiste, c’est le comble, dis-je en riant.
– Tu as raison, répond t’il en retirant ses vêtements et se retrouve dans le même état que nous, plus vite qu’il n’a fallu pour le dire !

Je ne peux m’empêcher, en nous voyant tous à poil sur le pont, de faire un tour d’horizon pour être sûr que personne ne nous épie ; j’ai dû être traumatisé par l’anecdote d’hier soir ! Yann lui, ne se pose pas la question, il s’approche du bord et plonge dans l’eau limpide. Pendant qu’il se baigne, nous enlevons le taud de soleil et rangeons la table de cockpit dans son logement. Je propose que nous nous douchions sur le pont pour nous dessaler. Quand Yann remonte, nous sommes tous ensavonnés ; il prend alors la douchette de la douche de pont et nous arrose. Lucie a alors une idée :

– Eh les gars, à part Bernard, qui s’épile l’essentiel, vous êtes velus comme des singes. Si on vous enlevait tout çà ?
– Tiens c’est vrai se sera drôle.
– Je vais chercher ce qu’il faut, dit Alice.

Elle remonte avec une crème épilatoire pour peaux sensibles. Ensemble, avec Lucie, elles nous badigeonnent les jambes, les fesses, le torse, le dos, bref partout où il y a du poil, sauf les bras. Nous ressemblons à des mannequins de cire, enrobés dans cette crème.

– Il faut garder çà 5 minutes et ensuite, on rince. Dit Alice.
– Ça chauffe un peu ton truc, dit Pierre.
– Oui, un peu, mais après tu verras tu seras tout beau et tout lisse.

Les minutes passent et enfin arrive le moment de la délivrance. Elles nous arrosent en frottant la peau et nous découvrons, les uns après les autres nos corps devenus glabres. C’est beaucoup mieux qu’avant sans conteste. Les sexes de Pierre et de Yann se voient mieux, surtout celui de Pierre qui semble encore plus grand ! On se re-savonne, et se re-douche et nous voilà tous frais tous beaux !

On se laisse sécher au soleil, une bonne demi-heure, calmement, seules Alice et Lucie discutent entre elles. Elles cherchent une idée pour le gage de Yann.

– Et si son gage c’était de faire ceinture ce soir ? Demande Lucie
– Tu es folle, c’est nous que çà risque de priver !
– Oui, tu as raison. Et si on lui attachait des poids aux couilles, pendant une heure ? Et pendant ce temps là, il serait notre serviteur
– Ça, ça peut être drôle. On y va.
– Je vais chercher ce qu’il faut dans l’atelier. Dit Alice.

Elle revient quelques minutes plus tard, munies de gueuses de plomb qui servent à lester ma ceinture de plongée et de cordelettes.

– Yann, viens ici ! Ordonne Lucie. On va t’infliger ton gage.
– Déjà ? Demande celui-ci, je pensais que ce serait pour ce soir !
– Hé, non ! C’est maintenant. Mets-toi debout devant nous.

Alice soupèse les bourses, tire un peu sur la peau du prépuce pour en estimer la souplesse et laisse la place à Lucie. Celle-ci attache une cordelette à la base des couilles et y suspend une gueuse de 500 grammes. Elle estime que ce n’est pas suffisant et en ajoute une deuxième. Les couilles ainsi lestées s’allongent comme prévu. Mais elle ne s’arrête pas là. Un nœud coulant bien serré sur la peau dépassant le gland après avoir été étirée par Alice, elle ajoute encore une gueuse, ce qui étire aussi la queue. Le voilà donc lesté de 2 kilos de plomb, un pour les couilles et un pour le sexe.

– Tu vas garder çà jusqu’à ce qu’on ait fini l’apéro. Lui dit Lucie.
– Çà tire pas mal, dit Yann.
– C’est fait pour, répond Alice.

Il essaye de se déplacer, mais a peur de trop faire balancer les poids et d’avoir mal. Il marche comme sur des œufs.

– Maintenant, tu vas nous chercher à boire, demande Lucie. Ramène-nous deux thés glacés.
– Vous voulez quelque chose les gars ? Nous demande-t-elle
– Oui, deux thés nous aussi, merci. Réponds-je, amusé par la situation.

Jusqu’à l’heure de l’apéro, nous ne cessons de lui demander de nous apporter des trucs pour l’obliger à se déplacer et nous amuser de voir se balancer la masse entre ses jambes et voir ses attributs étirés, totalement distendus !

Nous décidons d’arrêter son supplice en commandant l’apéro assez tôt. Les filles le libèrent des poids, mais sa peau ne reprend pas sa place tout de suite, normal vu l’étirement subi, et on s’amuse encore plus de voir son service trois pièce tout distendu, pendouiller entre ses jambes.

– Après, il faudra vous occuper de moi, dit Lucie. Hier on a parlé de capacités d’absorption et je voudrais vraiment connaître mes limites.
– Ok, on s’y mettra après avoir bu un coup, c’est plus facile quand on est un peu allumés. Dit Pierre. Mais tu auras du mal à faire aussi bien qu’Alice, elle a de l’entraînement.
– On verra bien. Je ne cherche pas spécialement à faire mieux, je veux juste savoir jusqu’où je peux aller.

A suivre

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Une réponse à Une sortie en mer 8 – Le Repos – le gage par Lovelace

  1. Darrigade dit :

    Ça partouze bien mais ça nous laisse un peu sur notre faim.

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