Une domina dans un trio hhf Découverte de la bisexualité par sexnotaboo

 

Une domina dans un trio hhf
Découverte de la bisexualité
par sexnotaboo


Je m’appelle François, j’ai 47 ans, sans être un apollon, on me dit très séduisant, et le fait est que je plais aux femmes.

Ma femme est très modérée dans sa vie sexuelle et j’avoue que j’ai régulièrement des aventures extra conjugales.

Depuis quelques temps je fantasmais de plus en plus sur une expérience de triolisme avec un couple… Bref, récemment je me suis mis à chercher des contacts sur des sites Internet de dialogue à caractères sexuels.

J’ai fini par établir un contact avec un couple de la région parisienne. Maurice, 42 ans et Laetitia 34 ans. Dès le début, Laetitia est très claire, elle cherche un homme à tendance bisexuelle, plutôt docile pour satisfaire son mari autant qu’elle-même. Oups !!! J’avais pas prévu ça, sans m’engager je garde le contact avec eux et je m aperçois que de penser à la proposition de Laetitia me fait bander et que malgré moi je me surprends souvent à imaginer la bite de son mec juste devant mon visage. Après quelques hésitations de ma part, des échanges, de photos et quelques conversations téléphoniques, Je monte à Paris où après un premier contact extérieur, ils m’invitent chez eux.

Le jour « J », lorsque je me présente, Laetitia m’accueille vêtue très court en cuir rouge et noir. Dès le début elle se montre très allumeuse. Je sais pourquoi je suis là, mais malgré tout, de nature plutôt timide, je me sens un peu gêné surtout lorsque j’aperçois son mari. Maurice est un beau black 1m80 environ, mince et musclé. Laetitia est une superbe femme, blonde, 1m72, 60 kg, 95C, pulpeuse aux délicieuses formes généreuses, elle est totalement épilée. Très à l’aise, elle exécute un strip-tease à la fin duquel, elle s’exhibe les seins nus, en bas, porte jarretelles, et string-ficelle noirs assortis avec des cuissardes en cuir rouge à hauts talons

Son mari a déjà sorti son sexe et se caresse, c’est la première fois que je vois une bite noire, elle est énorme. Il m’invite à en faire autant, j’ai un peu honte et j’hésite, car mon sexe est nettement plus petit que le sien. Toutefois, j’obéis et c’est avec un léger sentiment d’humiliation que j’exhibe ma queue qui me semble ridicule à côté de la sienne. Laetitia s’avance vers moi et me demande de lui lécher la chatte pendant quelle suce son mari. Elle gémit malgré la bite énorme de son homme qui lui remplit la bouche, puis elle se dégage et nous demande de la prendre en sandwich.

« Toi avec ta petite bite prends-moi par derrière ! Mon mari me prendra par devant avec sa grosse queue » me dit-elle.

Puis me tournant le dos elle se cambre en écartant les fesses pour m’offrir sa rosette.

« Lèche un peu avant ! Vas-y d’abord avec ta langue pour me préparer ! »

Je m’agenouille et je lèche les plis bruns de son anus avant de la pénétrer avec ma langue. J’introduis un, puis deux doigts avant de me relever pour la sodomiser. Elle gémit, m’encourage et lorsque je suis enfoncé jusqu’à la garde elle se cambre en arrière en ouvrant largement les cuisses pour s’offrir à son mari. Je sens la bite énorme de Maurice pénétrer dans le sexe de sa femme et glisser contre le mien. Je suis tellement excité que je sens que je ne vais pas tarder à éjaculer. J’ai beau me concentrer, je sens mon plaisir monter irrémédiablement incapable de me retenir plus longtemps. Heureusement, après un cours moment de cette double pénétration, Laetitia se dégage, se positionne à quatre pattes devant son homme pour le sucer. Avant de le prendre en bouche elle me regarde et me dit

« Ça te dit une petite levrette ? »

Je lui fais oui d’un signe de tête

« Alors profites-en espèce de vieux cochon ! Prends-moi comme ça, j’adore cette position ! »

Je savoure un moment le plaisir visuel de sa croupe qu’elle agite pour m’exciter et je m’installe derrière elle et la pénètre dans cette position que j’adore également. Je ne peux pas m’empêcher de mater la bite de son mari qui entre et sort de sa bouche, Je suis fasciné par ce spectacle, qui réveille mon fantasme de fellation.

Elle se dégage à nouveau, se relève, me dit de rester à genoux et me présente sa moule à lécher pendant qu’elle embrasse son mari qui est debout sur ma gauche. Je sens le mouvement de la main de Laetitia, qui le branle juste à côté de moi. Je me sens ridicule et gêné, mais aussi très excité par la proximité de cette grosse bite raide à quelques centimètres seulement de mon visage. Laetitia se laisse alors glisser à genoux pour le sucer en me fixant droit dans les yeux. Avec un sourire vicieux, elle délaisse la queue de son mari pour m’embrasser, puis sans me quitter des yeux, elle recommence sa fellation.

A plusieurs reprises, elle alterne savamment les fellations qu’elle fait à son mari et les baisers qu’elle me donne. En m’embrassant, elle me caresse les cheveux et à la cinquième ou sixième reprise, je la sens qui exerce une pression sur ma nuque.

Surpris, je résiste, mais cette salope insiste en me fixant dans les yeux avec un sourire lubrique. Je suis très excité et c’est un peu malgré moi que je cède lentement à cette pression. La distance entre mon visage, et sa bouche occupée à sucer la queue de son mari diminue progressivement, 20 centimètres, puis 15, 10, 7 centimètres, puis 3 centimètres. La honte m’envahit, mais malgré tout, je bande, mon sexe est douloureusement tendu. Lorsque mes lèvres entrent en contact avec les siennes, elle se dégage, et tend ses lèvres vers moi pour m’embrasser. Lorsque nos bouches se rejoignent, Je sens la queue bien raide de Maurice se poser à la commissure de nos lèvres réunies.

Laetitia relâche légèrement la pression de son baiser et je sens la bite gonflée de son mari glisser lentement entre nos deux bouches collées. Très excité, je ne résiste plus, je me laisse guider docilement par Laetitia. Cette salope se retire soudainement en arrière, me tire ma nuque tout en guidant la queue de son mari vers ma bouche, alors que lui-même pousse en avant du bassin.

Cette manœuvre soudaine et finement réalisée dans un mouvement parfaitement synchronisé, ne me laisse aucune chance d’y échapper. Cette cochonne ne me laisse pas le choix ! Je sens la queue raide de son mari me pénétrer la bouche. Laetitia jubile et m’encourage par des commentaires salaces, humiliants, mais néanmoins très excitants

« OUIIII c’est bien ça ma salope ! Suce la bite de mon homme ! Je suis sûre que tu aimes ça ! Ca te fait bander grosse cochonne. Hein salope ? Dis-le que tu aimes ça ? Avoue que ça t’excite de sucer une grosse queue petite pédale ! »

En effet je suis très excité par la situation, malgré la honte, l’humiliation ressenties, je trouve cela très agréable en bouche et malgré moi je dois admettre que cela me plait immédiatement « hummmmmm ! »

Pendant ce temps là elle me lèche et me doigte l’anus, puis me suce la bite en me traitant de petite salope, de chienne, de pute, et elle dit à son mari. :

– « Huuummmmmm, il me plait bien ce petit cochon il ferait une bonne femelle déguisé avec mes dessous sexy »

Son mari s’excite de plus en plus dans ma bouche je sens son plaisir monter. Quelques lumières vives sur le côté, m’indiquent qu’elle prend des photos.

Maurice, jusque là silencieux, commence à gémir :

– « Hummm quelle suceuse, il me pompe trop bien ce pédé, il va me faire gicler ouiiii c’est trop bon ! hoooo hooooo… Tu sais qu’il suce mieux que toi ma chérie ? Quelle chienne je viiieens ouiiiiii . . . huuuuummmmmmm … »
Je sens les contractions annonciatrices de l’éjaculation, et je tente de me dégager, mais sans conviction car je suis trop excité.

Cependant, ma réaction a pour effet d’exciter encore plus Laetitia, qui me saisit et maintient ma tête sur la queue de son mari en criant :

-« Pas question de te retirer petite salope ! Tu vas téter jusqu’au bout ! Tu vas découvrir ce que ressens une femme quand tu éjacules dans sa bouche ! – Allez vas-y mon chéri ! vide-toi les couilles dans la bouche de cette petite pute ! Enfonce-toi bien à fond dans sa gorge pour lui faire avaler ton foutre ! Il le sait pas encore mais il va adorer ça ! »

En parlant elle me passe la main entre les cuisses et s’excite de plus belle en découvrant que je bande :

– « Regarde ! Chéri, Regarde ! Ça le fait bander de te sucer ! Ouiiiiiii vas y jute, éjacule dans sa bouche de chienne je lui tiens la tête pour qu’il avale ! Décharge bien dans sa bouche de suceuse ! Remplis lui la bouche de sperme »

Son excitation et ses commentaires humiliants m’excitent terriblement, je suce le sexe de son mari avec une telle ardeur, qu’il ne tarde pas à éjaculer.

Il se répand dans ma bouche, trop excité pour réfléchir, la tête maintenue par sa femme, je continue à le pomper. Lorsque je sens son plaisir jaillir, j’avale sans réticence le sperme épais et gluant qui s’écoule dans ma bouche. Après une petite pause Laetitia se déclare ravie de mon comportement docile et décide que je mérite une petite récompense, elle m’ordonne d’enfiler ses sous-vêtements de femme et me fait mettre à quatre pattes, devant son mari. Elle me lèche l’anus, sa langue me pénètre à plusieurs reprises, ensuite, je sens un doigt puis deux doigts entrer en moi.

A l’aide d’un gode fin elle me pénètre en douceur tout en me traitant de salope, de femelle, de pédale, de pédé, de trou à bites, et autres gentillesses du même style. Avec le gode, elle me prépare, elle le fait tourner, aller, venir en moi pour me dilater la rondelle. Excité malgré moi, je me cambre, je pousse en arrière pour l’accompagner dans ses mouvements. Son mari présente son sexe énorme devant mon visage.

Elle s’en empare, et le guide elle-même dans ma bouche en disant :

– « Oui ! C’est ça vas-y ! Suce salope ! Et salive bien, si tu veux que ça glisse en douceur dans ton petit trou de pucelle ! Tu vas voir comme c’est bon une grosse bite qui te fouille le fion ! Tu vas aimer ça ma salope je te le garantis ! Même qu’ensuite tu vas en redemander ! Je te sens bien toi ! Une bonne petite pute que tu es ! Seulement tu le sais pas encore ! Lorsqu’il va t’enfiler tu vas voir comme c’est bon de se faire enculer ! Allez tète mieux que ça petite salope ! C’est toi la femelle maintenant» me dit-elle très excitée.

Lorsque son mari est à nouveau bien raide, il sort de ma bouche. Elle m’ordonne de m’écarter moi-même les fesses. Je me retrouve à genoux, les fesses en l’air la poitrine posée sur le sol, j’écarte moi même mes fesses pour présenter ma rosette. A ce moment là, je me sens vulnérable, je me sens comme une femelle offerte, c’est une sensation étrange mais très excitante. Je sens mon anus palpiter et curieusement, monte en moi le désir d’être pénétrer. Elle saisit la queue raide de son homme et la guide vers ma rondelle palpitante.

Je sens le gland énorme exercer une pression de plus en plus forte. Une douleur vive de déchirure, de brûlure, m’arrache un petit cri lorsque le gland me pénètre.

Je me concentre pour ne pas me plaindre et je le sens qui s’enfonce en moi jusqu’à la garde. Je sens les larmes me monter aux yeux, je suis crispé, contracté et tendu comme un ressort par la douleur. Maurice reste un long moment immobile, et petit à petit je me détends. Je réalise que la douleur s’estompe lentement, laissant progressivement place à une sensation nouvelle étrange mais non désagréable.

Je constate que cette salope de Laetitia avait raison, je me sens femelle, et malgré moi je réalise que c’est assez agréable de se sentir rempli par une grosse bite bien raide. Je reste immobile, je sens les bourses de Maurice toucher les miennes, et c’est très excitant. Laetitia prend quelques photos, puis passe devant moi, s’assoit sur le bord du canapé et me présente sa moule trempée. Mon sexe pend entre mes jambes, tout mou, ce qui m’humilie d’avantage. Je suis fasciné par la vulve ouverte de Laetitia à portée de ma bouche et c’est au moment où je commence à la lui lécher que Maurice s’agite doucement dans mon cul. Je me raidis un peu car il réveille en moi la douleur de la pénétration. Cependant petit à petit, la brûlure initiale s’estompe et se change en une douce chaleur qui m’envahit inexorablement, je me surprends moi-même à épouser le rythme de cette pénétration qui devient de plus en plus agréable. Je me cambre et pousse en arrière comme une femelle s’offrant d’avantage au mâle qui le possède. Alors que je m’abandonne totalement, je sens mon sexe revenir à lui, se dresser, durcir avec une intensité inhabituelle et comme dans un rêve je m’entends dire :

« Hoooo Ouiiii c’est bon ouiii encore hummmm ouii vas-y défonce moi comme une femelle, je suis une grosse chienne en chaleur ! ouiiii Baise moi fort !»

Je me sens honteux, soumis, humilié, mais plus excité que jamais. Maurice me pistonne de plus en plus fort et je recommence à gémir, mais cette fois c’est de plaisir. Laetitia est toujours assise au bord du divan, elle me tient la tête coincée entre ses cuisses trempées j’étouffe littéralement. J’ai la bouche écrasée contre sa vulve chaude, et gluante. Je m’enfonce plus encore dans ce sexe de femme dégoulinant que je lèche avec ardeur, je la sens jouir en même temps que son mari qui me saisit par les hanches en s’enfonçant avec brutalité pour s’épancher plus profond en moi. Quand ils ont bien joui tous les deux, après un moment de récupération, Laetitia se couche sur le dos écartant largement les cuisses en me regardant droit dans les yeux :

– « Allez salope à ton tour de jouir ! Tu l’as bien mérité ! Baise moi fort tu m’as tellement excitée que j’ai pris un pied d’enfer vas-y ! Baise-moi fort ! Défonce-moi ! J’ai encore envie de jouir »

Je ne me fais pas prier, car elle est très belle et je suis tellement excité que mon sexe en est douloureux. Je la pénètre sans douceur je la lime avec fureur pressé de jouir en elle. Mais lorsque je suis sur le point de jouir, elle me repousse et me dit

« Doucement tu ne crois quand même pas que tu vas éjaculer en moi ? Finis toi en te masturbant et éjacule sur mes seins ! »

Sur le point d’exploser je me sens brimer humilier mais je m’exécute docilement et après quelques va et vient à la main je gicle sur sa magnifique poitrine en grognant de plaisir.

« C’est ça mon cochon vas-y jute sur ma poitrine, décharge bien salope vide toi les couilles bien à fond ! Là ça y est ? Ouiii maintenant lèche bien mes seins et suce mes tétons gluants de sperme ! »

Avoir réalisé ce fantasme a complètement changé ma manière de voir les choses dans le domaine du sexe et je ne regrette qu’une seule chose, c’est d’avoir tant hésité avant de franchir le pas.

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4 réponses à Une domina dans un trio hhf Découverte de la bisexualité par sexnotaboo

  1. Padey dit :

    Du direct à la soupe, mais ça excite bien le machin

  2. Muller dit :

    C’est très décevant ! Bien sûr ça peut se lire, mais en matière de récit bisexuel, il y a tellement mieux à lire sur ce site !

  3. Enzel dit :

    Les auteurs de Gonzo sont tous un peu pareil. L’amorce est courte et n’est là que parce qu’il en faut bien une, puis l’action commence sans préambule, même pas un petit apéro ?) puis ça s’emballe, ça ne se contrôle plus et ça dégringole dans la surenchère et la coprolalie. Alors en lire un de temps en temps, pourquoi pas, mais on peut préférer autre chose. Et puis messieurs les auteurs de Gonzo, une question, pourquoi ne relisez vous pas vos textes ?

  4. Marsoin dit :

    Purement factuel. un récit érotique doit être autre chose qu’un compte rendu de rencontre.

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