Théâtre par Verdon

Théâtre par Verdon

Théâtre

Rosette est une épouse timide mais vicieuse.
Joliment charpentée elle est voluptueuse.
Aujourd’hui la trentaine et le corps potelé
Elle aime bien souvent se faire peloter
Et livrer aux voyeurs ses charmes opulents
D’autant que son brave homme, d’amour compatissant
L’a gentiment aidée à s’ouvrir à l’ivresse
Que procure l’émoi des règles qu’on transgresse

D’abord c’est au cinoche, que culotte oubliée,
Son mari la confie aux bons soins d’un p’tit vieux
Qui expert et vicieux officie en ces lieux
Pour débrider le cul et l’âme mortifiée
De bourgeoises au sang chaud mais encore trop godiches
Pour s’ouvrir aux plaisirs qui naissent entre leurs miches….

Le gros doigt du satyre dans son petit œillet
Lui bouscule les sens et sa timidité.
Mais très embarrassée par ce doigt qui la gode,
Bien qu’elle soit très sensible à la douce méthode,
Elle laisse s’échapper du vestale œilleton
Le membre insolent mais pourtant si fripon.
C’est à l’époux le soir, d’en sublimer l’effet
Après bonne fessée que Dame a méritée
Car a-t-on jamais vu que d’un si bon doigté
Une Dame distinguée n’en souhaite le bienfait.

Rosette excitée, doit en faire un peu plus.
Mais plus d’un sacripant lui tripote l’anus
Avant qu’elle se décide, un jour, à faire du zèle
En fouinant le falzar d’un gars à côté d’elle.
Elle liche fébrilement la chose qui s’y cache
Et gobe avec fureur la pine qu’elle convoite….
Mais pas assez salope et toujours maladroite
Elle gaspille la sauce, bêtement la recrache.
Et bien sûr aussitôt du mari elle reçoit
Ce genre d’éducation qui stimule la joie
Et bonifie la honte, quand sous des yeux complices
Elle se prend sur le cul un bien tendre supplice.

Plus tard sur le grand lit des amours conjugales
L’apprentie en levrette s’entraine entre deux mâles
A se faire chahuter l’anus et le buccal.
L’élan allant de pair, la Belle se régale.
Le mari d’un côté lui fagote le cul
De l’autre, les yeux bandés, elle suce un inconnu.
Elle lui trouve du goût. Ça sent un peu le bouc.
Mais qu’importe après tout puisque tant ils la souquent,
Jouissance du cul plus que bite qui pue
Lui procure maintenant le plaisir attendu.

Empoignée par la croupe, saisie par la tignasse
Même si elle fait encore d’insidieuses grimaces
Elle en prend plein le cul, elle l’ouvre sa luette
Et gobe goulûment les délicieux breuvages
Qu’y déversent en duo les deux pines en goguette.

Il semble que depuis, la Meuf ait du métier.
Car si elle a posé son cul sur un gros vié,
Elle s’est assise aussi sur sa timidité
Et n’en a pas perdu pour autant la santé.
L’amour ça la retape, et sa rondelle brune
Se livre aux bonnes pines sans une crainte aucune.
Elle ouvre sans soucis ses fesses aux inconnus
Triés par son chéri de façon convenue.
Ainsi de beaux outils fort joliment bandés
Permettent à la coquine d’être assez débridée
Pour offrir en spectacle sa fière intimité
Devant un comité d’enculeurs patentés.

De salles en arrière-salles et en petits théâtres
Elle dévoile son cul en montant sur les planches
Face à un beau parterre de distingués bellâtres
Qui à bonnes poignées, se taquinent le manche.
Elle sent tous ses regards posés sur son anus
Et pour les exciter elle y fout son médius.
Son homme l’encourage, lui tapote la fesse
Qui prend de jour en jour une sacrée valeur.
Elle permet en bonus à quelques bons fouteurs,
Gentlemen solides et fièrement membrés,
De venir en coulisse lui faire quelques tendresses
Afin de lui briquer son p’tit bijou marbré.

Le cocu est ravi par le fameux spectacle
De sa Belle ganache qui sur le lit renâcle.
Bien campée sur ses cuisses, les épaules en appui
Elle se prend une pine dans le petit conduit
Comme file l’obus dans le trou du canon.
Et là en l’occurrence ceux sont de gros bouchons
Qui dament de la Dame le petit trou morfale
Bousculant sous ses flans ses nichons en cavale.

Elle apprécie vicieuse ces bites qui ferraillent
Enfoncées jusqu’aux burnes au fond de ses entrailles.
Surprise quand une troisième, davantage têtue
Batifolant gaiement dans sa bouche goulue,
Lui baise le goulot et gentiment l’ensuque
Tant elle est comprimée entre couilles et sa nuque.

C’est par tant de bontés que finalement la Dame
Capitule au plaisir et change d’état d’âme.
Elle a gagné sa place auprès des gens de l’art
Et aux plus jolies stars, ne laisserait sa part.
Livrant à la débauche son corps si généreux
Bâti pour partager avec des amoureux
La vue majestueuse de son cul somptueux
Offert dans une posture superbe et impudique
Aux assauts envieux de bites qui rebiquent.
……………………………………………
Le soir en 69 sur le lit conjugal
Monsieur pour la flatter – la chose est bien normale –
Lui fait avec sa langue de délicieux massages
En cet endroit divin où tant elle eut d’outrages
Que brûle encore le feu et sans doute la joie
Qu’ont laissés au passage de nombreux boute-joie.
Tandis que fuse encore du p’tit trou tourmenté
Un chapelet licencieux de larmes argentées
Panel délicieux de diverses saveurs
Qu’ont offerts au cocu de généreux auteurs.

……..

05.11.2019

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Une réponse à Théâtre par Verdon

  1. Chafoin dit :

    Quel merveilleux poème, j’en reste baba devant tant de talent au service de nos fantasmes secrets

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