Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 5 – Marisa Tongo par Nicolas Solovionni
– Appelle moi demain en fin de journée, d’ici là j’aurais fait le nécessaire auprès de Maitre Tongo ! Me dit la duchesse.
Le lendemain la duchesse me prévient que Maître Tongo consentait à nous recevoir, non pas à son bureau mais à son domicile, dans un pavillon pas aussi joli que celui de la duchesse mais presque.
Nous y sommes allés, Dyane et moi. Maître Tongo de son prénom Marisa est un blackette sculpturale dotée d’une impressionnante poitrine à peine dissimulée par un décolleté généreux.
– Asseyez-vous et arrêtez de mater mes gros nichons, capitaine, vous n’avez aucune chance, je suis lesbienne exclusive.
Mouché !
– Pardonnez-moi !
– Pas grave, je suppose que vous vous êtes bien amusés chez la duchesse, quelle belle salope celle-ci ! Alors c’était bien ?
– Sympathique et distrayant.
Et s’adressant à Dyane…
– Vous savez que vous êtes craquante, vous ?
– N’exagérons rien.
– Éventuellement, ça vous dirait, un gros câlin avec moi ?
– Vous êtes bien directe !
– Ça ne répond pas à la question.
– Vous êtes une belle femme ..
– Bref, vous ne voulez pas répondre ?
– C’est-à-dire que nous ne sommes pas venus pour ça ! Rétorque Dyane
– J’avais dit « éventuellement » ! Croit devoir préciser la blackette
– Alors éventuellement, ce serait oui !
– Ah, quand même. Imaginez le tableau, on s’enverrait en l’air toutes les deux sur le canapé, votre capitaine on l’attache sur une chaise, il aurait juste le droit de regarder.
– Pourquoi pas ? Mais si nous en venions au but de notre visite ?
– Alors c’est très simple, j’ai essayé trois fois de proposer ce collier aux enchères, personne n’en a voulu, alors je l’ai placé en dépôt vente au drugstore et j’ai avancé 1000 balles à la duchesse, c’est une copine, je ne veux pas la contrarier.
– Autrement dit, il faut qu’on aille voir dans ce drugstore. C’est ça ?
– Ben oui.
– Il est peut-être déjà vendu ?
– Non, Kederest m’aurait prévenu.
– Qui c’est celui-ci ?
– Le patron de drugstore.
– Bon, on va aller lui dire bonjour.
– Ça ne vous tente pas le petit scénario que j’évoquais tout à l’heure ?
Je cherchais mes mots afin de nous défiler, mais Dyane plus rapide que moi lui répondit qu’elle était partante pour cette expérience
Mais quelle mouche l’a donc piqué ?
– Alors Capitaine vous préférez aller faire un tour ou bien nous mater sur une chaise ?
– Mater, bien sûr !
– Asseyez-vous, je vais vous attacher.
– Pas besoin de m’attacher, je vais rester tranquille.
– Tss, Tss, c’est moi qui commande.
Elle m’a donc attaché, je n’en mourrais pas.
Maître Tongo s’approche de Dyane.
– Ne bouge pas, c’est moi qui vais te déshabiller
C’est donc ce qu’elle fait, commençant par lui retirer son tee-shirt.
– Il est joli ton soutif, tu l’as trouvé où ?
– Sur Vargala, j’ai la culotte assortie.
– Ah ! Voyons voir les nénés. Dit-elle en dégrafant le soutif. Oh que c’est beau ! Vous en pensez quoi, Capitaine ?
– Ils sont très beaux en effet !
– Cochon !
– Ah bon !
Maître Tonga (on va peut-être l’appeler par son prénom, Marisa, ce sera plus cool) . Donc Marisa attiré par les seins de Dyane comme une abeille sur une marguerite, s’empresse de les peloter sans délicatesse excessive, puis s’attaque aux tétons durcis qu’elle tortille un petit peu avant de les sucer et de les mordiller
– Et si tu me montrais les tiens ? Finit par suggérer Dyane.
– Mais bien sûr, j’attendais juste que tu me le demandes.
Et joignant le geste à la parole, Marisa se dépoitraille pour exhiber une poitrine chocolatée de bon volume et de bonne tenue. Les aréoles sont très brunes et très larges, les tétons sont dardés. Je vous dis : une merveille de la nature !
– Vas-y, pelote-les-moi, j’adore ça !
Comme vous le pensez bien ce ne se sont pas des paroles qu’il faut répéter deux fois à Dyane, qui s’empresse de faire ce qu’on lui demande !
– Pince-moi les bouts ! Implore Marisa.
– Comme ça ?
– Ouiiii !
Mais voilà que ce petit jeu est interrompu par l’entrée intempestive d’une petite blondinette frisée comme un mouton.
– Maitre, votre rendez-vous est arrivé…
– Dis-lui que j’ai un imprévu et reporte le rendez-vous dans une heure.
– Bien !
– Et ensuite reviens nous voir… enfin si ça te chante… C’est Peggy mon assistante et ma soubrette ! Précise-t-elle à l’attention de Dyane.
Marisa profite de cette pause imprévue pour retirer son pantalon et sa petite culotte rose pâle.
– Tiens je t’en fais cadeau renifle-là, il y a toutes mes odeurs là-dedans !
Effectivement la culotte n’est pas très nette, trace d’urine devant traces marrons derrière. Dyane la porte à ses narines, en hume les parfums, lèche un peu le devant puis s’enhardit à lécher le reste.
– Je m’essuie toujours assez mal, parfois je demande à Peggy de me nettoyer le cul !
Et quand on parle du loup… car voici justement Peggy qui réapparaît.
– Ah, Peggy tu tombes bien ! Va donc vérifier si la personne qui est attaché est en train de bander.
La blondinette vient donc vers moi et me touche le paquet.
– Il bandouille ! Indique-t-elle.
– Alors sors lui la bite et fait le bander correctement ! Lui répond Marisa
La coquine me sortit donc mon service trois pièces de sa prison de tissu, et ses petites mains expertes eurent tôt fait de rendre ma bite raide comme un bout de bois.
– Voilà c’est fait ! Est-ce que je peux la sucer un petit peu ?
– Tu peux sucer, tu peux même te la fourrer dans le cul, mais tu ne le détaches pas !
La blondinette me met alors ma bite dans sa bouche. Je la ploterais volontiers pendant qu’elle me pratique cette délicieuse fellation (car elle me paraît être une experte) mais allez faire ça les mains attachées, vous !
J’ai la bite qui va éclater, si elle continue à ce rythme, mais c’est peut-être ce qu’elle cherche…bien que je ne voie pas trop l’intérêt pour elle… en fait non !
Elle s’installe à califourchon sur ma bite de façon à ce qu’elle lui rentre directement dans le cul et elle me chevauche comme si elle était au manège des chevaux de bois.
Curieuse situation, certes je ne vais pas cracher dans la soupe. Mais c’est tout de même frustrant de ne pas pouvoir me servir de mes mains… et puis elle fait ça en restant habillée, quelle faute de goût ! Et en plus elle me cache la vue ce qui fait que je ne vois plus ce que fabrique les deux gousses…
Peggy commence à s’énerver, ou plutôt à s’exciter (bien que les deux états ne soient pas incompatibles). Elle pousse des petits cris, on croirait vraiment une chatte en chaleur !
Moi je sens que je ne vais plus tenir longtemps et effectivement je sens mon plaisir monter. Je veux la prévenir mais je me mets à bafouiller et je libère ma jouissance dans le cul de la blondinette, laquelle n’est pas en reste pour crier son plaisir avec un raffut de tous les diables.
Et elle s’en va sans un mot me laissant la bite visqueuse et dégoulinante. Et le voilà avec des taches de sperme sur mon pantalon ! Quelle salope !
Je peux maintenant voir où en sont les deux goudous.
Dyane est assise dans le fauteuil, quasiment à poil et les jambes bien écartées… Eh oui bien écartées, parce qu’au milieu de ses jambes, se trouve maintenant Maître Tongo qui lui lèche la figue avec une passion dévorante.
Il faut croire que Marisa est une experte dans l’art de la langue si j’en crois le cri fulgurant que pousse subitement Dyane en transpirant comme un oignon dans une marmite.
– Tout va bien ? Demande Peggy en passant son joli minois par l’embrasure de la porte.
– Mais oui, faut pas t’inquiéter comme ça. Mais ne t’en va pas, tu vas me peloter les nichons pendant que Madame Dyane va me lécher le clito. Et ensuite tu détacheras les mains de ce monsieur !
Et après que ces dames firent ce qu’elles avaient souhaité faire on consentit à me détacher. Voilà qui n’était pas trop tôt !
– C’était bien tout ça ? Demande Marisa à Dyane laquelle a encore le gout de la chatte sur la langue.
– Ma foi, ce n’était pas mal du tout
– Alors embrassons-nous.
Pendant qu’il se roulent une galoche je reste comme un con sur ma chaise, je n’ai plus mes liens mais bon…
– T’as soif demande Marisa a sa partenaire.
– Un peu oui !
– Tu veux boire ma pisse ?
– Avec grand plaisir !
Joli spectacle que le jet doré de Marisa venant finir son trajet dans la bouche gourmande de ma seconde de vaisseau.
Peggy est ensuite priée de nous servir des boissons plus traditionnelles. Sympa mais moi j’aurais volontiers goûté au pipi de Marisa ou à celui de son assistante !
On s’est donc quitté après avoir trinqué tous les quatre avec du Potenza, un breuvage alcoolisé local que je ne connaissais pas mais qui n’était pas mal du tout.
A suivre
J’ai adoré ce personage de Marisa Tongo
Les cochonnes dans l’espace