Retour à la terre 1 – La Maison par Lovelace

Retour à la terre
1 – La Maison
par Lovelace

Cette histoire fait directement suite à la série « Une aventure en mer », précédemment parue.

La Maison

Nous nous quittons, sur le quai. Embrassades, effusions, comme si nous ne devions plus nous revoir. En fait, Alice et moi, invitons Pierre et sa femme, Viviane, à dîner demain soir. Dans la voiture qui nous ramène à la maison, Lucie demande à Alice :

– Elle est comment, Viviane, comme femme ?

Qui se ressemble, s’assemble, lui répond simplement Alice.

– Tu veux dire que c’est une fan de sexe, ouverte à tout, comme nous ?
– Non, je dis qu’elle est sympa, intelligente, comme Pierre et qu’en outre c’est une belle femme. Pour le reste, je n’en sais rien, comme je ne savais rien de Pierre avant ce week-end, au niveau cul.

Je regarde dans mon rétroviseur les deux femmes qui papotent à l’arrière de la voiture, et j’ai une vision idyllique : elles ne portent ni l’une, ni l’autre de dessous et leurs robes, déjà courtes, se sont relevées lorsqu’elles se sont installées sur le siège. J’en fais part à Yann, assis à côté de moi. Il se retourne et profite du spectacle offert par Alice assise derrière moi. Cette garce le regarde droit dans les yeux tout en écartant un peu plus les jambes. Je ferai bien comme lui, mais je conduis !

– T’as pas fini de te rincer l’œil ? Lui demande Lucie. Tu la connais par cœur, maintenant.

A poil ce n’est pas pareil; Là, je trouve çà excitant !

– Tu veux dire que je ne suis pas excitante quand je suis à poil ?
– Non, non, je veux dire qu’en tenue de ville, c’est troublant, c’est différent !

Les explications de Yann ne sont pas convaincantes, heureusement nous arrivons à la maison. Le portail automatique s’ouvre à notre approche. Je me gare devant l’entrée du double garage.

– Nous y sommes, tout le monde descend !

Nous vidons le coffre et passons par le garage pour accéder au tableau d’alarme. Arrivés dans le hall d’entrée, je laisse tomber notre sac et demande à nos invités de faire de même, puis, je les guide vers le salon.

– Comment fait-on ? Leur demandé-je tout en ouvrant les baies vitrées donnant sur le jardin.
On commence par se poser ou par ranger nos affaires ?

– On se pose et on voit après, répond Alice.
– Ok, je prépare l’apéro; En attendant, installez- vous sur la terrasse.

Quand je reviens avec ma table roulante, mes trois oiseaux se sont envolés ! Je les retrouve au fond du parc, près du jardin potager, Alice leur expliquant que nous vivons de nos récoltes à quelques produits près. Quand je les rejoins, elles sont en train de deviser sur certains légumes, en gloussant; il s’agit, bien évidemment de produits comme les concombres, courgettes ou aubergines ! Nous remontons par l’allée centrale, jusqu’à la piscine. Là, je leur montre le petit bâtiment qui abrite la machinerie de la piscine, la petite salle de sport avec sa douche et son sauna. La piscine, elle est composée d’un Spa et d’un bassin de natation. Comme nous sommes au bord du bassin, je pousse vivement Lucie dans l’eau, je me sens l’âme joueuse, ce soir. Elle émerge mouillée comme un caniche !

– Que t’es con Bernard, comment je fais, maintenant ?
– Et bien, tu sors et tu t’essuie, dis-je en riant. Alice et Yann se marrent aussi et en profitent pour me faire subir le même sort ! Je me retrouve à côté de Lucie, dans l’eau face à nos deux autres compères, morts de rire.
– C’est l’histoire de l’arroseur arrosé ! Dit Yann
– Vous n’avez plus qu’à nous rejoindre, elle est bonne !
– Non, on prend l’apéro d’abord, me lance Alice

Nous ressortons donc du bassin, détrempés, les vêtements collant à la peau. Mon tee-shirt et mon short, blancs, ne masquent rien de mon anatomie, même chose pour Lucie dont la petite robe légère lui fait comme une deuxième peau; ses seins fermes sont bien dessinés, les tétons pointent à travers le tissu et, de dos, ses fesses sont parfaitement dessinées par le tissu qui s’est inséré dans la raie. Nous allons chercher deux serviettes pour nous sécher et revenons vers les deux autres qui sont allés s’installer dans les fauteuils de terrasse, enveloppés dans nos draps de bain. Cette petite séance, m’a quelque peu émoustillé et une bosse apparaît sur le drap de bain à hauteur de mon sexe.

– Monsieur est en forme, dirait-on, remarque Alice
– Là, vous avez un avantage sur nous, quand vous êtes excitées, çà ne se voit pas ! Dit Yann
– Si, dans les yeux, mais vous êtes tellement primaires, que vous ne le remarquez pas ! Dit

Lucie, elle aussi émoustillée par la scène et la conversation qui dévie, inévitablement. Je m’assois à mon tour dans un fauteuil, imité par Lucie et nous sirotons notre whisky en discutant, nous rappelant quelques anecdotes du week-end, et nous demandant comment Viviane va prendre la chose en visionnant la vidéo de Pierre. On se demande d’ailleurs toujours comment il a fait pour filmer, alors qu’on ne l’a quasiment jamais vu avec la caméra.

– en tout cas, qu’est-ce qu’il est bien monté, remarque Lucie, on dirait qu’il a été bâti autour de son service trois pièces !
– Oui, quand il s’est déshabillé pour la première fois devant moi, j’ai eu un choc; répond Alice.

J’en avais déjà vu, mais uniquement dans des films porno. En vrai, c’est vraiment impressionnant.

– Et est-ce meilleur ? Demande Yann
– Non, mais c’est super excitant, on a l’impression de réaliser un exploit ! Lui répond Lucie.
– Toujours dans la compétition toi, lui dis-je en riant
– Je suis une ancienne sportive, c’est normal !
– Bon, en attendant, si je te montrais la maison, intervient Alice, je vais te montrer votre chambre
– Revenez vite, les filles, je nous ressers.
– On monte juste les sacs et on revient !

Les voilà parties; et Yann et moi, continuons de discuter de choses et d’autres, comment ai-je pu trouver un terrain aussi grand, quelle est sa taille, est-ce qu’il était arboré, etc. Au bout d’un quart d’heure, nous nous demandons ce qu’elles peuvent bien faire et, comme elles ne répondent pas à nos appels, décidons d’aller les chercher. Personne au rez-de-chaussée, nous montons à l’étage.

La suite réservée aux amis est vide à part les valises de Yann et Lucie, nous traversons le palier jusqu’à notre chambre et restons sur le pas de la porte, admirant la scène. Elles sont bien là, et nous restons interdits à l’entrée de la chambre, devant la scène qui se déroule. Alice et Lucie s’embrassent et se caressent devant notre lit, Alice a la robe relevée au niveau des reins, les fesses à l’air et tient à pleine main un sein de Lucie, lui embrassant le téton. Lucie caresse d’une main une fesse et de l’autre un sein à travers le tissu; je remarque que notre malle à «jouets» est ouverte. Elles ont dû se chauffer en énumérant ce qu’il y avait dedans. Nous ne bougeons pas et ne disons mot, Yann pose une main sur mon épaule, je l’enlace par la taille, et nous restons ainsi attendant la suite. Elles font un pas en arrière et Lucie tombe assise sur le lit. Alice restée debout, passe sa robe par dessus sa tête et la laisse choir au sol. Elle s’agenouille, écarte les jambes de Lucie et approche sa bouche de sa chatte. Lucie lui prend la tête à deux mains, renverse sa tête en arrière et profite pleinement de la caresse buccale que lui prodigue Alice. Elle a posé ses pieds dans le creux des reins de cette dernière et la guide de la voix.

– Hooo, ouii ! Lèche-moi bien, Hummm, c’est bon ! Suces moi le clitoris, je bande, bouffes-moi la chatte !

Alice, la tête enfouie entre ses cuisses, ne peut répondre, mais il est évident qu’elle est excitée; Elle remue du cul, comme si quelque chose la démangeait, et c’est sûrement le cas ! Lucie, creuse les reins, et d’un coup, laisse partir son orgasme. Alice se retire et lui dit :

– Attend, on va se faire plaisir ensemble.

Elle se relève, part vers notre malle et revient un double dong à la main. La scène se déroulant dos à la porte, elle ne remarque pas notre présence et nous nous gardons bien de faire le moindre geste. Elles s’allongent sur le lit, tête-bêche, et s’enfilent le long gode, entremêlant leurs jambes. Elles remuent leurs fesses pour actionner un mouvement d’avant en arrière et faire coulisser le tube de latex dans leurs sexes. Il ne leur faut pas longtemps pour exprimer d’un long feulement, leur jouissance.

J’ai la bite en feu de regarder cette séance et visiblement, je ne suis pas le seul, Yann se la tient a travers le tissu de son pantalon, il n’en peut plus, lui non plus. Finalement, les filles se roulent une pelle et Alice à genoux sur le lit dit à Lucie :

– Il faudrait qu’on retourne vers nos mecs, ils vont se demander ce que nous faisons
– Oui, tu as raison, çà fait longtemps qu’on est parties.

Nous nous éclipsons discrètement et redescendons nous installer en terrasse, comme si rien ne s’était passé. Elles reviennent quelques instants plus tard :

– Ça va les gars, vous ne vous êtes pas ennuyés sans nous ?
– Non, mais on se demandait ce que vous faisiez depuis tout ce temps !
– Je montrais à Lucie où elle pouvait ranger ses affaires et comment marchait la douche, ment Alice.
– Et puis je me suis habillée, dit Lucie, je n’allais pas rester nue pour dîner !

J’ai envie de répondre, mais je me retiens, par contre Yann, n’y résiste pas :

– Vous nous prenez vraiment pour des jambons, dit-il.
– Pourquoi tu dis çà ? Questionne Lucie l’air faussement ingénue
– Vingt minutes pour apprendre comment tourner un robinet et enfiler une robe ?
– Oui, mais on a papoté, tu sais ce que c’est ! Des histoires de femmes !
– Ha, bon tu as tes règles ?
– Que tu es con, parfois !

Je sens monter la tension de la bite à la tête, serait-ce une pointe de jalousie, de n’avoir pas été convié à partager ce moment d’intimité qu’elles se sont octroyé ?

– En tout cas vos glaçons ont fondu, dis-je pour détendre l’atmosphère, avant tout.
– Ce n’est pas grave, dit Alice, on boira un whisky eau au lieu d’un whisky glace
– Bon si on pensait au menu du dîner, qu’est-ce qui vous ferait plaisir ?
– On pourrait casse-croûter, avec les reste du bateau et une salade ? Suggère Alice
– Ça me va, et vous ?
– Ok pour nous !

Alice se lève pour aller vers la cuisine et j’en profite pour glisser une main sous sa robe. Elle est trempée ! Elle tourne la tête vers moi, elle sait que je sais.

– Lucie, tu viens m’aider ? Demande t-elle
– J’arrive, répond cette dernière
– Fais pas la gueule, dis-je à Yann, une fois qu’on est tout seuls, c’est excitant, non ?
– Oui, mais j’ai l’impression qu’elle me fait des cachotteries, et je n’aime pas çà. On partage tout depuis cinq ans, sans rien masquer.
– Il est important que chacun garde un petit jardin secret, çà maintient l’équilibre. Et puis, rien ne te dit qu’elles ne vont pas tout nous raconter pendant le dîner.
– Tu as raison, je dois apprendre à être Zen
– Oui, c’est important si tu veux que ton couple dure longtemps
Je remarque qu’il reste des séquelles physiques de la séance de tout à l’heure
– Putain, mais tu bandes encore, non ?
– Ben, c’était fort tout à l’heure !
– Fais voir !

Il ouvre sa braguette et son chibre jaillit du pantalon, bandant à moitié. Je le saisi et le branle, doucement. Puis, je vais chercher des doigts les couilles restées au fond du pantalon et les sors. Je reprends la masturbation, il s’allonge, assis sur le fauteuil du bout des fesses, ferme les yeux et se laisse aller complètement.

Je m’approche et le prend en bouche, j’astique le gland avec ma langue, titille le méat, longe le frein jusqu’à la base, lui lèche et prend en bouche les testicules gonflés, remonte en sens inverse et reprend ce joli membre dans ma bouche. La fellation a l’air de lui plaire, il couine, gémit, serre les bras du fauteuil. Je relève la tête, le sors de ma bouche et le branle à nouveau, plus vivement. Je vois ses couilles remonter et durcir, je sais qu’il va jouir. J’accentue mon mouvement et il vient : le premier jet fait bien 30 centimètres, suivit de deux autres plus petits. Son méat laisse couler un filet de sperme, reste de ce qu’il avait dans les couilles.

– Houaa ! Merci, qu’est-ce que c’était bon !
– A charge de revanche ! Lui réponds-je

– Amour, tu pourrais mettre la table, entends-je de loin
– Ok, je m’en occupe

Le début du dîner se passe calmement, les conversations portent sur le cinéma, la musique, la mode, un peu de politique, mais je sens quelque part dans la tête de chacun, qu’autre chose se passe, que les pensées sont ailleurs. Quand les regards des filles ou les nôtres se croisent, une arrière pensée ne peut s’empêcher de naître.

Lucie est en face de moi et, j’allonge ma jambe et lui caresse le pied. Elle y répond, je remonte jusqu’à son genou, elle les écarte. Quelle cochonne ! Je m’avance jusqu’à arriver à son entrejambe et du bout de l’orteil lui caresse la vulve. Elle a un soubresaut, tout de suite remarqué

– Un problème Lucie ? demande Alice
– Non, un hoquet, tout va bien
– Son soubresaut s’appelle gros orteil, dis-je en riant

Et tout le monde éclate de rire. La soirée continue de bien se passer, bonne ambiance, franche rigolade, le vin aidant, les esprits s’échauffent; Alice intervient :

– Les gars, il faut qu’on vous le dise avant que vous ne le découvriez et puissiez penser qu’on vous cache quelque chose, mais Lucie et moi on s’est gouiné tout à l’heure.

– Écoute, dis-je, je me demandais quand tu allais nous l’annoncer, mais je te rassure, pour nous ce n’est pas un scoop et en plus on sait exactement ce qui s’est passé, car on a assisté à la scène dans son intégralité. Ensuite, quand vous êtes parties en cuisine, Yann était tellement excité et tout congestionné que j’ai du le soulager de toute cette pression. Je lui ai taillé une bonne pipe, çà lui a fait du bien !
– Quels salauds ! S’exclame Lucie, si on avait rien dit, on en aurait rien su, alors !
– Si tu ne dis pas que tu t’envoie en l’air, pourquoi, moi, le devrais-je ? Questionne Yann. Question salopes, vous n’êtes pas mal non plus.

Et nous partons dans un nouvel éclat de rire.

– N’empêche qu’avec tout çà, moi j’ai des fourmis qui me titillent de partout !
– Tiens, dit Lucie, vous voulez voir quelque chose à propos de titillements ?
– Quoi ?
– Regardez ! Elle se lève, monte sur la table et soulève sa robe. Jusque là on voit qu’elle n’a pas de culotte, c’est tout. Alors elle se retourne, se penche en avant et nous expose son cul avec, planté dedans, un Plug Anal
– C’est pour çà que je te voyais te dandiner sur ta chaise !
– Oui, çà me chatouille le cul !
– Et toi, Alice, tu t’es mis quoi ?
– Moi ? Rien derrière en tout cas. Par contre j’ai des boules de geishas dans la chatte; je suis chaude comme la braise !
– Puisque on est tous mûrs, on n’a qu’à monter ! Et je glisse à l’oreille de Yann : prépares toi, je ne sais pas pourquoi, mais à mon avis on va déguster !
– Oui, me répond-t-il, elles étaient dans le même état samedi soir, remontées comme des horloges et on a vu ce que çà a donné.
– Qu’est-ce-que vous complotez tous les deux ? Nous interromps Lucie
– Ho, rien ! On se disait que vous semblez être très en forme.
– Bien vu, on a une pêche d’enfer dit Lucie en descendant de la table, la robe toujours remontée sur les hanches.

La sono diffusant un Reggae, les voilà qui se mettent à danser lascivement, ondulant des épaules aux genoux, face à face, comme si l’une voulait aspirer le corps de l’autre. C’est très sexy comme mouvement. Puis elles se décalent légèrement de côté et se rapprochent, s’emboîtent littéralement, joue contre joue, un sein entre les deux seins de l’autre, une jambe entre les deux jambes de l’autre, dans une sensualité torride.

Elles se caressent les bras du bout des doigts. La température monte vite. Yann et moi, assis dans les fauteuils de la terrasse, commençons à bouillir.

Je sens à nouveau ces picotements caractéristiques le long de mon corps et ma queue s’allonger. Je serre les jambes, contracte les sphincters, étire mes orteils, pour tenter d’évacuer cette électricité, mais rien n’y fait, je suis comme un accu, chargé à bloc !

C’est une sensation de plaisir et de douleur, non, pas de douleur, disons agacerie, en fait, je ne sais trop comment la décrire. Ce que je sais, c’est qu’elle ne partira que lorsque j’éjaculerai. C’est délicieux !

J’ai envie de prendre ma queue et de me branler, mais, non, je me retiens. Yann, lui, a cédé, je vois du coin de l’œil qu’il a dégrafé son pantalon et exhibe fièrement son membre libéré.

Alice l’a remarqué et, brisant son assemblage avec Lucie, s’approche de lui et commence à lui tourner autour. Elle se penche face à lui et place sa tête entre ses seins, tout en continuant ses mouvements rythmés par la musique; elle les frotte sur ses joues de haut en bas puis, imprimant des mouvements latéraux avec les épaules, le gifle à coups de nichons ! Elle a les tétons raidis et la chair de poule sur les bras et les cuisses, elle est en transe !

Lucie de son côté, est venue s’asseoir sur une de mes cuisses et se frotte d’un mouvement de bassin d’avant en arrière, ses deux mains posées sur ses genoux fléchis. Elle est très excitée aussi.
Lorsque la musique s’arrête, elles se relèvent et, comme s’il ne s’était rien passé, s’asseyent dans leurs fauteuils. Alice tend la main vers son verre, croise les jambes et reprend la conversation. Lucie fait de même en moins sage : elle prend une cigarette, l’allume et, nonchalamment pose sa jambe sur l’accoudoir du fauteuil, ce qui nous offre le ravissant spectacle de sa vulve brillante d’excitation.

Seul Yann, du coup, décontenancé, se retrouve comme un con, la bite à la main ! ! Il tente de ranger son matériel et refermer son pantalon, mais ce n’est pas facile tant sa queue est bandée.

– Ho, ne fais pas de manières, Yann, restes comme çà, çà ne me gêne pas ! Rit Alice.

Et Lucie à l’attention de Yann :

– Tu sais quoi ? Alice m’a montré tout à l’heure, leur malle à jouets. Tu verrais la collection qu’ils ont, c’est époustouflant !
– Des jouets ? S’exclame Yann
– Oui, des sex-toys, évidemment !
– Comme celui que je lui ai emprunté et planté dans mon cul. Ils ont des godes de toutes sortes, des vibros, des cock-rings, et même une ceinture, genre de chasteté avec un gode inversé à l’intérieur. Tu la fixe à la taille elle t’enveloppe et le gode s’insère dans la chatte.
– Ah, oui ! Reprend Alice. Il a une petite histoire celui-ci; remarque ils ont tous une histoire ! Un soir Bernard est rentré en m’annonçant qu’on allait au resto avec des relations de Nantes et il m’a tendu un paquet en me disant que c’était mes sous vêtements pour la soirée. Quand j’ai ouvert la boite, c’était cet engin. Je l’ai bien sûr mis, mais tu n’imagines pas la soirée que j’ai passée. C’était un dîner un peu guindé, bien sapé, et moi j’avais ce truc qui m’excitait, alors que je discutais de choses sérieuses. J’étais mouillée et j’avais l’impression que tout le monde s’en rendait compte; bien sûr ce n’était qu’une impression, seul Bernard s’amusait de la situation. Quand on est rentrés, j’en pouvais vraiment plus, j’étais en transe. Arrivés dans le salon, ce salaud m’a culbutée sur le dossier du fauteuil, là-bas, m’a soulevé la robe et comme j’étais prise devant par son cadeau, m’a enculée ! Quand je suis partie çà a été un soulagement que tu n’imagines pas !
– Hummm, je crois que j’aurais bien aimé çà ! Conclut Lucie.
– Vous voulez voir le reste de la malle ? Je vous raconterai les histoires qui vont avec !
– Oui, avec plaisir, dit Yann

Et nous voilà partis au premier, dans notre antre.

à suivre

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Une réponse à Retour à la terre 1 – La Maison par Lovelace

  1. Baruchel dit :

    Une saine décontraction, un style sympa, et une érection derrière ma braguette.
    Bravo à l’auteur, la petite scène entre les deux mecs est géniale quoi que trop courte.

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