Retour à la terre 2 – La Chambre Par Lovelace

Retour à la terre
2 – La Chambre
Par Lovelace

Nous voilà arrivés dans notre suite. Alice, nous met tout de suite au parfum:

– Avant de commencer l’inventaire, je pense qu’il faut qu’on se prépare, car il y aura inévitablement des essayages !

Je vais aux toilettes. Je sors d’un petit placard, une poire à lavement, je la remplis d’eau tiède et me lave l’intérieur. Une fois propre, je m’enduis de lubrifiant. Ainsi, il n’y aura pas de pause préparation dans nos ébats à venir, ce qui gâche un peu l’ambiance quand çà se produit.

Tout le monde fait de même, et détendus par ce petit intermède, mais impatients en imaginant que ce qui va suivre sera d’une grande intensité sexuelle.

Nous nous retrouvons autour de la fameuse malle, enroulés dans des draps de bain.

– Alors, par quoi on commence ? Demande Lucie.

Je lui réponds:

– Par retirer ceux que vous avez sur vous !
– Comment sais-tu qu’on les a gardés ?
– Je ne le savais pas ! Je l’ai supputé.
– Tu me le retire ? Me demande Lucie en se penchant en avant et prenant appui sur le bord de la malle.
– Si tu veux. Je soulève le drap de bain au dessus de ses fesses et attrape la base du jouet planté dans son cul. Je tire dessus jusqu’à faire apparaître la partie élargie à l’entrée de l’anus, ce qui bien sûr le dilate et, lentement, le retire jusqu’à la pointe du cône.
– Hummm, c’est bon !
– Gourmande, tu n’avais pas pris le plus petit hein ? Cochonne !
– Parce que vous en avez de différentes tailles ? Demande Yann
– Oui, je vais te montrer, dit Alice.

Elle fouille dans la malle et ressort cinq Plugs Anaux différents. Le plus petit est à peine gros comme une brosse à dents, le plus gros a une base large comme un cul de bouteille.

– Je comprends mieux, dit Lucie, pourquoi t’as pas eu de mal à te faire dilater sur le bateau !
– Celui-ci sert rarement, répond Alice

Yann se penche sur la malle et dit:

– C’est impressionnant la quantité que vous avez; il y a de quoi ouvrir un sex-shop !
– Tu sais, lui réponds-je, y a des couples qui s’offrent des bijoux, des parfums ou des fringues, nous c’est des sex-toys ! On trouve çà plus drôle.

Alice, pour illustrer mes propos, sort une quantité astronomique de godes, près d’une vingtaine, tous différents, petits, longs, fins, gros, lisses, rugueux, souples ou rigides, sans oublier le double dong oublié sur le lit après que les filles l’ai utilisé cet après midi. Puis elle sort des vibros et les spéciaux: les double pour se faire pénétrer des deux côtés en même temps, ceux avec une excroissance vibrante pour exciter le clitoris. Mais ce qui retient l’attention de Lucie, ce sont les godes ceinture (c’est à çà que je m’attendais !), il y en a cinq dont deux très intéressants aux yeux des filles, car ils sont double: un tendu vers l’avant pour le partenaire, l’autre dans la ceinture, à l’intérieur, pour soi.

– Typiquement féminin ces deux là dit Lucie
– Oui et très efficaces répond Alice
– J’essayerai bien dit Lucie. Qu’est-ce-que vous en dites les gars ?
– Faudrait peut-être se chauffer un peu non ? Et je susurre à l’oreille de Yann: qu’est-ce-que je t’avais dit
– Remarquez, moi je les essayerai bien tous, même le drôle là tout fin plein de petites boules
– C’est fait pour exciter l’anus, je vais te montrer, propose Alice; mets-toi à genoux. Lucie s’exécute et Alice présente la tige devant l’anus encore légèrement dilaté par celui que je lui ai retiré. Elle entre les boules les unes après les autres et à chaque passage d’une boule, Lucie pousse un petit cri. Puis une fois que tout est dedans, Alice les ressort, de la même façon, une par une, lentement et les petits cris deviennent des gémissements de plaisir.
– Tu vois, c’est sympa, non ?
– Oui, vachement !

Alice se retourne, face à nous, ouvre le drap de bain et nous montre ses merveilleux seins tendus, laisse tomber le drap au sol et tire sur la peau de son pubis, ce qui fait ressortir son clitoris charnu:

– Bon, maintenant, les gars, on pourrait avoir une petite gâterie ?

Je m’approche d’elle, me mets à genoux et approche ma bouche de son bouton. Elle ouvre sa jambe, la relève et pose son pied sur le rebord de la malle; j’ai, ainsi accès à son sexe. Je pose mes lèvres sur le clitoris et commence à faire aller ma langue autour, puis de haut en bas, je lèche sa vulve, mordille ses lèvres avec les miennes, retourne vers le clitoris tendu. Je le gobe et recommence à tourner autour et dessus avec ma langue. Ses petits gémissements se sont transformés en un cri de jouissance et elle me mouille abondamment la bouche et le menton. Elle me prend la tête à deux mains pour que j’arrête ma caresse et me relève. Elle me lèche baveusement et largement du nombril à la base du cou et saisi d’une main mes couilles qu’elle presse entre ses doigts, attrape ma queue tire sur la peau du prépuce comme pour l’allonger et de trois doigts me décalotte le gland. Elle se penche et le prend en bouche le lèche comme j’ai léché son clitoris, me bave bien dessus fais quelques aller retour avec la main. En quelques instants ma queue devient rigide, et son visage s’éclaire d’un grand sourire de satisfaction.
Pendant ce temps, Lucie qui est restée à genoux a prodigué une bonne pipe à Yann qui est dans le même état que moi.

– Baises-moi, dit-elle.

Yann plie les genoux et pénètre la chatte de sa femme d’une longue poussée.

– Houaaa ! C’est bon, hummm, vas-y mon chéri, baises moi, vas-y fort !
– J’en veux aussi, me dit Alice qui se retourne face à la malle et reprend la position de tout à l’heure, le pied posé sur le rebord. Elle me tend ses fesses, je m’approche et entre dans l’écrin délicieux béant pour m’accueillir. Ouff ! Ce que tu es bon ! Prend moi vite, je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps, vas-y fort mon amour. J’allonge l’amplitude de mon mouvement et claque mon pubis sur ses fesses, le clapotis qui accompagne mes pénétrations l’excite encore plus. Elle prend son pied en m’arrosant la queue, un orgasme puissant qui la laisse chancelante. Je la retiens pour ne pas qu’elle s’écroule et le mouvement me fait sortir. Je l’accompagne jusqu’au bord du lit, elle s’assoie, je lui relève les jambes et la pénètre à nouveau. Elle s’est tellement dilatée que je sens à peine son fourreau autour de ma bite.
– Ouiiiiii ! Je viens, haaaa ! Ouiiiiii ! – c’est Lucie qui se lâche elle aussi, accompagnée de Yann qui part avec elle.
– Viens mon poussin, encules moi, jouis dans mon cul ! Me demande Alice

Elle relève les jambes à nouveau et les pose sur mes épaules. Je place mon gland bien gonflé à l’entrée de son petit trou et pousse doucement pour le faire entrer; Alice m’accompagne en poussant et relâchant ses sphincters et mon gland est absorbé par l’anus ouvert; je continue ma poussée et entre en entier dans ce cul si chaud et confortable ! Je me démène et Alice sentant que je ne vais pas tarder à venir, se masturbe pour venir avec moi. Elle jouit la première, mais je la suis de près et lâche une grosse éjaculation dans son cul. Je me retire et regarde ce trou béant, qui essaye sans succès de se refermer et je vois mon sperme ressortir et couler comme la lave coule le long du volcan.
On s’est bien éclaté, et on souffle, tous allongés sur le lit, souriants, heureux de ce qui vient de se passer.

Je mes suis assoupi et lorsque je rouvre les yeux, je vois que nos femmes, n’ont pas perdu le nord ! Alice porte un bustier noir, lacé sur le devant qui lui enserre la taille et fait ressortir ses seins, montrant le haut des aréoles, à la limite du téton. Lucie porte, elle un corset et latex qui lui donne l’impression d’avoir un 90 de tour de poitrine elles ont chaussé des escarpins qui accentuent leur cambrure et font ressortir leurs fesses rondes. Mais surtout, elles portent les fameux godes ceinture !

Yann appuyé à la tête de lit, s’amuse de les voir ainsi et est visiblement excité par la situation.
Maîtresses, dominatrices, notre heure arrive ! Juchées sur leurs talons aiguilles, avec ces vêtements sur le dos, elles sont d’une sensualité troublante, surtout affublées de ces bites fantasques ! Elles nous jaugent, nous tournent autour, et chacun de leur déplacement provoque des réactions sur leur visage, ce doit être l’effet produit par le gode qu’elles ont fiché dans leur sexe.

Elles s’approchent les mains sur les hanches:

– Yann, ordonne Alice, mets-toi en 69, par terre, sur Bernard ! Allez, plus vite que çà.

Toujours souriant, Yann s’exécute et se met à quatre pattes sur moi, j’ai la vision de ses parties génitales ses couilles gonflées qui ballottent sous sa queue raidie. Alice pose un pied sur le coccyx de Yann et je vois la pointe du talon s’approcher de l’anus, le titiller dans un début de pénétration.

Pour ma part, j’ai droit à un écrasement des parties génitales par le pied de Lucie, qui passe ensuite la pointe de sa chaussure sous mes couilles et les soulève, comme pour les soupeser du pied.

Sur ordre de Lucie, Yann me suce afin de me faire bander. Une fois cela fait, elle le repousse, du pied; il se recule et de fait, je n’ai plus accès à se queue. Lucie me soulève les jambes, mes pieds sont calés sur ses épaules, et elle présente le gode à mes fesses relevées; je pousse pour entrouvrir le passage, et l’engin entre lentement, sans à coup, jusqu’au bout.

Je lève les yeux et je vois qu’Alice aussi a pénétré Yann; mais elle décule et lui demande de se déplacer, perpendiculairement à nous; ainsi, nous avons une vision de tous. Lucie et Alice ne chôment pas, elles s’activent en nous comme des soudards. Je remarque que Lucie à les traits qui se tirent, son excitation est extrême, aussi je ne peux m’empêcher de provoquer son orgasme:

– Vas-y Lucie, plus fort, encules-moi à fond, vas-y !

Elle se laisse entraîner à mes injonctions et de fait accélère aussi le mouvement du gode interne, et part dans un orgasme soft, mais qui la ravit.

Je dois avouer que j’ai moi aussi pris mon pied dans cette affaire et je ne suis pas le seul à entendre les commentaires, d’Alice et de Yann:

– Houaouu ! C’était bon, dit-il, c’est vraiment excitant ce truc !
– Çà t’as plu, tant mieux, moi aussi j’ai pris mon panard. J’aime cette pratique du partage. Des fois j’envie les transsexuelles, qui on les atouts d’une femme en plus d’une bite, je trouve çà très jouissif.
– Je ne connaissais pas la sodomie masculine avant de vous rencontrer, je dois dire que j’aime assez, sans être homo !
– On peut aimer les bites et ne pas être pour autant homo !

Sur ce on se relève, les filles se déharnachent.

– Gardez les vêtements les filles, vous êtes super sexy là-dedans ! Leur demandé-je
– si vous voulez, on aime çà aussi dit Lucie, ta femme a une sacré garde robe sexe. La malle, les vêtements on ne s’ennuie pas chez vous !
– Nous vivons d’amour et de sexe ! Dit Alice, alors tout tourne autour ! Mais d’habitude nous faisons çà à deux, c’est la première fois qu’on partage, et je regrette de ne pas l’avoir fait plus tôt !
– Nous on a déjà pratiqué, mais que de l’échange de partenaires. Là on est sur une autre planète !

Nous décidons de descendre nous rafraîchir. Passage par la cuisine pour récupérer de l’eau. Il fait vraiment chaud malgré les baies vitrées ouvertes, aussi nous sortons sur la terrasse. Avec leurs talons aiguilles, nos femmes sont aussi grandes que nous; elles sont belles, élancées, félines. Yann et moi, sommes bien moins excitants, avec nos sexes ramollis qui pendent sur nos couilles flasques ! Je trempe ma queue dans mon verre d’eau fraîche et l’effet est quasi immédiat, elle durcit un peu ! – Alice s’approche et tout en m’embrassant, caresse le gland de son doigt qu’elle a mouillé dans sa chatte. Elle me saisit et me décalotte, s’accroupit et me lèche. Elle fait le tour du gland, s’attarde sur le frein, descend la hampe et gobe mes couilles, remonte et avale ma queue, complètement raidie, maintenant. Elle se relève, me tourne le dos, tends ses fesses vers moi en prenant appui sur le bord de la table et me demande ce qu’elle préfère avant tout:

– Encules-moi, mon chéri, je veux sentir ton chibre me ramoner !

Je ne me fais pas prier et, écartant les fesses tendues, j’entre dans l’écrin divin.

– Houuu ! C’est bon çà, hummm, oui ! Vas-y défonces-moi !
– Ha, tu aimes hein ma salope ! Elle te fait du bien ma bite !
– Oui, je l’aime, elle est bonne !

Lucie et Yann excités de nous regarder, se masturbent, mais, n’y tenant plus, Yann soulève sa femme et la dépose sur la table. Il lui écarte les jambes et l’enfile sans autre forme de procès, et commence son ramonage par de grands coups de bite. Les nanas dont les visages sont proches se roulent une pelle baveuse:

– Dis-donc, tu n’y vas pas de main morte ! Dis-je à Yann
– Elle aime çà, quand elle est très excitée, se faire prendre sauvagement
– Hooo, oui ! J’aime me faire culbuter comme çà, je suis détrempée !

Ses jambes, tendues, presque en grand écart, elle prend les fesses de Yann et lui imprime le mouvement qu’elle souhaite. Alice, elle se caresse le bouton pour accélérer l’arrivée de son orgasme qui ne tarde pas:

– Hummmm, çà y est, je jouiiis ! Un long spasme la secoue de la tête aux pieds et elle me repousse de la main. Je sors et j’ai la vision de son anus dilaté et de sa chatte luisante, un filet de foutre coulant le long de sa cuisse. Je l’essuie avec ma queue et me représente devant l’œillet pour, moi aussi jouir. Je pénètre, mais elle est tellement à fleur de peau, qu’elle me repousse à nouveau.
– Désolée, c’est trop fort, attends un peu. Me dit-elle
– Moi aussi, je viens s’exclame Lucie, houaaa, c’est bon viens aussi Yann, lâches tout, viiieenns !
– J’arrive, maintenant, oufff !
– Ha, je sens ton éjac en moi, que c’est bon ! C’est chaud !

Et elle éclate de rire, comme à chaque fois qu’elle jouit.

– Et moi, j’ai plus qu’à me branler !
– Non, viens, me dit Lucie, prends moi derrière !

Yann me laisse la place. Je prends Lucie par devant pour lubrifier ma queue à sa chatte, lui ramène les genoux à la poitrine et passe mon gland hyper dilaté par l’enculage précédent sur son anus, elle pousse pour l’ouvrir un peu et je rentre sans trop d’efforts.

– Ahan Houuu ! Il est gros, dit-elle, doucement ! Hummm, çà va, allez viens à fond maintenant, oui, c’est bon
– Tu aimes bien te faire enculer aussi, hein ?
– Oui, j’aime la sensation, c’est délicieux, je me détends complètement et c’est bon le lâcher prise !

Je m’active, mes allers retours s’allongent au point que je décule. Je repasse le trou dilaté, Lucie aime. Alors je m’amuse à rentrer et sortir plusieurs fois de suite; elle se caresse le clitoris et jouis une fois de plus. N’y tenant plus, je sors et lui arrose le ventre de mon sperme chaud.

Nous nous félicitons, cette soirée était vraiment réussie, c’est l’extase !

Nos sexes ramollis, le gland irrité, les vulves gonflées, nous remontons nous coucher enlacés, pour une bonne nuit de repos.

A suivre

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *