Pearl et les 2 Américains par Marine_et_Thibault

Bonjour, c’est Thibault (un tibo, deux tibos…) qui fera office de narrateur dans cette histoire très chaude, bien qu’elle ait été écrite à deux mains.

Ils sont cons les Américains, non seulement ils ont des machines à voter foireuses, mais du côté des idées reçues, ça y va !. En gros tous les français ont un béret sur la tête, passent leur temps à bouffer des baguettes de pains, et ont un portrait du général de Gaulle dans leur salle à manger.

Et je dois m’occuper de deux de ces grands escogriffes, Steve Wayne, et John McQuinn ! Ces messieurs sont envoyés par le cabinet Petersen & Petersen Consulting pour estimer la valeur de la boite dans laquelle j’ai l’honneur de travailler comme contrôleur de gestion.

Steve m’avait interpellé :

– Le problème avec les boites comme la votre, c’est que c’est du fifty-fifty, on peut très bien faire un rapport disant que ce n’est pas terrible, comme on peut en faire un indiquant qu’il s’agit d’une entreprise pleine de promesses.
– Certes mais quelles seront alors vos conclusions ?
– On ne sait pas encore, ça risque d’être très neutre, à moins que…
– Je vous écoute !
– A moins qu’un évènement extérieur nous influence dans un sens ou dans l’autre…
– ?

C’est ce qui s’appelle un appel à la corruption ! A moins que ce soit un piège ! Je prends le risque que ce n’en soit pas un ! Bon, réfléchissons ! On corrompt avec quoi ? La grosse enveloppe ! Mon budget  » divers  » ne me le permet pas ! Le big restaurant ! Ce sera insuffisant ! Alors le sexe ? Leur payer à chacun une escorte girl super canon, ce n’est pas « donné-donné » mais ça doit être plus dans mon budget.

C’est alors que Steve me lança !

– Nous repartons après demain pour les Etats Unis, il vous faudra faire vite !

La catastrophe ! Il ne me reste qu’une solution, ma propre épouse ! Elle était peu farouche et fort libérée, mais il me faudrait la convaincre ! Seulement juré, craché si elle n’était pas d’accord, je n’insisterai pas, et à ce moment là je mettrais toute mon énergie à dénoncer dans des livres, des articles, des émissions et des conférences l’attitude inadmissible de ces « consultings » à la manque. Evidement, si elle acceptait, les choses seraient plus simples.

Elle accepta !

Ma femme s’appelle Pearl. Du moins pour les besoins de cette histoire, car en fait, elle s’appelle Marine, mais Pearl c’était son nom de scène quand elle faisait du strip-tease à Pigalle ! Pearl est assez grande, assez fine, des seins moyens un cul moyen, pas de graisse, un visage agréable, des yeux bleus, des cheveux mi-longs teint en blond, un joli petit sourire. Elle est un peu complexée par sa grande taille. Sexuellement elle n’est pas farouche, mais elle n’est pas obsédée non plus, et si sa pratique de la fellation en fait une quasi experte, elle ne goûte qu’assez modérément la sodomie, personne n’est parfait !

Pearl accepta donc après s’être renseigné sur à quoi ressemblaient ces étranges consultants, mais y émis toutefois une condition, il ne fallait pas que la séance s’éternise. Elle objecta par ailleurs que si une femme avec trois hommes constituait sans doute une association érotique très perverse, les possibilités restaient toutefois limitées, à moins que ces messieurs veuillent faire dans les voiles et les vapeurs. ! Faute de quoi, sans doute serait-il judicieux de dégotter une autre complice. ! Tout cela pour me proposer les services de notre charmante et pulpeuse voisine qui s’ennuyait ferme depuis que son mari s’en était aller vivre sur une péniche avec un marin d’eau douce hollandais.

La voisine se nomme Sandra, elle est un peu nunuche, mais cette fausse blonde à un corps de déesse, Du moins je le suppose, ne l’ayant jamais pratiqué. Bien que Pearl reste persuadée du contraire. Par contre Pearl a couché avec Sandra, et Pearl ne sait pas que je le sais. Pas simple cette situation, je vous l’accorde volontiers ! Cela faisant un peu fouillis il faudra un de ces jours que nous  » régularisions  » tout cela ! Mais ceci est une autre péripétie.

Il fut convenu afin de mettre un peu de forme dans cette affaire qu’un petit jeu servirait de prétexte, mais qu’il n’était surtout pas interdit à ces dames de faire semblant de perdre !

Pearl s’est habillée très sexy. Elle a revêtu une sorte de robe-blouse de couleur parme fermée devant par quatre boutons. Le bas du vêtement est frangé, le haut est échancré. Dans l’échancrure on voit le milieu et donc la rose d’un petit soutien gorge en imprimé semi transparent ou se combattent des motifs roses et blancs. Le slip assorti est de forme brésilienne. Elle n’a rien prévu d’autres et en tous les cas ni bas, ni porte-jarretelles, ayant horreur de ce genre d’accessoires.  » j’aime tellement me faire caresser les jambes « , dit-elle souvent,  » pourquoi donc les gainer sans raisons ?  » Sandra sonne, elle est un peu en avance, elle aussi à fait des efforts vestimentaires. En bas une toute petite jupette blanche ne descendant guère plus bas que la moitié des cuisses et dont la couleur immaculée contraste avec sa belle peau bronzée. En haut un petit boléro rouge à pois blancs, montant assez haut, mais laissant par contre apercevoir de façon incongrue la base de son soutien gorge bleue. Un petit foulard du même imprimé assorti attaché en bandeau dans ses longs cheveux parachève le tout.

Les deux femmes se complimentent mutuellement pour leur tenue. Puis, Pearl se mit à caresser langoureusement le petit ventre de notre voisine, en simulant de découvrir la subtile douceur de sa peau ambrée. Quelques secondes plus tard, je ne sais pas laquelle des deux se jeta sur l’autre, mais toujours est-il, qu’autant excitées par la situation à venir que par leur tenue inhabituelle, elles se lancèrent dans un baiser passionné associé à des pelotages de seins, de fesses et d’autres choses encore. La fièvre de l’érotisme les avait enveloppées tel un raz de marée de sensualité perverse. Sandra se baissa un moment pour fureter sous la robe de ma Pearl, qui se laissa faire un moment, puis se baissa à son tour, finit par poser son derrière sur la moquette, y entraînant la voisine, puis changea brusquement de position afin de se pouvoir se placer sur le sol en position de 69. J’avais devant mes yeux médusés le spectacle inespéré de deux ravissantes petites langues suçant avec gourmandise deux délicieuses petites chattes. Inutile de vous décrire, je pense l’état de mon devant de pantalon !

Ce coup de folie fut, hélas interrompu par l’arrivée de nos américains, je les fais boire un petit peu, ils adorent le martini, allons-y pour le martini, et même qu’on va y ajouter du gin. Puis après quelques échanges de banalités, je suggère de jouer à un jeu de mon invention : La bataille rangée, ça se joue avec des cartes, mais contrairement à la bataille classique on peut jouer à plus de deux et étaler plusieurs cartes. Pour tricher dans un sens ou dans l’autre il suffit de ramasser les cartes du coup précédent dans un certain ordre (si ça intéresse quelqu’un, précision par e-mail sur simple demande l) Et évidemment pour corser la chose d’entrée on préférera y jouer avec des cartes pornos ! Chaque perdant d’un échange devra enlever une pièce de vêtement comme au strip poker !

Ils acceptent tous en rigolant, étant tous passablement éméchés. Comme il faut de la place, on s’assoit sur la moquette. Pearl à l’honneur de perdre la première, elle décide avec une fausse témérité et une audace feinte de retirer sa robe. Elle déboutonne donc, avec grâce, la pièce de vêtement gênante, découvrant son joli petit ventre et son nombril. Ce nombril, au grand étonnement de Américains était percé d’un anneau. Je regarde ma femme qui me lance un sourire moqueur. Elle est donc la première à montrer ses sous-vêtements, et devient l’objet de toutes les convoitises. Les yeux de mes abrutis d’invités sont rivés sur elle. Nous continuions ainsi le jeu jusqu’à ce que tous le monde soit en sous-vêtement. Moi, Steve et John avons peine à cacher nos érections respectives. D’ailleurs, le cercle de jeu s’étant rapproché, des frôlements non réglementaires se produisent. A ce moment, le jeu s’interrompt, le temps est suspendu quelques secondes, des regards en rencontrent d’autres.

Sandra et moi sommes l’un à côté de l’autre. Un imperceptible mouvement nous rapproche alors que déjà, la main de John se pose sur les hanches de Pearl. Les corps de Sandra et le mien se frappent, elle appuie sa poitrine sur la mienne, les yeux soudés au mien. Je pose doucement les mains sur sa taille, au même moment, nos lèvres se joignent, d’abord doucement, puis rapidement nos bouches s’ouvrent, je laisse glisser ma langue entre ses lèvres. Elle en fait autant. Mes mains remontent le long de son dos, hésitent une fraction de seconde à son soutien-gorge puis continue vers sa tignasse blonde. Alors que je lui glisse quelques baisers dans le cou, mes mains s’affairent à dégrafer l’inutile  » soutif « , révélant sa poitrine magnifique, des seins généreux, couronnés de mamelons roses très érigés. Je lui caresse la base des seins alors que je me penche pour mettre ma langue en contact avec sa peau douce. Elle frémit pendant que ma langue se rapproche de ses tétons gonflés d’excitation. Je mordille enfin à tour de rôle les petits fruits auréolant ses seins.

Elle décide alors de me faire découvrir les parties inférieures de son anatomie, ce qui n’est pas sans me réjouir. La main droite appuyée sur ma nuque, elle me guide vers l’élastique de sa culotte. J’attarde ma langue dans la région du nombril, pendant que mes mains massent doucement les fesses fermes de Sandra Elle semble apprécier mes attentions et sans prévenir, elle fait glisser sa petite culotte, exposant à mes yeux ravis sa toison châtaine aux reflets blonds. Mes doigts se glissent sporadiquement entre ses fesses, frôlant ses lèvres humides.

Elle m’assoit, pour me donner un meilleur accès à son centre de plaisir. Ma langue se fraie un chemin à travers son poil. Son corps entier est parcouru d’un frisson lorsque ma langue entre en contact avec ses lèvres légèrement entrouvertes. Elle écarte les cuisses pour faciliter l’entrée de ma langue. Je glisse celle-ci entre les lèvres chaudes et humectées de Sandra. À l’aide de mes doigts, je dégage le clitoris de son refuge devenu trop étroit. Je concentre mes efforts sur cet endroit précis, faisant claquer ma langue sur son bouton érigé. Sandra commence à respirer de manière plus irrégulièrement, elle pousse d’une main ma tête entre ses jambes et de l’autre se caresse les seins avec frénésie. Alors que ma langue excite toujours son clitoris, je décide de glisser un doigt dans sa fente, histoire d’explorer plus en profondeur. Je fais d’abord des petits cercles, palpant les parois de mon index. À l’intromission de ce doigt, Sandra pousse un petit cri étouffé, entre deux halètements saccadés. Ensuite, je commence un mouvement de va-et-vient, invitant mon majeur à joindre la traversée. Ce deuxième doigt se glisse plus difficilement, malgré la lubrification abondante. Sandra pousse un deuxième soupir, celui-là moins contenu. La langue fatiguée, je remonte suçoter les mamelons de la voisine, continuant mon manège digital. Elle se tortille légèrement pour m’embrasser avec une fougue sans retenu. Je sens le rythme de sa respiration augmenter.

Nous nous étendons ensuite sur la moquette. Elle me fait pivoter afin que mon slip tendu au maximum se retrouve devant son visage. Je poursuis mon va-et-vient, plus rapidement encore, dans cette position nettement plus équitable pour nous deux. Elle baisse mon caleçon, et se recouche sur le dos, afin d’avoir mes testicules à portée de bouche. Ma langue étant reposée (il faut tout de même éviter les crampes), je repositionne celle-ci sur son clitoris. Elle accueille ce retour d’un râle aigu. Elle lèche mes bourses un moment puis, glisse lentement la langue sur mon pénis prêt à exploser. Sa langue s’enroule sur ma tige, atteignant bientôt mon gland. Elle embouche alors ma verge en entier, prouvant hors de tout doute son expérience dans le domaine. Mon ardeur augmente, sentant cette divine présence sur mon pénis. Elle fait aller sa bouche de plus en plus vite, je me sens sur le bord d’un orgasme. Je décide d’insérer un troisième et ultime doigt, pour la mener, elle aussi au plaisir ultime. La bouche occupée, je ne peux la prévenir de mon arrivée imminente. Alors, sa respiration, jusqu’alors très rapide, s’arrête un temps, ses muscles se contractent, ses cuisses viennent enserrer ma tête comme un étau. Elle lance alors un cri, dégageant ma verge de sa bouche. Je profite de son orgasme pour lancer le mien. Une saccade de sperme lui éclabousse le menton alors que son miel chaud s’écoule le long de mes lèvres. Nous soupirons au même moment, alors que je m’allonge près d’elle pour l’embrasser pendant que la chaleur lui consume encore l’intérieur. Elle accueille alors ma bouche !

Puis, elle se dégage de moi, m’informe avec malice qu’elle doit aller accomplir un besoin bien naturel. Je lui fais la suggestion que ce précieux nectar qui, venant d’elle ne peut être que merveilleux, serait le bienvenu dans ma bouche plutôt que d’aller se gâcher dans les tuyauteries citadines. Ce n’était pour moi qu’une boutade, ignorant si elle pratiquait ce genre de tocade. Mais elle accepta d’un sourire malicieux et accroupissant sa chatte sur ma bouche elle y fit s’écouler le long filet doré de son pipi, et j’avalais, satisfait, l’or de ses reins !

Notre union fut tellement forte, tellement intense que le monde extérieur avait, un temps cessé d’exister. Le plan ne se déroulait pas vraiment comme prévu car la logique aurait voulu que Sandra et Pearl s’occupent chacune d’un Américain.

Revenant à de triviales réalités, je regarde maintenant ma Pearl s’occuper seule des deux yankees. Elle suce le premier tandis que le deuxième lui lèche les fesses. Non, pas les fesses ! Le cul, il lui lubrifie l’anus. Ça m’embête, je sais que Pearl n’aime pas trop cela, mais je répugne à demander à Sandra de jouer la supplétive !

On entend alors Steve qui tout en continuant à se faire sucer dire avec un accent monstrueux :

– Je voudrais bien, vous prendre à rebours !
– En levrette ?
– Yes ! A rebours dans le petit trou !
– Non, non !

Il avait besoin de demander cela ? Encore les idées reçus des américains sur les françaises ! Une nouvelle fois l’envie de demander à Sandra de se sacrifier me tenaille mais je ne le fais pas. J’essaie de croiser les yeux de Pearl pour l’encourager, mais peine perdue nos regards ne se rencontrent pas

– Comment vous ne voulez pas que je vous prenne à rebours ? Insiste lourdement l’Américain !
– En principe j’aime pas ça, ce n’est pas que votre biroute soit exceptionnelle, mais j’ai la sodomie douloureuse.
– Ah ! Ah !
– On va jouer alors ?
– D’accord, mais à quoi ?
– Je vais jouer à l’attaque !
– C’est cela, c’est cela ! Donne-moi plutôt ta bite que je continue à te sucer, je vais te pomper à fond, ça va te calmer !

Pearl reprend donc sa fellation. Steve n’en peut plus, il devient congestionné. Et soudain alors que je crus qu’il allait jouir, le voici qui se libère de l’étreinte buccale de ma femme, qu’il se lève, la contourne, pousse son collègue toujours occupé à faire une langue-au-cul, se met un préservatif à la vitesse de la lumière et entreprend de présenter sa bite à l’entrée de l’anus de Pearl en criant :

– A l’attaque ! A l’attaque !

Pearl ne se dégage pas, mais ne fait aucun effort pour l’aider, le laissant se débrouiller, il essaie de forcer, n’y arrive pas, finit par débander, c’est encore pire, et il est obligé de se masturber un petit peu pour redonner de la vigueur à son membre, il réattaque, toujours sans y arriver, redébande de nouveau, se remasturbe et finit par jouir dans la capote !

– Pas de bol dira-t-il en français et en lui-même car il connaissait les deux langues.

John lui baragouine quelque chose d’incompréhensible en américain, tout en mâchouillant son chewing-gum. Manifestement, il se moque de son collègue. A son tour il se revêt d’un préservatif et imitant Steve il se rue vers l’anus de mon épouse en criant :

– Moi ! Je vais vous prendre à rebours ! A l’attaque, à l’attaque !

On frise le ridicule. Contrairement à son acolyte, il parvient à pénétrer, mais juste le gland, il n’arrive pas à aller plus loin, et croyant s’être mal introduit, et alors que Pearl commence à faire des « Aie Aie Aie » de douleur, il fera l’erreur de se retirer pour essayer d’entrer de nouveau, en vain mais la situation l’ayant assez excité, il jouira lui aussi dans sa capote à un demi centimètre du trou de ma compagne.

Moralité : L’attaque de Pearl à rebours à été une vraie catastrophe pour les Américains !

(que ceux qui n’ont rien compris consultent un livre d’histoire et se renseignent de ce qui s’est passé le 7 décembre 1941)
Première publication sur Vassilia, le 17/03/2001

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6 réponses à Pearl et les 2 Américains par Marine_et_Thibault

  1. Rita dit :

    Etant pas trop mal foutue, mon patron (avec qui j’avais eu l’occasion de lui démontrer mes capacités dans le domaine de la turlutte) m’a proposé de l’accompagner pendant la signature de contrats d’affaire. Je lui ai demandé quel serait mon rôle, il m’a répondu carrément qu’il me faudrait sucer… Je n’ai eu aucun état d’âme, j’ai accepté et je me suis constituée une jolie cagnotte.
    Petite remarque : ce n’est pas toujours évident, certains machos n’ont aucun respect pour les putes…. mais heureusement il y a la contrepartie

  2. Tricia dit :

    Il faut mieux coucher pour réussir que dire du mal de son voisin

  3. B.Guignolet dit :

    1 – Vous vous croyez drôle mais vous ne l’êtes pas
    2 – Ce texte n’est qu’une défense à peine déguisé de la prostitution d’affaire. J’ignorais que la prostitution était une sexualité alternative ! Retirez moi ce texte.

    • Eddy dit :

      1 ) Vous avez parfaitement le droit de ne pas apprécier l’humour de ce texte, mais ne soyez pas si péremptoire
      2 ) L’un des credo de notre site est de dire que tout est possible entre majeurs consentants, ce récit ne déroge donc pas à cette règle. Et nous n’avons que faire de vos invectives.

  4. Antonio dit :

    Pas mal foutu et plutôt bien écrit. Deux parties, la première est très évocatrice et l’érotisme fonctionne parfaitement, la seconde ne sert qu’à provoquer le gag de fin qui avouons le est assez plaisant. Du bon boulot

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