Martinov 24 – L’énigme du hangar – 10 -Partouze chez Gérard et Florentine par Maud-Anne Amaro
– On peut dire que vous avez de la ressource, vous ! Commenta Gérard !
– Vous avez vu, hein ?
– Et vos intentions pour la suite ?
– Faire un petit reportage en caméra cachée, le débarquement, la mise en place, le gars qui s’installe dans la niche… Puis avant que le bipède parvienne au premier village, l’attaquer et le détruire.
– Carrément !
– En profitant de l’effet de surprise, ça ne devrait pas être si difficile.
– Vous avez une équipe pour faire ça ?
– Non ! Et je peux pas faire ça avec des bras cassées, il me faudrait trois ou quatre professionnels, des vrais !. Pour le reportage ce n’est pas un souci, pour attaquer le machin, il suffira de faire attention. Le tireur embusqué ne peut mitrailler que devant lui, donc on peut le coincer par derrière. Cela dit, il peut sortir arme au poing… Faudra quand même faire attention.
– On se croirait dans Indiana Jones ! Et la raison de votre présence ici ? Demande Gérard.
– Vous ne devinez pas ?
– Mais enfin Béatrice, qu’est-ce que tu es allé raconter ?
– Pas grand-chose, notre visite au hangar a été enregistré, Olivia a vu ta carte… On ne peut pas l’empêcher de penser qu’un ex-agent de la DGSE lui serait utile.
Echange de regards entre Gérard et son épouse.
– Ne rêve pas ce n’est plus de ton âge ! Lui dit Florentine.
– C’est dommage, parce que je vois à peu près comment je pourrais opérer.
– Tu te prends pour Rambo ?
– Non, mais ce serait une bonne action, et puis ça me ferait faire un peu de sport.
– Je vous embauche alors ? Demande Olivia.
– Holà ! Pas de précipitation ! Je ne peux pas faire ça seul, mais trouver deux ou trois mecs, ça ne doit pas être si difficile. Bien sûr il faudra les payer.
– Ce n’est pas un problème, ils le seront grassement !
– Ben voilà, quand on s’explique entre gens intelligents…
– Mais attendez, il faudra d’abord que Krypton et ses sbires récupère le bipède.
– C’est prévu ! J’attends qu’on soit prêts et on les baise. Alors c’est d’accord ?
– Laissez-moi réfléchir jusqu’à demain, mais ça me tente assez.
Gérard se lève pour aller chercher du Champagne, il en a toujours une ou deux bouteilles au frais, et du bon !
On trinque !
– Le danger est vraiment écarté ? S’inquiète Béatrice.
– Pour Louveciennes, je ne sais pas trop, il faudrait mieux que tu restes ici avec Martinov pendant quelques jours, j’irais voir sur place s’ils surveillent toujours le labo ! Répond Gérard.
– Au fait, Béatrice, tu ne nous a pas raconté ta version…
– Pour résumer : disons qu’Olivia m’a kidnappé, j’ai même passé une nuit entière dans une cave pourrie, mais ensuite on a su s’expliquer entre gens raisonnables.
– Ce fut d’autant plus facile ! Ajoute Olivia que ce kidnapping était une erreur, mais cela m’aura permis de rencontrer et d’apprécier Béatrice, et je dois dire que ce fut très agréable.
– Très agréable ! Se gausse Florentine ! On aimerait en savoir davantage.
– Ben non, c’est notre petit secret à toutes les deux ! Répond Béa.
– Vous m’avez l’air d’une sacrée coquine ! Lance alors Florentine à l’adresse d’Olivia.
– Auriez-vous quelque chose contre les coquines ?
– Non, je suis moi-même assez libérée !
– Vous avez les yeux qui pétillent !
– C’est la fatigue !
– Non, c’est la façon de me regarder ! Souhaitez-vous qu’on se donne rendez-vous pour s’amuser un peu ou préférez-vous que nous flirtions un peu ici ? Cela pourrait distraire ces messieurs.
– Vous êtes directe, vous !
– Ben, oui la vie est courte…
Gérard lance alors un coup de coude à sa compagne !
– Vas-y approche toi d’elle et embrasse là, on verra bien comment elle va réagir.
Encouragée, Florentine se lève !
– On s’embrasse ?
Le baiser devait être chaste, sur la bouche, mais chaste, il ne le fut pas, et devant l’assistance qui en avait pourtant vu d’autres les deux femmes s’échangèrent une véritable fricassée de museau.
– Ça ne gêne personne si on se caresse un peu ? demande innocemment Olivia.
Evidemment que ça ne gêne personne !
Les deux femmes ne tardent pas à être complètement débraillées, les seins sautent des soutiens-gorges, les mains vont partout.
Gérard Petit-Couture se dit alors qu’il n’a aucune raison de se gêner, sort sa bite et se masturbe en douceur.
Le professeur Martinov s’occuperait volontiers de cette jolie bite qu’il a déjà eu l’occasion de pratiquer mais se demande comment Olivia réagira, il se met donc en stand bye… mais la bite sortie.
Comme le hasard a fait que Béatrice se trouve placée entre Gérard et Martinov, elle allonge ses bras des deux côtés,… Et, hop la voilà avec une bite dans chaque main.
– Si je comprends bien, tout le monde est cochon, ici ? Commente Olivia.
– Et encore tu n’as rien vu ! Ces deux messieurs ne rechignent pas à faire des trucs ensemble.
– Non ?
– Si !
– On ne voit pas ça tous les jours !
– Moi j’adore voir mon compagnon sucer des bites ! Tient à préciser Florentine avec des étincelles dans les yeux.
– Mais tu es encore plus cochonne que moi !
– Ça ne te choque pas, j’espère ?
– Non, non pas du tout, mais qu’est-ce qu’ils attendent !
– Je ne sais pas, ce sont des grands timides.
Olivia prend Florentine par la main.
– Hé, où tu m’emmènes ?
– Je vais leur demander de ne pas être timides.
Arrivée devant eux, elle les nargue :
– Alors les garçons ! Qu’est-ce que j’apprends ?
– ?
– Il parait que vous aimez vous sucer la bite ?
– C’est Florentine qui vous a fait des confidences ? Répond Gérard.
– Ça m’exciterait de vous voir faire !
– Puisque c’est demandé gentiment… A toi l’honneur Martinov !
Depuis le temps qu’il n’avait pas sucé de bite, imaginez comme il est ravi notre vert professeur qui vient s’accroupir entre les cuisses de son ami Gérard et qui sans hésiter l’embouche avant de la faire aller et venir comme il se doit.
– Ils sucent uniquement où ils font autre chose ? demande Olivia.
– T’en poses des questions, toi ! Ben oui, ils s’enculent !
– Oh les cochons, je veux absolument voir ça !
– Tu le verras, mais tu ne veux plus t’occuper de moi ?
– Mais bien sûr, ma poulette, ce canapé nous tend les bras, viens, on va se lécher la moule.
Les deux femmes finissent de se déshabiller et s’installent sur le canapé en question. Elles s’enlacent, s’embrassent, se caressent, se plotent, les pointes des seins durcissent sous les coups de langues, les chattes s’humidifient.
Les deux femmes se sont retrouvées quasi instinctivement en position de soixante-neuf et se broutent le minou tout en se doigtant le trou du cul.
Béatrice est allée aider le professeur Martinov à sucer la bonne bite de Gérard. Celui-ci est ravi de cette fellation à deux bouches mais ces yeux lorgnent ostensiblement vers les jolies formes d’Olivia qui dans le soixante-neuf qu’elle exécute avec sa compagne, occupe la position supérieure.
– Excusez-moi, je reviens ! Dit-il à ses partenaires qu’il laisse en plan.
Il s’approche d’Olivia et lui caresse les fesses.
– Dites donc jeune homme, vous ne m’avez pas demandé la permission !
– Me l’accorderez-vous ?
– Euh, pour l’instant limitez-vous aux caresses, ensuite je vous demanderais quelque chose.
Gérard n’est pourtant pas novice en matière de partouze, aurait-il oublié qu’il est souvent inconvenant de venir déranger deux femmes qui se donnent du plaisir ?
Alors il se console en papouillant le joli fessier d’Olivia qui se trémousse sous les caresses de sa complice. Et pendant ce temps-là, Béatrice et Martinov qui se connaissent par cœur se tripotent mollement en jouissant du spectacle.
Bientôt le canapé s’emplit des cris de jouissance des deux brouteuses de gazon.
Les deux femmes après s’être embrassées et caressées s’assoient « normalement » sur le canapé.
– Vous êtes très belle… commence Gérard à l’adresse d’Olivia.
– Arrête ton baratin ! Tu as envie de me sauter, ce n’est pas un problème, mais faisons les choses dans l’ordre, ta copine m’a promis un petit spectacle, j’aimerais bien y assister.
– Tu serais pas un peu vicieuse, toi ?
– Pourquoi, c’est mal ?
Du coup Martinov qui a compris ce qui se passait, s’approche à son tour, se penche légèrement et écarte ses fesses.
– Allez Gérard ! Prends-moi, ça fera tellement plaisir à cette charmante femme !
En homme prévenant, le professeur avait même prévu la capote et la dosette de gel intime.
– Attention Martinov ! Je vais t’enculer bien profond.
– Vas-y ! Il y a un bout de temps que… Aaaah !
– Qu’est-ce qu’il y a, je t’ai fait mal ?
– Non, c’est rien, continue !
– Whahh, je m’enfonce jusqu’aux couilles !
Olivia est carrément subjuguée par le spectacle, ses yeux sont révulsés, sa main fouille sa touffe.
– Impressionnant, n’est-ce pas ? Lui dit Florentine.
Excité par la situation, Gérard qui projetait tout d’abord de ne pas aller jusqu’au bout afin de garder ses forces pour Olivia sent qu’il va en être incapable, alors il accélère et pilonne le professeur comme un sauvage et finit par éjaculer en poussant un rauquement insolite.
Il décule et se décapote.
– Viens là mon grand, que je te nettoie la bite, le sperme, c’est excellent pour le teint. Lui dit Olivia qui se retrouve avec plein de sperme dans la bouche.
Gérard s’affale dans un fauteuil afin de lui permettre de récupérer pendant quelques minutes.
– Et toi, Papy ? Si tu venais me voir ! Dit-elle à Martinov.
Vous pensez bien que le professeur n’allait pas passer à côté d’une telle invitation, il s’approche de la belle, lui caresse les nichons tandis qu’elle s’empare de sa bite et la met en bouche tandis qu’un doigt fureteur s’en va explorer son anus.
Florentine, elle, est partie cajoler et tripoter Béatrice, laquelle est obligé de freiner les ardeurs de la belle mature afin d’aller satisfaire un besoin naturel.
– Tu vas faire sur moi ? Lui demande Flo.
– T’en meurs d’envie, hein ?
Dans la salle de bain, Florentine s’assoit sur le carrelage, et ouvre la bouche attendant la pluie dorée de sa partenaire, Béa ouvre les vannes, Flo avale plusieurs lampées mais ne peut suivre le rythme, l’urine lui coule partout, sur le visage, les seins, le ventre.
– Je vais essayer d’en faire un peu ! Dit-elle en se relevant.
On intervertit les positions, Florentine n’avait qu’une petite envie, mais son urine n’en restait pas moins délicieuse. En la matière la qualité compte davantage que la quantité.
Les deux femmes sont toutes mouillées de pisse, elles se lèchent partout complètement déchaînées, s’embrassent avec le goût de l’urine en bouche.
Elles finissent par s’essuyer et après avoir tenté de se mettre en soixante-neuf sur le carrelage, elles se disent que rien en vaut le confort et retournent se gamahucher dans le salon.
Et là il découvre Olivia en levrette en train de faire sodomiser par le professeur Martinov en criant des insanités :
– Oh ! Tu m’encules bien, vieux pédé ! Aaah ! Continue, éclate-moi la rondelle…
Martinov en rut et en nage ne tarde pas à jouir.
Olivia conserve la position et elle interpelle Gérard :
– Alors mon grand, tu as récupéré ?
– Je crois, oui !
– Alors, à ton tour de venir m’enculer ! et toi Marinov passe devant je vais bien te nettoyer la bite.
L’orgie cessa ensuite faute de combattant et comme tout cela ça creuse, la soirée se termina dans la bonne humeur avec pizza et vin d’Italie.
Krypton
– Caroulet, je vous veux dans mon bureau, toutes affaires cessantes.
Une demi-heure plus tard, il y était.
– Alors on fait quoi, maintenant ? Demanda Krypton, fort énervé.
– Je ne sais pas, chef, les idées, c’est vous, c’est pas moi, moi j’exécute ! Répondit Ferdinand Caroulet.
– On enlève, on fait parler…
– On enlève qui ? Puisqu’ils sont tous partis se planquer.
– Ah, oui ! Alors on va fouiller chez Martinov, on trouvera peut-être quelque chose.
– Ou peut-être pas, mais on peut le faire quand même. Et sinon ?
– La manière forte ! Suggéra Krypton.
– En clair ?
– On entre en force dans le hangar avec un camion, on récupère le joujou et on disparait.
– C’est risqué, non ?
– Plutôt oui ! Il faut faire ça en opération de commando et aller le plus vite possible.
– Mais comment ?
– J’en sais rien ! Propose-moi un espèce de plan d’action, on en reparle bientôt.
« Eh ben, ça ne va pas être de la tarte ! » Grommelle Ferdinand en quittant les lieux.
Brigitte
Pour faire sérieux, Brigitte s’est procuré la déclaration de revenu électronique du sieur Dominique Lorazzi, « chroniqueur de revue d’art » de son état.
– Brigitte Silverberg, inspecteur du fisc. Je serais brève et j’espère que nous allons trouver un accord ! Commence doctement la jolie détective.
– Je ne comprends pas…
– Vous touchez combien à chaque fois que vous faites la promotion d’un artiste bidon ?
– Je ne pense pas que le fait de qualifier de bidon ou pas un artiste entre dans vos compétences.
– Ça ne répond pas à la question !
– Je n’ai que faire de vos allégations.
– Allons, allons, vous êtes l’un des personnages clés d’une énorme manigance, qui consiste à promouvoir des barbouilleurs et spéculer sur la valeur de leur production. Or tout cela est en train de s’écrouler suite à une accusation de plagiat.
– Pardon ?
– Donc de deux choses l’une, ou bien vous reconnaissez vos responsabilités dans cette sombre affaire et dans ce cas vous vous en tirerez avec un simple rappel d’impôt, ou bien vous continuez à nier et l’affaire se terminera au pénal.
– Laissez-moi 24 heures…
– Certainement pas, je ne vais pas vous laisser vous concerter avec vos complices. Par ailleurs vous n’êtes pas très malin, un innocent n’aurait jamais sollicité un délai.
– C’est mon avocat que je veux contacter, essayez donc de m’en empêcher !
Brigitte n’avait pas pensé à ça ! Elle laisse Lorazzi téléphoner, prête à détaler si ça se passe mal. Mais pour l’instant tout va bien, l’avocat n’est pas joignable et Lorazzi se contente de laisser un message demandant qu’on le rappelle.
– Bon alors, on fait comment ? Demande Brigitte.
– Je vais vous expliquer, mais vous allez tomber du placard.
– Je me relèverai.
– Je ne touche aucune enveloppe, mais de temps en temps on me permet de conserver un tableau…
– Dont les détails de la vente sont camouflés, c’est ça ?
– Allez donc prouver qu’ils ont été vendus ?
La discussion semble ne mener nulle part et Brigitte se prépare à prendre congé.
– Remarquez, reprend Lorazzi, on pourrait parler entre gens intelligents au lieu de jouer au chat et à la souris. Dites-moi d’où vient votre tuyau pourri, et de mon côté je vous raconterais peut-être des choses.
– C’est une dénonciation anonyme…
– Ben voyons !
– O.K. je laisse tomber, je n’ai aucune preuve, il n’y aura aucune suite à mon intervention…
– Madame est trop généreuse.
– C’est ça moquez-vous ! Au fait, juste une question pour satisfaire ma curiosité : vous les dénichez comment vos artistes ?
– Au feeling !
– Mais concrètement ?
– Parfois, un peintre en mal de reconnaissance fait le tour des galeries, et parfois le galériste pense que ça pourrait m’intéresser.
– Je vois…
Et cette fois Brigitte repartit pour de bon, bredouille, mais pas complètement, le galériste en question qui était peut-être toujours le même devait lui aussi toucher sa commission ou conserver l’un des tableaux.
« Alors, le rechercher ? Mais ça va me mener à quoi ? Pourtant je subodore un gros truc derrière tout ça… et si je m’infiltrais dans leur réseau par l’intermédiaire d’un peintre ? Reste à trouver un peintre… Il me faudrait quelqu’un de confiance… »
Brigitte avait bonne mémoire et se souvient que Béatrice lui avait parlé d’une espèce d’aventurier qui avait fait de l’espionnage et de la politique et qui à ses heures taquinait le pinceau…
– Ah, Béatrice, j’étais inquiète, je n’arrivais pas à te joindre…
– Normal, j’étais un peu occupée ces temps-ci… Ah tu sais, le mec que tu nous as envoyé, celui qui ne pouvait plus entrer dans son hangar qui n’est plus à lui…
– Oui…
– Eh bien c’est un vrai sac de nœuds, j’ai rarement eu aussi peur de ma vie…
– Mais je n’y suis pour rien ma grande !
– Je sais bien, je disais ça comme ça.
– Je me suis de mon côté un peu intéressée aux à-côtés de cette affaire, il faudra qu’on en parle.
– Quand tu veux !
– J’ai d’ailleurs un service à te demander.
– Si je peux…
– Tu m’as confié un jour que tu avais un ami peintre et qu’il t’avait fait ton portrait…
– Ah, oui, De Freville (voir Martinov 10 – Les pivoines maléfiques)
– Eventuellement, est-ce que je pourrais le rencontrer ?
– Tu veux poser pour lui ?
– Non, c’est plus compliqué que ça, j’aimerais qu’il m’aide à infiltrer une organisation de spéculateurs d’art moderne.
– Hum, avec lui ça risque d’être compliqué. Sinon, j’ai aussi un ami peintre, mais je n’ai jamais posé pour lui. (voir Martinov 18 -L’héritage de Tante Madeleine)
– Et tu crois que je pourrais lui demander ça ?
– Franchement, je n’en sais rien, mais bon, je peux toujours organiser une rencontre.
– Tu me donneras une date, on peut faire ça chez moi. Répond Brigitte.
Béatrice rejoint Gérard qui comatait dans un fauteuil. Elle lui explique en deux mots.
– Attends, c’est qui cette bonne femme ?
– Elle tient une agence de détectives privés !
– Ben tu lui dira que ça ne m’intéresse pas !
– C’est comme tu veux ! Mais quelques précisions quand même, c’est une femme qui m’a rendu service plusieurs fois sans rien me demander en retour, du moins rien de payant…
– Oui, j’ai compris, ça me gêne un peu de refuser vis-à-vis de toi, mais tu vois je voudrais souffler un peu avant de partir en Afrique.
– Tu ne voudrais pas juste la rencontrer, c’est une très belle femme, et très coquine en plus.
– Si c’est une coquine, je peux toujours aller l’écouter, mais ça s’arrêtera là.
– Qu’est-ce que j’entends ? Demande Florentine qui passait pas là. Tu as rendez-vous avec une coquine ?
– Une affaire bizarre, tu veux venir avec moi ?
– Je ne vais pas gêner ?
– Mais non ?
A suivre…
Je pensais que c’était la partouze finale, mais apartment ce n’est pas terminé !😉
On sent que Maud-Anne sait de quoi elle parle, elle à du en faire des parties fines, la coquine !
Tout le monde s’encule… à la queue leu leu…
Bravo Maud-Anne, tu n’as pas perdu la main!
Ah ! Maud-Anne et ses descriptions de partouzes diaboliques !