Martine examinatrice par Jean-Michel_et_Martine

Ne voyant pas rentrer Martine malgré l’heure, je m’apprêtais à fermer
l’agence quand elle arriva toute essoufflée :
– C’est toujours lorsque l’on est pressé que cela arrive. Je me suis trouvée
bloquée sur un parking pour laisser passer une manifestation d’enseignants
il me semble. Et comme en plus, ils allaient du même côté que moi, j’ai dû
partir dans l’autre sens et faire un détour. Tu m’attendais?…C’est sympa.
Tout va bien ?
– Tout va bien. J’ai reçu une visiteuse qui aurait voulu te demander un
service.
– Encore une qui veut des photos pour pas cher… non ?
– T’as tout faux. C’est Elizabeth T… Tu sais la stagiaire de l’année
dernière dont j’étais le parrain de stage en communication ?
– Ah oui!…Babeth ?…Et moi j’ai été sa marraine en tout autre chose… Tu
t’en souviens …je te l’ai raconté ? (Voir Martine initiatrice)
– Que devient notre filleule ? Elle va bien ?
– Son année a été bonne… Son passage chez nous en communication lui a
réussi.
– Elle est en stage avec la D.R.H. de chez M… Elle voudrait acheter un
appareil photo. Elle souhaite avoir tes conseils et voudrait aussi te
parler. Elle m’a laissé son numéro de portable. Elle te demande de l’appeler
un de ces jours après 18 heures. Tiens… je l’ai noté sur ton bloc.

Martine prit le papier et le rangea dans son sac. Ce n’est que quelques
jours plus tard, un samedi, jour de fermeture de l’agence, qu’elle me dit :
– Toi tu as parfois des « déjeuners d’affaires », moi cet après-midi j’ai un
« thé d’affaires » avec Babeth.
– Tu aurais pu l’inviter à dîner chez nous !
– Non!…On doit être entre femme. Désolée Jean-Mich’. Mais je crois que
j’aurai quelque chose à te raconter au retour. Bye… A tout à l’heure.

Il s’était écoulé deux heures depuis son départ quand elle revint.
Cliquetis de clef dans la serrure et

– Salut… C’est moi !

Puis le rituel habituel commença : le bruit du sac posé lourdement, puis les
deux tac… tac… des chaussures qui tombent sur le sol. Puis un bruit de
vêtements que l’on ôte et qui s’accrochent au portemanteau, suivi de bruits
de pas vers la chambre, et bientôt ma Martine apparaît à mes côtés dans le
salon, comme chaque soir dès qu’elle rentre, dans le plus simple appareil.

– C’est agréable de pouvoir se mettre à poil en rentrant. Surtout par cette
chaleur, çà relaxe.
– Et elle s’assoit prés de moi, sur le bras du divan, pour me tenir
compagnie pendant que je termine un travail au clavier informatique.
– Alors ?…rencontre agréable ?…fructueuse ?…amusante ?…nécessaire
?…utile ?
– Un peu de tout cela. On est allé chez Photo-X…Je lui ai fait acheter un
Compact autofocus tout simple, avec flash automatique, pour une débutante
c’est ce qu’il y a de mieux. Je lui ai expliqué le principe de l’autofocus,
elle n’est pas conne, je pense qu’elle a compris. Elle nous fera voir ses
premiers résultats avec la « douze poses » offerte par le vendeur.
– Elle avait dit aussi qu’elle voulait te parler. Qu’est-ce qu’elle te
voulait ?
– Tu te souviens que pendant son stage chez nous, je l’avais un peu, et
même, beaucoup bousculée sur le plan « pipi exhib ». Je lui ai même fait deux
démonstrations qui l’avaient profondément marquée et aussi impressionnée par
mon aisance apparente. Je lui avais conseillé d’essayer de se soulager en
présence de son copain, histoire de voir sa réaction. Elle a bien compris et
a commencé par le plus facile…

…Comme ils se retrouvent le week-end dans son studio, elle a eu l’audace
de lui demander alors qu’il était sous la douche, si elle pouvait entrer
pour se laver les mains. Il a dit oui, évidemment, après tout cette
situation est quasi normale dans un couple. Mais elle a pris tout son temps,
et quand la douche s’est arrêtée et qu’il a repoussé la porte à glissière
pour sortir et prendre la serviette, mademoiselle a trouvé le culot de
remonter sa chemise de nuit jusqu’à la ceinture, de s’asseoir
confortablement sur le siège et de laisser aller un pipi. Evidemment, elle
était coincée par le fait qu’elle s’exhibait ainsi devant lui pour la
première fois. Mais bien décidée, elle avait pris la précaution de boire
deux grands verres d’eau une demi-heure plus tôt, sachant qu’il allait
prendre sa douche peu après. Il lui a quand même fallut quelques secondes
pour obtenir l’ouverture des vannes, d’autant plus qu’il la regardait en
s’essuyant. Elle, elle feignait d’être complètement détachée du bruit de la
chute dans la cuvette. Elle hésita encore un instant au moment de prendre un
papier, de se relever un peu et de ramasser les dernières gouttes. Elle lui
a même dit faussement relaxe :

– Bof!…après tout ça n’était pas la peine…je vais aussi prendre ma
douche !

Ni l’un ni l’autre ne reparlèrent de cette scène avant de se mettre au lit.
Mais là, il avoua alors avoir été surpris et excité de la voir dans cette
situation, a laquelle il avait déjà songé, mais dont il n’osait pas lui
parler.
Babeth joua un peu les blasées, face à l’intérêt qu’elle avait suscité, mais
elle constata avec ravissement que tout en se remémorant cet épisode, il
montra une ardeur particulière ce soir là. Elle avait ouvert une porte et se
promit de recommencer à la prochaine occasion. Elle était surprise de son
audace, mais bien décidée à exploiter son pouvoir.

La semaine suivante elle voulu recommencer, tout en craignant de rater
l’épreuve.
Il a l’habitude de prendre sa douche à dix-neuf heures, et Babeth,
prévoyante s’était « envoyé » un thé et un verre d’eau à dix-huit heures
trente. A dix-neuf heures, il ne paraissait pas pressé de gagner la salle de
bain. Par contre, Babeth, se sentait pressée d’aller aux toilettes.
L’inciter à aller prendre sa douche tout de suite ? Se retenir encore et
attendre avec le risque d’être obligée de vidanger avant qu’il y aille ?
Elle y réfléchissait en mettant le couvert pour le dîner quand elle
l’entendit se lever et entrer dans la salle de bain. Il fallait faire vite
ou attendre plus longtemps l’arrêt de la douche. Elle se précipita.

– Excuses-moi… j’aurais dû faire pipi avant que tu entres. J’ai vraiment
une grosse envie.

Elle fut surprise de s’entendre répondre :

– Mais la douche peu attendre quelques secondes… Tu veux que je sorte ?

Elle était prête de pisser dans le couloir. Elle ouvrit la porte brusquement
et eu juste le temps de se mettre au-dessus de la cuvette. Jupe relevée,
elle tira rapidement sur l’entrejambe de son slip pour envoyer debout devant
elle un superbe jet qui faillit atterrir sur le carrelage de la salle de
bain. Elle se pencha en avant et fléchit un peu sur les jambes pour qu’il
reste dans la cuvette.
Son copain n’en croyait pas ses yeux, et elle regrettait presque d’avoir bu
tout ce liquide au point d’en être involontairement arrivée là. Elle voulait
se justifier auprès de lui, mais confuse, elle s’embrouillait dans ses
explications. Elle lui expliqua que si elle avait attendu encore quelques
secondes de plus…il aurait fallu la serpillière. Elle fit mine de
s’excuser d’avoir fait son pipi urgent d’une manière peu orthodoxe pour une
femme. Mais dans le fond elle se sentait heureuse que les circonstances l’y
avaient poussée. Il reconnut que cela ne lui déplaisait pas du tout, au
contraire, et qu’il espérait la voir recommencer dès qu’elle en aurait
envie. Un peu perturbée quand même, elle sortit et le laissa prendre sa
douche.

Rien que de me le raconter, elle en était encore toute gênée,
et elle voulait savoir si j’avais déjà fait la même chose avec toi. Tu
penses, je me suis retenue de rire et je me suis permis de lui dire que nous
allions même plus loin, même lorsqu’il n’y avait pas d’urgence comme c’était
son cas.
Je voulais la pousser un peu plus haut, et je lui demandais si elle était
prête à me faire une démonstration. Elle assura que jamais elle n’oserait en
ma présence. Je tentai de la convaincre en lui rappelant qu’elle l’avait
déjà fait dans la nature avec moi prés d’elle, et aussi devant son copain,
contrainte et forcée.
Devant moi, elle ne devait pas ressentir de gène, cela l’aiderait à prendre
de l’assurance face à son copain. Visiblement elle était convaincue que ce
que je faisais, elle aussi pouvait le faire, et que cela serait un atout
pour elle dans ses ébats. Je décidai de mettre un nouveau poids dans la
balance. Personne dans le bar, tu sais « A l’aquarium »?… J’en connais les
toilettes pour les avoir utilisées plusieurs fois. C’est ce qu’il nous
fallait. Communes Hommes et Dames, et une porte verrouillée évidemment. Je
me levai et lui dis énergiquement :

– Allez viens, on y va !

Elle hésita encore une seconde et finit par me suivre. Au bout du petit
couloir, je jetai un coup d’oeil derrière nous, il n’y avait toujours
personne dans le bar. Je la fis entrer la première. Je tentais de
l’encourager en lui disant que j’avais envie et que allais faire en même
temps qu’elle. En jupes toutes les deux c’était facile. Elle fut enfin
d’accord et s’installa au-dessus de la cuvette. Je l’arrêtai en lui
précisant que nous allions toutes les deux faire en même temps sur la stalle
face au mur. Elle rougit de honte, mais l’envie de ne pas se dégonfler fut
la plus forte et bientôt nous nous sommes trouvées toutes les deux côte à
côte, jupes levées et slips écartés face à la faïence. Je me retenais en
attendant qu’elle puisse commencer. Je l’encourageai à se détendre et lui,
promis de faire moi aussi dès qu’elle commencerait. Elle avait bien reçu mes
indications de la première fois et je la vis glisser deux doigts dans sa
fente qu’elle tirait un peu vers le haut. Je remarquai aussi qu’aujourd’hui
elle était en partie épilée.

Elle protestait en riant doucement pour donner le change, et en disant que
si c’était facile pour moi qui avais l’habitude, pour elle ce n’était pas le
cas, et qu’elle m’enviait. Et ce qui devait arriver arriva. Elle envoya un
magnifique pipi loin de ses pieds, mais presque sur les miens, et c’est dans
notre rire discret mais réel que je me laissais aller à mon tour comme
promis. Elle avait rectifié la position des doigts et nos deux jets se
rejoignaient face à nous dans un bruit de chute d’eau. Puis ce fut un
kleenex pour chacune pour un petit séchage presque inutile. Nous avions
l’une et l’autre fait un pipi presque sans « bavures ». Nous avons ensuite
retrouvé notre table au bar. Les seuls clients étaient à la terrasse et
n’avaient pas remarqué notre petit manège à deux en même temps aux
toilettes.

– Et même… dis-je à Babeth. Enfin,…pourquoi deux femmes ne
pourraient-elles pas entrer ensemble dans les toilettes ? Après tout l’une
pourrait avoir besoin de l’autre ? Chez les hommes, les urinoirs sont bien
communs !

Nous avons terminé notre verre en parlant d’urolagnie dont Babeth
connaissait peu de choses. Mais cela l’intéresse de plus en plus.
Maintenant complètement décontractée, elle dit en riant :

– Et comme c’est la période des examens, je suis l’élève, et tu es
l’examinatrice, quelle note m’accordes-tu ?
– Je te mettrais 16 sur 20. Avec une mention spéciale : Elève douée. Peu
encore faire des progrès et devra veiller à éviter les pieds de son
professeur.

Ce fut le fou rire. Elle s’excusa. Je la rassurai. C’était juste quelques
gouttes d’éclaboussures. J’ai fait une adepte, c’est sûr, son copain
pourrait me remercier.

– Tu n’as pas honte d’avoir par deux fois dévergondé une fille sérieuse ?
– Dévergondé ?… T’en as de bonnes ! Tu crois que son copain n’appréciera
pas tout comme toi que son amie lui fasse une petite démonstration d’uro de
temps en temps ?
– Bien sûr que si. Tous les hommes aiment les petites pisseuses comme toi.
– Tiens… A propos… Depuis que suis rentrée je n’ai pas fait pipi.
– Toujours assise prés de moi sur l’accoudoir du divan, elle porta la main
au bas de son ventre épilé en précisant :
– Une femme toute nue… qui a envie de pisser… ça t’inspire?…si oui, tu
viens avec moi, et tu me prêtes tes doigts.

Ce soir là, nous avons dîné plus tard que d’habitude, mais Martine
m’interdit de dire pourquoi.

Jean-Michel et Martine

Janmich59@aol.com

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