Malheurs et Bonheurs d’une femme-fontaine par Jean-Michel_et_Martine

Martine avait été chargée par notre employeur d’animer un séminaire de
perfectionnement à la prise de vue photographique pour les agents qui en
avaient besoin. C’est ainsi, qu’un vendredi vers quinze heures, je l’aidai à
mettre son attaché-case, son sac de voyage et son matériel photo dans le
coffre de sa voiture. Elle devait avoir un premier contact avec les
participants le soir à dix-neuf heures et terminer dimanche à dix-sept
heures. Je la vis démarrer avec un sourire un peu figé par l’appréhension et
un grand signe de la main, direction Paris via l’autoroute A1.

Vers 21 h 30 elle m’appela. Tout allait bien. Elle avait retrouvé pas mal
d’anciens collègues et en particulier l’une d’entre elles, avec plaisir.
Le patron l’avait présentée, et avec son épouse, invitée à dîner. La chambre
était « super », et la voiture avait droit à une place dans le parking de
l’hôtel. Bref, tout s’annonçait bien. Début de séminaire samedi à 8 h 30
.
Nouveau coup de téléphone samedi soir. Tout allait encore bien. Bonne
ambiance. Sauf un petit humoriste qui trouvait toujours quelque chose à
ajouter pour tenter d’amuser la galerie, mais il n’avait aucun succès, il
avait d’ailleurs reçu un rappel à l’ordre amical de la part de son chef.
Dimanche, vers dix-huit heures trente, elle m’annonça qu’elle sortait du
parking, direction la porte de la Chapelle et l’autoroute. Après mes
conseils de prudence, elle me rassura et ajouta :

– A tout de suite…ou presque. Bisous !

Vers vingt et une heures, nouvel appel :

– Je ne te réveille pas au moins ? …Je suis dans le garage. Ce serait
sympa si tu pouvais descendre et m’aider à remonter tous mes « trucs ».

Une fois rentrée, tout posé dans le couloir, évidemment un pipi s’imposait.

– J’avais vraiment une grosse envie. J’ai pourtant fait une halte à Roye,
mais avant de nous quitter, il y a eu Champagne pour tous et tu sais que sur
ma vessie le Champagne… plus un coup de Contrex sur la route, et bien
voilà ! . Je suis contente d’être rentrée. Un peu fatiguant, mais tout s’est
bien passé, à part quelques « lourds »à la traîne évidemment. Le patron avait
l’air content.

– Je te l’avais dit… je connais cet auditoire… et tes capacités.
– J’ai même récolté un super témoignage pour Vassilia. Du sur mesure. Je
t’expliquerai après. Pour l’instant j’ai besoin d’une douche. Et puisque tu
as préparé le dîner, je te raconterai à table.

J’étais curieux de savoir ce qu’elle nous ramenait.
Je la revis peu après sortant de la salle de bain, toute nue, comme à son
habitude, et s’installant dans le plus simple appareil devant son assiette.
Après un petit coup de jus de pamplemousse, elle se lança :

– Oui.je t’ai dit que j’avais un sujet pour Vassilia, enfin tu jugeras. Je
vais te raconter tel que je l’ai reçu, tu rédigeras comme tu voudras. Je
crois que je t’ai dit qu’il y avait un idiot du village qui se permettait de
toujours faire de l’humour au ras des pâquerettes à propos de tout et de
rien. Tout le monde s’en foutait mais lui était heureux jusqu’au moment où
il s’est fait remettre en place.
A la pause du samedi après-midi, nous bavardions à quelques uns prés de la
machine à café. Alors que je disais que Cartier-Bresson assurait qu’il était
difficile de photographier un vrai sourire, cette « patate » ajouta :

« Oui…aussi difficile que de photographier le Yéti ou une vraie
femme-fontaine. »

Mon ex-collègue, la copine dont je te parlais, qui était prés de moi me
murmura :

« Le connard… s’il savait, au moins, de quoi il parle !  »

Je lui demandai si elle était concernée. Elle me fit signe « oui » de la tête,
et me posa évidemment la même question :
– Et toi ?

Cà a fait »Tilt » aussitôt dans ma tête.

– Non; mais je dois écrire un article sur ce sujet pour un journal
spécialisé, je voudrais bien que l’on en parle à deux. (Oooooh ! .la
menteuse ! ). Ce soir on peut dîner ensemble. Elle m’a répondu oui tout de
suite.

On s’était donné rendez-vous dans un petit resto qui sert des salades
« super », et elle m’a raconté sans difficultés, après que je l’ai eu mise en
confiance.

– Non… moi je ne suis pas une femme-fontaine. Remarque, les femmes le sont
toutes plus ou moins. Voilà pourquoi chez certaines cela passe inaperçu. Toi
tu l’es fort ?
– Oh ! Oui… Une vraie averse par moment ! …Et impossible de l’empêcher.
– Tu l’as toujours été ?
– Non. A la puberté je ne l’étais pas. Cela, autant que je m’en souvienne a
commencé vers seize ou dix-sept ans je crois. Je n’avais pas encore de
copain, mais évidemment j’avais des envies comme toutes les filles de mon
âge je pense, et à force d’entendre les copines raconter ce qu’elles
faisaient, j’y ai mis aussi les doigts pour me masturber. Je croyais comme
une idiote qu’il fallait s’arrêter quand on sentait quelque chose.
Un jour, je n’ai pas pu m’arrêter tellement c’était bon, j’ai ressenti une
drôle d’impression et mes doigts se sont mouillés plus fort d’un seul coup.
J’ai cru que le plaisir m’avait fait pisser. Heureusement, j’étais sur un
vieux fauteuil et çà a passé inaperçu. J’ai cru vraiment que j’étais
anormale, jamais je n’avais entendu parlé de cela.
J’ai été longtemps sans oser me caresser, puis j’ai recommencé. Tantôt çà le
faisait, tantôt çà ne le faisait pas. J’ai pensé que cela dépendait
peut-être de l’état de ma vessie et j’ai voulu en avoir le coeur net. Je
suis allée aux toilettes avant de me masturber, et évidemment, malgré cela
j’ai quand même mouillé d’un seul coup. Je n’y comprenais plus rien, je
t’assure.
Je me disais qu’une vessie ne se remplit pas aussi vite. Je n’osais pas en
parler aux copines. Je me basais uniquement sur mes expériences.
Un jour que j’étais chez la coiffeuse, je vis dans un journal de mode des
photos de mecs vraiment au top, physiquement. Le soir, en me déshabillant
pour prendre ma douche, toute nue, je repensais à un de ces hommes qui
m’avaient éblouie sur les photos, et j’ai eu une envie terrible de me
caresser en fantasmant sur lui.
Pour être sûre de ne pas gâcher mon plaisir par mon urine, comme j’étais
dans la cabine, j’ai pensé qu’il était là prés de moi, et que c’était lui
qui me disait de pisser pour lui avant qu’il me caresse.
J’ai pissé très fort devant moi, et j’ai vraiment insisté pour être sûre
d’être bien vide, et j’ai commencé à me masturber en pensant que c’était lui
qui le faisait.
Le plaisir arriva très vite, çà montait rapidement, et pas question de
m’arrêter. Des doigts de la main gauche j’écartais mes lèvres et de la main
droite je m’affairais sur mon clito. Mais ce n’étais pas moi…c’était lui
qui me caressait ! Soudain, je ressentis un orgasme terrible, comme un
éclair qui allait de la tête aux pieds, et ce fut en même temps comme un
verre d’eau tiède qui sortait de mon vagin pour couler sur mes cuisses
entr’ouvertes. Je n’avais jamais joui aussi fort. Là, je ne m’étais pas
arrêtée, je crois que c’était mon premier vrai grand orgasme, et en même
temps, j’avais acquis la certitude que ma vessie étant vide, cela ne pouvait
venir que de mon vagin, et d’ailleurs, je l’avais bien senti monter sans que
je puisse me retenir.
J’aurais dû en parler à ma mère. Mais on ne parle pas de ces choses là. J’en
ai juste parlé à une copine qui avait entendu dire que c’était normal, que
chez certaines femmes c’était ainsi.
J’avais vingt ans quand j’ai vraiment fréquenté un homme. Au début, bien
sûr, on tient ses distances. On sort ensemble, on flirte. Et au bout de
quelques mois, il se hasarda à passer sa main entre mes cuisses alors que
nous étions assis sur un banc et que l’on s’embrassait. Il se fit plus
insistant et bientôt je sentis un doigt qui glissait dans l’entrejambe de
mon slip pour atteindre ma fente. Je me dis qu’il fallait bien que l’on en
arrive là un jour. Et d’ailleurs çà ne me déplaisait pas, c’était la
première fois que je laissais un homme aller aussi loin avec moi. Sa caresse
était agréable. Il remonta vers le haut de la fente, atteignit mon clito
tout heureux qu’un doigt masculin s’occupât de lui.
Je le laissais vraiment faire, je sentais même l’orgasme proche, et soudain
je pensais à sa main qui allait peut-être être inondée, à mon slip qui
allait être trempé et surtout à ma jupe tachée. L’horreur pour rentrer. Je
pouvais éventuellement rentrer sans culotte, mais pas sans jupe !
Je repoussais son bras avec une fausse excuse, disant que pour aller plus
loin cela ne pouvait pas se faire sur un banc, que l’on verrait un autre
jour. Il fut déçu, un peu fâché. Je dû lui promettre que ce ne serait pas
long. Quelques semaines plus tard, sur sa promesse d’être gentil et
d’utiliser un préservatif, j’acceptai de le suivre dans sa chambre prés de
l’université.
Nos intentions étaient claires à tous les deux. Toi aussi, tu as dû vivre
cela la première fois. On est empruntées et on ne sait pas comment s’y
prendre. Il avoua que pour lui çà n’était pas la première fois, mais que la
précédente fille était moins bien que moi (évidemment ! ). Moi, je lui
avouai que c’était bien première fois, avec un peu de honte, mais dans
l’espoir qu’il serait plus tendre, plus gentil. Il le fut, me couvrit de
caresses, de baisers, et me demanda même si à ce moment je voulais aller
plus loin. Evidemment, sa question me surprit au point où nous en étions. En
fait, je crois qu’il était aussi gêné que moi.
Ses caresses avaient été efficaces, je me sentais bien lubrifiée et il n’eut
aucun mal à me pénétrer. Moi, j’eus un peu mal, mais c’était supportable, je
n’étais plus une petite fille quand-même ! Je sentais qu’il avait vraiment
envie de moi, cela faisait rapidement monter mon plaisir. A deux pas de
l’orgasme, je me mis à penser à ma fontaine. Il fallait me retenir. Toute
heureuse, je devinais qu’il éjaculait et je pensais que c’était bien ainsi,
que cela s’était bien passé pour moi.
Il se retira, ôta le préservatif d’un air triomphant, et comme pour me
remercier, en macho, il caressa ma petite chatte du revers de la main. Comme
j’étais restée sous pression, c’est, si j’ose dire, la goutte qui a fait
déborder le vase. J’avais jusqu’à là réussit à me maîtriser, mais le contact
de cette main tardive sur ma vulve humide me fit monter la dernière marche
pour atteindre le sommet et avant que j’ai le temps de faire quoi que ce
soit, il reçut sur les doigts une grande giclée à laquelle il ne s’attendait
pas.

– T’es folle.me dit-il.t’as pissé dans mon lit. T’es une vraie dégueulasse !
Tu pouvais pas faire avant ?

J’essayai de lui expliquer en m’excusant, mais il n’entendait rien.
Je lui expliquai que ce n’était pas de l’urine, que çà allait sécher, que
c’était une manifestation automatique de mon plaisir. Il ne répondait qu’en
gueulant et en m’insultant. Il était complètement métamorphosé. Je n’avais
plus qu’une chose à faire : me rhabiller, remettre ma culotte sans même
m’essuyer un peu, et filer direction l’arrêt de bus pour rentrer.
Je te jure, Martine, j’ai pleuré toute la soirée. Ma mère l’a remarqué, elle
a pris cela pour un chagrin d’amour. Tu parles d’un chagrin d’amour ! Elle
tenait à me consoler tout en étant à côté de mon vrai problème, que je
vivais vraiment comme un handicap.
J’ai revu ce gars une fois, il était avec des copains, et il leur a parlé à
voix basse quand il m’a vue. Ils se sont mis à rigoler les petits cons.
Devines pourquoi ?

– Et maintenant, Sylvie, tu n’en es pas restée là quand même ?
– Non.çà c’est une vieille histoire. On peut l’appeler « Les déboires d’une
pauvre femme-fontaine incomprise ». Tiens, maintenant regardes, j’ai même une
alliance. Je suis mariée depuis six mois. On se connaissait depuis deux ans
quand on s’est décidés.
– Tu l’avais prévenu avant la première fois avec lui je suppose ? Comment à
t’il réagit ?
– Il savait ce que c’est qu’une femme-fontaine et était ravi…que j’en sois
une. Il trouve formidable qu’une femme manifeste ainsi involontairement son
plaisir.
La première fois, j’avais quand même de l’appréhension, et j’avais un petit
doute quant à la façon dont il allait prendre le bon côté de la chose si je
me libérais. Ca c’est passé chez moi cette fois, dans mon petit appartement.
Avant de dire oui, j’avais bien expliqué ce qui pouvait lui arriver avec une
femme-fontaine. Il fallait, c’était sûr, des préparatifs, car je me sentais
terriblement motivée pour la chose. Et c’est en riant tous les deux que nous
avons étendu deux grandes serviettes éponges sur mon lit.
Les préliminaires furent enchanteurs, tout le répertoire y est passé. C’est
vrai qu’il avait plus d’expérience que moi. Puis il m’a dit :

– Allez, c’est toi qui va me le faire.

J’étais un peu gênée. Je ne m’attendais pas à cela
Il s’est couché sur le dos et m’a installée à cheval au-dessus de lui en me
disant :

– Passes ta fente sur le bout de ma queue, tu verras comme c’est bon.
C’est ce que je fis, doucement, en m’appliquant, avec beaucoup de plaisir. A
chaque fois, çà tapait sur mon clito. Apparemment, lui aussi appréciait
cette façon de faire. Je sentais la pression monter de part et d’autre. Je
ne pensais qu’au plaisir que je voulais lui donner.
Il m’arrêta pour me pénétrer et dit toujours avec moi à califourchon :
– Continues… toujours doucement… fais pour toi aussi.

Je sentais que j’étais prête à jouir, je voyais à son visage que lui aussi
était prêt. Chaque va et viens nous rapprochait rapidement de l’éclatement.
Et tout à coup, je le sentis se crisper, ses mains empoignèrent mes hanches,
je jouissais en même temps que lui et… lui envoyais sur le bas ventre et
les serviettes une grande rasade de ma fontaine.

– Si tu me dis que tu n’as pas joui, je ne te crois pas ! Dit-il.

Et il m’attira et me serra contre lui. Je ne pensais pas qu’il aurait un tel
comportement. Nous sommes restés ainsi plusieurs minutes enlacés. Puis c’est
en riant à nouveau que nous avons regardé les serviettes qui avaient bien
fait leur office.

– Tu vois, maintenant je suis heureuse et presque fière d’être
une femme-fontaine. Et toi, Martine, tu n’es pas une femme-fontaine alors ?
– Et non… ou alors très peu, comme presque toutes les femmes, çà ne se
remarque pas. Mais sexuellement… tout va bien quand même pour moi je
t’assure.
– Remarques bien que prévenus, cela joue quand même des blagues. Tu veux que
je te raconte la dernière en attendant les « décas » ? Attends-nous sommes
samedi. C’était donc ce jeudi soir. J’étais rentrée de l’agence tard et
énervée. Mon mari s’était occupé du dîner, et avant de manger, pressentant
que j’aurai du mal à m’endormir vu que la tête bouillonnait et que je
pensais à ce séminaire, j’ai pris un demi comprimé de D. Une fois au lit, je
commençais à bailler, mais je sentais que mon homme espérait autre chose. Je
me retrouvais, je ne sais plus par quel chemin au-dessus de sa verge en
érection, comme tout à l’heure. Je sais qu’il aime cette position. Moi, avec
mon demi comprimé : .que dalle ! J’avais plus envie de dormir que de jouir.
Il s’en rendit compte et se souvint que dans les cas difficiles, mon clito
ne résiste pas à sa langue.
Il m’invita donc à me mettre en bonne position pour cela Et c’est vrai, en
général ses petits coups de langue sur mon berlingot ça me rend folle
d’envie. Je commençais à me réveiller, à tel point que j’appréciais
vraiment. Il me tenait les fesses. Avec le peu de liberté qu’il me laissait,
je parvenais quand même à un petit mouvement de va et viens et c’est toute
ma fente que sa langue caressait. C’était bon ! .tu peux pas savoir.

– Ah, si quand même !
– Je n’avais plus envie de dormir. Ce petit manège pouvait durer encore
longtemps. Et d’un seul coup, l’explosion ! Je ne m’étais pas méfiée… Je
ne parviens pas à me reculer et je lui en mets plein la figure ! Le pauvre,
il ruisselait. J’étais gênée ! …Jamais çà ne m’était arrivé dans de telles
circonstances. Je me méfie d’habitude. On s’arrête avant. Ca l’a fait rire.
Il en avait plein le nez… plein la bouche. Il a dit que c’était comme de
l’eau et qu’il faudrait recommencer un de ces jours. Il m’a dit aussi que
comme punition je devais le « finir ». Ce que j’ai fait volontiers. Je suis
redescendue sur son ventre pour m’empaler et il n’a pas tardé à partir et
moi à repartir avec lui. Puis il est allé se débarbouiller un peu pendant
que changeais l’oreiller. Mais si tu parles de cela dans ton article, tu me
jures que l’on ne me reconnaîtra pas ?

-Tu vois mon Jean-Mich’.conclua Martine…Il y a du pain sur le planche.
Demain on se met au clavier. Les femmes-fontaines comptent peut-être sur
nous pour les réhabiliter. Au fait… ça t’aurait plu d’avoir une copine
femme-fontaine ? …Bah ! …Je ne suis pas fontaine… mais je suis
« pisseuse »…çà a son bon côté aussi… pas vrai ?

Sur cette conclusion, toujours provocatrice dans sa tenue d’Eve, elle se
lève de sa chaise, se dirige vers les toilettes en me tendant la main d’un
air de dire :

– Tu viens. ?

Pas besoin de décodeur pour comprendre l’invitation.

Jean-Michel et Martine
(et aussi la dite Sylvie)

Janmich59@aol.com

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