Ma première domination par jeunedomi67

Ma première domination
par jeunedomi67


La porte est entrouverte comme convenu. Sans bruit, j’entre dans la maison. J’enlève mon manteau et je l’accroche à une patère, ensuite, je pénètre à droite dans le salon. Un homme complètement nu me tourne le dos à 4 pattes. Je m’approche de lui, les talons de mes chaussures claquent un peu sur le carrelage, à ce moment, il cambre son dos pour me présenter au mieux son cul. Il a respecté les consignes que je lui ai données par mail. Il ressemble bien à la photo qu’il m’a envoyée, un mec plutôt baraqué, avec un beau cul assez rond. Je tourne autour de lui en silence, il garde la tête basse et de moi il ne voit que mes chaussures. Je romps le silence en essayant de prendre une voix à la fois calme et assurée:

– «En voilà une belle chienne, prête à se faire saillir»
– «oui maitre» dit-il d’un souffle.

D’après ce qu’il m’a dit, c’est la première fois qu’il se soumet de la sorte. Pour moi aussi c’est la première fois. J’ai déjà connu quelques aventures bisexuelles, mais jamais ce genre de plan où je dois dominer un homme.

La situation m’excite vraiment beaucoup, je sens mon cœur battre fort, la chaleur monte à mon visage, ma queue est tellement tendue et la situation tellement excitante que mon ventre me fait mal, j’ai envie de pisser tellement je suis excité, surtout que depuis hier soir, je ne pense plus qu’à ça. J’ai dû me branler dans les toilettes pendant que ma femme dormait, pour soulager l’excitation. Mais au réveil, je me suis de nouveau projeté sur cette séance de domination.

– «Monte à 4 pattes sur le canapé». Lui dis-je.

Il s’exécute sans un mot. Il garde la tête basse, comme je le lui ai demandé par mail. Je pense que lui aussi est très excité, sa respiration est irrégulière, j’ai l’impression qu’il cherche à se contrôler mais j’aperçois par moment son corps qui frissonne et ce n’est pas de froid. Dans la pièce il fait chaud, il a mis le chauffage à fond parce qu’il sait qu’il va devoir rester à poil un bon moment. J’enlève mon gilet, mais pour l’instant je garde le reste de mes vêtements.
– «C’est bien tu es un bon chien», je lui tapote les fesses comme je l’ai souvent fait sur les ventres des chiens de mon père. «Tu obéiras à ton maître, n’est-ce pas?»
– «Oui maître, je ferai tout ce que vous voulez».
– «Bien c’est très bien», ma main se promène sur ses fesses et j’en profite pour passer par la raie et caresser lentement et doucement son trou en allant jusqu’à ses couilles.
– « haaa», il gémit doucement, son dos s’est cambré sous la caresse.

Je caresse sa queue maintenant. «Haa, haa». Il s’abandonne, sa tête s’abaisse maintenant complètement, il est maintenant offert à quatre pattes sur ce canapé. Je continue de le caresser de la queue jusqu’à son anus, de l’anus jusqu’au bout de sa queue. Je rentre une phalange de temps en temps dans sa rondelle. Doucement, lentement, je l’écoute gémir. J’aime cette sensation de pouvoir. Je sens qu’il est à moi, qu’il prend du plaisir par ma main. Je suis excité comme un fou, ma bite est dure dans mon pantalon, je sens mon caleçon devenir humide par mon liquide séminal.

Je remonte jusqu’à ses fesses, et je le claque un coup sec.

– «Ha!»
– «Silence ! Chien! Je t’ai donné un petit aperçu du plaisir que je peux te donner, mais si tu en veux plus il faudra me montrer que tu es mon chien.»
– « Oui maître, je ferai tout ce que voudrez» me répète-t-il la voix un peu étouffée.

C’est étrange, cette situation. Il a une bonne dizaine d’année de plus que moi, j’en ai trente-six, physiquement il est plutôt costaud, d’après ses mails un bon mètre quatre-vingt-cinq et pas loin de 90 kilos. Moi je suis plus petit un peu moins d’un mètre quatre-vingt pour à peine 80 kilos. C’est lui le plus vieux, le plus costaud et c’est moi qui en fait ce que je veux, il est mon esclave soumis à mes ordres. Je me force à rester habiller car je sais que cela l’excite d’être le seul à poil, et moi aussi cela me plait mais j’ai vraiment envie de sortir ma bite et de lui plonger dans la bouche et dans le cul.

Non, il faut que je me calme, c’est bon de prendre le temps, le plaisir n’en sera que meilleur.

Je prends sa tête dans mes deux mains, je la fais pivoter jusqu’à ma braguette et je frotte son visage contre mon pantalon.

– «Tu sens ma queue, petite salope? Ça c’est une queue de mec, pas comme ce qui pend entre tes cuisses».

Je suis un peu salaud, parce qu’il a une belle queue, peut-être même plus grosse que la mienne. Je suis dans la bonne moyenne 16-17 centimètres avec un diamètre moyen, je pense, pas trop fin, pas trop gros. Plutôt bien adapté à la sodomie.

– «Ne t’inquiètes pas», lui dis-je tu en continuant à frotter sa gueule contre ma queue. «Tu vas la bouffer tout à l’heure, ne t’inquiètes pas» «Un bon chien a toujours une laisse, attends là, je vais la chercher».

Je ne suis pas vraiment équipé, alors j’ai improvisé en piquant à ma femme un grand foulard en tissu. Je lui passe autour du cou, fais un nœud qui ne se resserrera pas. Il me reste assez de longueur pour le promener en étant juste derrière lui.

– «Allez! Descend maintenant.»

Je lui claque le cul.

«On va faire le tour du propriétaire. Tu marches à quatre pattes devant moi et tu dandines bien ton cul, ma salope».

Il descend du canapé, les mains en avant puis avance à quatre pattes, en tournant un peu les fesses. Il a beau cul d’ailleurs, assez rond, pas très poilu, un peu rouge maintenant sous l’effet de mes claques. Je tiens la laisse et je m’amuse à ne pas lui laisser trop de mou, bon il faut dire que je n’en ai pas beaucoup de toute façon. On fait le tour du rez-de-chaussée tranquillement, je vois qu’il y a une baignoire dans la salle de bain et je me dis que ce sera parfait pour lui pisser dessus.

C’est une de ses demandes, il a envie d’être humilié et il souhaite que je lui pisse dessus. Moi ce n’est pas un truc qui jusqu’à présent me faisait tripper, mais bon comme ça ne me coûte rien, je lui ai répondu par mail, «j’en prends note, on verra selon mon envie».

Pendant notre correspondance par mail, j’ai compris que j’avais vraiment très envie de dominer un homme. A chaque mail, que je lui écrivais, je prenais du plaisir à l’humilier par écrit, à diriger notre scénario, en définissant une ligne directrice, mais en lui signifiant que je serai le maître et lui le chien qui obéit.

Au début, je ne croyais pas trop que nos échanges de mails aboutiraient à une rencontre en live. Nous habitons dans une petite ville du centre alsace et la population bi n’est pas immense si l’on enlève tous les fantasmeurs, dont il m’est arrivé parfois je l’avoue de faire partie et les vrais bi motivés.

Hormis quelques rencontres avec des mecs pour des plans plutôt rapides, branlette et pipe, je ne m’étais pas mis grand-chose sous la dent. J’avais envie de quelque chose de mieux c’est pour cela que j’ai rédigé une annonce sur un site gratuit de petites annonces en général.

Homme marié, bi léger débutant dans la domination, cherche homme marié bi soumis.
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Pour éviter les lapins, laissez-moi un tel et une photo de vous-même sans le visage. Discrétion assurée.

Plusieurs m’ont répondu, lui avait des disponibilités en adéquation avec les miennes et il pouvait recevoir, donc après quelques mails échangés, me voici chez lui en train d’en faire mon jouet sexuel.

Nous retournons dans le salon, lui toujours à quatre pattes et moi derrière lui tenant la laisse et matant son cul qui roulait d’un côté puis de l’autre. Je m’assis sur le canapé et lui demandais de m’enlever mes chaussures. Après qu’il m’eut enlevé mes chaussettes, je lui fis lécher mes pieds. En commençant par le gauche, il lécha du pouce jusqu’au talon plusieurs fois. Je tournais ensuite mon pied pour qu’il me lèche l’autre côté. C’était assez agréable, on ne m’avait jamais fait cela. Je lui donnais ensuite mes orteils à bouffer

– «Tiens chien, bouffe moi les orteils».

Mon autre pied alla caresser sa queue. J’en faisais le tour, n’oubliant pas ses couilles. De son côté, il s’appliquait et me bouffait et léchait les orteils un à un. Je l’encourageais de la parole en lui répétant qu’il était un bon chien bien obéissant et que s’il continuait ainsi, il serait bien récompensé.

Je lui demandais de s’allonger sur le dos devant le canapé. Il s’exécuta immédiatement. Moi toujours assis sur le canapé, je lui donnais à lécher mon autre pied et du gauche je jouais avec sa bite. Je passais mon pied entre sa bite dure et son ventre. Je faisais des petits allers-retours ce qui me permettait de caresser sa queue et d’après ses gémissements je crus comprendre que cela devait être très agréable.

«Reste comme ça !»

Je me levais pour enlever mes vêtements. J’étais maintenant à poil moi aussi et il pouvait contempler mon corps, et ma queue.


«Tu sais ce que font les chiens lorsqu’ils rencontrent un mâle dominant?»

Un petit instant de réflexion

– «Oui, maître»

Je me suis alors assis sur sa tête pour me faire bouffer le cul, j’avais placé ses bras le long de son corps et je les bloquais avec mes cuisses. Il était entièrement à ma merci et j’approchais mon anus de sa bouche. Pour lui je pense que ce fut très excitant de voir mon cul, qui est très beau, s’approcher de sa bouche. Ce fut génial, il me lécha le trou comme jamais on ne me l’avait léché. Je le guidais en remuant mon cul, pour qu’il me lèche exactement comme j’en avais envie. De temps en temps je me reculais un peu pour me faire lécher les couilles, puis j’avançais de nouveau pour que sa langue glisse entre ma raie. D’une mais je lui caressais la queue, le branlant un peu mais pas trop, parce que je sentais qu’il était au bord de la jouissance.

L’excitation et le plaisir accrurent encore plus mon envie de pisser. Je finis par me relever, je tirais sur la laisse pour le faire se relever et je nous dirigeais vers la salle de bain.

– «Monte la dedans» lui dis-je en désignant la baignoire.

Il s’exécuta immédiatement. J’enlevais rapidement le foulard qui lui servait de laisse.

– «Tourne toi et croise tes mains dans le dos».

Je lui liais les mains avec le foulard.

– «Allez tourne-toi encore, j’ai trop envie de pisser»

Je commençais à lui pisser sur le visage, il ouvrit la bouche et je lui envoyais un jet, il essaya d’avaler, se mit à tousser et recracha. Apparemment il n’aimait pas trop le goût. J’orientais mon jet vers le haut de son crâne rasé pour que la pisse lui dégouline dessus.

– «Tire la langue chien!»

Il le fit, des gouttes de pisse se déposèrent sur sa langue. Mon envie assouvie, je pris sa tête entre mes mains

– «Bouffe ma queue maintenant, j’ai envie de jouir»

Ma queue avait débandé mais je retrouvais presque instantanément ma vigueur, je lui baisais la bouche et je jouis très vite dans sa gueule.

Comme c’était bon, j’ai crié mon plaisir d’une voix rauque tellement mon orgasme fut puissant. Je crois que je n’avais jamais connu un tel plaisir. Les préliminaires m’avaient excité au plus haut point et après avoir joui, j’ai dû me tenir au meuble lavabo, j’avais la tête qui tournait et les jambes flageolantes.

Après quelques instants, je repris mes esprits et devant moi mon soumis me regardais. Il était toujours à genoux dans la baignoire les mains attachées dans le dos.

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