Une Inspection approfondie 3 – Un samedi mouvementé (partie 2) par Domi_Dupont

Une Inspection approfondie
3 – Un samedi mouvementé (partie 2)
par Domi Dupont

Quand elle revint, elle avait réintégré son rôle d’Inspectrice : chignon, lunettes et tailleur bcbg. Elle vérifia tout d’abord que j’avais replacé correctement ma parure. Ensuite, elle me demanda de prendre la chaise piégée et de la suivre. Notre destination, la buanderie. Buanderie, un bien grand nom pour une pièce blanchie à la chaux où se trouvaient une machine à laver et bien entendu, le départ de tous les tuyaux de sanitaire. Sur la machine à laver étaient posées deux boites de masses marquées (les poids que tous les écoliers ont utilisé au moins une fois dans leur vie) et les « maintenant » habituels lacets de cuir. Elle devait en posséder toute une collection.

Elle plaça la chaise contre le mur sous une série de tuyaux. Je me doutais vaguement de ce qui m’attendait aussi lorsqu’elle m’ordonna de sa voix de chef de m’installer sur le siège, je ne fus guère surpris. Je m’empalai sur le cône sans grande difficulté. Après ce que j’avais enduré tantôt, le passage était bien fait. Stupidement, j’en conçus quelque fierté et si, à ce moment-là, elle m’avait demandé de me branler le cul sur ce pied de lit, j’en aurai certainement pris un géant (de pied !!!).

Mais c’eût été trop simple !

Elle me fit lever les bras me demandant de positionnant mes poignets contre un tuyau. Elle les lia au dit tuyau au moyen de ses sempiternels lacets de cuir. Elle en utilisa encore pour m’attacher les chevilles aux pieds de la chaise. Ma situation était déjà moins bonne.

Elle n’en avait pas encore fini : elle prit deux poids ; pour être précis, les deux de 500 g, les plus lourds. Cette salope avait bien préparé son coup : un élastique était fixé à la tête de chacun d’eux. Elle les accrocha à mes tétons grâce aux deux petites boucles de fil qu’elle avait installées précédemment : en guise de boule de Noël, j’allais être servi. La vieille peau soutenait les deux masses du bout des ses doigts fins. Elle les lâcha en même temps. La secousse fut identique et simultanée à gauche comme à droite. Je m’étais contracté dans l’attente de la douleur et je ne fus pas déçu. Envie de hurler. Je me mordis les lèvres jusqu’au sang pour ne pas le faire. Je ne voulais pas lui donner cette satisfaction ! Au bout de quelques secondes, la souffrance devint plus tolérable.

Elle m’annonça qu’elle allait en courses et elle serait sans doute de retour avant huit heures (Comme je n’avais pas de montre !!). Elle sortit, éteignit la lumière et ferma la porte. J’entendis la clé grincer dans la serrure. Je restais là dans une obscurité totale, assis sur une chaise, un bracelet autour du zizi, une bite en bois dans le cul, 500 g à chaque sein, pieds et poings liés pour je ne sais combien de temps……c’est pas beau la vie !!!

Les premières minutes, si elles ne furent pas une partie de plaisir, ne furent pas non plus un calvaire. Mais très rapidement, l’obscurité, le silence me firent perdre la notion du temps. Mes bras s’ankylosaient. La tension des masses marquées sur mes seins causait une douleur croissante. Le godemiché me causait moins de souci. Ma rondelle s’était tellement dilatée depuis mon arrivée qu’à la limite, je me sentais plutôt confortable. Pire, il me maintenait dans un certain état d’excitation. J’aurais volontiers commis quelques va et vient pour me masser la prostate, me branler le cul. J’avais essayé mais la moindre agitation de ma part donnait un effet de balancier aux poids et cela m’avait arraché des gémissements… J’étais tenu à une parfaite immobilité et les premières crampes se manifestaient.

Le temps n’avançait pas. J’avais l’impression d’être là depuis des heures. Je finissais par me faire des films: elle était partie et ne reviendrait qu’à la fin du week-end ; elle avait eu un accident de voiture et j’allais crever dans cette maudite pièce où personne ne viendrait me chercher. Je ne parvenais plus à faire abstraction de cette douleur qui irradiait dans toute ma poitrine, bien au contraire je ne sentais plus que ça: je n’étais plus que deux tétons que l’on martyrisait… N’y tenant plus, je me mis à hurler, à crier « au secours ! A l’aide ! Ne me laissez pas crever ! ». Je m’époumonais ainsi durant ce qui m’apparut comme une éternité.

En fait rapidement, la lumière revint et ma bourrelle entra dans la pièce. La garce attendait, sans doute, à côté. Je l’entendis avant de la distinguer car la clarté soudaine m’avait ébloui. Elle était nue et était équipée d’un gode ceinture (à l’époque je ne savais même pas que ça existait), sans doute celui qu’elle avait utilisé jeudi. Je comprenais mieux pourquoi il m’avait déchiré, il était d’un gabarit hors de la normale. Ludo était bien équipé mais il n’aurait pas soutenu la comparaison

– Pauvre poulette ! T’es vraiment une petite gonzesse craintive. Je te laisse à peine une demi-heure et déjà tu paniques. Enfin n’en parlons plus.

– Enlevez-moi ces poids. Je vous en supplie !

– J’allais te les ôter mais puisque tu pleurniches, tu les garderas encore un moment.

Tout en parlant, elle leur donna un mouvement de balancier. Enervé comme j’étais, je ne pus me contenir, je hurlai ma douleur. Les mots d’insultes montèrent à mes lèvres. Mais les supplices infligés lors de mon dernier mouvement d’humeur me revinrent en mémoire à temps. Je ravalai mes paroles et hurlai de plus belle.

Plantée en face de moi, elle jouissait ( !!) du piteux spectacle que je lui offrais. Elle malaxait ses grosses mamelles à pleines mains pinçant ses tétons, ondulait des hanches mettant en mouvement son faux pénis. Il devait appuyer sur son bourgeon; ce qui la mettait en émoi. Faux pénis luisant de sa cyprine qui sourdait de part et d’autre du gode. Elle attendit l’immobilisation totale des poids, avant de s’approcher de moi. Posant ses mains sur mes épaules, appuyant ses loloches contre mes seins tuméfiés, elle lécha avec application les larmes qui dégoulinaient sur mon visage.

Enfin repue, elle me délia les pieds, me releva, retira la chaise. Elle me tourna ensuite face au mur, m’obligeant à reculer de façon que je sois cambré et que je lui présente mon cul bien ouvert. Cette fois, elle n’écarta pas mes fesses, elle positionna sa bite artificielle contre ma raie, m’agrippa les hanches et les attira brutalement à elle. Mon anus était si accueillant qu’il n’y eut aucune résistance: elle s’y enfonça comme dans du beurre et je sentis les chocs de son ventre contre mes fesses, de ses cuisses contre mes cuisses.

Lâchant mes flancs, elle entreprit d’ôter les suspensions de ma poitrine. Nouveau hurlement. Le retrait des pinces exacerba la sensibilité de mes tétins torturés. Une douce apposition du bout de ses doigts déclencha une douleur qui irradia dan toute ma poitrine. Pour commettre cette caresse frôlante, elle m’avait attiré contre elle et excitait ses mamelons en les frottant contre mon dos.

Mes sphincters profitaient des vibrations engendrées par ses mouvements. Son ersatz de bite palpitait contre ma prostate. Ce qui me fit oublier les élancements dans ma poitrine tellement les sensations procurées étaient agréables. Comme toujours avec elle, les bonnes choses ne duraient guères: aussi alors que je commençai de planer, elle arracha brutalement la ficelle de boucher qui étirait mes tétons. J’ai cru qu’elle allait m’estropier et que des morceaux de moi allaient partir avec la ficelle.

Une fois de plus, je hurlai. Ca devenait une habitude.

L’effet fut immédiat : l’extrémité de ses seins s’érigea instantanément contre ma peau, sa bite de théâtre entreprit un pilonnage violent, sa respiration s’accéléra, elle me susurrait des mots orduriers à l’oreille. Elle s’occupait fort activement de mes tétons rendus hypersensibles par leurs ligatures prolongées: elle y plongeait ses ongles, les pressaient entre ses doigts entraînant à chaque fois des soubresauts de mon corps torturé.

Elle ôta, je ne sais trop comment, mais en cisaillant affreusement mon gland, l’anneau qui réprimait ma queue. Chacune de mes réactions l’excitait davantage et elle me labourait de plus en plus violemment. Le phénomène quasi habituel maintenant se produisit: la douleur devint plaisir (j’aurais du peut-être, effectivement, visiter un psy), mes hanches remuèrent, d’abord imperceptiblement, puis de plus en plus franchement pour au final s’accorder à sa rythmique heavy-metal.

J’avais la plus dure érection de ma jeune vie. Plus de mots, seulement sa respiration qui s’affolait. La jouissance qui s’emparait de nous, le plaisir qui montait. L’inattendue : sa main encercla mon vit tumescent et entama une branle sauvage qui produisit un effet quasi immédiat. J’aspergeai le mur de mon foutre trop longtemps contenu. Elle n’interrompit pas sa masturbation pour autant, ni d’ailleurs sa baise. Simplement le mouvement de son pénis s’enrichit d’un effet de bas en haut. Vint la seconde où tout son corps se raidit, où sa gorge expulsa un long râle d’agonie, où elle m’étreignit entre ses bras.

Elle se désencula, me détacha, m’autorisa à me libérer les testicules. Ce que je fis pendant qu’elle se déharnachait.

– Je crois que nous avons besoin d’un bon bain et d’un bon repas, dit-elle tout sourire et manifestement apaisée.

Nous nous baignâmes ensemble. Nous jouâmes dans l’eau comme des gosses. Nous nous savonnâmes mutuellement. Elle eut quelques caresses pleines de douceurs que je lui rendis. Nous échangeâmes même quelques baisers. Après le bain, elle soigna mes meurtrissures avec des onguents apaisants. L’Inspectrice n’était pas revenue, la mégère avait momentanément disparu. La marâtre dominatrice s’était volatilisée après sa dernière jouissance. Elle me proposa d’aller manger dans un petit resto près de Lyon. Nous nous habillâmes pour sortir. Sa seule exigence fut que je porte ma petite culotte en soie alors qu’elle n’en portait pas.

Que vous dire du repas sinon qu’il fut réussi ! Adèle était une convive charmante, cultivée. Nous parlâmes littérature, cinéma, de nous enfin surtout de moi car elle, resta très discrète sur sa vie personnelle. Elle sut tout de mon aventure avec Ludo. Aux détours de la conversation, j’appris qu’elle avait 52 ans, qu’elle avait été mariée à un certain Philippe qui l’avait rendue très malheureuse et l’avait quittée pour un homosexuel, d’où, au départ, sa haine à mon égard.

Elle m’expliqua que sa venue était dictée par ce qu’elle avait lu dans mon dossier: j’avais des activités homosexuelles. Elle avait bien l’intention de me le faire payer mais simplement au niveau boulot car ça avait été, chez elle, une règle absolue jusqu’à ce jour: ne jamais mêler vie sexuelle et vie professionnelle. L’idée du « viol » lui était venue lorsqu’elle m’avait vu.

Malgré la froidure, nous finîmes notre soirée par une promenade sur les bords de Saône. Rien d’autre à raconter sur cette soirée. Si encore une petite chose: alors que notre comportement ne laisser planer aucun doute quant à la nature de notre relation, pas une seconde, je n’ai eu honte d’être avec une personne qui avait l’âge de ma mère. Au contraire, j’étais fier et j’en suis encore fier aujourd’hui, qu’une femme comme elle ait pu s’intéresser à un benêt comme moi.

Nous rentrâmes vers deux heures du mat et c’est tout naturellement que nous nous retrouvâmes dans sa chambre. Nous nous déshabillâmes de concert tout en continuant de discuter. J’admirais ce corps si bien conservé l’esprit serein sans concupiscence, laissant mon regard errer de ses longues jambes encore magnifiquement galbées au triangle broussailleux de sa féminité, remonter de sa croupe confortable jusqu’à sa poitrine poirée avec ses mamelons au repos et finir à son visage détendu qui me souriait. Après les désordres sexuels qui avaient précédé, cette contemplation purement esthétique était comme un bain purificateur.

– Tu as assez vu d’horreur pour aujourd’hui ! Au lit ! Nous nous couchâmes et ce fut l’extinction des feux.

Dès la lumière éteinte, elle m’attira contre elle, passant un bras derrière ma tête. Ses lèvres humides parcouraient mon cou y déposant mille petits baisers tandis que sa main libre, vagabondait sur mon torse, titillant mes tétons toujours très sensibles, pénétrant mon nombril, s’arrêtant à ma frêle toison pubienne. Ces cajoleries auxquelles elle ne m’avait pas accoutumé déclenchèrent un début d’érection. Ne voulant pas être en reste, je donnai carte blanche à mes mains pour explorer son dos, apprécier le grain de sa peau, effleurer son sein, jouer avec son bout érectile. Nous étions aux antipodes du comportement bestial de cet après-midi : cette nuit, tout n’était que tendresse.

Chaque geste, chaque caresse n’était qu’esquisse, que souffle léger, qu’affleurement. Mon érection gagnait en intensité surtout depuis qu’elle prolongeait ses attouchements jusqu’à ma bite. Du bout des doigts, dans un délicat mouvement, elle l’avait décalotté. Elle lissait mon mat de sa paume ouverte pour ensuite capturer mes boules qu’elle massait, toujours paume ouverte. Nos bouches s’étaient jointes pour un baiser de cinéma. Mes mains devenues plus hardies s’occupaient l’une de sa poitrine et l’autre de son sexe.

Faire rouler entre mes doigts concomitamment un téton géant et un clitoris érigé se révélait un jeu très excitant pour elle comme pour moi. De temps à autre, un index farceur se faufilait entre ses lèvres pour s’introduire frauduleusement dans son temple d’amour bien irrigué pendant que son copain le pouce pressait le bourgeon humide. Elle me prenait le pénis en bouche, me le léchait, effectuait quelques moelleux aller et retour puis l’abandonnait sagement. J’essayais sans doute très maladroitement de lui rendre la pareille, aspirant son bouton, le léchant, le baisouillant.

Ces agaceries, ces mignardises étaient perpétrées pour entretenir le désir et non pour laisser exploser le plaisir. Elles durèrent fort longtemps mais le moment arriva où notre excitation était telle qu’il fallut conclure. Elle me fit basculer sur elle et, pour la première fois, mon phallus pénétra un sexe féminin. Il s’introduisit sans hésitation et sans difficulté dans une chatte qui se révéla plutôt étroite. Son ventre venait à la rencontre du mien dans un tempo de plus en plus rapide. Mes halètements se mêlaient à ses râles. Soudain je vis des étoiles, je suivis la montée du sperme et la brusque explosion du plaisir. Mon corps se tétanisa au-dessus d’elle et je répandis ma semence. Elle me serra très fort dans ses bras. Je m’affaissai et restai ainsi un long instant puis mon pénis redevenu flasque, je me retirai et me plaçai sur le dos.

J’étais dans les premières brumes du sommeil quand j’entendis des bruits bizarres, étouffés. Il me fallut un temps pour identifier d’où ils provenaient et ce qu’ils étaient. Quand je compris, je fus instantanément entièrement réveillé : Adèle pleurait à chaudes larmes. Je l’enlaçai et lui demandai ce qui se passait.

Voilà ce que, entre ses sanglots, elle me raconta :

– Je ne parviens plus à jouir normalement.

– Mais tu as pris du plaisir ?

– Oui ! C’était agréable ! Mais je ne suis pas parvenu à la jouissance.

Le néophyte que j’étais ne s’était aperçu de rien.

– Cela fait plus de vingt ans que je ne suis pas parvenue à jouir normalement. Il me faut de la souffrance, la mienne ou celle de l’autre.

J’en restai tout effaré et la seule chose qui me vint à l’esprit fut :

– Pourquoi ?

– C’est à cause de mon ex-mari.

Et à partir de ces mots, elle se vida littéralement, elle se confessa pendant plus d’une heure. Je n’osais dire mot, simplement je la câlinais à chaque crise de larmes. Elle avait épousé, peu après la fin de la guerre, le dénommé Philippe, beau jeune homme tout auréolé de ses exploits dans la résistance.

Hélas, elle dut vite déchanter. Le prince charmant se transforma très vite en vilain crapaud. Il s’avéra que le héros qui s’était illustré au moment de l’épuration en tondant les jeunes filles ayant eu des faiblesses pour l’occupant avait auparavant été un serviteur zélé des nazis. Tellement zélé qu’il avait assisté activement, des gestapistes dans leurs séances de torture. Il y prenait son pied.

Le monsieur, décoré, charmant en société se transformait en un dangereux sadique dans le secret de l’alcôve. Adèle dut dans un premier temps subir nombre de brimades, rebuffades, interrogatoires, crises de jalousie et autres tourments moraux. Rapidement les tortures morales ne lui suffirent plus. Il passa aux tourments physiques. Dans un premier temps, elle apprécia ce changement de cap. La fessée, les pinces aux seins, les doigtages virils lui procurèrent de réelles et agréables jouissances.

Cette satisfaction loin de plaire à son taré de mari l’irrita. De la fessée, il passa la badine puis à la cravache. Des pinces à linge, il passa aux pinces à dessin métalliques, d’abord d es petits puis des grosses bien plus pressantes. Des doigts, il passa à la main. Mais toujours Adèle finissait par jouir.

La situation aurait peut-être évolué différemment s’ils avaient eu des enfants. Mais malgré leurs efforts, Adèle ne tomba jamais enceinte. Il la rendait responsable de cette situation, ce qui décuplait sa férocité.

Excédée, Adèle, en cachette, passa des tests qui prouvèrent indubitablement qu’elle n’était pas stérile. La situation dégénéra totalement. Cette pourriture de Philippe perdit toute retenue. Commença alors pour Adèle, la descente aux enfers.

Le jour où elle lui montra les résultats, il piqua une rage folle et la battit comme plâtre. Le choc psychologique le rendit quasiment impuissant et à partir de cette date, il ne prit son plaisir qu’en la faisant souffrir physiquement au-delà de ce qui était supportable. Il inventait toujours de nouvelles tortures plus cruelles les unes que les autres. La chaise était une de ses inventions et le gode ceinture, un de ses achats lors d’un voyage en Suède.

Le pire m’avoua Adèle, c’est que cela lui était devenu nécessaire un peu comme ces enfants martyres qui cherchent les coups parce que c’est pour eux le seul lien affectif qu’ils ont avec l’adulte. Et lorsqu’il l’avait laissé tomber pour s’enfuir avec un homo bien monté, elle avait eu beaucoup de mal à s’en remettre. Depuis elle n’avait jamais pu avoir une relation sexuelle normale satisfaisante, il lui fallait cette violence. Après ces confidences et une fois ses pleurs calmés, nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre.

Le lendemain matin (enfin plutôt début d’après-midi vu l’heure à laquelle nous nous étions levés), elle tenta à nouveau de jouer les grandes méchantes mais le cœur n’y était plus. Nous finîmes le week-end dans la tendresse sans aucune relation sexuelle.

Quelques semaines plus tard, elle m’inspectait pour mon C.A.P. . Quoi qu’ait pu en penser certains esprits chagrins, elle ne me favorisa pas du tout et de l’avis même des deux instits qui l’accompagnaient ce jour-là, elle s’était montrée étonnamment critique envers mon travail.

Nous restâmes amis, confidents mutuels, jusqu’à sa mort accidentelle voici quinze ans et nous passâmes de nombreux week-end ensemble. Nous dormions dans le même lit, tendrement enlacés mais plus jamais elle ne me violenta, plus jamais je ne la pénétrai.

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