L’humaniste par Pegase

L’humaniste
par Pegase

Une envie, comme ça. Oui, une envie de partager un délire, une étincelle d’érotisme, voire mettre le feu à ceux qui se retrouvent dans cette scène, voilà ce qui me pousse à noircir cette page.

Après cette envolée lyrique, redescendons sur terre, car je me lance et après ce récit, je pense que je peux dire adieu aux petits mots sympathiques d’encouragement sur ma boite mail. Si, je vous assure certains le font, et je l’apprécie.

Je vais associer ma tendre et douce épouse à mon délire. Elle est d’ailleurs toujours présente dans mes délires, je trouve excitant de nous imaginer dans des situations irréalistes. Il y a sans doute aussi, un certain plaisir à braver l’interdit, le tabou, devant les yeux de sa compagne. On ne se gène d’ailleurs pas pour se raconter nos phantasmes respectifs et ce jeu aide à pimenter nos soirées.

Je vous aide à nous imaginer : elle, Sabine, petite brune avec une silhouette agréable, des seins menus mais sensibles et surtout une chute de rein dont je suis fou. Moi, Pégase, brun, bien bâti, très peu poilu et espiègle. Nous aimons particulièrement les sports aquatiques et nous reposons autant que possibles nus, autour de notre piscine. Comme je n’aime pas beaucoup les poils, nous sommes intégralement rasés, du moins l’été. Nous sortons peu mais recevons régulièrement des amis.

Ce soir, justement, nous recevons Hervé et Lilo que nous connaissons depuis quelques mois lors de sorties en mer avec notre club de plongée sous-marine. Nous habitons une villa, suffisamment isolée dans le sud-est de la France et nous avons décidé de dîner sur la terrasse à côté de la piscine. Comme lorsque l’on réuni des plongeurs, nous parlons de plongée sous-marine pendant tout l’apéritif. Nous avions préparé un repas léger à base de salade, de grillades et arrosé d’un vin rosé aussi frais que traître.

Le dessert, partie que je préfère, était constitué de glaces et notre conversation se situait moins sur des généralités que sur nos façons de vivre respectives. Lilo, d’origine chinoise nous apporte sa vision particulière. En substance elle nous affirme qu’on ne connaît jamais ses amis ou ses compagnons. Nous lui affirmons le contraire sachant que des années de vie commune nous amènent forcément à bien se connaître. Lilo nous propose alors de jouer le jeu de la vérité et de le vivre comme un défi pour nous prouver son point de vue.

– C’est simple, j’écrit une question sur un petit papier et je le donne à un de vous trois. Vous écrivez la réponse et on met le papier de coté, dans un bol. On se donne le droit à 3 questions chacun. Vous êtes partants ?

Bien entendu, tout le monde se prête au jeu. Lilo écrit une première question et me la passe en me faisant un clin d’œil. Hervé fait de même avec Sabine. A la lecture de la question je commence à comprendre ce que Lilo veut dire par connaître quelqu’un !

– Attention vous deux, rien que la vérité !

En effet, sur mon papier j’ai : soumis ou dominateur ? Je cherche une pirouette pour m’en sortir. Je ne trouve pas et me décide pour la vérité : dominateur le jour et soumis la nuit. J’ignore ce que Sabine a comme question mais elle à l’air d’avoir du mal à répondre.

Je prends à mon tour un papier : anale ou vaginale ? Je le tends à Lilo, qui souris en le lisant et n’hésite pas une seconde en écrivant sa réponse. Le jeu se poursuit jusqu’à épuisement des questions. Hervé nous apprend la suite :

– Maintenant on étale les papiers et on lit toutes les réponses mais sans savoir qui a posé la question et à qui.

Evidemment toutes les questions tournent autour des relations sexuelles, Lilo et Hervé ayant donné le ton. Lilo apprend que je suis soumis vu l’heure tardive, que Hervé se masturbe régulièrement, que Lilo aime le plaisir anal et que ma femme se déclare bi. Je donnerai cher pour connaître l’auteur des autres réponses mais Hervé ne m’en laisse pas le temps.

– Il y a une réponse qui m’intéresse. Celui ou celle qui se déclare soumis, qui est-ce

Après quelques secondes, j’ai avoué et nous en avons discuté. Il se trouve que Hervé est dans le même cas et je sais que Sabine apprécie d’être dirigée dans ses actions sans pour autant aimer les jeux de domination. Lilo, reste très à l’aise dans cette conversation.

– Je suis donc avec 3 soumis potentiels et moi j’adore dominer. Je sens que l’on va s’amuser et je tiens à vérifier votre sincérité. J’aimerais vous voire nus tous les 3.

Lilo se lève et s’installe dans un fauteuil du salon. Nous nous regardons tous les trois, sans bien savoir si nous allons sauter le pas ou non. Finalement Hervé se lève et se dirige vers le salon en se déshabillant. Nous le suivons et bien que gênés nous finissons tous les 3 nus sur le canapé en face de Lilo. Je note au passage que Hervé n’est pas rasé mais que ses poils pubiens sont courts et entretenus. Il s’intéresse d’ailleurs à nos sexes rasés de près.

– Pégase, vous m’avez donné chaud, viens donc me rafraîchir le sexe avec ta langue. Sabine et Hervé, offrez vous un beau 69, je suis assez voyeuse.

J’oublie toutes mes inhibitions devant le plaisir que je sens venir. Je m’approche à quatre pattes de Lilo qui relève sa jupe et approche sa chatte du bord du fauteuil. Son odeur est très agréable et je la lèche avidement. Son sexe est rasé, à l’exception de quelques poils taillés en forme de ticket de métro. Lilo mouille de façon abondante et je prends beaucoup de plaisir à boire sa chatte. Lilo relève ses jambes pour faciliter l’accès à son anus que je m’empresse de lécher. Elle était sincère, cette caresse la fait mouiller encore plus fort. Je sens son anus se dilater et j’en profite pour rentrer ma langue.

– Pégase arrête, tu vas me faire jouir, c’est trop tôt. Maintenant que nous sommes tous bien excités, je vais avoir droit à mon spectacle préféré. Sabine, tu veux bien remplacer ton mari, j’adore les caresses féminines. Les garçons commencez par un 69.

Hervé s’allonge et c’est ainsi que je me retrouve de nouveau à quatre pattes avec sa queue dans la bouche. Cela m’était arrivé une fois auparavant mais cela datait d’il y a une dizaine d’année. Je suis à la fois gêné de sucer un homme devant ma femme et en même temps très excité de braver ce tabou. Sa queue est lisse et agréable à sucer. D’ailleurs mon excitation augmente crescendo, car non content de me sucer comme un dieu, Hervé avait dégagé un bras pour me caresser les fesses et me mouiller le petit trou. Décidant de jouer le jeu jusqu’au bout, je me détend et le laisse me dilater l’anus comme il l’entend. Hervé ma caresse avec douceur et me pénètre avec un doigt, il le fait tourner un peu puis en introduit un deuxième. Je me sens dilaté mais j’adore les caresses anales surtout peu profondes. Lilo semble vouloir plus d’action.

– Sabine, tu as quelques sex-toys ?
– Oui, bien entendu, que dirais tu d’un plug ?
– Tu peux aussi nous amener tes godes, si tu en as ?

Sabine ramène, un plug de taille moyenne ainsi que son petit gode de 2 centimètres de diamètre et le gros gode en latex qui fait presque 4 centimètres de diamètre plus une fiole de lubrifiant.

Lilo prends le plug et s’approche de mes fesses. Elle retire les doigts d’Hervé et les remplace par le plug. La sensation est divine, d’autant plus qu’elle a pris soin de bien le lubrifier.

– Les garçons, inversez votre position, je veux que Hervé soi au-dessus de toi Pégase, mais surtout continuez à vous sucer. Sabine tu veux bien t’occuper des fesses de mon mari avec le petit gode, il adore ça. Je garde le gros pour moi.

C’est ainsi que je vois ma femme, goder Hervé juste au-dessus de moi. La vision est vraiment excitante et je prends beaucoup de plaisir à le sucer. Je sens Hervé au bord de la jouissance, et à cet instant, j’ai envie qu’il jouisse dans ma bouche. Sabine approche son visage du mien.

– Je vais lui défoncer la rondelle et je veux te voire boire son sperme jusqu’à la dernière goutte.

L’étincelle dans ses yeux et son excitation est palpable. Je la voie enfoncer le gode entièrement dans les fesses d’Hervé. Je sens des spasmes entre mes lèvres et de longs jets de sperme viennent ma tapisser le palais. Hervé se retire de ma bouche et cesse de me sucer. Je suis frustré car mon sexe est bandé à la limite de la douleur mais heureux d’avoir recueilli sa semence. Sabine m’embrasse à pleine bouche pour profiter de son goût.

Hervé se rassoit sur le canapé, rassasié par sa chevauchée. Lilo, se défonce la chatte avec notre gros gode et nous regarde nous embrasser.

– Sabine, tu as l’air d’aimer le sperme autant que ton mari. Pégase, viens me prendre.

Lilo s’allonge sur le tapis et je me met au dessus d’elle en plaçant ses jambes sur mes épaules. Ma queue rentre, que dis-je, glisse dans sa chatte trempée. Sabine que ne veux pas rester inactive me retire le plug. J’ai l’impression d’avoir la rondelle ouverte mais elle la remplie bientôt avec ce que je sais être notre gros gode. J’arrête mes mouvements pour m’accommoder de cette présence envahissante. Je sens mon anus très dilaté et ma queue au bord de l’explosion. Sabine m’enfonce le gode doucement et je reprend mes mouvements de va et vient dans la chatte de Lilo. Au bout de quelques aller et retour, je jouis longuement dans sa chatte, le plaisir décuplé par mon anus explosé.

Je me retire après avoir embrassé Lilo et vais me reposer sur le canapé en compagnie d’Hervé qui se caresse doucement en regardant. Sabine, toute excitée demande alors à Lilo, de se placer au dessus d’elle en 69. Le spectacle est saisissant. Je regarde ma femme sucer la chatte de Lilo dégoulinante de mon sperme. Lilo semble adorer cette caresse et sens sa jouissance arriver. Elle écarte les jambes de Sabine et lui enfonce 3 doigts dans la chatte. Nos deux femmes se font jouir intensément dans cette position indécente mais tellement belle à regarder.

– Les amis, je crois que nous allons nous voire plus souvent.

Mais ceci est une autre histoire !

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Une réponse à L’humaniste par Pegase

  1. Jambon12 dit :

    Rendons grâce à l’auteur de ne pas être entrer de suite dans le vif du sujet afin de nous présenter les protagonistes, ais que ce « jeu de la vérité » est poussif !

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