Les audaces de Martine en vacances (3 et fin) par Jean-Michel_et_Martine

La veille de notre départ en vacances, Martine m’avait juré qu’elle allait pendant notre séjour à Douarnenez, me faire le « grand jeu » de la provocation-exhibition.

– Oui…..Ici à l’appartement nous n’avons pas épuisé toutes nos ressources érotiques évidemment…assura t-elle…mais dans de nouveaux décors…je sens que je vais me renouveler. Tiens…j’ai envie de m’installer pour un bon pipi sur le bord de la route…à peine cachée…pour que ceux qui passent à 90 devinent ce que je fais sans profiter du spectacle. Après tout, vous les mecs, vous souciez peu de savoir si vous êtes vus ou pas. Alors…pourquoi les filles ne peuvent pas en faire autant ? C’est pas juste !

En disant cela, elle avait tapé du pied par terre en imitant la petite fille qui pleurniche, puis elle enchaîna :

– Et t’as intérêt à être en forme mon Jean-Mich’, car je te promets de belles occasions de s’éclater. Je sens aussi que je vais avoir de grosses envies de ta langue et de ta queue. Tiens tu seras peut-être autorisé à photographier un pipi mais avec le « numérique » seulement. Tu assumes ?
– Jusqu’à maintenant je t’ai toujours suivie…non ? Bien qu’habitué à tes démonstrations, je craque encore devant tes pipis provocations. J’adore te voir bien droite envoyer ton jet devant toi avec un petit sourire à mon adresse. J’adore toujours autant tes pipis de petite fille pudique, bien assise sur le siège et cuisses serrées, me gratifiant du chant de ta petite source. J’adore quand serrée contre moi tu cales de gêne avant de m’inonder le ventre et les jambes.

Elle parut satisfaite de mes aveux.
Ceux qui ont lu les deux chapitres précédents, savent que ce soir là, tout en préparant les valises, elle m’exhiba sa chatte par la jambe de son slip, histoire de me demander si elle devait s’épiler, et fit en sorte que ce soit moi qui la barbouille de mousse et lui passe le rasoir.
Auparavant, par précaution, mais par précaution uniquement, bien sûr, elle m’offrit un pipi debout dans le lavabo.
Evidemment le pipi…le rasage…ne servirent que de prélude à une bonne séance de sexe et à deux aller-retour première classe pour le paradis, les mains appuyées sur le bord du lavabo.
La route des vacances fut aussi prétexte à quelques provocations « light ». Comme les toilettes féminines étaient saturées, il y eut utilisation des toilettes masculines, à la grande surprise des utilisateurs ;
J’eus droit en bordure de route, à une vidange, assise sur le bas de la portière de la voiture, à mes pieds, alors qu’à quelques mètres, un épais buisson accueillant l’aurait cachée de la route et de mes regards concupiscents. Puis histoire d’animer la conversation, il y eu l’idée qu’un jour elle m’accompagnerait aux urinoirs et que prés de moi, elle simulerait de se soulager, histoire de voir la tête et les réactions des mecs.

Dès notre premier soir à l’hôtel, elle put s’en donner à cœur joie. Elle joua à merveille son rôle de provocatrice sadique au point qu’elle crut que je ne m’apercevais pas qu’il s’agissait d’un jeu. Mais l’envie qu’elle me donnait se voyait et n’avait d’égal que la sienne. Et tout en prenant sa position sexuelle favorite de dominatrice, elle me chevaucha et m’entraîna avec elle. (Lire les 2 chapitres précédents)

——0——
Nos deux semaines de vacances se sont merveilleusement bien passées. Bon lit…bonne table. Nous avons parcouru et visité toute la presqu’île, de Douarnenez à la pointe du Raz au nord et au sud.
J’avais la charge du petit sac à dos, du tapis de sol et de l’indispensable bouteille d’eau. Martine avait à l’épaule son sac photo et une carte de l’office de tourisme qui lui servait d’éventail.
Le temps a passé très vite et il fallut dès le lendemain du retour reprendre le boulot à l’agence qui nous accapara rapidement.
Les vacances revinrent à la surface tout à fait incidemment le dimanche de Noël. Une petite soirée avec des amis, avait fait que ce 25 décembre, la fatigue du réveillon aidant, nous avons ouvert les yeux que vers dix heures du matin. On commençait à apercevoir le jour par l’ouverture des rideaux mal fermés.
Il faisait chaud dans l’appartement, et soit pour se rafraîchir un peu, soit pour s’éveiller, Martine avait rejeté la couette et restait allongée sur le ventre, bras croisés sous la tête sur l’oreiller.
Malgré le peu d’éclairage, je pouvais contempler son anatomie quasi squelettique de femme de cinquante kilos pour un mètre soixante dix. Pour la faire râler je la comparais à un squelette habillé d’un préservatif en guise de peau. Malgré cela j’aimais ses longues jambes, l’arrondi de ses petites fesses, et ses tétons d’adolescente.
Je ne pouvais savoir si elle dormait encore ou si elle se préparait à sortir du lit en douceur. Presque involontairement, j’avançai la main pour caresser son petit cul. Je retentai un nouveau passage, puis un troisième. Là, il sortit de l’oreiller une sorte de grognement semblable à celui d’un chien que l’on importune pendant qu’il mange son os.

– Non Jean-Mich’…. Hier on a fait la fête…..Ce matin c’est pas la forme. Ce soir je te promets tout ce que tu voudras faire.
– T’as tout faux. C’était la caresse d’un connaisseur sur une belle paire de fesses
– Ah ?……Tu me refais cela à la sieste et tu verras. Et si tu nous faisais du café s’il te plait ?

Ce que je fis. Se mêlant au bruit des gouttes de la cafetière, j’entendis bientôt le bruit de la chute d’un gros pipi dans l’eau de la cuvette accompagné d’un bâillement sonore.
En buvant son café, Martine annonça une découverte :

– Tout en pissant, je me suis souvenu que l’on avait pas encore visionné sur l’ordinateur les clichés de vacances…çà fait six mois. On s’y met cet après-midi ?
– C’est vrai. Bonne idée

C’est ainsi qu’après une petite sieste pour compléter une nuit un peu courte, on installa le matériel, et en quelques « clics » de souris, la « mémoire » nous restitua ses souvenirs.

——0——
La chambre nous rappela le soir ou nous avons entendu les ébats de nos voisins.
Ce soir là, avant la douche, Martine me fit une offre :

– J’ai envie de te faire un pipi dans la douche. Tu viens ?

Ma coquine sait bien que je suis friand de ses démonstrations uro, et comme en plus elle aime cela aussi, nous sommes toujours partant l’un et l’autre pour ses petites exhibitions.
Nus tous les deux on ne craint pas les éclaboussures et on peut s’en donner à cœur joie. Un peu à l’étroit, face à face, serrés l’un contre l’autre elle dit :

– Essaies de faire sur moi le premier. Arrose mon ventre et ma foufoune.

Bienheureux ceux que leur érection n’empêche pas de pisser. Moi, dès que je bande ne serait-ce qu’un peu, impossible de faire la moindre goutte. Ce soir, comme la plupart du temps, pas question de pouvoir lui faire plaisir.

– Bah !…Je retiens ton intention. Tu finiras par y arriver

Comme pour me consoler d’une peine, elle me gratifia de quelques va et vient sur ma queue ;

– Ah !….Arrête…..Va doucement ou tu vas tout avoir dans la main.
– Bon…O.K. C’était comme cela, sans intention particulière. Comment je te le fais le mien ?
– Il y a un moment, tu m’as dit que tu voulais savoir comment tu pisserais avec une queue entre les jambes. Tu t’en souviens ?
– Oh !oui…..Et tu me l’as mise entre les cuisses pour moi faire. Quel déluge !…dit-elle dans un grand rire…Tu veux que l’on recommence ?
– Non…..On change de rôle. Tu m’as plusieurs fois expliqué comment tu mettais les doigts pour toi faire un beau jet en étant debout. Laisses moi remplacer tes doigts par les miens.
– La dernière fois je m’en souviens, je t’ai expliqué comment mettre une main de chaque côté. Tu peux aussi mettre l’index et le majeur presque en haut de la fente et écarter un peu. Essaie.

Elle se retourna et mon sexe vint se caler entre ses fesses. Situation vraiment pas faite pour le calmer. Mon bras gauche autour de sa taille, je glissai ma main droite vers sa fente et y mis les deux doigts comme elle me l’avait indiqué.

– Je suis comme toi. Difficile de pisser dans cette situation. Il faut que j’oublie ce que je sens entre mes fesses et tes doigts sur le clito. Surtout ne les bouge pas. Ca va partir n’importe comment peut-être. Quand c’est moi qui conduis, je peux rectifier en chemin, mais toi ce sera plus difficile. Tiens…Voilà…Je viens de faire quelques gouttes…

Je sentais son pubis se contracter et se relâcher

– Ah ! Zut… J’ai pourtant une envie à mourir et je veux y arriver avec toi. De te sentir là, je commence à mouiller, c’est pour cela.

Dans des situations comme celles-là, je sais que si elle se met à rire tout s’arrange. Je tentais l’expérience.

– Attends…On va tenter un essai tous les deux. Dis avec moi…pipi…pipi pipi…pipi…pipi .

Elle ne me suivait pas mais se mit à rire et ce fut un petit jet timide qui tomba entre ses pieds.

– Appuie un peu et tire vers le haut Jean-Mich’

Je suivis son conseil et un super jet alla s’écraser bruyamment sur la paroi en plastic de la cabine. Le rire s’amplifia. Ses mains inutiles avaient pris appui sur les parois de chaque côté. Elle penchait la tête en avant pour admirer notre chef-d’œuvre.

– Ouah !….Super….Je n’aurais pas fait mieux. Dommage que je ne puisse pas t’en faire autant. Mais j’ai mon idée et j’y arriverai.

Nous nous faisions face à nouveau. Ses deux bras arrivèrent autour de mon cou.

– Qu’est-ce qu’on fait ? On prend une douche ou on continue ? Je suis super excitée. Caresse mon clito.

Je glissais à nouveau deux doigts dans sa fente et commençai à la titiller. Je sentais les petites secousses de son bas ventre. Je pouvais saisir son bouton entre mes doigts pour le faire rouler tout doucement.
Une de ses mains quitta mon épaule, descendit et se mit à me masturber tout doucement. J’aimais ces petits jeux ou chacun tenait le plaisir de l’autre entre ses doigts. Sa respiration s’accéléra. Les mouvements de sa main se firent plus insistants. Je l’a suivis et accélérai quelques secondes sur son clito avant d’entrer deux doigts en bas de sa fente. Je sentais mon plaisir ultime venir et l’en prévint.

– Va doucement ou je vais partir dans ta main.
– T’occupe ! Continue !

Je sentis nettement ses contractions sur mes doigts quand elle me dit :

– Allez Jean-Mich… Pour toi maintenant !

Tout en continuant son mouvement de main, elle se recula un peu pour regarder deux ou trois giclées qui s’écrasaient sur son ventre ;

– C’était super hein ?

Je ne pouvais que l’approuver. Après la douche partagée, le lit nous fut agréable. Mais la soirée ne s’arrêta pas là.
Alors que nous étions prés de nous endormir, je sentis la tête de Martine se relever de l’oreiller.

– Dis…Tu entends dans la chambre à côté ?
– Oui…Et alors…Ils ont le droit de s’amuser eux aussi.

On pouvait percevoir nettement à travers la cloison de long soupirs, presque des plaintes, des « Ah !…. » Très prolongés.

– Ben alors ? Ils doivent avoir entendu aussi tout ce que l’on a fait dans la douche ? Y compris le pipi sur la cloison, avec le bruit que cela fait !
– Ils ont peut-être cru que c’était la douchette après tout.
– Il n’y avait personne à côté cet après-midi. Ils ont dû arriver ce soir. A l’avenir il faudra faire gaffe.

——0——
Le lendemain matin au petit déjeuner, nous dévisagions les nouvelles têtes pour essayer de trouver nos voisins de la chambre 4.
Il y avait un couple relativement âgé. Peu probable. Un monsieur seul. Eliminé. Un couple et deux enfants de huit et dix ans environ. Possible si les enfants occupent une autre chambre. Il restait des tables dressées. Il manquait donc des pensionnaires au déjeuner. Peut-être aurions nous plus de chance ce soir au dîner.
Après le petit déjeuner, alors que nous retournions vers la chambre, au bout du couloir on entendit des clefs tourner dans une serrure et une porte s’ouvrit : la chambre 4, voisine de la notre. Deux charmantes dames en sortirent et en nous croisant elles eurent un :

-Bonjour…Bonne journée…auquel nous avons évidemment répondu :
– Merci…Pour vous aussi.

Martine entra vite dans la chambre, s’effondra sur le lit, la bouche dans l’oreiller pour étouffer son rire sonore.

– Eh bien, je n’aurais jamais pensé à cela…dit-elle en reprenant son souffle…J’en ai attrapé une envie de pisser.

Son rire ne prit fin qu’une fois soulagée, assise bien sagement sur la cuvette.

——0——
En vacances, nous avons passé toutes nos journées dans la nature, et les photos étaient la mémoire de toutes nos visites.
Celle de la chapelle de la pointe de la Jument avec ce petit sentier étroit, sinueux, qui n’en finissait pas de descendre chaque fois que l’on pensait remonter. Tout bordé d’épineux serrés et agressifs, peu accueillant. On entendait parler un groupe de visiteurs mais impossible de savoir s’ils étaient derrière ou devant nous, si nous allions dans le même sens ou si nous allions nous croiser.
Un petit bout de rocher entre les épines nous invita à une pause « Contrex ». Il me prend une envie de pisser. Dans cet endroit pas de problème.

– Tiens…le coin est bon…j’en ferais bien un petit aussi…annonça Martine

Se levant de son rocher, elle tendit un peu l’oreille. Pas de bruit de voix ou de pas. Et je la retrouvai debout prés de moi, jupe levée devant elle et jambe du slip écartée.
Tout en regardant voler quelques goélands criaillants, elle laissait tomber juste un petit pipi entre ses pieds.

– Tu l’as dit…..il est vraiment petit.
– Oui mais c’est l’occasion. Peut-être que les lieux ne seront plus aussi propices avant longtemps. Remarque que si j’avais dû mettre mes fesses accroupies dans les épines j’aurais hésité. Heureusement que je suis polyvalente.

Aujourd’hui, au grés du passage des photos à l’écran, nous nous remémorions des souvenirs, des visites, des achats, le renouvellement de la bouteille d’eau à une fontaine, un déjeuner à une terrasse, un petit coin pittoresque etc…Sur presque tous les sites visités, ma pisseuse laissait un souvenir de son passage.

Les photos de la Pointe du Raz nous rappelèrent une partie de rigolade.
La plupart des touristes s’arrêtent au bout du chemin pavé pour contempler la pointe de loin. Seuls les plus hardis se hasardent sur les rochers et vont jusqu’au bout. Martine voulait être de ceux-là. Je la suivis évidemment après l’avoir mise en garde sur la difficulté du passage rocheux et très accidenté.

– Il suffit de bien regarder où on met les pieds ;

Un groupe de trois personnes nous précédait. Au bout de la pointe un fort vent soufflait de la mer. L’endroit était peu accueillant et les trois personnes n’y restèrent qu’une minute.
Martine, la main en visière au-dessus des yeux cherchait à voir l’île de Sein.
Alors que nous allions quitter cet endroit, elle me demanda :

– Il n’y a personne qui arrive sur le chemin ?
– Non…pourquoi ?
– Devine pourquoi je suis venue jusqu’ici sur un coin si peu accueillant ?
– Ah oui….d’accord…c’est bon…tu peux.

Sitôt dit, sitôt fait. Nous étions sur une petite plate-forme sur laquelle nous avions peine à nous tenir à deux. Il y avait vraiment peu de place.
Je devinais qu’elle voulait envoyer le jet devant elle entre deux rochers, mais un coup de vent fort quand elle commença fit que ses jambes en prirent un grand coup.
Elle s’arrêta en râlant, me fit face et je pus admirer sa foufoune rasée en pleine action, envoyant le reste quasiment sur mes pieds que je dû écarter pour éviter le plus gros de l’averse.

– Excuse-moi auprès de tes baskets trésor. Je ne l’ai pas fait exprès. Quand je commence j’ai du mal à m’arrêter, et je ne te visais pas. Tu n’as pas un kleenex ?

J’ai toujours des kleenex pour les essorages, entre autres.
Toujours slip écarté, elle essuya ses mollets puis ses cuisses pour finir par sa fente avant de remettre le slip en place.

– Martine !…un homme de la mer sait qu’il faut toujours pisser le vent dans le dos.
– Un homme peut-être…mais une femme ! Et qui n’est pas de la mer en plus ! Mais qui avait vraiment une sacrée envie de pisser ?

Et tout en bavardant, on reprit le difficile chemin rocheux pour rejoindre la cohorte des touristes moins entreprenants que nous.

– Et si dans ce moment difficile…dis-je un peu moqueur…tu avais pissé comme une fille, cela ne serait pas arrivé !
– Ouais…..évidemment….Mais d’abord je ne savais pas bien de quel côté le vent venait, et il y a plus de vingt-cinq ans que je pisse ainsi…une habitude…Dans la nature je finis par ne plus y penser… et ça évite de descendre tout.
Tantôt anodin, tantôt provocation, je crois que je ne me ferai jamais à ce petit côté innocent de ma pisseuse.

——0——
Nous en arrivions à la série de clichés faits à la chapelle de Kérandraon, petite merveille d’architecture délaissée par les touristes.
Après la visite des lieux, l’endroit étant particulièrement calme, nous avons décidé d’y pique-niquer. La météo douce et calme nous incitait à la détente dans ce lieu vraiment pas fréquenté.

En ce dimanche de décembre il était agréable de retrouver toutes nos photos d’été et d’imprimer les meilleures. Arriva la fameuse photo qu’elle redoutait tant de revoir.
Nous avions terminé le repas, et j’avais droit à un cours sur l’architecture de la chapelle quand elle annonça :

– Ici loin du passage, je ne serai pas gênée pour mon pipi au moins.
– Tu as envie ? Attends-moi…tu m’as promis que je pourrai en photographier un…c’est peut-être le moment.
– Ah…cochon…J’espérai que tu l’oublierai. Bon alors en numérique et sans ma tête, ou alors je l’efface tout de suite. Promis ? Comment je fais ? Fais ta mise en scène.
– Fais moi ton classique. Jambes bien droites, juste un peu écartées et tire sur la jambe du slip.
– O.K…. Je me mets même dans le soleil.

Et elle prit la position et mis une main de chaque côté de sa fente pour l’ouvrir un peu en tenant le slip. L’appareil à hauteur de son ventre, je cadrais entre sa poitrine et le sol devant elle.

– Alors ? Il vient ?
– Patience…C’est une situation inhabituelle pour elle. Elle est un peu intimidée, elle n’a jamais posé ainsi en vedette. Tiens…Le voilà.

Le jet était photogénique et tombait dans l’herbe devant moi.

– Je t’avais promis des audaces. Celle-là en est une non ? Il doit rester deux ou trois gouttes. Tu viens les ramasser ?

Encore une audace. J’accédai bien sûr à son offre.

– Ah, doucement…j’ai dit ramasser les gouttes…pas manger !

Fière d’elle, elle replaça bien son slip et baissa sa jupe

– Montre un peu le résultat ?

Elle prit l’appareil de mes mains et visionna la photo au dos.

– Super….J’ai bien fait de me mettre au soleil, on voit même mon petit grain de beauté. (voir récit n°1). Bon….d’accord, on la garde jusqu’à l’appartement…après on verra.

Allongés côte à côte sur la toile, je la trouvais silencieuse d’un coup. Un silence surprenant. Je me demandais à quoi elle pouvait bien penser.

– C’est vraiment calme ici…J’ai une envie…Toi non ? Depuis l’année dernière chez Maurice, on ne l’a pas fait dans la nature. (Partie de campagne) Ici on ne risque rien. Pas un chien depuis que l’on est arrivés et la voiture barre le chemin. Ton essorage m’a donné des idées. Allez…Laisse toi faire.

En disant ces derniers mots elle avait baissé la fermeture Eclair de mon short et glissait sa main dans mon slip. Son attitude spontanée eut le don de me faire répondre rapidement positivement à son offre. Trois ou quatre « coups de pompe » de sa main, et il ne restait plus qu’à sortir ma queue du slip pour qu’il soit à sa disposition.

– Attends… Ne bouge pas !

Avais-je le choix ? Souhaitais-je autre chose?
Sa petite culotte fut rapidement enlevée et jetée dans le sac. Elle vint s’installer au-dessus de ma braguette, releva sa jupe, frotta un peu sa fente et de la main guida l’introduction.
Elle s’empala sans aucun mal. Elle installa bien sa jupe autour d’elle comme pour cacher ses fesses et son ventre et commença ses va et vient.

– Je sens que je vais partir vite Jean-Mich’….Mais n’aie pas peur, je continuerai pour toi s’il le faut.

Ses mains maintenaient mes poignets. Elle poussait des petits « han ! » saccadés à chaque mouvement, la tête rejetée en arrière. Elle accéléra et finit par s’arrêter, toute contractée de plaisir, ses mains me serrant très fort.

– Allez…Pour toi maintenant.

Encore quelques coups des reins et elle devina ou même sentit que je m’étais éclatée en elle.
Tout doucement elle se souleva. Je sortis les kleenex de ma poche et les lui tendis.

– Tiens…Fais le ménage.

Elle m’essuya avec beaucoup de soin et de douceur, déplorant quelques taches de mouille sur la braguette de mon short.

– Bof…pour entrer à l’hôtel tu mettras le sac devant toi.

Elle s’essuya elle aussi. La petite culotte resta dans le sac, et elle s’allongea prés de moi après un :

– C’était bon hein ?

Puis, je crois que nous nous sommes endormis.

——0——
Le reste des photos défila à l’écran. Toutes ranimant de bons souvenirs. Certaines rappelant un site où ma grande consommatrice de « Contrex » avait laissé, souvent sous mes regards gourmands un pipi innocent mais oh, combien érotique. La photo de son pipi à la chapelle faite avec son consentement fut effacée selon nos conventions. Il y avait plus de cent photos à visionner.
La séance terminée, ma Martine s’étira en baillant, allongeant sa longue nudité volontairement contre moi.

– Dis un peu mon Jean-Mich’…Tu as toujours, comme ce matin au réveil, envie de caresser mes fesses ? Je me souviens de t’avoir promis ce que tu voudrais pour ce soir. Je suis à toi chef. Mais avant, viens me faire voir si tu te souviens encore de l’endroit où une femme doit mettre les doigts pour elle faire un beau pipi.

FIN

P.S. J’avais pensé que Martine accepterait d’utiliser la photo faite à la chapelle de Kérandraon pour illustrer ce récit. Mais elle est intraitable à ce sujet et je l’a comprends. Elle dit même que c’est déjà trop que l’on voit qu’elle a un grain de beauté côté gauche au chapitre 1

Mais ce qui suivit la séance photo pourra faire l’objet d’un autre récit, car elle avait retrouvé la forme qui lui manquait le matin.

Jean-Michel et Martine
Janmich59@wanadoo.fr

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