J’ai rencontré Nathalie à l’occasion du mariage du fils d’un de mes amis, elle est l’amie de la mariée. Nathalie est brune assez grande une chevelure noire mi-longue très abondante, elle arborait un décolleté laissant découvrir une poitrine splendide, elle a surtout de très beaux yeux noirs. J’ai, dés que je l’ai vu été immédiatement attiré par sa très grande beauté et surtout par son regard dont le magnétisme m’a subjugué.
Je me suis de ce fait arrangé pour croiser son regard le plus souvent possible en me positionnant autour du buffet apéritif de façon à être face à elle mais aussi de biais affin d’admirer sa silhouette impeccable. Il y avait très longtemps que je n’avais pas un de coup de foudre mais la j’étais attiré par une force que je ne pouvais pas maîtriser. J’étais fasciné par celle que je considérais comme la plus belle dans mon entourage.
J’hésitais entre : prendre le temps de l’admirer discrètement ou me faire remarquer par elle. J’étais de plus en plus sous le charme et prêt à faire toutes les folies afin de l’aborder cependant étant à ce mariage avec mon épouse il me fallait m’imposer une certaine prudence. Après une bonne demi-heure de ce manége elle a fini par le remarquer et se positionnant face à moi à une dizaine de mètres elle m’a regardé dans les yeux avec un regard à la fois autoritaire mais aussi complice. J’ai eu l’impression qu’elle voulait me faire savoir qu’elle m’avait compris. Il y avait aussi dans ce regard une expression indéfinissable, à la fois perverse, séductrice et dominatrice.
Après une bonne minute de ce face à face inoubliable elle fit demi-tour et passa dans la pièce voisine en prenant une démarche très suggestive mettant en valeur un fessier qui complétait sa beauté et m’attirai irrésistiblement. Je restais la perplexe ne sachant quoi penser. Qu’avait-elle voulu me dire ! Comment pouvait-elle éprouver un intérêt pour moi ? J’avais à cette époque 60 ans, elle en paraissait entre 25 et 30. Je suis je crois assez bien conservé mais pour intéresser une jeune femme ayant la moitié de mon age ! Extrêmement belle de surcroît ! J’étais à ce stade de ma réflexion quand nous avons été invité à passer à table.
Je me suis trouvé assez loin d’elle mais je pouvais l’apercevoir en me retournant légèrement, elle, en contre partie pouvait me voir de biais. Inutile de préciser que ce repas fut interminable. Je me retournais régulièrement sans pouvoir accrocher son regard.
Vers la fin du repas je me retournais à nouveau et surprise elle me fixait du regard. Nous avons eu à nouveau un échange de regard intense, elle avait la même expression que vers le buffet. Je me suis efforcé de la fixer avec le regard le plus expressif possible et de lui transmettre ainsi mes sentiments, terminant par un sourire. Elle a répondu à mon sourire par un sourire indéfinissable qui m’a laissé complètement sans réaction.
Le repas enfin terminé, les mariés ont ouvert le bal. J’ai bien hésité à l’inviter mais me suis ravisé pensant que le risque était trop grand de me faire rabrouer, préférant lui laisser l’initiative en la provoquant. Je me suis donc contenté de rechercher des positions isolées à portée de sa vue et miracle au bout d’une demi-heure environ elle s’est approchée du buffet où j’étais; elle arborait un magnifique sourire. Sans un mot elle a pris un verre qui était devant moi et à la place du verre elle a déposé un bout de papier plié.
Je m’en suis saisi et l’ai glissé dans une poche. Je me suis ensuite rendu aux toilettes pour le lire en paix et stupéfaction il était écris « lundi 10 heures suivi d’un numéro de tel portable ». J’ai continué à l’observer de loin, nous avons échangé quelques sourires puis elle est partie, moi aussi. Inutile de vous dire que la nuit bien que très écourtée fut très longue et que je l’ai passé à fantasmer sur cette rencontre et sur ce qui pourrait suivre.
Le lundi 10 heures précise je lui téléphone.
– Bonjour nous nous sommes vues samedi merci de m’avoir communiqué la possibilité de vous contacter j’en avais effectivement très envie.
Et là; je découvre enfin sa voix chaude sensuelle avec un ton de gravité et un je ne sais quoi qui me fait fondre et perdre mes moyens.
– Bonjour moi aussi j’ai eu envie de vous rencontrer, il m’a semblé que vous pourriez m’intéresser mais cela reste à être précisé.
Je bégayais quelques mots confus comme mon état d’esprit.
– Vous allez m’écouter et après ce sera oui ou non. Dans tous les cas je vous demande de vous engager à ne rien révéler de cet entretien à qui que ce soit.
J’étais dans un état second tellement cette situation me paraissait insolite, bien sur je m’engageais. Je lui dis que j’étais prêt à presque tout pour avoir le plaisir de la rencontrer. Elle me dit :
– Voilà, je suis une dominatrice et ma satisfaction dans ce domaine sera décuplée par l’age de mon partenaire. Je ne propose pas une domination dure avec fouets, gifles etc… Mais de faire de vous mon objet de plaisir et j’aime les objets anciens je sais que vous êtes plus patients, plus disponibles, je n’aime pas beaucoup le terme de soumis je préfère docile.
Elle me confirma que notre relation sera exempte de toute violence et toute douleur mais que je devrai satisfaire toutes ses envies sans aucune réserve pour son plaisir, le mien ne sera satisfait qu’après le sien et seulement en cas de satisfaction totale. Lors de ma nuit précédente de phantasme j’avais imaginé différentes possibilités mais aucune ne me comblai comme cette proposition. Bien entendu je l’assurai de ma totale disponibilité et acceptai sa proposition sans réserve.
– Au fait quelle est ta situation familiale ? (Elle venait d’introduire le tutoiement preuve de sa prise de possession)
– Je suis marié.
– Bien j’en tiendrai compte pour ta disponibilité.
– Est-tu libre jeudi matin ?
– OUI aucun problème.
– Bien je t’attendrai jeudi matin à 9 heurs (voici l’adresse……) présente toi à 9 heures précise devant mon portail tu trouveras une clef dissimulée (…….) Ouvre rentre ta voiture puis entre dans la maison, monte au premier étage, première porte à droite sur la porte tu trouveras des instructions. As-tu des questions ?
J’en avais évidemment de nombreuses mais décidais de n’en poser aucune car tout avait été clair et je pensais que les surprises qui m’attendaient me combleraient. Trois jours et surtout trois nuits d’attente me paraissait interminable mais je ne fis aucun commentaire.
– Non aucune je suis simplement impatient et vais attendre jeudi avec fébrilité.
-Tant mieux j’aime qu’on me désire longuement
Jeudi 7 heures je viens de passer les 72 heures les plus longues de ma vie je me lève et me prépare pas question d’être en retard.
Jeudi 8 heures 30 je suis devant son portail et j’attends, mes mains tremblent, j’ai chaud, j’ai froid, encore 30 minutes et peut-être le nirvana !
Jeudi 9 heures j’ai les clefs en main j’ouvre, je me gare, puis je rentre dans la maison, une lumière est allumée dans l’entrée je monte au premier, une autre lumière est allumée (je suis donc bien attendu) le mot est sur la porte (je te veux entièrement nu puis entre doucement, je suis couchée à droite glisse-toi à gauche sous la couette couché sur le dos la tête à la hauteur de mes fesses et attend. (Tout cela en silence)
Je suis sous la couette dans la chaleur et l’odeur de son corps, c’est divin je ne me suis jamais senti aussi bien, je respire ses effluves et m’en délecte je n’ai plus aucune appréhension, je sens que je vais être comblé au-delà de mes espérances.
Il me semble q’elle est en train de se réveiller mais elle ne bouge pas j’attends encore un bon quart d’heure cette attente est délicieuse je sens soudain qu’elle me cherche avec son pied elle a un soupir de satisfaction en me découvrant.
Alors elle se retourne, m’enjambe, colle sa vulve sur ma bouche (je pressent ce qu’elle va faire et tout en étant un peu inquiet je me prépare à recevoir son offrande) sa vulve dégage une odeur délicieuse agrémentée par le goût de ses sécrétions nocturnes.
– Merci d’être la je vais me soulager et tu vas me boire.
.J’attends quelques instants et un petit jet de son délicieux nectar atteint mon palais, puis un autre un peu plus fort puis une bonne rasade j’avale avec délice, un petit arrêt puis de nouveaux petits jets puis crescendo. Cela me parait interminable mais je ne souhaite pas que ça s’arrête. Je la bois (inutile de dire que j’ai hissé les couleurs) Elle continu à m’abreuver avec un rythme parfait me laissant peu de répit mais assez pour que je n’en perde pas une goutte. Deux ou trois contractions m’expulsent ses dernières gouttes hélas.
– Hummm que c’était bon de me soulager ainsi ! As-tu apprécié autant que moi ?
– Oui c’était un délice dommage que se soit terminé.
– Bien maintenant que tu m’as bien servi d’urinoir tu vas me servir de gant de toilette commence par ma chatte je ne veux plus une goutte de pipi.
Je léchais consciencieusement cette chatte (elle était petite, étroite mais assez épaisse entourée d’une toison abondante mais assez soyeuse) je léchais ses poils presque un à un. Nous étions sous la couette qu’elle repoussa et éclaira la chambre. Je pus découvrir son corps parfait.
– Je veux te voir œuvrer et que tu m’admires. Prend le soin de regarder mon corps avant de t’en occuper.
J’admirai sa chatte bien dessinée dans son écrin de poils noir puis terminais sa toilette la pénétrant pour en extraire toute trace d’urine ou de mucosité, m’en délectant.
– Bien maintenant mes pieds j’ai fait hier une petite course à pied et n’ai pas voulu les laver pour t’en laisser le soin.
Ils avaient effectivement un petit goût de sueur très agréable je suçais chaque doigt et passai ma langue entre chacun. Ce fut un délice et Nathalie poussait quelques sons de plaisir.
– Très bien c’était parfait maintenant mes aisselles.
J’eus la surprise de constater qu’elles étaient poilues mais là aussi ce fut un délice, un petit goût, son goût, je léchais donc de chaque côté, c’était inattendu et tout à fait nouveau pour moi.
Elle vint enfin se positionner au dessus de moi et me fit longuement lécher et sucer ses seins moyens mais bien fermes, enfermant aussi mon visage entre eux en m’étouffant légèrement
– Parfait tu es le premier homme mur à qui je demande ses services mais je vois que je ne me suis pas trompé en te choisissant, je pense que tu vas bien t’acquitter du service suivant, tu vas me lécher la raie fessière t’attarder sur ma rosette puis tu me nettoieras le petit trou afin de bien le lubrifier pour que je puisse me soulager agréablement de ce côté.
Elle se mit à plat ventre et je pu admirer sa paire de fesses et sa cambrure parfaite.
Sa rosette était magnifique comme je les aime, un peu sombre assez large et finement plissé je léchais longuement ses fesses m’imprégnant de son odeur de son goût hum ! Puis parcourai la rosette faisant le tour la pénétrant, elle sembla aimer particulièrement.
Se positionnant en face-sitting elle se fit lécher du clito au petit trou alternant délicieusement, écarta ses fesses afin de faciliter la pénétration de ma langue dans son cul et explosa dans ma bouche m’abreuvant de sa liqueur.
Nathalie m’invita à prendre avec elle son petit déjeuner qu’elle me fit déguster à genoux sous la table entre ses cuisses c’est dans cette position qu’elle m’a invité à me branler et j’ai enfin explosé quand elle a complété le café par une petite rasade de son nectar.
Nathalie me congédia en me disant
– si tu le souhaites lundi 10 heure sur mon portable.
J’étais sur un petit nuage en la quittant lundi !!!!!!!!
Ce récit a obtenu le 1er Prix de la meilleure nouvelle Fétichiste pour l’année 2005
Un bon petit récit uro (primé en 2005) à redécouvir d’urgence
Mignon comme tout